Le blog de panpan
Effectivement dans la pièce m'attendait bien une superbe foulard noir et une corde épaisse dont les deux noeuds coulants rappelaient étrangement ceux des pendus à l'époque du far-west. C'était
évident qu'une fois resserrés, ils me seraient impossible de les défaire.
Comme il me l'était demandé, je mettais le foulard sur mes yeux et après avoir fait deux tours je le fixais solidement sur mon visage. Impossible maintenant de voir quoi que ce soit. Ayant par avance repéré la corde posée à coté, je la pris en main et serrais le premier noeud autour de ma cheville.
La corde était volontairement courte et je du plier les jambes pour pouvoir passer mes poignets dans le deuxième noeud coulant. Une fois mes bras en croix dans le dos et mes poignets en place, je me redressais pour tendre la corde et refermer définitivement le noeud sur mes poignets.
La longueur de la corde avait soigneusement calibrée par N...y, car je pouvais tout juste me tenir droit, jambes droites, les poignets tendus au maximum vers le bas. Dans cette position moyennement confortable je fus contraint d'attendre, nu au beau milieu de cette pièce, le bon vouloir de ma maîtresse.
Les minutes passaient lentement, et lorsque j'entendis la porte s'ouvrir, je sus immédiatement que j'allais à nouveau souffrir.
N...y prit ma cheville et me fit replier le pied vers le haut. Une fois la corde détendue, elle défit le noeud qui enserrait ma cheville et je me retrouvais ainsi libéré partiellement.
Mes mais furent également détachées, mais alors que je croyais avoir un peu de répit, N...y prit à nouveau mes poignets pour les lier à nouveau, cette fois ci par devant. Une fois les mains attachées je dus la suivre dans le noir, tiré par la corde quelle tenait dans ses mains.
Lorsqu'elle me fit basculer sur le lit ,le contact du plastic froid me fit tressaillir de surprise. D'après ce que je pouvais deviner, une grande bâche ou un grand morceau de plastic avait été déposé sur le lit et une fois allongé dessus, je compris que N...y tirais sur les bords pour remettre bien en place cette couverture au contact assez désagréable.
Mes bras furent tirés en arrière au dessus de ma tête et la corde fut fixée à la tête de lit. Une fois les noeuds faits, impossible pour moi de bouger les bras. Une à une mes jambes furent écartées et attachées au pied du lit.
N...y avait délibérément choisie un écartement maximum de mes jambes et cette position me faisait craindre la possible venue de crampes si cette position devait perdurer.
Les jambes écartelées, immobilisées par des liens solides, impossible faire le moindre mouvement.
N...y s'approcha de moi et elle entreprit de me bâillonner à nouveau. Cette fois se ne fut pas moins de 10 tours de rouleau de scotch autour de ma tête qui furent effectués et lorsqu'elle décida d'arrêter de momifier ma bouche, je ne pouvais émettre le moindre son. J'en étais réduit à respirer par le nez.
Une odeur piquante me montât aux narines et je devinais immédiatement qu'il s'agissait de la moutarde que je venais d'acheter. Quel supplice N...y avait-elle encore décidé de m'infliger.
Je sentis la première brûlure lorsque N...y m'enduisit à grands coups de cuillères le sexe, les bourses et pire l'entre jambes. La cuillère fouillait la raie de mes fesses et la moutarde la remplissait en me provoquant presque instantanément les premières bouffées de chaleur. Je fus enduit de moutarde sur toute la surface possible de mon corps.
Jambes, ventre, poitrine furent bientôt recouverts et lorsque le "tapissage" fut terminé, N...y rabattit sur moi la bâche de plastic une fois collée à mon corps, elle scotcha le tout à l'aide de l'adhésif et ainsi momifié dans la moutarde dijonnaise, je dus endurer un supplice inconnu. Mes fesses me brûlaient, ma verge était en feu et mes petites bourses devaient ressembler à de petites tomates rouges. Je voulais crier de douleur mais aucun son ne sortait de ma bouche.
Je dus rester ainsi pendant de très longues minutes,en nage dans ce carcan de plastic le corps littéralement en ébullition.
Lorsque N...y rentra à nouveau dans la pièce, elle sinstalla directement à califourchon sur mon ventre et entreprit de défaire mon bâillon à l'aide d'une paire de ciseaux.
Une fois ma bouche libérée, elle se redressa et pensant qu'elle allait repartir quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'elle venait de s'asseoir sur mon visage.
Tenant mon visage entre la paume de ses mains, elle avait fait en sorte de bien plaquer ses fesses sur moi, car mon nez était maintenant plongé dans la raie de ses fesses, en contact direct avec ce que je reconnu être sa petite rosette. Une odeur féminine mélangée à celle d'un savon aux senteurs délicates m' emplissait mes narines.
N....y eut un mouvement de bascule vers l'avant et ma bouche entra en contact avec la douceur de son sexe. Intégralement rasée elle aussi, le contact direct de sa peau à la douceur juvénile était très agréable. je n'osais pas prendre l'initiative de peur de déclencher à nouveau les foudres de N...y.
Elle commença à bouger d'avant en arrière, se frottant sur ma bouche et s'appuyant sur le bout de mon nez. Je sentis peu à peu un liquide chaud au goût de miel couler le long de mes lèvres. Sans un mot, par un simple déhanchement, N....y prenait du plaisir et la frustration de ma position était atténuée par la sensation de participer directement à sa jouissance.
Au bout de quelques minutes manifestement satisfaite, elle se releva et quitta la pièce sans un mot.
A nouveau seul, attaché dans le noir, le corps encore brûlé par la violence des paquets de moutarde qui me recouvraient, j'essayais de ne plus penser à la brûlure de mon entre cuisses. Ma peau devait être aussi rouge qu'une fraise trop mure.
Ma bouche était encore recouverte des liqueurs de N...y, mais je ne pouvais m'essuyer. Je dus les laisser sécher et attendre dans l'obscurité, une nouvelle arrivée de ma maîtresse.
Suite à venir.................
Comme il me l'était demandé, je mettais le foulard sur mes yeux et après avoir fait deux tours je le fixais solidement sur mon visage. Impossible maintenant de voir quoi que ce soit. Ayant par avance repéré la corde posée à coté, je la pris en main et serrais le premier noeud autour de ma cheville.
La corde était volontairement courte et je du plier les jambes pour pouvoir passer mes poignets dans le deuxième noeud coulant. Une fois mes bras en croix dans le dos et mes poignets en place, je me redressais pour tendre la corde et refermer définitivement le noeud sur mes poignets.
La longueur de la corde avait soigneusement calibrée par N...y, car je pouvais tout juste me tenir droit, jambes droites, les poignets tendus au maximum vers le bas. Dans cette position moyennement confortable je fus contraint d'attendre, nu au beau milieu de cette pièce, le bon vouloir de ma maîtresse.
Les minutes passaient lentement, et lorsque j'entendis la porte s'ouvrir, je sus immédiatement que j'allais à nouveau souffrir.
N...y prit ma cheville et me fit replier le pied vers le haut. Une fois la corde détendue, elle défit le noeud qui enserrait ma cheville et je me retrouvais ainsi libéré partiellement.
Mes mais furent également détachées, mais alors que je croyais avoir un peu de répit, N...y prit à nouveau mes poignets pour les lier à nouveau, cette fois ci par devant. Une fois les mains attachées je dus la suivre dans le noir, tiré par la corde quelle tenait dans ses mains.
Lorsqu'elle me fit basculer sur le lit ,le contact du plastic froid me fit tressaillir de surprise. D'après ce que je pouvais deviner, une grande bâche ou un grand morceau de plastic avait été déposé sur le lit et une fois allongé dessus, je compris que N...y tirais sur les bords pour remettre bien en place cette couverture au contact assez désagréable.
Mes bras furent tirés en arrière au dessus de ma tête et la corde fut fixée à la tête de lit. Une fois les noeuds faits, impossible pour moi de bouger les bras. Une à une mes jambes furent écartées et attachées au pied du lit.
N...y avait délibérément choisie un écartement maximum de mes jambes et cette position me faisait craindre la possible venue de crampes si cette position devait perdurer.
Les jambes écartelées, immobilisées par des liens solides, impossible faire le moindre mouvement.
N...y s'approcha de moi et elle entreprit de me bâillonner à nouveau. Cette fois se ne fut pas moins de 10 tours de rouleau de scotch autour de ma tête qui furent effectués et lorsqu'elle décida d'arrêter de momifier ma bouche, je ne pouvais émettre le moindre son. J'en étais réduit à respirer par le nez.
Une odeur piquante me montât aux narines et je devinais immédiatement qu'il s'agissait de la moutarde que je venais d'acheter. Quel supplice N...y avait-elle encore décidé de m'infliger.
Je sentis la première brûlure lorsque N...y m'enduisit à grands coups de cuillères le sexe, les bourses et pire l'entre jambes. La cuillère fouillait la raie de mes fesses et la moutarde la remplissait en me provoquant presque instantanément les premières bouffées de chaleur. Je fus enduit de moutarde sur toute la surface possible de mon corps.
Jambes, ventre, poitrine furent bientôt recouverts et lorsque le "tapissage" fut terminé, N...y rabattit sur moi la bâche de plastic une fois collée à mon corps, elle scotcha le tout à l'aide de l'adhésif et ainsi momifié dans la moutarde dijonnaise, je dus endurer un supplice inconnu. Mes fesses me brûlaient, ma verge était en feu et mes petites bourses devaient ressembler à de petites tomates rouges. Je voulais crier de douleur mais aucun son ne sortait de ma bouche.
Je dus rester ainsi pendant de très longues minutes,en nage dans ce carcan de plastic le corps littéralement en ébullition.
Lorsque N...y rentra à nouveau dans la pièce, elle sinstalla directement à califourchon sur mon ventre et entreprit de défaire mon bâillon à l'aide d'une paire de ciseaux.
Une fois ma bouche libérée, elle se redressa et pensant qu'elle allait repartir quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'elle venait de s'asseoir sur mon visage.
Tenant mon visage entre la paume de ses mains, elle avait fait en sorte de bien plaquer ses fesses sur moi, car mon nez était maintenant plongé dans la raie de ses fesses, en contact direct avec ce que je reconnu être sa petite rosette. Une odeur féminine mélangée à celle d'un savon aux senteurs délicates m' emplissait mes narines.
N....y eut un mouvement de bascule vers l'avant et ma bouche entra en contact avec la douceur de son sexe. Intégralement rasée elle aussi, le contact direct de sa peau à la douceur juvénile était très agréable. je n'osais pas prendre l'initiative de peur de déclencher à nouveau les foudres de N...y.
Elle commença à bouger d'avant en arrière, se frottant sur ma bouche et s'appuyant sur le bout de mon nez. Je sentis peu à peu un liquide chaud au goût de miel couler le long de mes lèvres. Sans un mot, par un simple déhanchement, N....y prenait du plaisir et la frustration de ma position était atténuée par la sensation de participer directement à sa jouissance.
Au bout de quelques minutes manifestement satisfaite, elle se releva et quitta la pièce sans un mot.
A nouveau seul, attaché dans le noir, le corps encore brûlé par la violence des paquets de moutarde qui me recouvraient, j'essayais de ne plus penser à la brûlure de mon entre cuisses. Ma peau devait être aussi rouge qu'une fraise trop mure.
Ma bouche était encore recouverte des liqueurs de N...y, mais je ne pouvais m'essuyer. Je dus les laisser sécher et attendre dans l'obscurité, une nouvelle arrivée de ma maîtresse.
Suite à venir.................
Ven 23 jan 2009
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