Mardi 11 janvier 2 11 /01 /Jan 10:48

Un coup sec, la tenaille venait de trancher le serflex, libérant les mains de Paul, qui immédiatement les devant lui pour cacher son sexe. Un geste bien inutile tant les deux femmes avaient eu le temps de détailler son intimité.

 

La prof de gym prit la parole:

- Pour te punir de tes cochonneries, tu vas retourner au vestiaire dans cette tenue, cela te fera réfléchir aux bonnes manières.

 

Pétrifié de honte à l'idée d'avoir à sortir nu dans le hall de la piscine, il osa parler.

 

- Pitié Madame, pas ça, je ferais n'importe quoi,mais pas ça, demandez moi ce que vous voulez.

 

Les deux femmes se regardèrent avec un air complice, comprenant immédiatement les avantages qu'elles pouvaient tirer de la situation.

 

- Si tu veux sortir habillé de cet endroit, tu vas devoir accepter deux choses. Ta professeur va t'administrer une fessée afin que tu comprennes bien qui commande et une fois que tu auras reçu 50 claques sur les fesses, tu devras t'occuper de moi. Mon mari ne m'a jamais fait de cunilingus, tu vas donc t'occuper de mon sexe pour me faire jouir. Si tu arrives à me faire jouir avec ta langue, tu seras récompensé et je te donnerais de quoi t'habiller, sinon tu seras poussé dehors complètement nu, a toi de choisir.

 

- Pitié pas ça, je ferais comme vous voulez.

 

Ne voulant pas lui laisser le temps de changer d'avis et ravie d'avance du plaisir qu'il pourrait lui donner, la concierge prit Paul par le bras et le conduisit à nouveau sur la table de soin.

 

- Allonge toi sur le ventre et attrape les pieds de la table avec tes mains. Une fois allongé sur la table, Paul compris que la concierge allait faire en sorte qu'il ne puisses plus bouger ni se défendre. Elle lui attacha les mains aux pieds de la table en se servant d'un gros rouleau de sparadrap médical. Puis elle lui écarta les jambes et cette fois, elle se servit des deux sangles de cuir pour lui maintenir les chevilles écartées. Une fois attachées aux emplacement prévus à cet effet, Paul ne pouvait plus resserrer ses jambes. Son petit sexe et ses petites testicules s'exposaient impudiquement à la vue des deux femmes.

 

Il fermât les yeux, résigné à attendre son châtiment.

 

- Tenez prenez ça, dit la concierge à Mme Guérin en lui tendant une tapette à mouches qu'elle venait de récupérer dans un placard.

- Il doit en recevoir 50 et pas un de moins. Et s'il se met à crier, on recommence à zéro !!!

 

Mme Guérin commença à lui frapper les fesses sans violence, mais fermement. Au dixième coup, la concierge interrompit la fessée.

- Plus fort, lui intima la concierge, il faut qu'il s'en rappelle toute sa vie.

 

Mme Guérin se décida à taper avec plus de force. les fesses de Paul se contractaient naturellement à chaque coup. De légères traces rouges commençaient à zébrer ses deux fesses imberbes. Il ne fallait cependant pas le blesser, mais simplement l'humilier en lui donnant une véritable fessée dont il se souviendrait longtemps.

 

Paul accepta sa fessée jusqu'au dernier coup sans jamais oser lâcher un cri; Il serrait les dents de peur de se laisser aller et de risquer la honte de ressortir nu de la conciergerie.

 

La grosse femme s'approcha de sa tête et se mit à modifier la table de soins. Le haut de la table ou reposait la tête de Paul, se rabattait complètement vers le bas, libérant la tête du jeune homme qui se trouvait maintenant dans le vide.

Elle se mit face à lui et de manière totalement impudique, elle fit glisser au sol, sa jupe à carreaux. Paul avait en face de lui un énorme slip de coton blanc.

La concierge visiblement excitée par la situation tout à fait irréelle, fit descendre sa culotte sur ses chevilles.

Malgré ses rondeurs importantes, elle avait un ventre ferme et un pubis épilée comme une jeune fille. Paul ne pouvait détacher son regard du sexe rose aux grandes lèvres brunes qui lui faisaient face.

La concierge approcha sa vulve de sa bouche et le tenant  par les cheveux pour soulager le poids de sa propre tête, elle lui intima l'ordre de commencer à lui lécher le clitoris, écartant avec les doigts de son autre main, les grandes lèvres brunes.

 

Paul du tirer sa langue au maximum pour atteindre le clitoris de la grosse femme.

Il commença à lui lécher à grands coups de langue, l'ensemble de son sexe et il sentit au bout de quelques minutes, couler sur sa langue le témoignage de son orgasme aussi rapide que conséquent. La concierge gémissait de plaisir, tirant les cheveux de Paul pour lui faire bien comprendre qu'il lui fallait continuer à lui donner du plaisir.

 

La prof assistait à la scène avec une curiosité évidente, mêlée de plaisir intérieur inavouable.

 

Ce que Paul, ni Mme Guérin ne pouvait deviner c'était que la concierge allait se révéler être une véritable femme fontaine. C'est au moment ou le jeune garçon s'y attendait le moins, qu'il reçut en plein visage un flot continu de liquide qui n'avait ni le goût, ni l'odeur de l'urine. Sa tête toute entière était trempée du liquide inconnu pour lui qui continuait à s'échapper du sexe de cette inconnue.

La concierge ne put retenir un long cri de plaisir. Prise de tremblements incontrôlables, elle relâcha les cheveux de Paul et réalisant peut-être qu'elle se trouvait nu devant cet adolescent,elle ramassa à la hâte, sa jupe et sa culotte et disparut en vitesse en claquant la porte.

 

Paul se retrouvait la tête en l'air, toujours nu et attaché solidement à la table.

 

- Mme, je vous en prie, détachez moi, j'ai horriblement mal aux fesses et je commence à avoir des crampes dans la nuque.

 

Mme Guérin, comprenant qu'il fallait maintenant arréter de le punir, s'approcha de la table et le déliat en quelques secondes.

 

Paul se mit debout en se frottant les fesses avec les mains.

- Madame, est ce que je peux vous demander de ne jamais parler de ce qui vient de se passer ici ?

Ravie de la proposition, qui de son coté lui assurait l'impunité, elle lui répondit un "Oui" qui ne souffrait aucune incertitude.

 

La porte s'ouvrit de nouveau. La concierge, sourire au lèvres tenait à la main un short de garçon qu'elle avait du récupérer dans un vestiaire.

- Prends le, c'est pour toi. Chose promise chose due. Tu vas pouvoir sortir d'ici de manière présentable.

 

Paul ne se fit pas prier, il enfila le short un peu grand, et serra la ficelle autour de sa taille comme si cela lui assurait une sécurité indispensable pour sortir de la conciergerie.

 

Mme Guérin le prit par le bras et sans attendre l'accord de la concierge, elle le poussa hors de la pièce en le suivant de près.

 

Dans le hall, il y avait encore des jeunes d'autres lycées et collèges, mais ils ne firent pas attention à lui. Après quelques trop longues secondes de marche dans le long couloir, il arrivât devant le vestiaire des garçons qui lui rappelait le début de son cauchemar.

Il y pénétrât. Personne à l'intérieur, tous les élèves étaient depuis bien longtemps entrain de nager en se racontant à n'en pas douter le sublime bizutage qu'ils venaient d'infliger à celui qu'ils allaient pouvoir désormais appeler "petite bite".

 

Paul n'avait d'autre alternative que d'attendre le retour des élèves, et il savait par avance que les réflexions et les humiliations allaient continuer. Le plus difficile serait certainement de croiser le regard des filles.

Les jours, les semaines et peu-être les mois à venir allaient être difficiles pour lui.

 

Suite à venir....................


 


 



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