Le blog de panpan
Il ne me fallut pas attendre bien long après mon coupe de sonnette pour entendre la porte s'ouvrir et une main ferme me saisir par le bras.
J'empruntais ce que je supposais être le couloir de l'appartement et le bruit d'une lourde porte qui se referme me fit comprendre que je me trouvais dans une pièce inconnue.
N...y décida de me déshabiller entièrement. Après avoir ôté, chaussures, chaussettes et descendu mon pantalon sur mes chevilles, elle fit glisser mon slip sur le long de mes jambes puis l'enleva en même temps que mon pantalon.
Fesses à l'air, je dus m'avancer, poussé dans le os par une main ferme. La main me plaqua contre une masse dure que je n'arrivais pas à identifier.
Mes jambes furent écartées d'environ un mètre et mes chevilles se retrouvèrent attachées par des colliers à ce que je devinais maintenant être une croix ou un chevalet. je devais mettre les pieds en canard pour ne pas buter contre cette masse rigide.
N...y délia mes bras un instant, mais mon répit fut de courte durée. Je dus tendre les bras vers le haut, eux aussi écarté de la même distance. Des bracelets furent passés autour de mes poignets et j'entendis le bruit de boucle que l'on referme.
Deux mains me plaquèrent le ventre contre la paroi de cet instrument et une fois que ma chemise fut remontée au milieu de mon dos, je sentis passer autour de moi le rouleau de plastic étirable qui au bout de quelques tours m'immobilisait complètement.
Bizarrement, ce qui pouvait être une croix en bois devait avoir une forme originale car seul le haut de mon ventre appuyait sur le bois. De la ceinture à mon entre jambe, je sentais que l'accès était totalement dégagé. La forme devait faire un arrondi pour permettre de laisser le libre accès aux parties intimes.
Soudain, à ma plus grande surprise l'engin bascula vers l'avant. Je compris que les extrémités étaient reliées à un système de poulie au plafond car, lorsque ce fut mes pieds qui décollèrent du sol, le support tout entier se mit à balancer dans tous les sens. J'étais maintenant suspendu presque à l'horizontale, bercé par ce léger balancement qui mettait du temps à s'arrêter.
Une main ferme me saisi les testicules et les tira d'arrière en avant pour faire reprendre le balancement.
- Tu inaugures aujourd'hui mon nouveau jouet. Je crois que nous allons bien nous amuser... Un rire glacial ponctua la phrase de N...y
La tête dans le vide j'avais du mal à la garder droite et bien vite je dus capituler et me laisser aller à ne plus lutter.
Les premières claques sur les fesses me sortirent de ma somnolence. Je reconnais la main ferme de N...y qui avait décidé de me chauffer le plus rapidement possible le postérieur.
A un rythme soutenu, elle frappait alternativement chaque fesse, prenant bien soin de couvrir de ses coups toutes les zones offertes. je comptais dans ma tête les séries, et à partir de trente, je ne pus retenir mes cris de douleur.
N...y, s'arrêta immédiatement et je compris ce qui allait m'arriver. Ce n'est pas moins de quinze tours de rouleau de Scotch qui furent passés sur ma bouche et derrière ma tête, tirant à chaque passage mes cheveux et me faisant craindre le pire lorsqu'il faudrait enlever l'adhésif.
N...y venait de me réduire à nouveau au silence. La fessée repris de plus belle comme pour me punir ne n'avoir pu garder le silence. J'avais envie de pleurer, de crier Stop, pitié c'est trop dur, je n'en peu plus, mais N...y savait parfaitement doser le supplice qu'elle m'infligeait et alternait savamment les moments de repos et les cuisantes séries.
Le total devait bien faire une centaine de claques lorsque la fessée s'arrêta définitivement. Mes fesses en feu devaient avoir la couleur des cerises bien mures.
J'entendis la porte claquer et compris que j'avais gagné un peu de repos. N...y devait certainement s'occuper maintenant des trois autres paires de fesses qui se trouvaient dans l'autre pièce.
J'attendis patiemment une bonne heure dans cette position relativement confortable à l'exception de ma tête que je devait bouger de temps en temps pour éviter l'engourdissement..............................
Les pas décidés de N...y se firent à nouveau entendre dans la pièce. Des bruits d'objets déplacés, posés, repris,puis un bruit de liquide que l'on verse, me laissaient perplexe car je n'arrivais pas à deviner ce qui se préparait.
Soudain, je sentis deux mains chaudes se poser sur mes fesses et les écarter doucement. Le sillon ainsi libéré découvrait entièrement mon anus, contracté au maximum par la crainte.
Une autre paire de main passa entre mes jambes par l'arrière. Il y avait donc au moins deux personnes dans la pièce. Qui était cet inconnu ?
Je sentis une pression sur mon anus et ne pouvant empêcher quelconque passage, je sentis entrer en moi un objet long et dur. La main continuait à pousser en moins ce que je venais d'identifier comme un tuyau et ce serpent de caoutchouc progressait maintenant en moi sans que je puisses m'y opposer.
Au bout de quelques minutes, je devis bien avoir trente centimètres de tuyau ans le rectum.
Je savais maintenant que j'allais devoir subir ce que je détestais: Un lavement donné en public.
J'avais honte de ma position, de m'exhiber ainsi et pire encore honte de ce que je savais devoir subir dans les prochaines minutes.
Lorsqu'un liquide chaud commença à me remplir le ventre, j'essayais vainement de resserrer mes sphincters pour retarder l'inéluctable, mais bien vite je dus renoncer à me contracter ainsi sans aucun résultat.
L'eau chaude continuait à couler en moi, lentement mais sûrement, et je sentais mon ventre grossir au fur et à mesure que se poursuivait ce viol liquide.
Les premiers gargouillements dans le ventre m' annonçaient de futures et proches contractions. J'étais incapable d'évaluer la quantité de liquide que l'on m'avait fait absorber par voie rectale.
Lorsque N...y décida de retirer le long tuyau de mes fesses, elle le fit en prenant son temps comme pour mieux m'humilier. Par petites saccades, elle sortait le tuyau, excitant à chaque fois un peu plus mes sphincters.
Une fois le tuyau sorti de mon ventre. Les deux mains inconnues écartèrent à nouveau mes fesses pour dégager le passage et je sentis les deux autres mains passer entre mes jambes.
L'une d'elle saisi mes bourses comme pour m'immobiliser et de l'autre elle appliqua sur ma "rosette" une matière visqueuse et froide qui devait être à n'en pas douter un lubrifiant ou une crème. Je compris qu'elle allait forcer à nouveau mon anus pour y introduire un plug. Celui-ci, d'un diamètre plus petit que le précédent, n'eut aucun mal à me pénétrer.
Je pensais m'en tirer à bon compte lorsque j'entendis le bruit d'une poire que l'on gonfle avec la main. Au même moment je sentis en moi grossir le plus qui a chaque pression prenait un peu plus de volume dans mon rectum.
Un plug gonflable. N...y venait de trouver le moyen infaillible de contenir en moi le liquide qui me tendait le ventre.
Le piège était parfait, je sentais en moi ce ballon d'air qui obstruait maintenant la sortie. J'allais devoir garder contre mon gré le liquide qui commençait à me brûler de l'intérieur.
- N'ai crainte, ce n'est que de l'eau chaude mélangée à du gros sel. Pour te laver le ventre, il n'y a rien de tel.
Tu vas attendre sagement que l'on revienne, mais avant Marc va s'occuper de toi.....C'est lui que tu as malmené ce
matin. Le rire de N..y ponctua une fois de plus son monologue.
La porte claqua derrière les pas féminins. Je savais que le dénommé Marc était resté dans la pièce.
Il ne fut pas bien long à passer à l'action.
Je sentis sous moi et entre mes jambes un souffle masculin.
Une de ses mains m'emprisonna les testicules, et se mit à les faire rouler entre ses doigts comme pour mieux les peser. J'avais du mal à accepter ses caresses masculines, mais je n'avais aucun moyen de m'y soustraire.
L'autre main entra en action et commença à me presser la verge pour provoquer un début d'érection. Autant vous dire que je n'étais pas excité le moins du monde et que mon pénis devait plus ressembler à un petit cornichon rabougri qu'à une courgette bien dure.
Bien décidé à obtenir ce qu'elle voulait, la main se mit à me masturber lentement, sans violence, certaine d'arriver à obtenir une érection convenable. La nature étant plus forte que les préjugés, je ne pus résister bien longtemps et plus cette main masculine me branlait comme je l'avais fait tant et tant de fois dans ma chambre ou ailleurs, plus je capitulais dans ma tête et acceptais cette relation nouvelle.
La main s'arrêta de coulisser sur ma verge, mais bien vite, une sensation de chaleur humide m'envahit et je réalisais qu'une bouche venait de prendre possession de mon sexe. C'était à la fois difficile à admettre, mais contre toute attente, cela décuplait mon érection. Je ne pus retenir bien longtemps une montée de jouissance. Comprenant que Marc ne se retirerais pas de ma bouche, je devais accepter de me vider en lui.
Lorsqu'il reçu dans la gorge le fruit de mon plaisir, il ne put s'empêcher de crier:
- Salopard, qui t'a autorisé à me souiller de la sorte.
Presque immédiatement, je reçu sur les fesses des coups de martinet ou d'un ustensile identique. Chaque fois que les lanières s'abattaient sur mes chairs, je me contractais et cela avait une influence immédiate sur le liquide qui emplissait toujours mon ventre. La fessée dura trop longtemps et malgré mon bâillon, je me mis à crier pour que la punition cesse.
Le dénommé Marc, compris mon message et arrêta de rougir un peu plus la peau de mes fesses.
Lorsque la main reprit ma verge ramollie et épuisée, je réalisais que ce matin je l'avais complètement vidé pour obéir aux ordre de N...y. Donc il ne faisait que m'administrer le même traitement que je lui avait fait subir involontairement.
Au bout de cinq minutes au moins, le rythme infernal de sa masturbation eut raison de moi, je me vidais sur ses mains une seconde fois. Mais alors que je pensais qu'il allait s'arrêter, il se mit à continuer à me traire comme à la ferme. Mon sexe était devenu mou, mais il semblait ne rien en avoir à faire, il continuait inlassablement à faire coulisser sa main autour de ma petite verge. Il la pressait pour mieux la refaire gonfler et je ne pus l'empêcher de me faire à nouveau jouir une troisième fois. Cette fois ce ne fut qu'une toute petite quantité de sperme qui lui coula sur les doigts. Il frotta ses mains sur mes fesses et les passa dans le sillon imberbe comme pour s'essuyer.
Puis certainement à la demande de N...y, il dégonfla le plug qui me forçait le ventre et entreprit de le retirer sans ménagement.
- Si tu relâches une seule goutte avant le retour de la maîtresse, tu devras nettoyer avec la bouche tes saletés. A toi de choisir. Sa voix calme venait de me glacer le dos. Comment allais je pouvoir faire pour retenir ce qui ne demandait qu'à s'expulser de mon corps.
La porte claqua de nouveau, annonçant le début d'une nouvelle épreuve..................
J'empruntais ce que je supposais être le couloir de l'appartement et le bruit d'une lourde porte qui se referme me fit comprendre que je me trouvais dans une pièce inconnue.
N...y décida de me déshabiller entièrement. Après avoir ôté, chaussures, chaussettes et descendu mon pantalon sur mes chevilles, elle fit glisser mon slip sur le long de mes jambes puis l'enleva en même temps que mon pantalon.
Fesses à l'air, je dus m'avancer, poussé dans le os par une main ferme. La main me plaqua contre une masse dure que je n'arrivais pas à identifier.
Mes jambes furent écartées d'environ un mètre et mes chevilles se retrouvèrent attachées par des colliers à ce que je devinais maintenant être une croix ou un chevalet. je devais mettre les pieds en canard pour ne pas buter contre cette masse rigide.
N...y délia mes bras un instant, mais mon répit fut de courte durée. Je dus tendre les bras vers le haut, eux aussi écarté de la même distance. Des bracelets furent passés autour de mes poignets et j'entendis le bruit de boucle que l'on referme.
Deux mains me plaquèrent le ventre contre la paroi de cet instrument et une fois que ma chemise fut remontée au milieu de mon dos, je sentis passer autour de moi le rouleau de plastic étirable qui au bout de quelques tours m'immobilisait complètement.
Bizarrement, ce qui pouvait être une croix en bois devait avoir une forme originale car seul le haut de mon ventre appuyait sur le bois. De la ceinture à mon entre jambe, je sentais que l'accès était totalement dégagé. La forme devait faire un arrondi pour permettre de laisser le libre accès aux parties intimes.
Soudain, à ma plus grande surprise l'engin bascula vers l'avant. Je compris que les extrémités étaient reliées à un système de poulie au plafond car, lorsque ce fut mes pieds qui décollèrent du sol, le support tout entier se mit à balancer dans tous les sens. J'étais maintenant suspendu presque à l'horizontale, bercé par ce léger balancement qui mettait du temps à s'arrêter.
Une main ferme me saisi les testicules et les tira d'arrière en avant pour faire reprendre le balancement.
- Tu inaugures aujourd'hui mon nouveau jouet. Je crois que nous allons bien nous amuser... Un rire glacial ponctua la phrase de N...y
La tête dans le vide j'avais du mal à la garder droite et bien vite je dus capituler et me laisser aller à ne plus lutter.
Les premières claques sur les fesses me sortirent de ma somnolence. Je reconnais la main ferme de N...y qui avait décidé de me chauffer le plus rapidement possible le postérieur.
A un rythme soutenu, elle frappait alternativement chaque fesse, prenant bien soin de couvrir de ses coups toutes les zones offertes. je comptais dans ma tête les séries, et à partir de trente, je ne pus retenir mes cris de douleur.
N...y, s'arrêta immédiatement et je compris ce qui allait m'arriver. Ce n'est pas moins de quinze tours de rouleau de Scotch qui furent passés sur ma bouche et derrière ma tête, tirant à chaque passage mes cheveux et me faisant craindre le pire lorsqu'il faudrait enlever l'adhésif.
N...y venait de me réduire à nouveau au silence. La fessée repris de plus belle comme pour me punir ne n'avoir pu garder le silence. J'avais envie de pleurer, de crier Stop, pitié c'est trop dur, je n'en peu plus, mais N...y savait parfaitement doser le supplice qu'elle m'infligeait et alternait savamment les moments de repos et les cuisantes séries.
Le total devait bien faire une centaine de claques lorsque la fessée s'arrêta définitivement. Mes fesses en feu devaient avoir la couleur des cerises bien mures.
J'entendis la porte claquer et compris que j'avais gagné un peu de repos. N...y devait certainement s'occuper maintenant des trois autres paires de fesses qui se trouvaient dans l'autre pièce.
J'attendis patiemment une bonne heure dans cette position relativement confortable à l'exception de ma tête que je devait bouger de temps en temps pour éviter l'engourdissement..............................
Les pas décidés de N...y se firent à nouveau entendre dans la pièce. Des bruits d'objets déplacés, posés, repris,puis un bruit de liquide que l'on verse, me laissaient perplexe car je n'arrivais pas à deviner ce qui se préparait.
Soudain, je sentis deux mains chaudes se poser sur mes fesses et les écarter doucement. Le sillon ainsi libéré découvrait entièrement mon anus, contracté au maximum par la crainte.
Une autre paire de main passa entre mes jambes par l'arrière. Il y avait donc au moins deux personnes dans la pièce. Qui était cet inconnu ?
Je sentis une pression sur mon anus et ne pouvant empêcher quelconque passage, je sentis entrer en moi un objet long et dur. La main continuait à pousser en moins ce que je venais d'identifier comme un tuyau et ce serpent de caoutchouc progressait maintenant en moi sans que je puisses m'y opposer.
Au bout de quelques minutes, je devis bien avoir trente centimètres de tuyau ans le rectum.
Je savais maintenant que j'allais devoir subir ce que je détestais: Un lavement donné en public.
J'avais honte de ma position, de m'exhiber ainsi et pire encore honte de ce que je savais devoir subir dans les prochaines minutes.
Lorsqu'un liquide chaud commença à me remplir le ventre, j'essayais vainement de resserrer mes sphincters pour retarder l'inéluctable, mais bien vite je dus renoncer à me contracter ainsi sans aucun résultat.
L'eau chaude continuait à couler en moi, lentement mais sûrement, et je sentais mon ventre grossir au fur et à mesure que se poursuivait ce viol liquide.
Les premiers gargouillements dans le ventre m' annonçaient de futures et proches contractions. J'étais incapable d'évaluer la quantité de liquide que l'on m'avait fait absorber par voie rectale.
Lorsque N...y décida de retirer le long tuyau de mes fesses, elle le fit en prenant son temps comme pour mieux m'humilier. Par petites saccades, elle sortait le tuyau, excitant à chaque fois un peu plus mes sphincters.
Une fois le tuyau sorti de mon ventre. Les deux mains inconnues écartèrent à nouveau mes fesses pour dégager le passage et je sentis les deux autres mains passer entre mes jambes.
L'une d'elle saisi mes bourses comme pour m'immobiliser et de l'autre elle appliqua sur ma "rosette" une matière visqueuse et froide qui devait être à n'en pas douter un lubrifiant ou une crème. Je compris qu'elle allait forcer à nouveau mon anus pour y introduire un plug. Celui-ci, d'un diamètre plus petit que le précédent, n'eut aucun mal à me pénétrer.
Je pensais m'en tirer à bon compte lorsque j'entendis le bruit d'une poire que l'on gonfle avec la main. Au même moment je sentis en moi grossir le plus qui a chaque pression prenait un peu plus de volume dans mon rectum.
Un plug gonflable. N...y venait de trouver le moyen infaillible de contenir en moi le liquide qui me tendait le ventre.
Le piège était parfait, je sentais en moi ce ballon d'air qui obstruait maintenant la sortie. J'allais devoir garder contre mon gré le liquide qui commençait à me brûler de l'intérieur.
- N'ai crainte, ce n'est que de l'eau chaude mélangée à du gros sel. Pour te laver le ventre, il n'y a rien de tel.
Tu vas attendre sagement que l'on revienne, mais avant Marc va s'occuper de toi.....C'est lui que tu as malmené ce
matin. Le rire de N..y ponctua une fois de plus son monologue.
La porte claqua derrière les pas féminins. Je savais que le dénommé Marc était resté dans la pièce.
Il ne fut pas bien long à passer à l'action.
Je sentis sous moi et entre mes jambes un souffle masculin.
Une de ses mains m'emprisonna les testicules, et se mit à les faire rouler entre ses doigts comme pour mieux les peser. J'avais du mal à accepter ses caresses masculines, mais je n'avais aucun moyen de m'y soustraire.
L'autre main entra en action et commença à me presser la verge pour provoquer un début d'érection. Autant vous dire que je n'étais pas excité le moins du monde et que mon pénis devait plus ressembler à un petit cornichon rabougri qu'à une courgette bien dure.
Bien décidé à obtenir ce qu'elle voulait, la main se mit à me masturber lentement, sans violence, certaine d'arriver à obtenir une érection convenable. La nature étant plus forte que les préjugés, je ne pus résister bien longtemps et plus cette main masculine me branlait comme je l'avais fait tant et tant de fois dans ma chambre ou ailleurs, plus je capitulais dans ma tête et acceptais cette relation nouvelle.
La main s'arrêta de coulisser sur ma verge, mais bien vite, une sensation de chaleur humide m'envahit et je réalisais qu'une bouche venait de prendre possession de mon sexe. C'était à la fois difficile à admettre, mais contre toute attente, cela décuplait mon érection. Je ne pus retenir bien longtemps une montée de jouissance. Comprenant que Marc ne se retirerais pas de ma bouche, je devais accepter de me vider en lui.
Lorsqu'il reçu dans la gorge le fruit de mon plaisir, il ne put s'empêcher de crier:
- Salopard, qui t'a autorisé à me souiller de la sorte.
Presque immédiatement, je reçu sur les fesses des coups de martinet ou d'un ustensile identique. Chaque fois que les lanières s'abattaient sur mes chairs, je me contractais et cela avait une influence immédiate sur le liquide qui emplissait toujours mon ventre. La fessée dura trop longtemps et malgré mon bâillon, je me mis à crier pour que la punition cesse.
Le dénommé Marc, compris mon message et arrêta de rougir un peu plus la peau de mes fesses.
Lorsque la main reprit ma verge ramollie et épuisée, je réalisais que ce matin je l'avais complètement vidé pour obéir aux ordre de N...y. Donc il ne faisait que m'administrer le même traitement que je lui avait fait subir involontairement.
Au bout de cinq minutes au moins, le rythme infernal de sa masturbation eut raison de moi, je me vidais sur ses mains une seconde fois. Mais alors que je pensais qu'il allait s'arrêter, il se mit à continuer à me traire comme à la ferme. Mon sexe était devenu mou, mais il semblait ne rien en avoir à faire, il continuait inlassablement à faire coulisser sa main autour de ma petite verge. Il la pressait pour mieux la refaire gonfler et je ne pus l'empêcher de me faire à nouveau jouir une troisième fois. Cette fois ce ne fut qu'une toute petite quantité de sperme qui lui coula sur les doigts. Il frotta ses mains sur mes fesses et les passa dans le sillon imberbe comme pour s'essuyer.
Puis certainement à la demande de N...y, il dégonfla le plug qui me forçait le ventre et entreprit de le retirer sans ménagement.
- Si tu relâches une seule goutte avant le retour de la maîtresse, tu devras nettoyer avec la bouche tes saletés. A toi de choisir. Sa voix calme venait de me glacer le dos. Comment allais je pouvoir faire pour retenir ce qui ne demandait qu'à s'expulser de mon corps.
La porte claqua de nouveau, annonçant le début d'une nouvelle épreuve..................
Ven 6 fév 2009
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