Le blog de panpan
Rouge de confusion et honte d'être obligé de m'exposer ainsi devant une femme inconnue, j'essayais tant bien que mal de lui cacher ma nudité, tout en espérant qu'elle allait me venir en aide. Nullement pressée de me faire rentrer, elle restait dans l'encadrement de la porte, les bras écartés pour bien marquer l'interdiction de passage, me détaillant de bas en haut avec application pour mieux apprécier le comique de la situation.
Elle me fixât longuement avec un sourire malicieux, me faisant bien comprendre que c'était elle et elle seule qui déciderait de la suite et du timing des opérations. Message bien reçu.... N'ayant d'autre solution, ni issue de secours,sans un mot pétrifié par l'humiliation,je baissais légèrement la tête pour lui signifier mon obéissance et ma soumission.
Tel un prêtre qui vous donne l'absolution, sa main droite se posa sur mon front et avec une douceur incroyable, elle commença à faire tomber au sol le sable qui recouvrait encore mon visage. Du bout des doigts, elle frottait délicatement ceux qui restaient collés sur ma peau.Je fermais les yeux pour faciliter son travail.
Au rez de chaussée, la porte d'entrée venait de claquer, synonyme d'une rencontre éminente avec un occupant de l'immeuble. Affolé à l'idée d'avoir à me montrer nu et totalement ridicule, je levais les yeux pour implorer cette belle inconnue de me faire rentrer dans son appartement avant que la personne atteigne l'étage. Comme si de rien n'était, elle continuait calmement à me nettoyer le visage. Dans l'escalier, les pas se rapprochaient à un rythme régulier.Dans quelques secondes, j'allais devoir subir un nouvel affront et une nouvelle humiliation. Je n'osais me retourner pour voir qui venait maintenant d'arriver sur le pallier de l'étage.
- Christine, tu as déjà fini les courses ? Regarde nous avons un invité; Il va falloir s'en occuper car il a quelques soucis.
Rentrons, nous discuterons de tout cela à l'intérieur.
Sans attendre une quelconque réponse, elle me prit par le bras et me fit pénétrer dans l'appartement. Avec mon autre bras j'essayais tant bien que mal de m'en servir comme cache sexe, mais au point ou j'en était, cela n'avait plus grande importance.
- Je m'appelle Alexandra et je te présente ma concubine la belle Christine. Elle me tira par l'épaule m'obligeant à me retourner pour faire face à Christine. Je plaquais ma main sur mon sexe dans un geste d'adolescent timide et pubère. C'était une véritable beauté. Grande, mince, brune au cheveux longs, un visage fin, des grands yeux d'un vert profond. Elle sourit, découvrant des dents d'un blancheur parfaite. C'était sans conteste possible, la plus belle femme que j'avais eu l'occasion de voir. Un véritable mannequin de magasines à faire craquer un saint.
Elle s'approcha de moi et prit mon bras qui cachait ma nudité. Elle le tira avec douceur vers le haut, pour dégager ma main et prendre connaissance de l'ampleur des dégâts. Continuant à me tenir le bras, elle s'agenouilla devant moi et avec son autre main,souleva ma verge puis mes testicules pour faire un état des lieu le plus complet possible.
- Et bien dit donc, pour un bizutage, c'est un bizutage !!!! Comme je n'avais pas encore eu l'occasion de leur avouer les circonstances de ce qu'elle pensait être un bizutage entre ados, je compris qu'il valait mieux ne rien dévoiler de la réalité des faits.
Persuadés qu'ils s'agissait de jeux pseudo érotiques de jeunes puceaux pervers, elle continua d'une voix compréhensive et rassurante:
- Ils t'ont rasé complètement tes copains, tu sais tu vas souffrir pendant plusieurs semaines lorsque les poils vont repousser. Nous les filles ont sait ce que c'est, mais toi tu vas découvrir ce que nous endurons régulièrement au nom de la mode actuelle.
Devoir subir une véritable visite médicale et me faire caresser le sexe par une sublime lesbienne avait quelque chose d'incroyablement érotique et plus la caresse se faisait insistante, plus j'avais du mal à contrôler une érection naissante, malgré le ridicule de ma situation.
Alexandra interrompit mon début d'érection en décrétant qu'il me fallait avant tout me laver le visage. Elle avait du sentir cette odeur d'urine si particulière et ne souhait certainement pas en embaumer son appartement. Elle me prit par le bras, me guidant d'autorité vers la salle de bain. Une grande douche à l'italienne avec de superbes parois de verre me faisait face.
- Commence par te laver la tête et le visage, dit-elle. Nous te rejoindrons après pour nous occuper du reste.
Bien loin de moi l'idée de la contredire et sans demander mon reste, je pénétrais dans la grande douche. je réalisais soudain que j'avais toujours au fond des fesses le tampon que les filles m'avaient enfoncé au plus profond de moi. Qu'allait-il se passer si les deux femmes le découvrait ? Discrètement je passais ma main entre mes fesses pour essayer de cacher la ficelle du mieux possible.
Tout en essayant de réfléchir à une possible solution pour l'enlever sans que les filles l'aperçoive, je me débarrassais de toute trace d'urine sur mon visage et mes cheveux . L'eau chaude et la mousse du shampoing sur mon corps me procurait un moment de détente bien agréable.
Pendant que je continuais à me laver le haut du corps, les deux filles me faisaient face et commençaient à se déshabiller entièrement, sans aucune gène, comme si je n'existait pas. Bronzées toutes deux, je constatais qu'elles ne portaient pas de trace de maillot, indiquant en cela qu'elles étaient adeptes du naturisme.
Mon regard se portait sur Alexandra. Elle avait des épaules larges, un peu comme un garçon manqué, des petits seins en pomme haut placés sur le corps avec de minuscules tétons presque invisibles, des hanches fines, comme celles des nageuses et des jambes d'une longueur incroyable. Intérieurement je me fit la réflexion quelle devait être "l'homme" dans ce couple "hors normes".
Christine, elle se déshabillait avec beaucoup de pudeur dans les gestes. Elle rangeait au fur et à mesure ses vêtements avec une lenteur presque religieuse. Elle était d'une beauté majestueuse. Parfaite, presque irréelle. Une Madone tombée du ciel. Des seins fermes bien écartés les uns des autres, en forme de poire mais qui pointaient avec arrogance vers le ciel. Son ventre était aussi plat et lisse qu'une statue de Rodin. Son sexe rasé dévoilait deux grandes lèvres légèrement bombées, d'un rose parfait.
Les deux filles pénétrèrent en même temps dans la douche. Tandis qu' Alexandra me massait les épaules avec fermeté, Christine c'était mise à genoux dans la douche et tenant un gant de toilette dans une main et un gant de crin dans l'autre, elle commença à me laver le bas du corps espérant enlever rapidement toute trace de rouge à lèvres.
Le gant de crin commençait son travail de ponçage sur mes fesses, tandis que l'autre bien plus doux, allait et venait avec un rythme régulier sur mon sexe et mon pubis.
Suite au prochain Chapitre..............