Le blog de panpan

Mes parents ont décidé de m'inscrire cette année dans un nouveau collège. Mais cette fois, je devrais être interne du Lundi au Vendredi.

 

J'ai eu beau essayé d'en dissuader mes parents, rien n'y a fait et me voila obligé de vivre une année scolaire avec des élèves inconnus. Rien qu'à l'idée d'avoir à me déshabiller devant d'autres garçons, je suis terrorisé. Je ne me suis jamais mis nu devant d'autres garçons, évitant depuis mon plus jeune âge d'avoir à montrer mon sexe. Depuis l'âge de 12 ans, j'ai pu voir dans les dictionnaires que je n'étais pas fait comme les autres garçons. Et avec un nom pareil à porter, c'était pour moi un véritable cauchemar que d'imaginer avoir à me montrer nu.

 

Ma première journée de classe m'a bien vite fait comprendre qu'ici, il y a des règles établies par les anciens.

Lorsque nous rejoignons le dortoir vers 21 heures, le plus ancien qui se fait appeler "Le Boss" par sa petite cour d'anciens, se met au milieu du dortoir et demande aux nouveaux élèves de lever la main et de se présenter.

 

Je me retourne pour voir s'il y a d'autres élèves dans mon cas, mais hélas, personne à part moi, lève timidement la main.

- Comment tu t'appelle, trou duc ?

- Sebastien, Sebastien Delépine, répondis je à voix basse et tremblotante.

- De la pine, dit-il au milieu d'un éclat de rire général. je sens que l'on va bien s'amuser avec toi. Tu apprendra vite nos règles. Ici les anciens ont tous les droits.

 

Visiblement ravi de sa prestation,Il se retourne me laissant planté au beau milieu du dortoir.

Chacun regagne son lit, mais moi ne sachant ou poser mes affaires, je reste là à attendre un conseil, un ordre, une invitation à choisir un lit parmi ceux qui semblent inoccupés.

 

Au bout d'un moment je me décide à poser mes affaires sur un lit proche de la fenêtre.

Lorsque je me retourne, les garçons sont tous intégralement nus et serviettes à la main se dirigent, vers les douches.

 

Terrorisé, et ne voulant absolument pas me rendre aux douches dans la même tenue, je reste assis sur mon lit et commence à me dévêtir pour enfiler mon pyjama.

Pendant ce temps j'entends les anciens rires aux éclats dans la salle de bain.

 

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Lorsqu'ils reviennent au bout d'un moment, toujours aussi nus et sans aucune pudeur, ni gène apparente, ils me regardent d'un drôle d'air qui ne laisse rien présager de bon.

 

- Dit donc le nouveau on t'a pas vu aux douches. Elle doit être sale ta zigounette.

Espérant qu'il retourne vers son lit en me laissant tranquille, je ne réponds pas et baisse la tête.

- Et en plus il est malpoli. Les gars, si on lui faisait son premier bizutage ?

 

- Oui c'est ça, à poil s'écrie un autre pensionnaire.

 

Ils sont quatre à se ruer sur moi et j'ai beau me débattre de toutes mes forces, l'une deux se couche sur moi en me mettant la main devant la bouche pour m'empêcher de crier.

Pendant ce temps les autres en profitent pour attraper mon pantalon de pyjama en essayant de le tirer vers le bas. Mais comme j'ai fait un double noeud pour l'empêcher de tomber, ils s'énervent et finissent par le tirer violemment dans un bruit de déchirement de tissu qui ne me laisse aucune illusion sur leurs intentions.

 

Mon pyjama vole en lambeaux et je l'air frais qui me touche la peau me fait comprendre que je suis maintenant tout nu devant eux. Celui qui me tiens la tête s'assoit en tailleur derrière moi et me maintient la main sur la bouche. Deux autres me tiennent les jambes, alors que "le boss" commence son inspection.

 

- Vite venez voir tous, on a un truc incroyable à vous montrer.

Ceux qui n'ont pas participer à ma mise à nu se rapprochent et font un demi cercle devant moi, en me détaillant de la tête au pieds.

Je ne peux détacher mon regard de leurs rires, à la vue de mon sexe presque imberbe.

Je suis mort de honte, il vont découvrir mon terrible secret et  voir ce que je m'évertue à cacher à tous les garçons et les filles depuis toujours.

 

- Putain, s'écrie le boss, il n'a qu'une seule couille !!!

- Regardez, approchez vous, c'est pour ça qu'il voulait pas se doucher ce couillon.

Pour m'humilier un peu plus ou pour renforcer son rôle de chef, il attrape mon testicule dans sa main et commence à tirer dessus en la faisant rouler dans ses doigts.

- On va l'appeler "qunecouille" qu'est ce que vous en pensez les gars ?

- Un oui général ponctue la question.

 

Un des plus jeunes s'approche de moi et prends dans sa main mon sexe tout rabougri.

- Dit donc, Boss, tu crois qu'il peut éjaculer avec une seule couille ?

- Etonné par la question, le boss lui répond: On va voir, y qu'à essayer.

 

- Branle toi, me dit il en me fixant dans les yeux. Je te préviens si tu ne le fait pas, on te fout à poil attaché dans le dortoir des filles, c'est toi qui choisi !!!

 

Des larmes me montent aux yeux, mais je sais bien que je dois lui obéir pour éviter une autre humiliation bien pire encore.

J'essaye maladroitement de faire monter une érection en prenant dans le bout de mes doigts mon gland encore tout engourdit. Je commence à me masturber lentement sous les rires et les quolibets de tous les internes.

Ils me regardent hilares de voir un jeune bizut, se branler devant eux avec un sexe si différent du leur.

- Ca y est, il bande. Eh bien tu vois Jean Yves, il va peut-être arriver à éjaculer notre ami "qunecouille"

 

- Accélère, on ne va pas y passer la nuit. Si dans une minute tu n'a pas fait sortir quelque chose de ta queue, tu iras finir la nuit avec les filles.

Horrifié à cette idée, je me branle maintenant de toutes es forces et à toute vitesse.

Les rires ont repris, mais je n'y fait plus attention, trop concentré à me faire jouir pour éviter de me retrouver au beau milieu du dortoir de filles.

 

 

 

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Un des garçons, me donne une tape avec la main sur mon testicule, comme pour le stimuler un peu plus.

Je sens monter en moi un flot de sperme qui me part d'un seul coup sur le haut de mon pyjama rayé et sur ma figure.

 

- Bravo "qunecouille" on peut dire que tu es un rapide toi !!!

- Regardez les gars, on a un phénoméne cette année avec nous. Je sens qu'on va bien se marrer.

- Vas te laver aux douches, je crois que l'on t'a suffisamment vu pour ce soir. demain, une rude journée t'attends.

 

Celui qui me retenais la tête me lacha et sans demander mon reste, je filais vers les douches, le cul à l'air, la main devant le sexe pour cacher ce que tous avaient eu sous les yeux pendant de longues minutes.

Heureusement, personne ne me suivait.

Larmes aux yeux, je passais sous la douche pour me laver et nettoyer le haut de mon pyjama.

 

Lorsque je quittais la salle de bain, les garçons étaient tous dans leurs lits, sourires aux lèvres, me détaillant encore pour un peu plus m'humilier.

 

- Vas éteindre, "qunecouille", m'ordonnât le boss.

Je m'exécutais, vaincu, dominé et humilié dès le premier jour.

Le pire restait certaiement à venir.

 

Suite à venir..............

Ven 5 nov 2010 3 commentaires
J'aime bien .
jip.pet - le 18/11/2010 à 14h44
En 1955, un souvenir de mon internat de garçons , le soir les garçons se mettaient nu pour le pyjama, lorsqu'il y avait une visite médicale, les garçons étaient nu en attente du docteur, nu à la douche, en fin de semaine, les garçons mettaient leurs sous vétements, chemises à la corbeille à linge, ils étaient nu chaque son tour, c'est un plaisir de se mettre nu avec les garçons,j'ai vu beaucoup de pénis imberbe, je me cachais pour me mettre nu pour la musturbation
fraicha - le 30/05/2015 à 17h33
Moi dans mon collège de garçons on faisait mettre les élèves de 6eme à poil et on leur tartinait les fesses de Nutella. Les petits bizuts étaient alignés à genoux en file indienne et chacun devait "nettoyer" avec sa langue le cul du garçon devant lui. Une fois tout les dernières bien propres on passait à la branlette.
Un par un les 6emes, nus comme des vers, devait se placer au centre de la pièce et se masturber devant les élèves plus âgés.
Évidemment en 6eme rares étaient ceux qui avaient des poils au sexe mais l'épreuve était marante quand même. La masturbation durait deux minutes chrono. C'était plus du tripotage de zizi qu'autre chose mais cela marquait leur entré au collège. La plupart des bizuts étaient rouges de honte en tripotant leur petit machin imberbe devant tout le monde .
Léo - le 19/07/2022 à 02h32