Il est presque midi et j'ai rendez vous avec Madame "N", ma mystérieuse dominatrice, à une adresse qui m'est elle aussi totalement inconnue.
De nature timide j'ai une très grande appréhension pour ce premier rendez vous. Pourtant depuis longtemps j'en ai révé et m'en suis fait de nombreux scénarios. A qui vais je confier mon corps et
mes phantasmes ? Madame "N" saura t-elle trouver ce qui me motive réellement dans cette première démarche, ne vais je pas regretter d'avoir voulu passer du rêve à la réalité ? Il est presque trop
tard pour faire marche arrière.
Je monte les escaliers d'un immeuble bourgeois et prend mon courage à deux main pour enfoncer avec angoisse le bouton de la sonnette. Le mécanisme automatique libère la porte qui s'ouvre quelques
secondes plus tard et abandonnant sur place mes dernières hésitations, je pénètre dans le petit hall ou une table basse ancienne trône en plein centre. Une enveloppe blanche est posée bien en
évidence et je peux y voir écrit mon pseudo: gigi
Seul dans la pièce, je comprends qu'il me faut ouvrir l'enveloppe pour en lire le contenu.
D'une écriture manuscrite fine et soignée, sont écrits les premières recommandations de N...y.
- Gigi, entrez dans la pièce située à votre gauche, enlevez votre chemise pour vous mettre torse nu. Vous vous banderez les yeux à l'aide du foulard noir que vous trouverez sur la chaise. Une
boite de boule "quies" se trouve également sur la chaise: mettez les bouchons dans vos oreilles. A coté se trouvera un harnais qu'il vous faudra enfiler avant de finir l'opération. Vérifiez bien
que le bandeau est bien en place et que vous êtes complètement aveugle.
Une fois le bandeau en place, passez vos deux poignets dans la paire de menottes qui se trouve dans votre dos. Refermez les afin de vous retrouver les bras en croix dans le dos. La suite n'est
plus de votre ressort.
Un peu effrayé par une telle entrée en matière, j'hésite à passer à l'acte mais le désir est le plus fort et je m'exécute.
Une fois torse nu, j'enfile le harnais de cuir dont la boucle de fermeture se situe sur mon torse, je serre suffisamment pour sentir les sangles se tendre sur mes épaules et dans mon dos. Un
paire de menotte est fixée à un anneau central dans le dos et je comprends vite qu'il me sera par la suite impossible de bouger les bras et de me protéger d'une quelconque agression.
Comme N...y me l'a demandé, je positionne les boules "Quiés" dans mes oreilles. La sensation est très surprenante, je n'entend plus rien si ce n'est un léger bourdonnement dans mes oreilles. Je
devine un peu le sens de cette demande, mais ne l'avais en aucun cas envisagé. Que me réserve la suite ?
Je prends sur la chaise le foulard qui est assez long pour pouvoir faire deux tours avant de le nouer. J'ai beau essayer de regarder par dessous, c'est maintenant le noir absolu, et il ne me
reste plus qu'à passer à la dernière demande: passer mes poignets dans la paire de menottes et refermer.
Je sais par avance qu'une fois le cliquetis des menottes entendu, je ne pourrais plus revenir en arrière. Je suis dans l'inconnu total. A demi nu chez une inconnue, incapable de voir et
d'entendre celle ou ceux qui vont venir, les bras repliés dans le dos dans l'incapacité de me protéger et de me guider dans le noir.
Une poussée d'angoisse et d'excitation me pousse à ne pas attendre plus longtemps. Je referme promptement la paire de bracelets et me retrouve soudain dans une position ou je commence à envisager
le pire et le meilleur.
Debout au milieu cette pièce qui m'est totalement inconnue et ou je n'ai nul repère,je n'ose plus bouger de peur de me cogner ou pire de tomber sans pouvoir me protéger avec les mains.
Combien de minutes suis je resté là dans le noir à attendre un son un contact et je ne sais quoi d'autre ? Je ne saurais le dire, car le noir et le silence vous font vite perdre vos repères.
Soudain je perçois un léger bruit prés de moi. Plus aucun doute je suis observé, je peux sentir sur mon torse le léger souffle d'une respiration. Un parfum féminin subtil me confirme une présence
féminine.
Deux mains je posent délicatement sur mes épaules et me font tourner lentement sur place pendant quelques secondes. J'ai maintenant perdu les quelques repères que j'avais pu mémoriser avant
de mettre en place le bandeau.
Une fois désorienté, je me retrouve planté là, certainement au beau milieu de la pièce et incapable de bouger et m'orienter.
Des doigts agiles s'attaquent maintenant à ma boucle de ceinture et quelques secondes plus tard, je sens mon pantalon glisser le long de mes jambes et atterrir sur mes chevilles. Je dois rester
immobile sous peine de trébucher.
Une main délicate passe sur mon slip et s'attarde sur mes fesses. Plus aucun doute, ma dominatrice est en train de jauger et expertiser mes parties les plus intimes.
Une autre main passe sur le coton de mon slip et s'insinue entre mes jambes pour explorer le coté pile.
Je n'ose bouger ni même remuer.
Soudain, la paire de mains me pousse en avant et je comprends vite que je suis couché sur les genoux de N...y qui a du s'assoir sur la chaise ou j'avais déposé mes affaires..
Mes cotes et mon ventre sont en contact direct avec un tissu soyeux et malgré le fait que je me retrouve la tête vers le bas, je peux sentir encore l'envoûtant parfum féminin. C'est incroyable ce
que la perte de la vue et de tout repère vous fait bien vite retrouver une autre partie de vos sens.
Je n'ose plus bouger, ainsi exposé je dois m'attendre à recevoir bientôt ma première fessée. Mais N...y semble prendre son temps et mon humiliation va se poursuivre plus longtemps que je
ne l'imaginais.
Une main se plaque sur mon dos pour bien me faire comprendre que je dois rester en place. L'autre main se pose sur le coton de mon slip et recommence à nouveau à se promener sur mes fesses. Les
premières claques sur mon postérieur commencent à tomber avec un rythme régulier, méthodique et savamment calculé. Je compte dans ma tête.
Une série de cinq sur la fesse gauche puis une série de cinq sur la fesse droite pour alterner. Je commence à sentir les premières brûlures et je ne peux retenir un premier mouvement aussitôt
réprimé par la main qui me plaque un peu plus fort sur les genoux de ma "fesseuse".
Deux paires de doigts passent de chaque coté de mes hanches et mon slip commence maintenant à glisser le long de mes cuisses. Quelques secondes plus tard, je me retrouve les fesses à l'air, le
slip descendu sur mes chevilles.
La série de claques reprend son rythme et le contact de cette main inconnue qui me rougie les fesses avec tant de savoir faire, provoque en moi un curieux mélange de douleur et de plaisir. Je
sens monter le désir en moi et essaye de ne pas y penser trop gêné par la honte de cette excitation provoquée par cette fessée. La main passe d'une fesse à l'autre comme pour mieux m'aider à
supporter cette première fessée.
Mes fesses sont en feu et n'ayant pas l'habitude d'un tel traitement je ne peux m'empêcher au bout de quelques minutes, de crier de douleur et de gesticuler pour éviter la correction. N...y
stoppe immédiatement sa fessée et me redresse, je me retrouve à nouveau debout , nu devant elle, mais cette fois je ne peux rien cacher de mon anatomie. Mes fesses sont brûlantes, j'ai à la fois
mal, mais je dois bien reconnaître que cette chaleur intime me procure une réelle excitation intérieure.
Quelques minutes plus tard, j'entends prés de mes oreilles, le bruit caractéristique du Scotch que l'on déchire. les mains inconnues ont décidé de me bâillonner. De larges bandes d' adhésifs
viennent rapidement me réduire au silence. Me voila dans l'incapacité de sortir de ma bouche le moindre son. Sourd, muet, aveugle.......... Une drôle de sensation. Cela me rappelle l'école
primaire lorsque Mme Durant collait une étiquette sur la bouche des plus bavards.
N...y a entrepris d'enlever mon pantalon, mon slip et également mes chaussures. je dois lever chaque jambe pour faciliter ma complète mise à nu. Une fois débarrassé de tous mes vêtements, je suis
guidé vers le sol et me retrouve à plat ventre sur la moquette de son appartement. Mes bras emprisonnés dans le dos m'empêchent de me stabiliser.
Une de mes chevilles se retrouve très vite emprisonnée dans une sangle et soudain mes jambes sont écartées sans ménagement.
L'autre cheville se retrouve elle aussi enfermée dans une deuxième sangle. N...y vient de mette une barre d'écartement à mes pieds et me voila maintenant cloué au sol les jambes écartées dans
l'incapacité de lui cacher mon intimité la plus secrète.
Pour accentuer un peu plus mon humiliation, elle remonte mes chevilles dans mon dos et fixe la barre métallique à l'anneau du harnais. Sur le ventre les jambes écartées et repliées,les genoux
écartés au maximum, j'ai honte à en pleurer car c'est la première fois que je me retrouve dans cette position devant une inconnue. Même si j'avais quelques fois essayé cette position à
l'occasion de jeux de self-bondage seul dans ma chambre, je n'avais imaginé à quel point je serais mal à l'aise de devoir exhiber ainsi mon anatomie. Il m'est impossible de bouger et encore moins
de pouvoir serrer les jambes pour cacher ma nudité. J'imagine avec angoisse la suite de la journée.
Je reste apparemment seul dans cette position pendant un temps qui me parait durer des heures. L'angoisse de devoir rester là sans pouvoir esquisser le moindre geste me fait transpirer à grosses
gouttes.
Mes genoux écartés m'empêchent de pouvoir me retourner et j'en suis réduit à attendre la délivrance.........
Des vibrations sur le sol, des pas se rapprochent de moi. Une corde est passée autour de mon sexe et N...y l'attache à la barre métallique: Une façon radicale d'éviter un peu plus toute tentative
de mouvement.
Une fois cette opération effectuée et certaine que je ne chercherais pas à bouger d'un centimètre. Je sens ses doigts écarter encore un peu plus mes fesses et le contact froid d'une pommade ou
d'un lubrifiant me fait frémir de surprise.
Je viens de réaliser que ma dominatrice a décidé de jouer avec ma partie du corps la plus intime et maintenant la plus exposée. Je comprends soudain qu'elle cherche à me placer un plug.J'ai beau
essayer de résister en me contractant, je ne peux empêcher la lente progression de l'intrus qui rentre inéluctablement en moi.
Heureusement N..y ne cherche pas à me faire mal, ni à me blesser. La taille de l'objet qui me progresse lentement mais sûrement reste à la limite du supportable, ce doit être un objet de petite
taille car il ne me fait pas souffrir et sa mise en place est rapide. Une fois bien enfoncé au fond de moi, je comprends qu'elle a décidé de le maintenir en place avec du scotch et elle fait
plusieurs tour de rouleau adhésif entre mes fesses pour bien maintenir en place le plug. Je vais devoir à nouveau rester dans cette position pendant de longues minutes et je pense que N..y
a du s'absenter à nouveau car je n'entend ni ne ressent plus aucune présence autour de moi....................
Je commençais à avoir mal aux jambes et aux cotes à force de rester ainsi cloué au sol. N'ayant plus aucun repère visuel et auditif je ne pourrais dire combien de temps je suis resté ainsi offert
et impuissant.
Puis le subtil parfum si féminin m'empli les narines et je devinais que N...y était revenu dans la pièce.
Je sentis ses mains aux doigts particulièrement doux passer entre mes jambes pour me libérer du carcan. N...y avait décidé de maintenir le petit plug en place, mais par des gestes rappelant ceux
de l'épilation féminine , elle arracha une à une et sans ménagement les bandes de scotch qui remplissaient mon entre jambes et la raie de mes fesses.
Une fois mes jambes déliées elle entrepris de les masser pour réactiver la circulation sanguine mise à mal pendant ces longues minutes d'immobilisation. Elle me fit mettre debout et entrepris d'ôter mon bâillon afin que je puisse reprendre mon souffle plus facilement.
Elle me fit remettre à genoux et toujours dans le noir les bras liés dans le dos, je sentis devant ma bouche l'odeur si particulière de la peau. A n'en pas douter je devais avoir la bouche à seulement quelques centimètres d'un sexe féminin. Et-es ce celui de N...y ? Impossible de le dire. Je ne savais quelle attitude adopter. En fait N....y attendais de voir ma réaction. Ce fut là ou je commis l'erreur qu'elle attendait pour me punir.
Avançant timidement la bouche pour provoquer un contact avec ce corps qui me faisait face, je sentis une reculade et je restais planté là, à genoux, nu, la tête penché vers l'avant pour saisir ce fruit qui m'était défendu.
Une série de claque sur les fesses me surpris et je roulais sur le coté pour me protéger de cette fessée magistrale.
N...y me fit remettre debout et me guida vers un lieu inconnu. Après avoir marché quelques secondes, je la sentis me passer une corde sous les aisselles, corde quelles devait accrocher en hauteur
car je dus me mettre sur la pointe des pieds pour soulager la tension.
Mes jambes furent cette fois attachées bien serrées les unes contre les autres au niveau des chevilles et également au niveau des genoux par quelques tours de rouleaux d'adhésif. Ainsi suspendu
sur la pointe des pieds, j'étais à nouveau vulnérable et dans l'incapacité de me soustraire au traitement que N...y me réservait.
Je n'allais pas tarder à faire connaissance avec le mariage du chaud et du froid.
Je sentis soudain mon sexe tout entier devenir le prisonnier d'une poche de claçons que N...y ficela bien vite autour de ma virilité pour que cette poche glacée reste en place. Mon pénis devait
avoir l'air ridicule à "intérieur de cette "capote glacée". Pour ce qui est du froid j'étais servi du coté "pile".
Puis vint presque immédiatement le coté chaud sur le coté "face". La fessée repris avec son rythme savamment orchestrée par cette main experte qui savait s'arrêter avant l'insupportable pour mieux reprendre sa cadence et ses variations.
Incroyable sensation que celle d'avoir la peau des fesses brûlantes et de sentir son sexe emprisonné dans ce carcan de glace.
Après de longues minutes, N...y consentie à laisser prendre un peu de repos à mes rondeurs rougies par sa science.
Sans m'enlever le bandeau des yeux, elle consentie à m'enlever les bouchons dans les oreilles et cette nouvelle sensation de liberté relative me procura un énorme soulagement intérieur. La poche de glace fut elle aussi enlevée.
Une fois débarrassé de mes liens au niveau des jambes, N...y décida de délier mes bras afin qu'ils puissent eux aussi avoir un peu de liberté. Mais immédiatement pour éviter toute illusion, elle
me lia les poignets sur le devant de mon corps, les bras croisés et le tout solidement collé sur ma poitrine par plusieurs tours de rouleaux d'adhésif. Je devais ressembler à la position de James
Bond les bras croisés mais sans son pistolet et dans une position bien moins confortable.
N...y me guida vers je que je reconnu être un lit et elle m'intima l'ordre de m'allonger sur le dos. Pour la première fois j'entendais la voie de N...y. Une voie chaude et décideé qui laissait
transparaître un caractère bien affirmé.
Une fois allongé sur le lit, j'attendis patiement que N...y décide de la suite des réjouissances. Elle avait décidé de m'accorder un peu de repos et elle se contenta de m'attacher les jambes en croix,le plus écarté possible, afin de pouvoir s'en aller certaine de mon immobilisation.
J'appréciais d'avoir les mains liées par un matériau moins dur à supporter que le métal des menottes.Mes chevilles avaient été reliées aux pieds du lit par je que je devinais être des sangles car
leur contact sur la peau ne me procurait aucune douleur. Dernière faveur de sa part avant de s'en aller, elle m'ota le plug auquel je m'étais finalement habitué tant bien que mal.
Le temps s'écoulait lentement et je commencait à m'assoupir...............
Plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir et j'entendis non pas une seule voix mais au moins deux. Des rires féminins me firent vite comprendre que l'ont m'observait et que N...y n'était plus
seule.
Le rire le plus aiguë se rapprocha de moi et un corps s'agenouilla prés de moi sur le lit. Des mains commencèrent à jouer avec mon sexe et bien vite j'entendis le bruit
caractéristique d'une bombe de mousse que l'on déverse sur la peau. Une main experte étalait la mousse sur la totalité de mon sexe et de mes bourses. Horreur elles avaient décidé de me raser. Je
n'eus même pas le temps de prononcer un mot pour signifier mon désacord que d'autres mains qui devait être celles de N...y appliquèrent à nouveau sur sur ma bouche de larges bandes de
scotch adhésif. En quelques secondes j'étais réduit au silence et j'avais beau essayer de me tortiller pour manifester ma désapprobation je dus bien vite me rendre à l'évidence, j'allais être
tondu comme un poulet et ressembler dans quelques minutes à un enfant pubère. Qu'allait dire ma femme à mon retour, comment lui cacher mon sexe tondu, que lui dire et quoi trouver comme
explication crédible ?
La mousse mentholée me chauffait les parties et me brulait légèrement la peau.
Pour m'immobiliser complètement la personne chargée de me "tondre" venait de s'assoir à califourchon sur mon ventre, m'empêchant par la même tout mouvement dangereux.
Les rires continuaient; lorsque je sentis le contact de la lame du rasoir s'attaquer aux poils de mon pubis. Aprés de nombreux aller-retour, celui devait être lisse comme un ventre de nouveau né
car le rasoir prit une autre direction et on commença à me raser autour de la verge. Le bout de ma verge se retrouva pincée par deux doigts, tiré vers le haut pour dégager la zone de travail.
Je devais être ridicule à voir dans cette position. Le rasoir passait et repassait autour de mon sexe, puis il se dirigea sur le reste de ce qu'il fallait aussi rendre lisse. Je n'osais plus
bouger de peur d'une coupure à un endroit bien délicat. La voix inconnue dit alors:
- Il faut ausi le raser entre les fesses pour dégager et rendre lisse ce "petit orifice". J'étais mort de honte !!!!
Ma jambe droite puis la gauche furent déliées, mais bien vite les sangles repassaient sous mes genoux et je me retrouvais les jambes écartées, les genoux replié vers mes épaules. Les
sangles avaient été de nouveau rattachées au lit et dans cette position plus aucune chance de cacher quoi que ce soit de mon intimité.
Je sentis à nouveau la mousse froide s'insinuer entre mes fesses et un doigt inquisiteur s'amusa pendant quelques minutes avec celui qui quelques temps avant avait été visité par le petit plug.
Le rasage repris de plus belle et je sentais mes poils partir par petits paquets........ le dernier rempart venait de tomber.
Un linge chaud ou un gant de toilette termina cette toilette intime et je dus rester dans cette position de longues minutes.
- Ne te plaint pas, dit la voix inconnue, nous les femmes c'est à la cire chaude que l'on enlève nos poils !!!! la prochaine fois nous essayerons pouvoir si tu es plus courageux que nous !!!!
Je devais bien avouer quelle avait raison.
- Mais comme un rasage se termine toujours par la solution "d'après rasage", je vais finir le travail.
Une incroyable bouffée de chaleur me monta au visage lorsque ce qui devait être une bouteille d'alcool ou de parfum se déversa sur moi. Mon sexe, mes bourses, mais surtout ,mon entre jambes et
mon anus étaient en feu. La brulure de l'alcool sur ma peau me faisait bizzarement un effet exitant et j'avais du mal à contenir un début d'érection..
Je ne pouvais cependant m'empécher de gesticuler pour essayer d'echapper à cette nouvelle punition.
Pour clore le tout et réchauffer aussi le coté face, une nouvelle fessée vint compléter la brulure de mon anatomie.
Les jambes relevées et les fesses bien à disposition, je recevais à nouveau les claques sur les fesses et les claquements sur ma peau semblaient ravir les deux expertes. Au bout de trop longues
minutes, complètement exténuée par le traitement enduré, je me laissait aller et m'abandonnait sans chercher à me contracter ni à lutter.
Vint enfin le silence et la fin de la punition.
Les deux "maîtresses" avaient du quitter la pièce pour aller ranger les ustensiles utilisés.
Que me réservait la prochaine visite de N...y serait-elle seule ou avec une autre personne. Laissé seul à mes interrogations, je repassais dans ma tête toutes les éventualités possibles.
La suite dans un prochain article...........
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