Samedi 24 janvier
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14:50
Lorsque la porte claqua de nouveau, j'espérais de tout mon être que ma punition allait prendre fin. J'allais pouvoir être débarrassé de ce carcan qui me "chauffait" au plus profond de mes chairs
les plus intimes. La brûlure était telle que je ne sentais même plus mon sexe entre mes jambes.
Lorsque N....y commença à défaire la couverture de plastic, le contact de l'air frais raviva encore un peu plus la brûlure sur la peau.
Mes jambes et mes furent déliées afin que je puise me rendre à nouveau à la salle de bain, guidée par le bras et la main de N....y.
Les yeux toujours bandés, elle m'installa au milieu de l'immense bac à douche et me rattacha les bras dans le dos afin d'être libre de gérer comme l'entendait cette toilette intime. Elle me fit
écarter les jambes et referma sur mes chevilles les sangles de la barre d'écartement. Je devais donc rester bien en place afin de ne pas perdre l'équilibre. Le jet d'eau me surprit par sa
violence.
Elle avait réglé le pommeau de la douche sur la plus forte pression. De bas en haut l'eau chaude sous pression me débarrassait enfin peu à peu de l'urticante moutarde et estompait la sensation de
brûlure.
Après avoir enduré tant de souffrances et d'humiliations, j'avais enfin droit à un moment de décontraction et cette eau qui coulait sur mon corps me faisait l'effet d'une suprême récompense.
Le jet de la douche passait sur tout mon corps, entre mes jambes, dans la raie de mes fesses, s'attardant même au plus profond de moi afin de bien rincer et enlever toute trace de cette foutu
moutarde qui m'avait mis le feu au derrière.
N....y avait plus d'un tour dans son sac. C'est au moment ou je m'y attendais le moins, qu'elle inversa le thermostat pour transformer cette douche bien agréable en un cauchemar glacé.
Je comprenais maintenant pour quelle raison elle avait prit soin de m'attacher les bras dans le dos et m'immobiliser les jambes écartés.
Dans le noir et ne pouvant me protéger avec les bras, ni me déplacer avec les jambes, je devais subir maintenant cette douche dont la température ne devait pas dépasser les quinze degrés.
Les premières morsures de ce que je devinais être un gant de crin ou de gommage, me firent crier autant de surprise que de couleur. Une cinglante gifle m'intima le silence. Mais pour être bien sure
de ne plus m'entendre me plaindre; N....y décidé de parfaire le travail.
Abandonnant quelques minutes, mon "nettoyage",elle me pinçât le nez pour m'obliger à ouvrir la bouche pour respirer.Dés que j'ouvris en grand la bouche pour reprendre ma respiration elle en profita
pour m'insérer dans la bouche un morceau de caoutchouc et je sentis qu'elle refermait derrière ma nuque se nouvel appareil qui m'était inconnu.
J'entendis un bruit d'air comprimé et presque immédiatement le morceau de caoutchouc qui m'empêchait de refermer ma bouche, se mit à grossier sous l'effet de l'air qui le remplissait. je venais de
faire la connaissance avec un bâillon gonflage qui semblai encore plus efficace que le rouleau d'adhésif.
Au bout de quelques pression, j'avais les mâchoires écartées au maximum et ce ballon gonflé à blog étouffait toute tentative pour prononcer le moindre son.
Le gant de crin reprit son travail de ponçage et je me tortillais dans tous les sens pour essayer tant bien que mal d'éviter ses morsures sur ma peau. A chaque passage entre mes fesses, N...y
faisait en sorte de bien insister, comme pour vouloir un peu plus épiler cette zone ou pourtant plus auquel poil n'avait survécu.
Lorsque le "gommage" à l'eau froide fut terminé, N...y me séchât et me raccompagna à la chambre.
Ces seules et dernières paroles furent:
- Une fois détaché, tu compteras jusqu'à cent avant d'enlever ton bandeau et tes entraves. Tu pourras récupérer tes affaires, sortir de l'appartement et attendre sagement ton prochain rendez
vous.
Pour lui signifiait que j'avais bien compris le message je lui fit un simple signe de tête.
Lorsque mes bras furent détachés et que j'eus patiemment compté dans ma tête, j'ôtais en premier le bandeau, puis le bâillon de caoutchouc. Je m'accroupis pour défaire les boucles autour de mes
chevilles, libérant mes jambes de cet écartement qui m'avait obligé à marcher comme un zombie pour aller de la salle de bain à la pièce ou je me retrouvais maintenant.
Tous mes vêtements étaient bien là. Je m'habillais promptement et comme N...y me l'avait imposé, je sortais de la pièce puis de l'appartement. Quelques instant après, je me retrouvais dans la rue
ou quelques heures avant j'avais vécu un véritable calvaire..............
Suite à un prochain rendez vous.........................