Le blog de panpan
J'ai rencontré Laure tout simplement sur un Forum bien connu puisqu'il traite autant le médical que tout ce qui a concerne la sexualité. Sa participation au forum nous a permis de parler succinctement de nos phantasmes réciproques; je ne sais pas pourquoi, mais j'ai tout de suite senti qu'il nous serait possible de nous rencontrer pour partager nos phantasmes. Éloignée de seulement 200 kilomètres de mon domicile, c'est après avec continué nos échanges sur internet puis au téléphone que nous avons convenu de nous rencontrer.
Célibataire convaincue et relativement libre dans ses horaires de travail, elle a préféré que je me rende chez elle pour le premier rendez vous. Nos dernières conversations téléphoniques nous ont rassuré sur nos envies communes et sur les limites à ne pas dépasser. Cette confiance mutuelle établie, c'est sans aucune appréhension que je me suis rendu dans son appartement située dans les beaux quartiers de Perpignan. De son coté, Laure avait tout de suite compris que je respecterais scrupuleusement ses demandes et ses ordres.Nous avions convenu de codes pour limiter et prévenir tout dépassement de nos envies et limites mutuelles.
Il était un peu plus de 14 heures, lorsque je pénétrais dans son appartement, meublé avec beaucoup de goût. Laure était une très belle femme, avec un type très scandinave. Grande, mince, une longue chevelure blonde qui lui tombait sur les reins, elle portait magnifiquement les quarante cinq ans qu'elle m'avait annoncé avoir fêté quelques semaines auparavant.Elle était Vêtue à ma demande d'un tee shirt blanc "made in china" acheté spécialement à bas prix pour la circonstance et d'une jupe en jeans mi longue.
Sur la table base de son salon une immense table, Laure avait disposé tout une batterie d'objets qui ne pouvait laisser planer aucun doute sur le type d'après midi que nous allions passer. Nous avions convenu de tirer au sort qui serait le maître ou la maîtresse. Un simple de jeu de pile ou face me permit de gagner le droit de diriger cette première rencontre pendant une durée limitée à 2h30.
Je demandais à Laure de me promettre d'obéir à mes ordres de se laisser faire et de ne pas avoir peur, son oui franc et direct me conforta dans ma détermination à lui procurer des sensations fortes.
Je demandais à Laure de se lever et de se mettre face à moi, de fermer les yeux et d'attendre que j'ai sélectionné parmi tout le matériel présent sur la table, les objets que j'allais utiliser.
Je passais derrière elle et me servait de son foulard Hermés pour lui bander les yeux et la priver de toute sensation visuelle. Pour lui éviter toute envie de rébellion, je lui liais rapidement les poignets dans le dos à l'aide d'une second foulard, sans serrer trop fort simplement pour lui signifier qu'elle ne devais plus bouger, ni chercher à se défendre. Malgré la présence de baillons sur la table, je décidais de laisser sa bouche libre.
Une fois les mains liées dans le dos, je finissais la première partie de mon travail en lui mettant dans les oreilles des bouchons auditifs afin de compléter un peu plus son isolement provisoire. Une fois les bouchons bien en place, elle ne pouvait plus rien entendre et je savais par expérience que c'était un accélérateur d'angoisse amis que la perte de l'ouïe décuplait également les sensations et le plaisir.
Je décidais maintenant de lui ôter son jeans. Je le déboutonnais et le faisait glisser lentement, et le plus normalement du monde, le long de ses superbes jambes. Je débarrassais Laure de ses mocassins et de son jeans afin qu'elle n'ai plus sur elle que son slip de coton blanc "petit bateau" et son tee-shirt.
Une rapide inspection me permit de vérifier que Laure avait mis sous son tee shirt, un soutien gorge sans bretelle, ce qui me facilita grandement la tâche pour l'enlever. Une fois celui-ci enlevé je constatais avec plaisir que les petits seins de Laure pointaient fièrement contre le coton, trahissant par là même un début d'excitation.
Je continuais mon travail en faisant également glisser sur ses cuisses ce slip de petite fille qui lui cachait si bien sa toison de véritable blonde. Le poids du coton fit rapidement tomber sur ces chevilles le fin et dernier rempart de ce superbe spectacle.
Le pubis de Laure était d'une beauté incroyable pour une femme de cet âge. Un ventre lisse et plat dont les poils pubiens d'une blondeur presque irréelle cachaient les contours charnues de ses grandes lèvres.Sa toison aux reflets dorés remplissait intégralement le triangle formé par ses cuisses. J'étais étonné de voir une telle pilosité pour une blonde, elles qui d'habitudes ont tendance à se tailler le pubis, Laure elle avait choisi de laisser faire la nature et en cela elle ressemblai aux photos de nus des années soixante dix.
Je m'attardais un moment sur la beauté de ce spectacle, sachant que Laure ne pouvais deviner ma surprise et mon plaisir. D'un doigt inquisiteur, je testais doucement la réceptivité de Laure. La chaleur et l'humidité de son intimité, me rassura sur sa capacité à prendre du plaisir.Pour ne pas l'affoler et lui faire comprendre qu'il n'y aurait de a part aucune violence, je me mis à caresser lentement son pubis d'une main et ses fesses rondes de l'autre, comme pour lui faire comprendre qu'elle ne risquait rien à s'abandonner complètement.
Il me fallait maintenant faire un inventaire précis des objets que Laure avait disposé sur la table du salon. J'étais certain que son choix allait me guider sur ses envies et ses phantasmes.
Une expertise précise me permit de lister: Une bonne dizaine de foulard en soie, 4 longues cordes ( bien pratique pour un bondage à la japonaise ) une paire de menottes, 2 barres d'écartements, une paire de ciseaux, différentes sortes de bâillons, un gros rouleau de film étirable, un rouleau de scotch large,un panier rempli de pinces à linge, un rasoir jetable et une bombe de mousse à raser, une poire à lavement, plusieurs plugs de tailles différentes, une raquette de ping pong et enfin une série de vibromasseurs de tailles et formes multiples.La parfaite batterie pour une journée SM réussie.
Je décidais de prendre en premier lieu la paire de ciseaux et, sachant que le tee shirt ne valait moins de 5 euros, je commençais à le découper un peu comme dans le film "orange mécanique". Je tirais donc le tissu devant chaque téton et découpais à l'aide des ciseaux le fragile coton afin d'obtenir un cercle presque parfait qui découvrait en intégralité chaque sein aux points dures et aux auréoles d'un rose laiteux du plus bel effet. Ces seins étaient incroyablement fermes pour une femme de son âge et la souplesse de la peau montrait bien qu'il n'avait jamais subi la moindre opération de chirurgie esthétique.
Voir cette paire de superbes seins sortir du tee shirt qui restaient bien en place malgré cette découpe, fit monter en moi une érection qui était de bonne augure.
Laure restait debout, silencieuse et déjà soumise. je lui liait les chevilles pour bien lui faire comprendre qu'elle devait rester en place pour le moment.
Un rapide tour de l'appartement me permit de repérer, la cuisine, la salle à manger, la salle de bain, les toilettes et la chambre à coucher. Sachant que Laure ne pouvait bouger, ni me voir, ni m'entendre, je commençais à récupérer dans chaque pièce les objets indispensables à la préparation de mon premier supplice.
Je récupérais des serviettes de bain, un gant de toilette , ainsi qu'un bol d'eau chaude dans la cuisine et une fois rendu dans la chambre, je recouvrais le dessus de lit avec les serviettes de bain. Je posais sur l'une des tables de nuit qui décoraient chaque coté du grand lit à barreaux de cuivres, le bol d'eau chaude et le gant de toilette.
Revenu prés de Laure, je lui déliais les cheville afin de la conduire dans la chambre. Au passage j'en profitais pour récupérer deux cordes posées sur la table et une poignet de foulards.
Prenant Laure par le poignet, je la conduisait jusqu'au lit et l'allongeais bien au milieu du lit, sur les serviettes. Une pression avec ma main sur son ventre pour lui signifier de ne pas bouger et je commençais par lui écarter les jambes afin de libérer au maximum son jardin secret. Un noeud pas trop serré à chaque cheville, quelques tours de cordes à chaque pied de lit et en quelques minutes l'immobilisation du bas de son corps était réalisé.
A l'aide des grands foulards de soie, j'attachais en croix ses poignets aux barreaux du lit en prenant bien soin de ne pas trop l'écarteler pour que la position puisse durer dans le temps sans qu'elle devienne insupportable.
Pour faciliter ma tache, je passais sous les reins de Laure, deux gros coussins qui eurent pour effet immédiat de soulever ses fesses d'une bonne dizaine de centimètres et de faciliter encore un peu plus le passage entre ses cuisses.
Je trempais le gant de toilette dans l'eau chaude et le posais sur le pubis de Laure qui au même instant venait de deviner qu'elle allait être la première épreuve qu'elle devrait subir. Ce contact chaud sur sa peau devait l'exciter, car un rapide passage entre ses cuisses me confirma qu'elle était déjà très humide.
Je retournais rapidement dans le salon pour y récupérer la mousse à raser et le rasoir jetable et une fois assis au bord du lit, je commençais par retirer le gant chaud du ventre de Laure.
Après avoir secoué la bombe de mousse, je recouvrais toute la toison de ma prisonnière. L'odeur mentholée était très agréable à sentir et devait déjà provoquer à Laure des sensations de fraîcheur particulières. Vu la quantité de poils qu'il allait falloir enlever, j'étais certain qu'elle ne s'était pas rasé ou coupé les poils pubiens depuis de nombreux mois. Si tel était son phantasme, elle avait donc su attendre patiemment l'occasion qui nous réunissait tous les deux aujourd'hui.
Les premiers sillons du rasoir crissaient sur sa peau avec un bruit soyeux, libérant à chaque passage une zone vierge de tout poil. Je me servais du gant de toilette pour ôter les poils qui se collaient aux lames du rasoir jetable. Lentement je passais et repassais sur cette magnifique peau aussi fine et lisse que celle d'une adolescente.
Laure restait en place dans une immobilité presque parfaite. Le fait d'avoir les yeux bandés devait décupler ses sensations. Le contact des lames sur sa peau fragile et le fait de s'exposer ainsi attachée entièrement nue devant un homme qu'elle ne connaissait absolument pas autrement que par contact téléphonique,devait lui provoquer des sensations nouvelles et intenses.
Pour ne pas risquer de la blesser en passant le rasoir entre ses cuisses, j'insinuais une main en appui sur la fente de son sexe gonflé à la fois par l'excitation et l'effet irradiant de la mousse mentholée. J'appuyais donc mes doigts sur ses petites lèvres et de l'autre main je passais le rasoir délicatement entre ses grandes lèvres et le creux de ses cuisses. Pour parfaire mon travail je profitais de sa position surélevée pour passer le rasoir entre ses fesses afin d'enlever également tous les poils qui protégeaient son anus dont la circonférence était aussi brune qu'elle était blonde.
Quelques "allez - retour" entre ses fesses et les dernières poils finissaient leur trajet sur le gant de toilette.
Je me levais pour aller le rincer à la salle de bain et revenais rapidement avec un gant vierge de tout poil et aussi chaud qu'au début de la tonte.
Afin d'enlever les dernières traces de mousse à raser, je passais le gant sur toute la surface de son pubis, entre ses cuisses, entre ses fesses et tout autour de son anneau intime, en prenant un malin plaisir à appuyer légèrement sur son anus à chaque passage.
Une serviette pour la sécher complètement et je pouvais admirer mon travail de barbier. Le ventre de Laure était devenu semblable à celui d'une petite fille de dix ans. Lisse et brillant sa peau sentait bon la menthe fraîche. Un doigt explorateur me permit de vérifier que Laure était toujours dans un état d'excitation avancé.
Son sexe humide trahissait le plaisir qu'elle avait du éprouver à se faire raser les parties les plus intimes de son corps par un inconnu, lui offrant par la même occasion la vision d'une femme livrée entièrement à ses phantasmes.
Je décidais de laisser Laure dans cette position, temps pour moi de ranger une partie du matériel et de peaufiner la suite de la journée.
Maintenant que je l'avais transformé en petite fille, je me devais de passer la vitesse supérieur et essayer de deviner ses envies secrètes. La présences de plusieurs plugs laissait à penser qu'elle ne refuserait pas l'exploration de ses voies rectales.
Ne sachant pas encore son coefficient de résistance, je décidais de prendre un plug anal vibrant de petite taille afin de tester sans risque les réactions de Laure. La présence de la raquette de ping pong trahissait à n'en pas douter son amour de la fessée. Je devais donc en profiter car ce n'est pas tous les jours que l'on rencontre une femme adepte de cette pratique pourtant très existante.
Je retournais dans la chambre et décidais de changer laure de position avant toute chose. Après avoir libéré les noeuds fait aux pieds du lit, je déliais ses poignets et roulait d'un coup et et précis Laure sur le coté afin de la faire mettre à plat ventre. Elle compris rapidement mon intention et me facilita la tache en se repositionnant presque seule au milieu du lit en remettant bien docilement ses bras en croix et en écartant à nouveau ses grandes et belles jambes.
Une fois les liens remis en place, Laure se retrouvait immobilisée, le compas de ses jambes largement ouvert, prêt à recevoir de la visite.
Je repositionnais sous son ventre les deux gros coussins afin de surélever un peu plus ses fesses.
La position était parfait et le rasage intégral que j'avais effectué sur elle me permettait de voir sa petite rosette brune toute serrée de peur.Laure avait beau essayer de serrer ses fesses l'écartement de ses jambes était suffisamment grand pour l'empêcher de cacher la vue de son anus maintenant imberbe.
Pour faciliter l'introduction du plug et raviver en elle des sensations certainement inconnues, je déposait un peu de mousse mentholée entre la raie de ses fesses, en insistant bien avec mes doigts pour faire pénétrer la mousse dans son anus qu'elle essayait vainement de contracter. La sensation de la menthe fraîche sur sa peau rasée de frais lui provoqua un léger spasme qui devait être du autant au plaisir qu'à la surprise.
Je poussait avec mon index une légère exploration en forçant le passage de ses sphincters serrés au maximum. La résistance me persuadait que Laure n'avait pas beaucoup pratiqué la sodomie. Mais de toute évidence, mon insistance lui procurait un plaisir nouveau.
Au bout de quelques minutes de va et vient avec mon doigt, je décidais d'introduire maintenant dans son anus légèrement distendu. le plug que j'avais sélectionné. Sous ma poussée régulière mais ferme,il progressait lentement et s'enfonçait inexorablement en elle. Un râle de plaisir sorti de sa bouche restée muette jusque là.Laure s'abandonnait et c'est presque elle qui aspira comme par magie le reste du plug. Une fois bien en place,et ses sphincters resserrés sur la partie étroite du plug, il ne risquait plus de ressortir.
Je mis le vibreur sur la position minimale, déclenchant par là même les premiers cris de plaisir de laure.
Je passais ma main entre ses fesses pour vérifier avec mes doigts son niveau d'excitation. Elle était entrain de jouir, et la serviette qui se trouvait en contact avec son sexe était déjà trempée.
Me rappelant soudain que nous étions là pour mélanger plaisir et souffrance, je décidais de changer de tactique.
Je poussais la vitesse du vibreur au maximum et j'attendis sa réaction.
Celle-ci ne se fit pas attendre. A ma grande surprise laure me gratifia d'un incroyable:
"Putain d'enculé, que c'est bon..... Défonce moi encore gros cochon"
Je ne pensais pas Laure capable d'utiliser un tel langage. J'étais littéralement décontenancé, mais ne tardais pas à réagir pour reprendre la main.
" Qu'est ce que c'est que ces gros mots vilaine.Tu as mérité une punition, je ne peux pas supporter de tels écarts de langage.
Je montais aussitôt sur le lit et m'asseyais sur son dos en disposant mes jambes de chaque coté de son corps en lui tournant le dos de façon à avoir sa croupe à ma disposition.
Ton tarif sera de quatre séries de vingt claques sur les fesses. Et si j'entends le moindre cri de ta part, on recommence à zéro. C'est bien compris ?
Elle me signe oui de la tête, déjà consentante.
Je commençais à la fesser de la même main alternant chaque coup sur une fesse différente afin de ne pas faire de jalouses. A la fin de la première série de vingt, ses fesses commençaient à rosir légèrement et j'étais surpris de voir que Laure endurait cette fessée sans avoir l'air d'éprouver la moindre douleur.
Voyant cela, je décidais de frapper un peu plus fort pour la deuxième série.
Le plat de ma main faisait un bruit sec sur ses fesses et à la fin de la deuxième série, j'avais ma main en feu. Je décidais de fesser des deux mains pour la troisième série.
Laure restait de marbre et je n'arrivais pas à savoir si elle souffrait ou si elle prenait un plaisir intérieur à recevoir mes claques sur son arrière train. On était arrivé sans que je m'en rende compte à soixante claques sur ses fesses à peine rougies, et toujours aucun témoignage de douleur de la part de Laure. Les vibrations du plug devait lui procurer un plaisir plus intense que la fessée que j'étais en train de lui administrer.
Pour les deux dernières séries, j'avais du faire appel à toute mes capacités de résistance pour ne pas aller chercher la raquette de ping pong. Mes mains étaient apparemment plus en feu que les fesses de Laure. Devant cette défaite incompréhensible, je lui administrais une fessée qui m'aurait arraché des cris de douleur. Elle se contentait de contracter ses fesses entre chaque claque, sans dire un mot, sans bouger. C'était à peine croyable, c'était moi le puni dans l'histoire, mais elle ne pouvait s'en rendre compte.
Je comptais à haute voix la dernière série de vingt et lorsque je prononçais le chiffre 79, elle se mit à parler pour me laisser bouche bée.
"putain que c'est bon......... j'en veux encore !! Je restais sans voix devant une telle envie. Cela faisait maintenant plus d'une demie heure que je fessais son postérieur et elle en redemandait encore.
Ne sachant pas si elle supporterais une nouvelle punition intégrale, je décidais de repartir non pas à zéro,mais à cinquante. Je lui enlevais délicatement le plug de ses fesses, afin de voir si sans cet instrument de jouissance, elle supporterais aussi bien la fessée.
Je me remis à la fesser en comptant à haute voix, sans m'arrêter. Cette nouvelle série ininterrompue de 50 à 80, ne lui arracha même pas un petit cri de douleur, alors que pour ma part, j'avais les mains en feu. Ces fesses avaient pourtant viré au rouge pourpre et en principe elle aurait du demander "grâce" avant même la fin de la première série. Elle avait donc une endurance à la fessée tout à fait exceptionnelle et ses origines nordiques devaient avoir un rapport direct avec sa capacité à supporter la douleur.
Cela faisait maintenant presque deux heures que j'avais commencé à "punir" Laure et je sentais que je n'étais plus le maître du jeu; C'est elle qui à sa façon me dominait, car je n'arrivais pas à prendre le dessus sur sa capacité à résister et à endurer un tel traitement. A aucun moment je n'avais senti qu'elle allait employer les codes qui nous intimais l'ordre de stopper immédiatement la punition en cours.
Je décidais donc de consacrer la dernière demi heure à tester la résistance de laure pour supporter une position très contraignante.
Après l'avoir détaché, je la fit descendre du lit et je lui demandais de se mettre à genoux au sol, jambes écartées et tête appuyée contre le sol. Pendant qu'elle se mettait docilement en position j'allais chercher la barre d'écartèlement qui était posée sur la table.
Je fixais ses chevilles aux bracelets de cuirs qui garnissaient les extrémités de la barre. Je réglais l'écartement, de sorte à former un angle le plus ouvert possible pour libérer l'accès à son anus.
Je lui fit passer ses bras entre ses cuisses afin de les attacher ensemble à la barres qui reliait ses chevilles.
Cette position très contraignante car le sujet a les bras tirés en arrière, sa tête forme un appui naturel sur le sol et les jambes écartelées au maximum empêchent le moindre mouvement. De plus, l'écartement des cuisses libère entièrement le passage entre les jambes. Une position à la fois très inconfortable pour celui qui est attaché, et très pratique pour celui qui souhaite profiter de l'immobilisation parfaite du soumis ou de la soumise.
J'allais tester pendant plus d'une demi heure la résistance de Laure. Pour éviter de lui endommager les genoux, je passais sous chacun d'eux les deux coussins déjà utilisés.Une fois réduite à l'immobilité parfaite, je décidais de terminer cette séance en testant également la résistance des sphincters de Laure.
Je récupérais sur la table du salon, la poire à lavement et la replissait à la salle de bain d'eau chaude. Sa contenance devait être d'environ un demi litre.
Je m'agenouillais en faisant fasse au derrière de Laure ouvert et incapable de s'opposer à ce qui allait suivre.
Je poussais délicatement l'embout de la poire pour faire pénétrer la canule dans son rectum. Elle semblait ne pas se rendre compte de ce qui allait lui arriver. Toujours silencieuse et résignée. Une fois la canule bien logée au fond du sillon de ses fesses, je pressais avec force et détermination la poire pour en vider tout son contenu dans le fessier si bien exposé.
La dernière goutte ruissela sur l'anus de Laure plus glissa le long de la raie de ses fesses pour finir son chemin sur le carrelage de la pièce.
"Tu vas devoir te retenir pendant 30 minutes. Si par malheur tu venais à en lâcher une seule goutte, je te laisse imaginer qu'elle serait ta punition. Je reviendrais dans une demie heure pour te délivrer et te permettre d'aller aux toilettes. Soit courageuse !!!
Un "oui" bref et déterminé fut le seul mot de Laure comme unique réponse.
Ne sachant trop que faire pendant ce temps, je décidais de jeter un coup d'oeil curieux dans son salon et sa bibliothèque. un grand nombres d'ouvrages traitaient du SM et des techniques de bondage. Plusieurs livres de photographes spécialisés, confirmaient également les goûts de Laure.
Au moins je pouvais me rassurer, elle était bien en phase avec mes propres phantasmes.
Pour passer le temps, je décidais de prendre un livre de photos sur le bondage japonais. Il était très détaillé et montrait de nombreuses positions d'immobilisation qui m'étaient totalement inconnues.
Lorsque le temps imposé à Laure me parut être terminé, je rejoignais la pièce ou elle se trouvait et constaté qu'elle était en nage. Transpirant abondamment et secouée de soubresauts, elle avait su se retenir et je devais bien avouer que j'étais impressionné par sa performance.
Pour la récompenser de tant de courage, je décidais de lui enlever son bâillon, ses bouchons auditifs et je faisais en sorte de la libérer au plus vite afin de ne pas réduire à néant un tel effort de plus de trente minutes. Une fois complètement détachée, elle fila à toute vitesse à la salle de bain ou elle resta de nombreuses minutes pour y faire une toilette complète.
Son tour venait de passer, elle avait été très courageuse et il me fallait maintenant lui annoncer que je me mettais entièrement à sa disposition.
Je m'approchait de la porte de la salle de bain.
" C'est à moi maintenant d'obéir. Je me prépare dans le salon et j'attends sagement que tu reviennes"
Pour mettre Laure en confiance, il me fallait lui montrer que j'allais parfaitement jouer le jeu.
Je décidais de me déshabille , ne conservant que mon slip de coton blanc.
Je liais mes chevilles avec une des cordes posée sur la table basse. Je me bandais les yeux à l'aide d'un foulard de soie et après avoir mis mes mains dans le dos, je refermais sur mes poignets la paire de menottes récupérée quelques instants avant.
Ainsi immobilisé, je devais me tenir debout et sans bouger afin de ne pas risquer de perdre l'équilibre.
Le claquement de la porte, me fit comprendre que Laure pénétrait dans la pièce.
"Félicitations, tu as vraiment compris comment nous devions fonctionner".
" Tu as été très dur avec moi, et il va falloir que je te punisse pour cela".
"on va voir si tu es aussi résistant que je l'ai été et si tu vas être aussi obéissant".
"Pour commencer, je vais t'attacher correctement pour pouvoir te travailler plus facilement".
Elle libéra mes poignets, en me laissant pour le moment les pieds attachés.
Prenant la plus grande des cordes disponible, elle commença par me passer la corde derrière le coup, puis devant mes épaules en recroisant derrière le dos afin d'y créer une croix et un point de fixation. Plusieurs tours au niveau de ma taille, afin de ne pas encombrer l'entre jambes. Une fois ce harnais créé, elle me fit mettre les bras dans le dos, les avants bras reposant l'un sur l'autre. A l'aide du gros rouleau d'adhésif elle relia mes avant bras les uns aux autres, puis elle les fixa au croisement des cordes dans mon dos, en passant plusieurs fois derrière les cordes. Bras haut placé en plein milieu du dos,cette position de mes bras n'était pas trop inconfortable, mais elle avait le désavantage de dégager complètement le bas de mon dos et bien sur mes fesses, qu'il m'était maintenant impossible de protéger et de cacher.
Laure, prenait l'initiative de me délier les chevilles. Elle me fit écarter les jambes afin de refermer sur chacune de mes chevilles les sangles de la barre d'écartement qu'elle venait de récupérer. Tapotant en silence mes mollets, elle me fit écarter un peu plus mes jambes afin de régler la barre sur son écartement maximal. Une fois le réglage effectué, je constatais que mon équilibre était maintenant très précaire. Si j'étais poussé en avant ou en arrière, j'allais "m'affaler" de toute ma hauteur sans pouvoir me protéger avec les mains. Rien qu'à cette idée, je fus pris d'un moment d'angoisse qui provoqua immédiatement une importante sudation.
Une main puis un doigt inquisiteur s'insinua entre mes fesses et força lentement mais surement un passage entre mes sphincters qui s'étaient contractés naturellement. Manifestement Laure avait l'intention de me préparer à sa façon.
Dés qu'elle sentit que mon anus se distendait, elle propulsa en moi un plug qui me fit sursauter de surprise. Elle poussait en avant avec ses mains et commencait un va et vient régulier du plug entre mes fesses. Ce petit jeu dura plusieurs minutes.
"Bien, je pense que tu es bien préparé. On va pouvoir commencer la séance......."
Suite à venir..........