Le blog de panpan

J'avais un peu plus de 14 ans.

C'était l'été, j'étais en vacances à la campagne. Je me baladais en forêt avec mes cinq copains.

Dans une clairière très reculée, Patrice sort de son sac une paire de menottes qu'il avait récupérer dans une panoplie de policier et, pour s amuser, il demande à ce que chacun les essaye.

 

Je suis le dernier et lorsque je leur demande de me détacher, je me heurte à un refus catégorique.

-Allez, faites pas les cons, ouvrez ça !

-Non tu es bien comme ça, tu es notre prisonnier.

-Non, mais ça va pas !

-Attends, j'ai une idée. On va l'attacher à un arbre. Aidez-moi.

Plusieurs mains me ceinturent et m'entraînent contre l'arbre. Patrice enlève sa ceinture et avec, il attache mes menottes au tronc, en serrant la ceinture pour l'empécher de glisser.

Je me retrouve debout, bras levés au-dessus de ma tête, attaché à une branche.

Comme je rue et lance des coups de pied, Patrice et deux autres me maintiennent les jambes et baissent mon short jusque sur mes chevilles. Rusé comme un renard, Alain enlève lui aussi rapidement la ceinture de son jeans et me la passe autour des jambes. Deux tours suffisent pour me bloquer les jambes les unes contre les autres.

Comme ça, tu as les chevilles entravées. Tu restes tranquille.

- Espèces de salauds, conards, détachez-moi.

- Mais c'est qu'il nous insulte ! On va lui montrer.

Ils remontent mon tee-shirt au-dessus de ma tête. Je n'y vois plus rien. Je suis en slip, à leur merci.

Je sens des mains me caresser le dos, le ventre, les cuisses. Je ressens, malgré la situation embarrassante, l'excitation monter.

Mais c'est qu'il bande le vicieux !

- A poil, hurle Marc, on le fout à poil, oui c'est ça à poil.

Deux mains s'emparent de mon slip et le baissent.

Nooon ! Pas ça ! Non....

- Ta gueule ! Tu es notre prisonnier, on a tout les droits.

  Le slip baissé jusqu'aux chevilles je me retrouve complètement nu, avec simplement mon tee-shirt autour de la tête qui m'aveugle, et ma bite de onze petit centimètres qui pointe fièrement devant moi. Je suis mort de honte.

- Non ! Pitié ! Laissez-moi.

- Mais non, tu vois que tu aimes ça.

 

Une main se ferme sur ma verge et commence lentement à me branler. Une autre me tripote les couilles, en les pressant et les faisant rouler sous les doigts. Une troisième me caresse les fesses. Un doigt s'insinue dans la fente à la recherche de mon trou.

- On va te faire découvrir de nouvelles sensations.

- Salauds, fumiers, bande de lâches....

- Mais il nous insulte encore, ce petit voyou.On va lui faire payer ça. On va lui donner une fessée comme lui fait son père.

Ainsi, chacun leur tour, ils m'ont fait rougir le cul. J'avais les fesses en feu mais je bandais encore plus.

Va couper une badine, demande Patrice, tout en continuent à me claquer le cul.

Au bout d'un moment, les claques se sont arrêtées quelques instants puis, je ressens brutalement une douleur fulgurante, suivie dune douzaine d'autres. C'est comme sils me fouettaient avec un fer rouge.

Voilà, tu as eu ton compte ?

- Détachez-moi.

- Non, tu es très bien comme ça. Démerde-toi.

 

Et ils sont partis sans dire un mot, me laissant nu, attaché, les fesses brûlantes que j aurai bien voulu pouvoir frotter pour atténuer la douleur et ce qui était très étonnant, la queue étrangement bandée au maximum.

 

J'étais mort de honte, je me suis mis à pleurer.Mais au fond de moi, j'étais persuadés qu'ils allaient vite revenir me détacher.

Au bout de dix minutes, j'entendis des bruits de pas qui se rapprochaient. On parlait à voix haute, je reconnus des voix féminines et rires aigus. Plus aucun doute, ce n'étais pas eux, c'était bien un groupe de plusieurs filles qui s'approchaient de moi. Par la faute de ces salauds, je risquais d'être découvert et subir une terrible humiliation  devant des filles inconnues, si elles me découvraient ainsi.

 

Les pas stoppèrent presque en même temps, un silence inquiétant, puis, à l'unisson, de grands éclats de rires fusèrent tout autour de moi, elle devaient être au moins cinq ou six.

- Magnifique les filles, regardez ce que le hasard nous a mis sur notre route. Un véritable cadeau. Nous allons passer un moment que ne ne serons pas prêt d'oublier.

- Profitons en s'écriât une autre fille, c'est pas tous les jours que l'on a un garçon à disposition pour nous amuser.

- Regarde son petit zizi, il est encore tout dur s'esclaffa l'une d'elle.

- Jeanne toi qui est encore pucelle, entraîne toi sur ce couillon et fait nous voir comment tu fais jouir devant nous ton premier garçon.

 

Presque aussi tôt, une main s'empara de mon pénis qui commençait à mollir sérieusement.

- Dépêche toi, il est entrain de débander. Cria une de filles visiblement plus excitée que la pucelle qui s'affairait maintenant sur mon sexe qui, malgré l'humiliation de se retrouvé ainsi exposé à un groupe de filles ravies d'une telle aubaine, tait entrain de reprendre de la vigueur.

 

La main fraîche et ferme serraient ma verge et commençaient à entreprendre des allers- venues en me branlant maladroitement. Ayant tirée mon prépuce le plus en arrière possible avec ses doigts elle pressait de temps en temps sur le bout de mon gland pour accélérer l'afflux sanguin.

 

- Regardez les filles,dit- l'une d'entre elle, il a reçu une fessée. Ces fesses sont striées comme celles d'un jeune zèbre.

- Il a du être très vilain ce grand garçon, renchérit une autre.

 

Une main venait de s'aventurer sur les fesses et,comme pour en tester la résistance, pinçait avec force ma peau déjà meurtrie.Puis soudain en même temps que la fille qui se prénommait Jeanne continuait de s'évertuer à me faire jouir, ma main qui me pinçait depuis un moment, écarta avec ses doigts, la raie de mes fesses. Tenant bien écartés les deux globes, une main s'introduisit dans mon sillon.

 

Sans même prendre le temps de tester mon anus, un doigt d'une longueur impressionnante s'introduisit en moi en une seule poussée. je ne pus retenir un cri de douleur tant la poussée avait soudaine et violente. Aucun doute, la fille voulait me faire mal.

- Tu vois la première fois la fait comme ça. Un connard de ton espèce m'a déchiré mes fesses et je me suis juré de faire la même chose à un garçon. Me voila vengée.

Le doigt continuait à me fouiller en tournant lentement comme pour essayer de me dilater un peu plus. Une soudaine envie de me soulager, m'obligeât à serrer les fesses au maximum, et la fille s'en rendit compte.

- Il contracte son anus cet imbécile, il pense sans tirer comme ça. Tu vas te soulager devant nous pauvre con. Et elle se remit à faire tourner son doigt en m'écartant le plus possible les sphincters. Un deuxième doigt s'introduisit pour aider le premier à me dilater encore plus.

- On va le vider des deux cotés, qu'est ce que vous en pensez les filles ?

- Super, ok, bravo, bonne idée, pas une fille ne se prononçait pour me libérer. je n'aurais imaginé qu'une fois ensemble, des filles puissent avoir des idées aussi vicieuses envers un garçon.

 

Encouragée par les autres, Jeanne me masturbait de plus belle et voyant que je n'allais pas pouvoir me retenir bien longtemps, les deux doigts qui me violait l'anus continuaient leur va et vient.

- Pitié, assez , arrêtez s'il vous plaît, je ne vais pas pouvoir me retenir. Pas ça devant vous, je vous en prie. Mes supplications demeurèrent sans réponse.

Des larmes coulaient le long de mes joues mais cela n'avait pas l'air de décider les filles à me libérer.

 

Je me mis à hurler en même temps qu'une violente poussée à l'intérieur de mon rectum, sonnait le début de mon cauchemar. Sentant cela, la fille qui m'écartait l'anus retira d'un coup sec ses deux doigts. Dans la seconde qui suivit, ne pouvant refermer mes sphincters dilatés pour arrêter ce flot qui cherchait une issue,  je me vidais d'un seul coup, en public, devant des inconnues, attaché les jambes serrées, dans l'impossibilité d'écarter les jambes pour ne pas me couvrir un peu plus de honte.

- Regardez le ce cochon il en met partout. Il a fait un gros caca ce vilain garçon.

Les rires et les remarques moqueuses fusaient de toute part.

Une violente éjaculation m'extirpa un râle de plaisir, en même temps que les filles applaudissait  Jeanne et la félicitait pour sa grande première avec un garçon.

- Continue, ne t'arrête pas, vide lui ses petites testicules à  ce puceau, tu vas voir comme c'est insupportable si tu continue à le branler après qu'il ai éjaculé.,Il va vite nous demander pitié.

Jeanne continuait à me branler d'une main, pressant mes bourses de l'autre voulant obtenir de ma part une deuxième et immédiate éjaculation.Elle avait du mal à maintenir mon érection.

Mais l'épreuve était trop douloureuse à supporter, la honte, l'odeur de mes propres déjections et ma verge trop sollicitée, eurent raison de moi. Je débandais malgré les efforts de la fille.

- Oh le con, on dirait qu'il a son compte.

- C'est comme ça que tu nous remercie ? Une gifle cinglante donnée par je ne sait laquelle des filles, clôtura la séance.

- On s'en va les filles, ça sent trop mauvais ici.

J'entendis quelques "clic clac" de téléphones portables. On me prenait en photos.

Me laissant attaché à l'arbre, les fesses couvertes de mes propres excréments, le sexe pendant et vaincu, les filles s'éloignèrent en riant et en commentant leurs exploits.

 

Ce n'est qu'une bonne vingtaine de minutes  plus tard que mes copains décidèrent de mettre fin à mon calvaire.

Ravis de m'avoir joué un vilain tour,ils revinrent tous ensemble pour voir dans quel état les filles m'avaient laissé et pour me libérer.J'appris par la suite que les filles avaient été prévenus à l'avance de

 

Trente ans plus tard je me souviens comme si c'était hier de cette terrible journée..................

Sam 30 oct 2010 Aucun commentaire