Le blog de panpan
Une leçon... brûlante !
Pendant les vacances, j'aime bien prendre mon apéritif tranquillement. Surtout lorsque mon collègue Victor vient me voir. Je l'aime bien, Victor. C'est d'ailleurs le seul collègue de travail avec lequel j'ai des relations vraiment personnelles.
Comme moi, c'est un gars calme, simple, direct.
Chaque année je loue une bicoque dans un village de Lozère, trois semaines de vacances d'été pour ma petite famille : Cathy, mon épouse, Marie, ma fille aînée et mes deux garçons, Michel et Éric.
Toujours, nous recevons la visite de la famille de Victor : son épouse, Monique et son fils Rémy.
Ce jour là... C'est quand ? En 1971 ?.. Enfin, on est en juillet 1970, 1971 ou1972...Je sais plus...
Bref, Victor et moi nous prenons tranquillement notre apéritif anisé, lorsque nous sommes dérangés par les beuglements d'Éric, le plus jeune de mes fils, 11 ans à l'époque...
Le voici qui arrive à la maison, courant comme un fou, en larmes, hurlant qu'on l'a fait tomber dans les orties ! Et c'est vrai que ses cuisses, ses mollets, présentent des traces bien rouges.
Faut dire que le gamin porte un des ces shorts légers et très courts, à la mode à l'époque, alors, vous imaginez !
Il se rue dans la maison, dans les bras de sa mère et, pendant cinq minutes, les trois femmes s'affolent autour de lui, lui font des compresses froides, enfin, un cinéma pas possible, bien fatigant pour les pauvres marris!
C'est pourtant pas cela qui va le tuer, mon gamin... Il en verra d'autres.. Mais bon, ça doit vraiment faire mal...
Alors, je dis à Victor :
« Je crois que j'ai bien fait, comme chaque année, d'amener le martinet et je connais deux gaillards qui ne perdent rien pour attendre ! »
« Un peu, oui ! » rigole Victor « Bon, moi, le martinet, c'est pas mon truc. Tu sais que je corrige à la ceinture mais tu sais aussi que je suis un farouche républicain...Et même un démocrate !.. Alors, si tu tiens absolument au martinet, je suis ton homme ! »
De toute façon, je ne suis pas du genre à amener le martinet en vacances pour ne pas m'en servir du tout... Ça, ce n'est pas la peine que je l'explique Victor : il s'en doute !
Ce qu'il y a de bien, avec Victor, c'est que, lui aussi, sait très sévèrement corriger son fils lorsqu'il le faut. Nous deux, on est des pères comme on en fait plus aujourd'hui : très sévères, soucieux d'éduquer nos fils dans le respect de l'ordre, de la discipline, du travail bien fait. Avec nous, pas de mollesse ! Comme on en fait plus, j'vous dis... Pardi, c'est pour ça qu'il y tant de bordel de nos jours ! Les écoles ?.. De vraies pétaudières ! Et je parle d'il y a plus de trente-cinq ans ! Depuis...Enfin, vous savez bien...
Je pose encore la question que j'aime bien poser à Victor :
« Tu le corriges souvent, ton gosse ? »
« Oh... une fois par mois... un peu plus, même... »
Je ne réponds rien. Même pour mon aîné, je suis encore loin d'une telle sévérité. Mais je sens que ça viendra... Le gamin grandit, il est de plus en plus dur à tenir...
Mais chaque chose en son temps : la sentence, on l'a prononcée tout de suite ! De toutes façons, on sait bien qu'ils ont poussé Éric dans les orties.
Rémy, s'est pas trop son genre, il est plutôt prudent, voire timoré. Mais mon Michel, je le connais par coeur, il est bien capable de flanquer une roustre à son petit frère ! Bien entendu, ça ne changera rien pour Rémy : il était avec Michel donc, il sera puni comme lui !
Une bonne correction, de toute façon, ne fait pas de mal à des gosses de 14 ans...
Je calcule d'ailleurs qu'il y a bien deux bon mois que je n'ais pas corrigé Michel... Il est grand temps !
Non seulement nous avons prononcé la sentence mais nous nous sommes mis d'accord sur le détail de la punition...Il y a plus qu'à exécuter !
Alors, on continue tranquillement l'apéritif. C'est pas la peine de se presser : les deux lascars ne tarderont pas à rentrer à la maison. Ils ne peuvent tout de même pas rester toute la journée dehors... Et même s'ils attendaient jusqu'au soir, nous, on n'est pas pressés, simplement leur punition sera encore plus sévère. Et ça, ils le savent bien, les bougres !
Finalement, les voila qui arrivent, ces deux adorables délinquants, tout penauds.
Ce qu'ils sont drôles !
Pour 14 ans, c'est des mômes solides... J'avoue que je suis fier de mon petit Michel.
D'abord, je sais que j'en ferai quelque chose, en tout cas, qu'il aura un jour une situation meilleure que le mienne. Une vie plus riche, plus intéressante et je parle pas seulement d'argent.
Et puis, c'est déjà un beau garçon...Bon, un peu comme moi, pas très grand, mais musclé, costaud, on voit que ce sera un gars solide. Il est sportif et ça me plait. Je me suis toujours promis que, dès qu'il aura passé le bac, je l'expédierai faire son service militaire dans une de ces unités de combat, parachutistes, troupes de marine, enfin, un truc de ce genre, où il en bavera un maximum ! Pas de problème, j'ais les relations qu'il faut.
Rémy, par comparaison, est moins mignon. Comme son père, c'est un blondinet un peu grassouillet. Plus gamin, moins réservé que Michou, plus remuant, plus amusant, aussi... Moins batailleur, toutefois...Mais on voit que, lui aussi, fera un gars solide.
Les deux morveux se tiennent devant la table, mal à l'aise, les yeux baissés, en se dandinant, balbutiant des explications et, déjà, les larmes aux yeux. Pardi, il y a de la fessée dans l'air!.. Si ils savaient ce qu'on leur réserve, ah, mes amis, on les entendrait déjà pleurnicher, ils se dépêcheraient de prendre de l'avance !
Nous, on s'amuse bien de les voir essayer de nous convaincre, tenter vainement – sans trop y croire– d'échapper à la punition. Tu parles, avec nous, pas moyen !
Non, on l'a pas poussé...Il est tombé tout seul !.. Il arrête pas de nous embêter !.. On l'a pas fait exprès !.. C'est pas nous, c'est lui !.. On voulait pas ! Non, c'est pas juste ! On voulait pas ! C'est pas moi, c'est Michel ! Putain ! Salaud ! Toi aussi ! C'est pas juste ! Oh, noooon, Papaaaaa !...
Et de pleurnicher et de se contredire, de se perdre et de s'enfoncer chaque fois un peu plus !
Je sais bien qu'Éric est une petite peste. A 11 ans, c'est normal. Lui aussi, je le corrige chaque fois que j'en ai l'occasion. Mais Michel est l'aîné c'est à lui de supporter son petit frère et de veiller à ce qu'il ne lui arrive rien de mal.
Alors, le coup des orties, pas question de le laisser passer !
Quand j'en ai eu assez de ces pleurnicheries je suis allé chercher le martinet.
Quand Éric a vu ça, il a été comme guéri instantanément ! Il a séché ses larmes comme par miracle!
Ce petit salaud, il n'a pas osé se montrer pendant le procès, de peur d'être accusé à son tour, je connais la musique ! Maintenant, le voilà qui se précipite dehors pour assister au spectacle !
Comme prévu, Victor a été chercher des gants dans sa voiture. Des gros gants de mécanicien avec lesquels il va cueillir deux beaux bouquets d'orties dans le sentier.
Ce coup-ci, les deux coupables commencent à chialer et à supplier pour de bon. Ils ont bien raison. C'est pour eux, les orties !
Ils vont recevoir une bonne leçon !
Et, bon Dieu ! ça sera pas volé !
En attendant, je jette un coup d'oeil du côté de nos femmes qui sont sur le pas de la porte.
Pour Marie, mon aînée, elle a l'habitude que je la corrige. Enfin, de temps en temps... Le minimum : c'est une fille et elle a déjà 17 ans. Bonne élève, sage, obéissante et tout... Alors, je m'en tiens à trois ou quatre corrections par an, pas plus. Le minimum, vraiment...Depuis qu'elle a passé 15 ans, je la corrige pour ainsi dire plus, mais enfin, faut ce qu'il faut...Des coups de martinet sur la plante des pieds. Ça fait mal, ça ! J'en donne aussi à mes garçons, de temps en temps, mais toujours en complément d'une bonne fessée !
Ils détestent !
Mais j'aime pas que les femmes regardent quand je corrige les garçons :
« Rentrez dans la maison ! C'est pas un spectacle pour les dames ! »
Vous l'avez compris, je suis un père de famille de la vieille école et je me fais obéir, non seulement de ma progéniture, mais aussi de ma femme et, pendant que j'y suis, des femmes de mes copains !
Je dois ajouter que j'ai toujours eu le soutien de Cathy, ma tendre moitié, pour ce qui est de mes méthodes d'éducation. C'est une bonne fille.
Enfin, j'ordonne aux deux loustics de se déshabiller et, comme j'en ai l'habitude, je décroche sans attendre une paire de gifle à chacun. J'aime bien les paires de gifles, les calottes. Pas trop fort, bien sûr, mais bien claquantes, bien cuisantes, ça oui ! Ça met tout de suite les choses en place et les gosses savent qui est puni et qui va punir. Ça permet de couper court à toutes ces manifestations de résistance, à toute tentative de se débattre. Avec des gamins de 14 ans, déjà bien costauds, il faut s'imposer tout de suite, sinon, c'est foutu !
Et comme j'ai le martinet à la main, je ne résiste pas au plaisir de leur flanquer alternativement quelques bons coups sur les cuisses et les mollets pendant qu'ils se déshabillent, rapport à les motiver un peu!
Ah, ils ont pas mis longtemps enlever les chaussures, le short, la chemisette, les chaussettes... Pour le slip, il a fallu insister un peu mais après sept ou huit bons coups de martinet à droite et à gauche, s'est fait ! Fallait les voir comme ils ont sauté sur place !
Sournoisement, Eric est resté pour jouir du spectacle mais il est un peu en retrait, tentant de se faire oublier...Toujours prudent, ce môme...
Toi aussi, tu perds rien pour apprendre, je t'ai à l'œil ! A la première occasion, je te flanquerai une bonne correction, histoire de montrer à ton grand frère et à toi aussi, que je suis juste avec les deux! Juste et sévère...
Victor a posé les bouquets d'orties et les gants sur la table. On était d'accord comme ça. Chacun tiendra son propre fils, pendant que l'autre le corrigera... Histoire de changer un peu !
D'abord, on attache les mains des deux gamins, sur le devant, grâce à de petites cordes que j'avais, heureusement, dans la maison. C'est pour éviter qu'ils se grattent derrière, après la punition, pour éviter que cela aggrave les démangeaisons...Quand même !
Ils se laissent faire sans difficultés mais non sans pleurnicheries. C'est comique de voir ces deux gamins, complètement à poil, les poignets attachés, on dirait qu'on va les vendre comme esclaves sur le marché du patelin !
Je suis sûr que si on le faisait, on en aurait un bon prix...
J'ai planté une chaise au milieu de la terrasse me suis assis, attrapant Michel par le bras, le tirant vers moi...
J'écarte les cuisses, je courbe Michel en avant, place sa tête entre mes cuisses que je referme, lui serrant le cou, pas trop... Juste ce qu'il faut... Puis, mes deux bras nus passent autour de sa taille, serrant assez fort... Le gamin, le cul en l'air, sur la pointe des pieds, ne peut plus bouger... Voila qu'il commence à chialer pour de bon, sachant ce qui l'attend, son cul bien ouvert, bien exposé à la punition... Et, bon Dieu, c'est pas volé !
Rémy, les mains attachées, regarde de ses yeux bleus exorbités, de grosses larmes coulent sur six jours... Te fais pas de soucis, vaurien ! Ton tour va venir !
Victor a pas traîné : le gant, un bouquet d'orties fraîches et paf !
Directement dans le trou du cul de cette petite crapule de Michel !
Le gamin pousse un hurlement terrible, il saute en l'air et se serait envolé jusqu'à Marseille si je ne l'avais pas fermement tenu ! C'est sûr que ça doit faire mal. Pardi, c'est fait pour...
Pendant deux bonnes minutes, Victor lui essuie proprement le derrière, les fesses, la raie des fesses, les cuisses, l'entre cuisses, avec ses bonnes orties bien piquantes, jusqu'à ce que les feuilles soient arrachées !
Je dis pas les cris, les supplications, les pleurs...
Puis, il jette les orties dans la pelouse, enlève le gant et s'empare du martinet.
On s'était mis d'accord : quarante coups chacun. Quarante coups bien sérieux, bien cinglants !
Avec Victor, pas la peine de le dire deux fois ! Pour être cinglant, c'est cinglant !
Michel pousse des hurlements sauvages... Chaque coup de martinet fait éclater les grosses cloques blanches qui se sont formées sur ses fesses toutes rouges, bientôt il a le cul tout trié de raies violettes, gonflées, pendant que d'autres cloques blanches apparaissent. Il se débat tellement que j'ai de la peine à le retenir, il bondit sur place, impuissant à se libérer, il laboure rageusement le sol de coups de pieds et de talon, hurle des supplications, des promesses, beugle qu'il a mal, trop mal... Qu'il le fera plus !
Pardi, j'y compte bien !
Oh, ça ne m'émeut pas ! J'ai l'habitude, c'est normal. Au contraire, cela montre que la punition est bonne. C'est excellent.
Après quarante coups, je le relâche. Pendant une bonne minute il trépigne sur place, son sexe en érection, agité de soubresauts, le visage ruisselant de chaudes larmes...
Mais quand il voit que Victor s'assoit dans la chaise et met en position son copain qui hurle de peur, quand il me voit enfiler le gant et prendre l'autre bouquet d'orties, il se calme comme par miracle pour pouvoir mieux profiter du spectacle... C'est la vie, c'est comme ça. Je sais qu'il aime bien Rémy, qui est un bon copain, mais ça lui fait plaisir de savoir qu'il est puni, lui aussi. C'est humain !
Armé du bouquet d'orties je me suis approché des bonnes fesses toutes blanches du gros Rémy.
Ah, mon gaillard, à nous deux !
Blanches, elles vont pas le rester longtemps, tes fesses ! Je vais m'en occuper, de tes fesses !
Un derrière parfaitement imberbe, un vrai derrière de gros bébé bien rose. On voit son petit trou du cul, tout tendre, sans un poil. C'est trop mignon, trop tentant, pour que je ne m'y attaque pas tout de suite ! Après tout, Victor ne s'est pas gêné avec Michel, alors : direct dans l'anus !
Je vous dis pas le hurlement strident du gamin !
Je frictionne bien consciencieusement ses deux grosses paires de fesses, je n'oublie pas de punir l'entrejambe, les couilles, de revenir à la raie des fesses, de la frictionner bien comme il faut !
Puis, retour sur le rond des fesses, retour sur les couilles, sur le haut des cuisses...
Quand tout cela est bien rouge, que mille petites cloques sont apparues partout... Alors, je passe au martinet, mon instrument préféré !
Quarante coups. Pas un de plus, pas un de moins, quarante... Quarante bons coups, à toute volée, et je vous jure bien que je n'ai ménagé ni le haut des cuisses, ni la raie des fesses, ni le trou du cul...enfin, rien ! Le gosse hurle comme un dément...
Quand tout est terminé, on a fait rentrer les deux punis dans la maison, on les allonge sur le ventre, l'un à côté de l'autre, sur le lit de Michel et on leur attache les poignets au bord du lit pour qu'ils ne puissent pas se gratter...
Leurs mères ont préparé des compresses froides pour les soulager un peu...
Nous, on termine notre apéritif en attendant le déjeuner.
Les deux chenapans n'ont pas déjeuné avec nous. Je comprends bien qu'ils n'ont pas trop faim !
En fait, ils sont restés allongés sur le lit toute la journée, à pleurnicher doucement...
Le soir, on a pris une petite collation. Alors, ils sont venus à table pour se restaurer un peu. J'aime autant vous dire qu'ils ne se sont pas assis et même, qu'ils sont restés culs nus ! Ça leur cuisait trop et ils pouvaient même pas supporter de porter un slip ! Ce qu'ils étaient drôles ainsi !
Quand ils se sont levés, j'ai inspecté les draps du lit et j'ai constaté qu'ils étaient souillés... La nature avait fait son oeuvre et, décidément, ces deux petits gredins devenaient grands... J'avoue que cela m'a fait quelque chose de penser que Michel allait devenir un homme...
On a décidé que Rémy passerait la nuit avec nous, dans le lit Michel. On pouvait quand même pas lui imposer le voyage en voiture et son père est revenu le chercher le lendemain soir...
Demain, j'emmènerai ces trois vauriens se baigner au lac, histoire de les réconcilier un peu et de passer l'éponge...
Ce jour-là, mon ami Victor et moi, nous n'étions pas mécontents de leur avoir donné une bonne leçon...
Une leçon...brûlante !