Le blog de panpan
Cela faisait maintenant une semaine que j'avais intégré ce nouveau collège.
Dés le lendemain matin, les pensionnaires s'étaient fait un malin plaisir de raconter aux filles tous les détails de la soirée.
Chaque regard que je croisais maintenant dans la cour, les couloirs ou en classe,me mettait mal à l'aise et je voyais bien que les filles rigolaient de moi en discutant avec la main devant la bouche comme pour dévoiler à l'autre un secret.
Il me fallait résister à l'envie de m'enfuir de ce maudit collège ou mes parents m'avaient envoyé sans se douter une seule seconde que j'allais devoir subir les pires humiliations.
Cela faisait quelques jours que je voyais les internes "filles" discuter entre elles en me regardant du coin de l'oeil. Pendant les récréations, je vis même "le boss" discuter plusieurs fois avec le groupe des internes et même si ne pouvais deviner ce qui se tramais, je comprenais bien que j'étais le sujet de conversation.
Dans ma classe les quatre filles avaient également été mise au courant. Laure, Anne-marie, Geneviève et Solange ne manquaient pas une occasion de me rappeler la particularité de mon anatomie avec des blagues vaseuses dès que le sujet étudié le permettais. J'entendais souvent juste derrière moi, Solange et Geneviève discuter de grosseur de sexe, de testicules et autres sujets tournants autour de la virilité masculine,assez fort pour j'entende bien leur conversation. Un jour même, Solange se demanda froidement, si je pourrais avoir des enfants, sous les rires à peine dissimulés de Geneviève.
Puis les jours passèrent............ les semaines, et les regards se firent de moins en moins moqueurs. Je finis par penser que tout le monde avait tourné la page. Même au dortoir et aux douches, les garçons me laisaient tranquille. Le boss également semblait ne plus faire attention à moi.
Un matin en descendant l'escalier des dortoirs, je vis par terre, morceau de papier plié en quatre. Intrigué, je le ramassais et le mit dans ma poche. Je profitais d'une récréation pour aller au toilettes et j'en profitais pour récupérer dans ma poche le papier pour en prendre connaissance.
La feuille de format A4 était en fait une correspondance entre deux filles, toutes les deux internes au collège: Margot et Geneviève.
Une longue lettre d'amour écrite par Margot à l'attention de Geneviève. Le papier avait du tomber de sa poche et sa découverte fut pour moi une véritable surprise. Au beau milieu des déclarations enflammées de Margot, une photo de mauvaise qualité prise certainement avec son portable, montrait les fesses de Margot avec un tatouage que l'on avait du mal à décrypter. Juste au dessus de ses fesses, un dessin chinois d'une dizaine de centimètres ornait le creux de ses reins. Margot expliquait à son amoureuse qu'elle venait de le faire tatouer et qu'il symbolisait leur amour.
C'était mon jour de chance. Geneviève qui était dans ma classe, était la pire chipie du collège et elle n'avait cessé de se moquer de moi pendant plusieurs semaines. Sans l'avoir cherché, je tenais ma vengeance.
L'après midi même, je me rendais dans les bureaux de la vie scolaire et profitant d'un moment ou j'étais seul, je réussissais à faire une dizaine de photocopie du précieux document. Je réfléchissais à la manière de la diffuser la lettre, pour clouer le bec à ces deux gougnottes. La solution la plus efficace me parut de faire en premier de faire passer le plus discrètement possible la lettre au surveillant général du collège. Je décidais donc d'en déposer un exemplaire dans sa boite aux lettres et de conserver pour le moment avec moi les autres exemplaires de photocopies.
Je me rendis dans le bâtiment des professeurs et après avoir regardé tout autour de moi je pénétrais dans la salle des professeurs et déposais une copie dans sa boite en bois accrochée au mur. Je ressortis dans le couloir au moment ou la femme de ménage qui me tournais le dos, se mit à vider son seau d'eau sur le carrelage du long couloir. Je hâtais le pas pour sortir sans qu'elle m'aperçoive.
Nous étions en fin de cours de Français, lorsque la porte de la classe s'ouvrit ans un silence religieux. Le surveillant général, entra dans la classe et se dirigeât vers Mr Lechenadec, notre professeur. Une rapide et discrète conversation entre eux et Mr Lechenadec pointa son doigt vers Geneviève en lui demandant de se lever et de suivre le surveillant général jusqu'à son bureau.
Le soir même j'apprenais que Geneviève avait écopé de 4 jours de renvoi et d'un conseil de discipline.
Une semaine plus tard Geneviève avait réintégré le collège. Les discussions à son sujet allant bon train.
Voyant la tournure des opérations, j'avais décidé de ne pas distribuer les photocopies restantes, préférant les cacher dans mon armoire, au cas ou j'aurais à m'en resservir.
C'est seulement la semaine suivante que j'eus une mauvaise surprise. En remontant vers 17 heures dans le dortoir, je constatais que le cadenas à numéro qui fermait mon armoire métallique, était ouvert. J'essayais de me souvenir, si c'est moi qui avait oublié de le fermer en partant ce matin, ou si c'était un interne qui l'avait forcé ou avait repéré mon code. Mais j'avais beau réfléchir, je n'arrivais pas à en être certain. le doute subsistais dans mon esprit. Le cadenas n'étais pas forcé, il était simplement ouvert sur le bon numéro de code.
En ouvrant l'armoire pour voir si on ne m'avais rien dérobé, je constatais avec horreur que tout était bien là, sauf les photocopies de la lettre de Margot.
Le sang me montait à la tête et une bouffée de chaleur accompagnait une montée d'angoisse irrésistible.
Au moment même ou je m'apprêtais à refermer l'armoire, j'entendis claquer la porte du dortoir. Six filles venaient de faire irruption dans la pièce. Au centre du groupe, Geneviève se tenais avancée, le regard menaçant.
- C'est donc toi le salopard qui m'a dénoncé au surveillant, tu vas me le payer.
Cherchant désespérément une issue de secours, mais je me rendis bien vite compte que toute retraite était vaine, car la seule sortie était la porte du dortoir. Voyant que je cherchais à fuir, les six filles se ruèrent sur moi et en quelques secondes, je fus projeté à terre par ces furies. Deux d'entre elles se couchèrent sur moi pour m'empêcher de me relever, deux autres me tenaient les mains, et une autre venait de s'asseoir sur mes jambes pour m'immobiliser un peu plus. Au bout de quelques minutes, je n'avais plus de force. Les filles avaient été patientes et avaient simplement attendu que je m'épuise à gigoter dans tous les sens pour me délivrer. A bout de souffle, je n'arrivais plus à bouger le moindre membre.
- Apporte le Scotch et la corde hurla une des filles. En quelques secondes je sentis mes pieds soulevés puis le bruit du rouleau de Scotch qui se déroule autour de mes chevilles. Impossible maintenant d'écarter plus les jambes, j'étais immobilisé au niveau des pieds.
- Les mains maintenant continua une autre. Les deux filles qui me tenaient les mains, me les ramenèrent sur le devant et en quelques tours de rouleau adhésifs, mes poignets étaient eux aussi immobilisés définitivement. je sentis que l'on me passait une corde autour des poignets. la tension qui suivit, me fit comprendre qu'elle était maintenant reliée à mes pieds.
Je reconnu la voix de geneviève.
- Avant de passer à la punition qui t'attends, je vais te montrer mon tatouage de prés.
Les filles étaient toujours au dessus de moi et je ne pouvais pas bouger d'un centimètre.
Je voyais Geneviève au dessus de ma tête qui me regardait avec des yeux remplis de vengeance.
Devant mon visage incrédule, elle écarta les jambes et commença un strip tease en enlevant d'un seul mouvement ,sa jupe plissée, son slip de coton blanc et son long tee-shirt, qui lui descendait sur les cuisses.
Incroyable, elle venait de se mettre toute nue devant moi et ses copines, sans aucune gène.
- Tu vas en bouffer du tatouage, me dit elle, tout en s'asseyant sur mon visage. Ses chaussures à talons hauts de chaque coté de mon visage et ses cuisses musclées, empêchaient le moindre mouvement de mon visage.
Elle venait de plaquer la raie de ses fesses en plein milieu de mon visage et j'avais maintenant le nez en plein dessus la rosette de son anus. Son odeur aigre de transpiration était très dure à supporter. Elle avait du volontairement ne pas se laver de plusieurs jours, pour m infliger cette humiliation supplémentaires. Elle continuait à peser de tout son poids sur ma tête et j'avais beau essayer de bouger, mon visage était maintenant parfaitement calé dans la raie de ses fesses.Il me fallait respirer aussi par la bouche, si je ne voulais pas m'étouffer.
- Lave moi avec ta langue ou je t'arrache la seule couille qu'il te reste.
En même temps qu'elle disait cela, l'une des filles venait de défaire la ceinture de mon jeans et le descendait par petites saccades sur mes chevilles. Puis se fut au tour de mon slip de rejoindre mes chevilles. Je m'exposais maintenant aussi nu qu'elle, et pour bien me faire comprendre qu'elle ne plaisantait pas, elle saisit à pleine main mon unique testicule en serrant ses doigts jusqu'à ce que je crie de douleur.
Obligé d'obéir sous peine de terribles représailles, je commençait maladroitement à sortir ma langue et à la passer sur son sexe offert. Ses poils déjà humides entouraient ma bouche, mais le plus désagréable était cette odeur de fille négligée, à la fois aigre et forte. n'ayant pas encore l'habitude d'aventurer ma bouche et ma langue dans ces régions, j'avais du mal à retenir des "hauts le coeur".
Encouragée par les rires des filles, Geneviève continuait à peser de tout son poids sur mon visage. La main toujours autour de mon testicule, elle m'obligeait à continuer sa toilette intime. Patiente et déterminée, elle attendait sûrement d'avoir un orgasme pour me libérer de ses fesses et de son sexe.
Ma seule échappatoire était de la faire jouir le plus vite possible. Bien conscient que je ne pouvais compter que sur ma langue pour parvenir à mes fins, je m'appliquais maintenant à aller chercher avec ma langue, une fois le fond de son sexe qui était mouillée à l'extrême et une autre fois le doux contact de son clitoris qui pointait au dessus de ses petites lèvres. Malgré le mal au mâchoire qui commençait à me paralyser, je poursuivais mon "nettoyage" de ses parties intimes.
D'un seul coup, Geneviève se mit à trembler comme une feuille, un râle de plaisir, presque un cri sorti de sa bouche. je priais le ciel que personne ne vienne pour voir ce qui se passait.
Au même moment se sentis couler le long de mes lèvres une abondante liqueur sucrée, qui sortait directement du sexe de Geneviève. Elle jouissait en flots continus et se déversait sans aucune gène dans ma bouche. Ne pouvant faire autrement, j'étais obligé d'avaler une bonne partie de ses sécrétions vaginales.
- C'est bon les filles, passons à l'étape suivante. En même temps qu'elle se relevait me laissant entrevoir son sexe très poilu, largement ouvert par le plaisir que je venais bien involontairement de lui procurer, elle me prit les cheveux derrière la tête et me fit comprendre qu'il me fallait me redresser.
Mais pieds et poings liés, je ne pouvais me redresser sans l'aide des autres filles. Les fesses à l'air, le pantalon et le slip sur les chevilles, les filles durent me prendre sous les bras pour me redresser et me faire mettre debout.
La corde qui reliait mes poignets à mes chevilles m'empêchait de me redresser et je dus rester debout pliés en avant la tête presque au niveau des genoux.
Je devais être grotesque à voir. Dans un angle du dortoir, entièrement nu des pieds à la taille, seul mon tee-shirt cachait un peu mon corps d'adolescent pubère.
- Maintenant tu vas vraiment payer pour ce que tu as fait. Le ton sur lequel Geneviève venait de me parler ne présageait rien de bon.
- Je vais te fouetter le cul jusqu'au sang. Tu vas regretter d'avoir dénoncé à Mr Lechenadec.
- Tenez le bien les filles, et s'il bouge d'un cheveux ou s'il se met à crier comme un lâche, tordez lui sa petite couille pour le calmer.
Les filles me maintenaient par les épaules pour m'empêcher de bouger et aussi peut-être de peur que je tombe.
Les premières claques sur mes fesses arrivèrent au bout de quelques minutes.
Geneviève avait du prendre un instrument qui devait ressembler à une règle plate, car à chaque coup je sentais sur ma peau la morsure d'un objet long, plat et assez large. Elle fessait alternativement chaque fesse avec un art et un professionnalisme qui à n'en pas douter trahissait une certaine habitude.
Pour mieux faire durer mon supplice, elle s'arrêtait de temps en temps pour vérifier l'état de mes fesses.
J'avais de plus en plus de mal à rester en place et à supporter la brûlure de chaque coup. Je n'avais pas compté les coups ma j'étais certain d' en avoir déjà reçu une bonne trentain.
Mes fesses me faisaient atrocement souffrir, au bout de trop longues minutes, je ne ne pus retenir un cri de douleur.
- Arrête Geneviève, cria une des filles, il a les fesses cramoisies. Ça suffit, il va lui falloir au moins une semaine avant de pouvoir s'asseoir sans souffrir.
- On fait une photo et on se casse, reprit Geneviève à la volée.
Quelques secondes plus tard, toujours penché en avant et dans l'impossibilité de voir se qui se tramait, j'entendis le bruit bien particulier d'un clic clac d'appareil photo. Les filles riaient en prenant la pose autour de moi.
- Fais en quelques une en gros plan sur son cul écarlate. On ne sait jamais on pourra toujours s'en servir, s'il recommence à nous emmerder.
Les filles me laissèrent là planté dans le dortoir, attaché, nu, les fesses en feu, obligé d'attendre que les internes remontent dans le dortoir pour espérer une aide et une délivrance qui allait encore me faire connaître une humiliation devant tous les garçons du dortoir.
Suite à venir.................
Merci . jip.pet