Le blog de panpan

J'avais eu le temps de me remémorer ma dernière visite chez "N...y" et malgré les souffrances et humiliations endurées, je devais bien avouer que ces journées me manquaient et que mon désir le plus profond était d'entendre à nouveau sonner le téléphone pour entendre la voie de N...y me conviant à un nouveau rendez-vous.

Lorsque je fus à nouveau recontacté, mon interlocutrice me signifia simplement l'heure et le lieu de rendez vous.
Elle m'indiqua que comme précédemment, des instructions me seraient données sur place.

Il était presque neuf heures du matin lorsque je poussais une nouvelle fois, la porte de l'appartement ou j'avais déjà pu expérimenter les talents de N...y.

Une enveloppe m'attendait, posée bien en évidence sur la table de la grande pièce ou je m'étais déshabillé quelques jours plus tôt et y avait vécu des expériences nouvelles.
Je l'ouvrais rapidement pour en lire le contenu.
- Enlève tous tes vêtements, prends avec toi le bandeau noir ainsi que la boite de bouchons auditifs et entre dans la pièce au fond du couloir.
Je me déshabillais entièrement et posais mes habits sur une chaise. Nu des pieds à la tête, je quittais la pièce en emportant avec moi le bandeau que je devrais certainement mettre dans les prochaines minutes.

Je poussais la porte de cette pièce inconnue et découvrit en son centre un appareil fait de métal et de bois qui ressemblait à une sorte de cheval d'arçon avec en plus des emplacements pour les jambes identiques à ceux que l'on voit sur les fauteuil de gynécologie. Sauf que ceux-ci étaient positionné pour que le sujet soit positionné à plat ventre, les jambes écartées.

Je regardait avec attention cette machine infernale. Un nouveau petit mot était posé sur le dessus.
- Installe toi sur le ventre, pose tes jambes dans les écarteurs et referme les sangles qui sont au niveau des genoux. Tu devras aussi serrer autour de ta taille, la ceinture qui est fixée en dessous. Avant d'allonger tes mains le long des pieds de notre engin, met le bandeau sur tes yeux;
Comme tu peux le voir, au bas de chaque pied, il y a une menotte, passe un poignet dans chaque et débrouille toi pour les refermer afin de t'immobiliser tout seul comme un grand. La suite........ tu la découvrira au moment voulu.

En tout premier lieu je mis en place les deux bouchons auditifs et une fois encore, je redécouvrais cette sensation trés étrange de ne plus rien entendre qu'une sourd bourdonnement dans la tête.
Ce ne fut pas facile de commencer par refermer les deux sangles sur mes jambes, car il me fallait me retourner  afin de pouvoir les refermer. Ce fut plus facile pour la grosse ceinture de cuir que je serrais progressivement et qui me plaquait maintenant le ventre contre le cuir du "cheval mécanique".

A chaque pied, une paire de menottes avait été arrimées solidement par de grosses vis qui passaient entre la chaîne et la plaquait contre le bois. Le piège était magnifiquement préparé, et une fois les bracelets refermés, impossible d'envisager de pouvoir se délivrer seul.

Je mis le bandeau sur mes yeux, en prenant soin de vérifier que mes pieds étaient bien attachés, la ceinture en place, et les menottes facilement accessibles,une fois que j'aurais mis en place le bandeau.
A tâtons, j'avançais mes mains vers les pieds de bois massif pour saisir dans chaque main le bracelet d'une menotte. Ce fut plus facile que je ne le pensais pour les refermer sur mes poignets. Il me suffit de prendre avec le pouce et le petit doigt la partie mobile pour entendre presque immédiatement le cliquetis annonçant la fermeture des bracelets.

Il ne m'avais fallu que quelques minutes pour m'auto-attacher et cette position confortable pour le moment me faisait comprendre que j'allais certainement devoir attendre le bon vouloir de N...y.

J'étais dans une position un peu similaire à celle d'une femme sur un fauteuil de "gynéco", mais à l'envers !!!
Comme l'assise en cuir était petite et ne faisait que la longueur du torse, je compris que cette dimension avait été choisie pour libérer complètement l'entre jambe du sujet exposé.
Cuisses écartées, je sentais mon sexe et mes bourses exposées dans le vide. Le fait d'être encore vierge de toute pilosité, me procurait une sensation de frais entre les jambes, même s'il n'y avait pas le moindre courant d'air dans la pièce.

Maintenant, il allait me falloir attendre à nouveau, dans le noir et dans le silence.

La première claque sur les fesses me fit sursauter, non pas tant par sa force, mais par le fait que je n'y attendais pas. Plongé dans mes pensées depuis pas mal de temps, j'en avais fini par oublier ma position et ce qui fatalement allait me tomber dessus.

La main ferme s'abattait sur le globe de mes fesses avec une cadence régulière, alternant la fesse droite, puis la fesse gauche, pour chauffer à la même température la chair fragile de mon postérieur. Mon audition était entravée par les bouchons et je ne percevais qu'un faible son: le claquement de la main sur la peau de mes fesses. J'essayais vainement de contracter mes muscles pour atténuer la brûlure, mais cela ne faisait que me fatiguer un peu plus à lutter contre ce que je ne pouvais empêcher. Cela devait faire maintenant plusieurs minutes que mes fesses recevaient cette magistrale fessée et j'avais l'impression que mes fesses rampaient dans un bain d'eau brûlante. Cette chaleur qui irradiât l'une des parties les plus sensibles de mon corps me faisait transpirer à grosses gouttes. Heureusement cette fois ci, je n'étais pas bâillonné et pouvait reprendre ma respiration également par la bouche se qui atténuait un peu la difficulté à supporter ce traitement. 

Lorsque la fessée cessa, ce fut un immense instant de soulagement, car j'étais au bord de la capitulation et je n'aurais pas hésité à hurler pour essayer de faire stopper cette correction qui me meurtrissait les chairs.

Quelques secondes plus tard, la main qui s'insinua entre mes cuisses me fit comprendre qu'aujourd'hui, je ne bénéficierais d'aucun répit. Une autre main écarta mes fesses pour découvrir un peu plus ma petite rosette. Un doigts inquisiteur s'aventura en moi en tournant sur lui même à chaque progression, cherchant manifestement à me dilater. Il avait du être recouvert de lubrifiant car le va et vient que je subissait se faisait sans aucune agression et il coulissait en moi le plus naturellement du monde.

Ce petit viol continua quelques minutes afin de laisser le temps à mes sphincters de se dilater un peu plus. Je crus un instant que j'allais m'en tirer à bon compte, lorsque je sentis contre mon anus un contact glacial. La pression se fit plus intense et je que j'identifiais maintenant comme un bloc de glace, commença à entrer en moi.
Comment avait fait N...y pour obtenir un tel "sex toys". Une verge de glace dont le diamètre était supportable mais conséquent s'enfonçait en moi, le glaçant au passage les fesses et l'anus. Il devait faire au moins dix centimètres de long et lorsque d'une dernière poussée en avant il disparu, comme un suppositoire, je ressenti dans mon ventre le froid de la glace que je ne pouvais plus contrôler.

Une seconde verge de glace, s'introduisit avec facilité, puis une troisième. Mon rectum était maintenant rempli de verges de glaces qi allaient mettre longtemps à fondre en moi. Même si je le voulais, je ne pouvais expulser de mon ventre les trois glaçons. N...y avait certainement du remplir d'eau des préservatifs et les avoir mis au congélateur pour obtenir ces bâtons de glace qui fondait doucement dans mon ventre. Une fois de plus plus elle maniait à la perfection le chaud et le froid.

Alors que je pensais avoir à supporter un autre "supplice", je sentis une main chaude prendre à pleine main ma verge engourdie par le froid. Elle faisait rouler mon sexe entre ses doigts en ayant bien prit soin de découvrir le prépuce pour mettre à nu la chair la plus sensible. Petit à petit, je sentais mon sexe reprendre vie et grossir dans sa main. Jugeant mon érection satisfaisante, elle commença à me branler lentement d'une seule main, me pressant par petites saccades les testicules de l'autre main. N...y ne cherchait pas à me blesser, connaissant la fragilité des attributs masculins.

Le rythme s'accéléra afin de limiter mon plaisir; Son but fois de plus était de me vider pour m'ôter tout plaisir par la suite. Je ne fus pas long à éjaculer. Alors que mon sexe se flétrissait entre ses doigts pour prendre un peu de repos, N...y entreprit de me masturber à nouveau. Mes  craintes étaient bien fondées, elle voulait à nouveau me vider de tout ce qu'elle pouvait obtenir de mes deux petites testicules.

Ce ne fut pas deux , mais trois éjaculations très rapprochée que N...y réussit à obtenir en un temps record. Vidé de tout envie de bander à nouveau, j'allais devoir certainement recevoir d'autres fessées ou punitions sans aucune envie érectile.

Je sentais en moi fondre les derniers morceaux de glace et j'avais du mal maintenant à refréner les premiers gargouillis annonciateurs de pénibles moments à venir. Comme l'autre jour, j'allais avoir du mal à contenir en moi cette eau glacée qui ne demandait maintenant qu'à être expulsée au dehors de moi.

Mais tel n'était pas le projet de N...y. Elle me détacha en prenant son temps et lorsque je pus me tenir enfin debout, elle me prit par la main pour me conduire aux toilettes. J'avais compris sans qu'elle m'en fasse la demande, qu'il me fallait conserver, mon bandeau. Mais elle décida de m'enlever les deux bouchons auditifs.

Laissé seul pour satisfaire des besoins pressants, je sentais couler l'eau encore glacée qui s' évacuait de mes fesses et me procurait une sensation étrange. Je dus me forcer pour évacuer tout le liquide qui était en moi.

Lorsque je ressortis des wc, je fus conduit à la douche et c'est N...y elle même( ou du moins je le supposais) qui m'arrosa avec le jet d'eau chaude pendant que je savonnais mon corps vidé et mes fesses encore meurtries par les claques que j'avais reçu. Une fois que j'étais bien savonné sur tout le corps N...y m'indiqua que je devait enlever à la main le savon que j'avais sur le corps, car elle ne comptait pas gaspiller encore de l'eau.

- Je vais rester là a te regarder et si dans cinq minutes tu n'est pas entièrement débarrassé de savon, je te donne la correction de ta vie.

Le message était sans ambiguïté. Il me fallait me dépêcher. J'utilisais donc mes mains comme des raclettes pour enlever à chaque passage le maximum de savon. Mais plus je passais mes mains sur mon corps et plus le savons avait tendance à s'étaler. Je voyais dans ma tête les minutes s'écouler et j'étais encore couvert de savon lorsque N...y s'écria:
- Ca suffit maintenant, tu n'es pas capable de faire ça tout seul. Monte dans la baignoire, je vais te rincer.

Un puissant jet d'eau froide me glaça le corps et j'essayais de me protéger de cette eau froide, sachant au final que je devrais lui offrir la totalité de mon corps. Elle me fit tourner sur moi même, écarter les jambes pour passer le jet entre mes cuisses, bref, ce fut un rinçage complet, à une eau qui ne devait pas dépasser 15 degré, que je dus subir.

-Sort de là me dit-elle.

Sans prendre le temps de me sécher, elle me conduisit à nouveau sur le chevalet ou elle entreprit à nouveau de m'attacher solidement, n'oubliant pas de me remettre les bouchons dans mes oreilles. Une fois de plus je me retrouvais dans la nuit , sans entendre le moindre son apte à me prévenir d'un danger ou autre.

Jambes écartées au maximum chevilles sanglées, le ventre plaqué contre le cuir de l'engin et les bras tendus le long des pieds et enfermés dans les menottes, j'attendais à nouveau une correction qui allait à n'en pas douter me réchauffer.

je sentis soudain que l'on agitait entre mes cuisses une sorte de feuillage. N...y me fouettait la raie des fesses, les fesses, les bourses et la verge avec ce qui devait être un bouquet de feuillage. C'était plutôt agréable, et je m'imaginais bêtement que c'était sa façon de me sécher le corps.

Les premières brûlures sur mes fesses et surtout sur la peau de mes testicules, me firent immédiatement comprendre que N...y me fouettait avec un bouquet d'orties. Il ne fallu que quelques minutes pour que les parties touchées par les feuilles urticantes me transforme en un brasier vivant.  je suais maintenant à grosses gouttes, et j'essayais de me contorsionner pour éviter le contact du feuillage.

La douleur devenait intolérable.N'en pouvant plus, je me résignais à crier:
- Stop, c'est trop dur, je n'en peux plus.

N...y cessa immédiatement et je compris qu'elle était en train de réfléchir à une autre punition.

Elle s'approcha de moi, me détacha et me fit mettre sur le dos cette fois sur l'appareil. Je dus remettre mes jambes dans les écarteurs, la ceinture fut serrée sur mon ventre pour me plaquer à nouveau contre le cuir et mes bras reprirent leur place dans les menottes. je me retrouvais dans la même position mais le ventre et le sexe offert cette fois. J'avais du mal à tenir la tête relevée.

La main de N...y  prit mon sexe et commença à me masturber pour provoquer une érection digne de ce nom. Elle accéléra la cadence. La main coulissait de plus en plus vite sur ma verge gonflée par l'excitation. Il ne lui fallu que quelques minutes pour me faire jouir et de son autre main, elle récolta le sperme que je venais d'évacuer.

Dans les secondes qui suivirent, le pouce et l'index de la main de N...y pressaient sur mes mâchoires pour me forcer à ouvir la bouche. En même temps elle essuya son autre main couverte de sperme, sur mes lèvres et dans ma bouche.
- Avale tout et lèche ma main.
L'ordre donné ne souffrait aucune discussion. Je m'exécutais.

- Maintenant cela va être à toi de me satisfaire dit-elle.

Avant de serrer ses cuisses autour de ma tête, elle avait enlevé les deux bouchons de mes oreilles, et je retrouvais pendant quelques secondes une liberté auditive.

Mais bien vite, N...y serra ses cuisses autour de ma tête et elle passa une main sous mon cou pour la soutenir.

- Je veux que tu me lave entièrement. Ce matin, je n'ai pas eu le temps de prendre une douche et je compte sur toi pour ma toilette matinale.
-Gare à toi si tu ne t'y prends pas comme il faut, j'ai le bouquet d'orties à portée de main et ta verge à seulement quelques centimètres.
-Vas-y me dit-elle,commence.

Je sortis ma langue et commençait à lécher ce qui se présentait à moi. C'était son anus. je l'avais en pleine bouche et il me fallu essayer de ne pas penser à la forte odeur qui se dégageait de ses fesses. J'étais certain que N...y avait préparé cet instant et avait volontairement omis de se laver.
Sachant ce qui m'attendait si je n'obéissais pas, je léchais avec application la raie de ses fesses et le petit bouton que je sentais sous la langue et qui bougeait à chaque passage de ma langue.

Semblant satisfaite de mon travail, N...y bougea légèrement de place pour m'offrir maintenant son sexe. Je sentis avec la langue qu'elle était entièrement rasée et cela me facilita la tache. A coup de langue répétés, je lui léchais les grandes lèvres et n'oubliais pas de passer aussi entre les deux orifices. Pendant de longues minutes je dus continuer à la lécher, et à chaque fois que je voulais reprendre mon souffle, sa main ferme me pressait le cou pour m'obliger à reprendre la cadence.

- Plus profond avec ta langue me dit-elle. La bouche complètement mouillée par la salive, mais aussi par ses liqueurs vaginales, je m'exécutais et plongeais ma langue dans l'étroit fourreau de chair chaude et humide. J'essayais de tourner ma langue le plus vite possible, espérant la faire jouir rapidement.

Mais apparemment, son plaisir était long à venir et j'étais obligé de continuer à la lécher du mieux que je pouvais.
Au moment ou je m'y attendais le moins, je sentis une main reprendre ma verge et la secouer dans tous les sens pour la faire grossir. Elle voulait certainement me faire jouir en même temps qu'elle.

Je continuais à lui lécher le sexe et essayais de m'attarder sur son clitoris afin d'accélérer sa jouissance.
Entre mes jambes, je sentais monter mon désir et je compris qu'il me fallait la faire jouir avant moi, sous peine de représailles.
 J'avais vu juste. Lorsque je l'entendis pousser un râle de plaisir, elle me dit d'une voix calme:

-Heureusement que tu n'as pas joui avant moi, car je t'aurais brûlé tes petites boules toutes rouges.

Elle me détacha et me fit comprendre que je devais retourner dans la pièce pour me vêtir et prendre congé.La séance était finie.
Le corps encore meurti par le venin des orties et par la fessée encore douloureuse, je quittais l'appartement ou j'avais passé sans m'en rendre compte une bonne parie de la journée.



Mar 17 fév 2009 1 commentaire
Gigipanpan, prend contact avec moi pour organiser des soirées car ton style me fait craquer.
Lise - le 20/02/2009 à 14h14

Merci.

A+

Anonyme