Le blog de panpan
Plus d'un mois sans nouvelle.
Un vendredi soir, un simple sms sur mon portable contenant ce texte bref et précis:
- Demain 9h chez moi dans la pièce habituelle.
Le trajet jusqu'à Marseille me permit de laisser libre cour à mes phantasmes et mes interrogations.
Que me réservait cette journée avec N...y ? A n'en pas douter plaisirs et souffrances mélangés.
Le parking, la rue et enfin l'escalier de l'immeuble me paraissaient maintenant familiers. Au coup de sonnette, la gâche automatique de la porte s'ouvrit et sans attendre je rejoignais la pièce habituelle.
Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'en plein milieu de la pièce confortablement assise dans un immense fauteuil type "club" une femme inconnue m'attendait. Elle ne devait pas avoir plus de trente ans. Son allure très distinguée mettait en valeur sa jupe longue et son chemisier blanc. Ces longs cheveux bruns étaient ramenés en chignon sur sa nuque dégagée et la fine paire de lunette en écailles soulignait encore un peu plus son look très classique.
Elle me dévisageait de la tête aux pieds et je ne savais quelle attitude adopter. C'est elle qui rompit le silence en s'adressant à moi.
- Avancez d'un pas et placez vous face à moi. A partir de maintenant vous devrez obéir à chacune de mes demandes, sans poser de question, ni tarder à les exécuter. Si vous m'avez bien compris, faites un oui de la tête.
Je baissais simplement la tête et les yeux pour lui signifier mon obéissance.
- Mettez vous intégralement nu, allez poser vos vêtements sur la chaise puis revenez à votre place initiale.
Par habitude et par pudeur je me tournais pour me déshabiller et plier mes affaires. Mais maintenant que j'étais aussi nu qu'un nouveau né, il allait bien falloir lui faire face. Je me retournais en mettant ma main devant mon sexe et m'avançais vers elle pour me remettre comme elle me l'avait demandé, à portée de main.
- Pourquoi tant de pudeur, alors que je vous allez me dévoiler les endroits de votre corps les plus intimes et les plus secrètes. Enlevez votre main et mettez vos bras derrière le dos.
Je m'exécutais sans attendre,sachant pertinemment que j'avais tout intérêt à obéir à ses demandes à la première injonction.
- Écartez vos jambes et placez vos pieds à un mètre de distance. Une fois en place elle se leva avec grâce et s'avança vers moi en fixant du regard mon sexe, dont les poils avaient recommencé à pousser. Un léger duvet couvrait mon pubis faisant croire à un début de pilosité d'adolescent.
Sans dire un moi, elle se mit à tourner autour de moi et je pus sentir les effluves du N°5 de Chanel.
Avant de retourner s'asseoir, elle mit la main dans la poche de sa jupe, et en sortit un rasoir mécanique qu'elle me tendit.
- Ce n'est pas acceptable de se présenter devant moi avec une telle pilosité ridicule. Vous allez enlever jusqu'au dernier poil de votre ventre, de votre sexe et de vos fesses. Et prenez gare à n'en laisser aucun, sinon il vous en cuira.
Elle reprit place dans le grand fauteuil et attendit patiemment que je commence à me raser devant elle.
D'une main hésitante, je commençais à raser mon pubis, car c'était le plus facile. Sans mousse à raser, ni talc ou savon, le passage de la lame sur ma peau était difficile. Je dus m'aider de l'autre main pour tenir et tendre la peau lors du passage des trois lames du "Gilette". Il ne me fallut pas plus de quelques minutes pour redevenir aussi "lisse" qu'il y a un mois.
-Sous les bourses maintenant me dit-elle avec calme et détermination.
Il me fallut me pencher en avant et tirer mon sexe vers le haut pour faciliter le passage des lames. L'absence de lubrifiant me chauffait la peau.
Une fois mes bourses aussi lisse que des oeufs, il me fallu entreprendre de me raser entre les fesses et je dus encore plus écarter mes jambes et mes fesses.
En faisant bien attention de ne pas me couper, je passais et repassais le rasoir dans le sillon que je maintenais ouvert avec ma main droite. Ma position était ridicule et un sourire moqueur se dessina sur les lèvres de la belle inconnue.
Au sol, un petit tas de poils contrastait avec la clarté du sol. Lorsque je pensais avoir fini, je me redressais et remis mes mains derrière le dos en attendant le verdict.
Se levant avec distinction, la jeune femme s'approcha de moi et sa main droite commença à fouiller mon intimité.
Elle passa la paume de sa main sur mon pubis pour bien vérifier qu'aucun poil rebelle ne subsistait, puis elle prit dans ses deux mains mes testicules en les caressant lentement pour vérifier l'absence de poil.
J'avais du mal à contenir un début d'érection et je fus sauvé par un doigt inquisiteur qui s'aventurait maintenant juste à l'entrée de mon anus. Un deuxième doigt força le passage, puis un troisième, écartant en même temps la raie de mes fesses.
- Vous n'avez pas tout enlevé, dit-elle sans agressivité, il reste des poils entre les fesses. Mettez vous à quatre pattes et écartez bien les fesses, car il va falloir continuer si vous ne voulez pas me mettre en colère.
Je m'exécutais et lui présentant maintenant mon intimité. Mes jambes écartées laissaient pendre mes bourses et cette position disgracieuse me fit rougir de honte. Je me hâtais de reprendre le rasage de mon anus et du sillon de mes fesses. Je passais et repassais le rasoir sans même me rendre compte que dans la précipitation je me coupais presque à chaque passage.
- Continuez, je vous dirais d'arrêter quand je le jugerais utile.
Au bout d'une bonne dizaine de minutes, elle m'intima l'ordre de me mettre sur le dos et d'écarter les jambes au maximum. Sortant de son sac à main un vaporisateur elle s'agenouilla entre mes jambes et commença à m'asperger le sexe de son parfum. La brûlure de l'alcool sur la peau et sur les petites plaies m'avait arraché un cri de douleur. En guise de punition, et pour me forcer au silence, la jeune femme me pinça avec force le bout du gland et avec les ongles de sa main gauche elle me pinça avec force les replis de la peau de mon anus.
Je serrais les dents pour ne pas crier, comprenant bien que c'était là ma première punition pour avoir osé crier sans permission.
L'entre jambe en feu, je dus attendre son bon vouloir pour me relever......
Suite à venir................
Un vendredi soir, un simple sms sur mon portable contenant ce texte bref et précis:
- Demain 9h chez moi dans la pièce habituelle.
Le trajet jusqu'à Marseille me permit de laisser libre cour à mes phantasmes et mes interrogations.
Que me réservait cette journée avec N...y ? A n'en pas douter plaisirs et souffrances mélangés.
Le parking, la rue et enfin l'escalier de l'immeuble me paraissaient maintenant familiers. Au coup de sonnette, la gâche automatique de la porte s'ouvrit et sans attendre je rejoignais la pièce habituelle.
Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'en plein milieu de la pièce confortablement assise dans un immense fauteuil type "club" une femme inconnue m'attendait. Elle ne devait pas avoir plus de trente ans. Son allure très distinguée mettait en valeur sa jupe longue et son chemisier blanc. Ces longs cheveux bruns étaient ramenés en chignon sur sa nuque dégagée et la fine paire de lunette en écailles soulignait encore un peu plus son look très classique.
Elle me dévisageait de la tête aux pieds et je ne savais quelle attitude adopter. C'est elle qui rompit le silence en s'adressant à moi.
- Avancez d'un pas et placez vous face à moi. A partir de maintenant vous devrez obéir à chacune de mes demandes, sans poser de question, ni tarder à les exécuter. Si vous m'avez bien compris, faites un oui de la tête.
Je baissais simplement la tête et les yeux pour lui signifier mon obéissance.
- Mettez vous intégralement nu, allez poser vos vêtements sur la chaise puis revenez à votre place initiale.
Par habitude et par pudeur je me tournais pour me déshabiller et plier mes affaires. Mais maintenant que j'étais aussi nu qu'un nouveau né, il allait bien falloir lui faire face. Je me retournais en mettant ma main devant mon sexe et m'avançais vers elle pour me remettre comme elle me l'avait demandé, à portée de main.
- Pourquoi tant de pudeur, alors que je vous allez me dévoiler les endroits de votre corps les plus intimes et les plus secrètes. Enlevez votre main et mettez vos bras derrière le dos.
Je m'exécutais sans attendre,sachant pertinemment que j'avais tout intérêt à obéir à ses demandes à la première injonction.
- Écartez vos jambes et placez vos pieds à un mètre de distance. Une fois en place elle se leva avec grâce et s'avança vers moi en fixant du regard mon sexe, dont les poils avaient recommencé à pousser. Un léger duvet couvrait mon pubis faisant croire à un début de pilosité d'adolescent.
Sans dire un moi, elle se mit à tourner autour de moi et je pus sentir les effluves du N°5 de Chanel.
Avant de retourner s'asseoir, elle mit la main dans la poche de sa jupe, et en sortit un rasoir mécanique qu'elle me tendit.
- Ce n'est pas acceptable de se présenter devant moi avec une telle pilosité ridicule. Vous allez enlever jusqu'au dernier poil de votre ventre, de votre sexe et de vos fesses. Et prenez gare à n'en laisser aucun, sinon il vous en cuira.
Elle reprit place dans le grand fauteuil et attendit patiemment que je commence à me raser devant elle.
D'une main hésitante, je commençais à raser mon pubis, car c'était le plus facile. Sans mousse à raser, ni talc ou savon, le passage de la lame sur ma peau était difficile. Je dus m'aider de l'autre main pour tenir et tendre la peau lors du passage des trois lames du "Gilette". Il ne me fallut pas plus de quelques minutes pour redevenir aussi "lisse" qu'il y a un mois.
-Sous les bourses maintenant me dit-elle avec calme et détermination.
Il me fallut me pencher en avant et tirer mon sexe vers le haut pour faciliter le passage des lames. L'absence de lubrifiant me chauffait la peau.
Une fois mes bourses aussi lisse que des oeufs, il me fallu entreprendre de me raser entre les fesses et je dus encore plus écarter mes jambes et mes fesses.
En faisant bien attention de ne pas me couper, je passais et repassais le rasoir dans le sillon que je maintenais ouvert avec ma main droite. Ma position était ridicule et un sourire moqueur se dessina sur les lèvres de la belle inconnue.
Au sol, un petit tas de poils contrastait avec la clarté du sol. Lorsque je pensais avoir fini, je me redressais et remis mes mains derrière le dos en attendant le verdict.
Se levant avec distinction, la jeune femme s'approcha de moi et sa main droite commença à fouiller mon intimité.
Elle passa la paume de sa main sur mon pubis pour bien vérifier qu'aucun poil rebelle ne subsistait, puis elle prit dans ses deux mains mes testicules en les caressant lentement pour vérifier l'absence de poil.
J'avais du mal à contenir un début d'érection et je fus sauvé par un doigt inquisiteur qui s'aventurait maintenant juste à l'entrée de mon anus. Un deuxième doigt força le passage, puis un troisième, écartant en même temps la raie de mes fesses.
- Vous n'avez pas tout enlevé, dit-elle sans agressivité, il reste des poils entre les fesses. Mettez vous à quatre pattes et écartez bien les fesses, car il va falloir continuer si vous ne voulez pas me mettre en colère.
Je m'exécutais et lui présentant maintenant mon intimité. Mes jambes écartées laissaient pendre mes bourses et cette position disgracieuse me fit rougir de honte. Je me hâtais de reprendre le rasage de mon anus et du sillon de mes fesses. Je passais et repassais le rasoir sans même me rendre compte que dans la précipitation je me coupais presque à chaque passage.
- Continuez, je vous dirais d'arrêter quand je le jugerais utile.
Au bout d'une bonne dizaine de minutes, elle m'intima l'ordre de me mettre sur le dos et d'écarter les jambes au maximum. Sortant de son sac à main un vaporisateur elle s'agenouilla entre mes jambes et commença à m'asperger le sexe de son parfum. La brûlure de l'alcool sur la peau et sur les petites plaies m'avait arraché un cri de douleur. En guise de punition, et pour me forcer au silence, la jeune femme me pinça avec force le bout du gland et avec les ongles de sa main gauche elle me pinça avec force les replis de la peau de mon anus.
Je serrais les dents pour ne pas crier, comprenant bien que c'était là ma première punition pour avoir osé crier sans permission.
L'entre jambe en feu, je dus attendre son bon vouloir pour me relever......
Suite à venir................
Jeu 19 mar 2009
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