Le blog de panpan
La belle Tichka faisait partie depuis quelques temps de ma vie. Nous nous étions rencontré sur un forum d'internet consacré au Sm et nous continuions à échanger nos phantasmes par ce moyen sans savoir que nous habitions la même région.
Ce n'est qu'au bout de plusieurs mois que l'idée de nous rencontrer réellement germa dans nos esprits.
Quelques échanges de photos, nous permit de nous connaître physiquement et d'être dans une "pré relation" ou les choses devaient être claires, précises, sans mensonge !!!!
Originaire de Prague, elle avait rejoint la France depuis maintenant plusieurs années et avouait avoir beaucoup de mal à vivre seule depuis que son mari avait décidé de la quitter, ne souhaitant plus continuer à vivre ensemble une relation physique ou il devait jouer douze mois par an, le rôle du mari dominé .
Elle avait finit par m'expliquer que depuis sa plus tendre enfance elle avait une attirance irrésistible pour le Sm et la domination des hommes et que les innombrables fessées reçues par son père, l'avait certainement poussée dans cette voie dont elle était maintenant sa propre prisonnière.
Elle ne pouvait concevoir des rapports sexuels qu'après avoir dominé un homme. C'était sa façon de se libérer de son lourd passée de soumise. Une sorte de thérapie par la vengeance, sur des hommes consentants qui cependant n'étaient nullement fautifs des sévices endurés pendant sa jeunesse.
Tichka, avait été claire avec moi:
- Si nous devons nous rencontrer, sache bien qu'avant que tu puisses prendre possession de mon corps, tu devras par avance t'engager à subir mes phantasmes et à te laisser dominer jusqu'à ce que je décide de t'accorder la récompense de mon corps.
Pour fixer nos limites respectives, elle m'assurait qu'elle s'engageait à s'arrêter sur une simple demande de ma part. La contrepartie serait que si c'était moi qui lui demandait de stopper, bien évidement, il serait hors de question de faire l'amour avec elle.
Acceptant à l'avance de subir fessées, bondages et domination, Tichka m'avait proposé de la rejoindre en semaine chez elle. Elle habitait au Cap d'Agde et il ne me fallut pas plus de 50 minutes pour me retrouvé devant sa villa, appuyant sur la sonnette avec un léger sentiment d'angoisse devant ce rendez vous avec une inconnue.
Elle louait une villa moderne dans un lotissement situé à seulement dix minutes à pied de la plage.
Lorsque la porte s'ouvrit au deuxième coup de sonnette, j'avais en face de moi une ravissante blonde au cheveux mi-longs, une grande bouche au lèvres fines qui me gratifiaient d'une superbe sourire de nature à instaurer entre nous une relation de confiance bien rassurante.
Je pénétrait dans le salon de la villa, en même temps que Tichka, se présentait à moi dans un français tout à fait remarquable.
Pour commencer et que les choses soient biens claires entre nous, aucune relations sexuelles envisageables, tu devra baisser les yeux en permanence, ne pas m'adresser la parole et me faire signe de la tête pour oui ou non.
Au moindre mot de ta part sans mon autorisation, nous stoppons immédiatement et définitivement nos relations.
Si tu es d'accord fait moi un signe de la tête, sinon, fait immédiatement demi-tour. Si tu veux arrêter car tu ne supporte plus ton traitement, un simple "Stop" de ta part et nous nous en tiendrons à ce que je viens de te dire.
- Est ce d'accord ?
Un très court temps de réflexion et je lui fit signe "Oui" de la tête en prenant bien garde de baisser les yeux pour ne pas croiser son regard.
Pour tester ta résistance, je vais en premier lieu te rougir les fesses avec le martinet du chien. Si tu résiste à ce traitement sans broncher, nous pouvons envisager de continuer ensemble. Enlève chaussures, chaussettes et pantalon. Je veux te voir dans une minute à genoux sur mon lit, tête dans l'oreiller et les fesses bien exposées.
Je la suivait dans la chambre. Une fois devant le grand lit qui me faisait face, j'ôtais une partie de mes vêtements et comme elle me l'avait ordonné, je m'installais sur le lit, en caleçon et tee-shirt, à genoux jambes serrées en ayant bien prit soin d'enfoncer ma tête au plus profond du confortable oreiller en plume d'oies.
Je n'avais plus qu'à attendre la suite des évènements.
Tichka m'avait laissé m'installer en silence, sans prononcer le moindre mot. Comme m'a position semblait lui convenir, elle se rapprocha de moi et, prenant dans chaque main l'élastique de mon caleçon, elle le fit descendre sur mes cuisses pour que je puisse lui présenter sans entrave, les deux globes musclés de mon fessier encore non meurtri.
Se premier contact de ses doigts entrain de me mettre les fesses à l'air, provoqua en moi une érection inattendue que je pus heureusement lui dissimuler facilement.
Comme pour me tester, elle se mit à faire tournoyer dans le vide les lanières du martinet. le sifflement de la rotation du cuir sifflait à mes oreilles, annonciateur d'un départ imminent des hostilités.
Les premières séries de cinq coups ne me firent pas mal. Les lanières semblaient larges ce qui atténuait sensiblement la morsure sur ma peau fragile.
Mais Tichka, ne semblait pas pressée de me rougir l'arrière train, elle me testait, j'en étais certain.
Dans ma tête je me mis à compter les séries de cinq, afin moi aussi d'appréhender ma résistance que jusqu'à présent je n'avais jamais pu réellement tester. A la dixième série, la chaleur commença à envahir tout mon arrière train.
Après un bref intermède,Tichka s'était positionnée sur le coté du lit et reprit de plus belle une nouvelle série. les lanières frappaient en travers les deux fesses en même temps et je commençais à avoir du mal à rester silencieux.
Je serrais les dents pour bien lui montrer que j'allais pas lui laisser le plaisir de capituler dés la première fessée.
A partir de 90, Tichka se mit à compter à haute voie, le sifflement des lanières rythmait sa voix aux accents slaves.
Au centième coup de martinet, elle stoppa sa punition.
- Félicitations, je pense que nous allons bien nous amuser tous les deux, car tu me semble capable d'en supporter un peu plus. Pendant que je prépare le matériel, tu vas rester dans cette position, ça te reposera un peu l'arrière train.
Le message était clair: Interdiction de bouger.
La tête toujours enfoncée dans le confortable coussin, les bras repliés sur le torse pour me caler, je respectais scrupuleusement sa demande.
- Ne bouge pas, je prends quelques photos pour mon album personnel.
Le bruit caractéristique de l'obturateur, se fit entendre à trois reprise, puis la porte claqua.
Il me fallait maintenant apprendre à patienter dans cette position indécente et provocante.
Mes fesses devaient être zébrées de rouges, mais comme je ne pouvais les voir, je devais me contenter de les imaginer.
Suite dans le prochain chapitre.................