Samedi 7 février
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17:04
J'étais maintenant seul dans la pièce, toujours maintenu solidement en position horizontale sur le chevalet qui balançait légèrement à chacun de mes biens faibles mouvements.
Mon ventre continuait de gargouiller et je sentais le liquide salé faire son oeuvre petit à petit. Combien de temps est ce que j'allais pouvoir retenir en moi cette eau que je ne pouvais expulser
sous peine de sévères représailles.
Il me fallait essayer de me détendre tout en contractant mon anus à chaque secousse interne annonciatrice des pires difficultés. Heureuses ment le fait d'avoir le ventre libre, et non
compressé contre le bois, me permettait de pouvoir espérer tenir jusqu'à l'arrivée de N...y.
Un bon quart d'heure avait du passer lorsqu'un assaut dans mon ventre m'obligeait à serrer au maximum mes sphincters pour éviter de relâcher le liquide. Les efforts pour conserver en moi la
totalité du lavement, me faisait transpirer abondamment. Mon front coulait de grosses gouttes et je sentais aussi mon dos ruisseler. Bientôt tout mon corps fut littéralement en nage.
Mes contracter ses fesses en ayant les jambes écartées n'était pas chose facile et je sentais bien que je n'allais pas pouvoir m'opposer bien longtemps à l'humiliation suprême.
J'entendis soudain la porte s'ouvrir et des pas résonnèrent sur le sol et se rapprochèrent de moi. Des rires fusèrent et je pus distinguer sans me tromper trois voix masculines et deux voix
féminines.
-Mettez le en position demanda la voix féminine inconnue.
Presque immédiatement le chevalet bascula vers l'arrière, mes pieds étant certainement maintenant très prés du sol. Les bras encore en haut mon corps devait être incliné à 45° par rapport au sol.
Un bruit métallique sous moi me fit penser à celui d'une bassine que l'on pose au sol.
Puis plus rien. Les cinq personnes discutaient entre elles comme si de rien n'était, mais il m'était impossible d'entendre distinctement leurs paroles. Le temps passait et je transpirait de plus en
plus. Je serrais les dents dans l'espoir de tenir jusqu'à la fin de cet affreux supplice que je devait subir devant cinq pairesd' yeux inconnus.
Soudain je compris que j'allais capituler, les premières gouttes perlèrent entre mes cuisses et je dus faire un effort sur humain pour ne pas me relâcher complètement. J'essayais de contrôler le
flot qui commençait à sortir de mon ventre et cela provoqua l'hilarité de l'assistance.
- Va-t-il réussir à ne pas tacher le sol ? dit l'un des garçons
Je serrais mes fesses de toutes mes forces, sentant couler le long de mes bourses le liquide chaud qui a flot maintenant régulier s'échappait de mon anus que je ne pouvais contenir fermé.
Il me fallait essayer de contrôler le débit du mieux possible car c'était à n'en pas douter la seule façon de m'en tirer à bon compte. Le bruit de l'eau sur le métal me conforta dans l'idée que
l'on avait placé sous moi un récipient métallique.
L'eau coulait maintenant de plus en fort et j'avais énormément de mal à continuer à me contracter au maximum. Au prix d'efforts dont je ne me serais jamais imaginé capable, je réussi à ne pas
exploser et à canaliser le débit de mon propre orifice.
Par bonheur je n'évacuais que de l'eau, et je pensais pouvoir éviter la sanction insupportable d'avoir à déféquer en public. Au bout d'interminables minutes, je constatais en presque vainqueur que
l'eau était totalement sorti de mon ventre.
Une salve d'applaudissement me signifiât la fin de mon cauchemar. On me détacha, sans pour autant enlever ma cagoule, et je fus autorisé à me rendre à la salle de bain accompagné par une personne
qui m'aida avec application dans ma toilette.
J'étais à la fois mort de honte, mais content intérieurement de ne pas avoir cédé à la panique.
J'avais évité la honte absolue............