Samedi 16 octobre 6 16 /10 /Oct 08:08

La main gantée de crin forçait maintenant le passage pour s'immiscer entre mes fesses. Terrorisé à l'idéeque Christine y découvre la ficelle du tampon hygiénique, je me contractais, en essayant de lui faire comprendre que lui refusait le passage.

 

Elle releva la tête et sourit en me disant d'une voix douce et amicale:

- Tu sais si tu veux vraiment que tout disparaisse, il va te falloir coopérer et te laisser faire. Tu ne craint rien avec nous, les garçons ne nous intéressent pas.

 

Christine faisait preuve d'une application d'infirmière pour essayer d'enlever ce rouge à lèvre qui me collait à la peau. Mais constatant bien vite que le savon n'y suffirait pas elle s'arrêta de me frotter.

 

- Alexandra, ça ne part pas, c'est trop gras, il faut nettoyer ça avec nos produits démaquillants. Allongeons le sur le lit, ce sera plus facile pour le nettoyer.

Rapidement séché par quatre mains expertes, je fus conduit jusqu'à leur chambre, aux murs d'un blanc "clinical". Alexandra venait de déposer sur le grand lit un immense drap de bain, afin de ne pas risquer de tacher les magnifiques draps brodés qui habillaient le lit.

 

- Installe toi bien au milieu sur la serviette, pendant que Christine va chercher de quoi te récurer correctement.

 

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Pendant que Cristine quittait la pièce pour aller les produits nécessaires, Alexandra s'approcha de moi. Debout contre le lit à hauteur de mes épaules, elle se penchât légèrement sur moi. Avec son pouce et son index, elle prit le bout du sexe qui, sous l'effet de la douche, s'était rétracté comme pour se protéger. Je baissais la tête pour me rendre compte qu'en effet,il avait maintenant la taille de celui d'un enfant de dix ans.

Comme pour lui redonner vie, Alexandra se mit à presser par petits coups avec ses deux doigts, un peu comme l'on fait pour réamorcer une pompe en caoutchouc.....

 

Les trois autres doigts venaient de se refermer maintenant sur mon érection inévitable.

Ravi de constater qu'elle avait réussit en un temps record à rétablir une virilité conforme à mon âge, elle continuait sans un mot à faire coulisser ses doigts le long de ma verge maintenant gonflée à exploser. En moi même, je m'étonnais qu'une lesbienne puisse aussi bien connaître l'anatomie masculine et sache comment pratiquer sur ma verge masculine une masturbation digne d'une professionnelle "cinq étoiles luxe".

La main coulissait maintenant à un rythme régulier, semblable à celui du piston d'un moteur tournant au ralenti. Visiblement pas pressée du tout de me faire jouir, elle fixait d'un regard complice mon sexe qui se dressait fièrement au dessus de mon ventre.

 

Christine venait de pénétrer à nouveau dans la chambre, déposant sur la table de nuit tout un tas de flacons dont j'ignorais le contenu. Nullement gênée par Alexandra qui continuait à me masturber lentement, elle s'assit sur le lit, entre mes jambes. Elle était entrain de m'enduire toute la zone couverte de rouge à lèvres d'une lotion que je ne connaissait pas.

- C'est du démaquillant pour les cils, me dit-elle comme pour me rassurer alors qu'elle commençait à me frotter avec des lingettes de coton.

Le contact conjugué sur ma peau du liquide et de sa main nettoyant délicatement mes testicules pendant qu'Alexandra poursuivait patiemment sa lente masturbation, provoqua ce que je redoutais et souhaitais à la fois: Une longue et puissante éjaculation.Surprise, Alexandra dirigeât immédiatement ma verge en direction de ma tête et j'en fut quitte pour recevoir sur la poitrine et sur le visage quelques gouttes de mes propres sécrétions.

Ne pouvant plus me retenir, je m'abandonnais en fermant les yeux. Alexandra, se mit à accélérer ses allers venus dans le but évident de me vider les bourses que Christine continuait de nettoyer avec application. Ma première éjaculation semblait se terminer. Je sentais les dernières gouttes de liquide chaud couler sur mon ventre.

Alors que je pensais naïvement qu'Alexandra allait me laisser reprendre mes esprits, je constatais bien vite, qu'elle n'était absolument pas décidé à s'arrêter en si bon chemin.

Changeant de main pour reprendre des forces, elle entreprit de récidiver mon érection qui commençait à battre en retraite en me secouant la verge dans tous les sens, de haut en bas de droite à gauche, faisant même taper par petits coups, le bout de mon gland sur mon ventre. En quelques minutes elle obtenait avec succès ce qu'elle souhaitait: Une érection conforme à que doit être celle d'un jeune dans la force de l'âge.

 

Nullement troublé par l'activité de sa compagne, Christine continuait le nettoyage du "sous sol". C'est au moment ou elle entreprit de me replier les jambes pour nettoyer entre mes fesses que la catastrophe se produisit.

 

- Mais c'est quoi cette ficelle ? me demandat-elle avec un ton différent qui attendait manifestement une réponse précise.

 

Perdant dans la même seconde, mon érection et mon statut de mâle, je bredouillais la première justification qui me passait par la tête.

 

-Heu, c'est les copains, ça fait partie du bizutage.

 

- Mais c'est un tampon hygiénique que tu as dans le derrière. Tu es entrain de nous dire que ce sont tes copains qui t'ont enfoncé ça dans l'anus ? Alexandra me fixait d'un regard inquisiteur, attendant manifestement une explication plus détaillée.

J'avais le sentiment au fond de moi que si je continuais à leur mentir j'allais compliquer la situation. Aussi peut à l'aise que devant un inspecteur de police, je finis par leur dire la vérité.

 

- En fait ces pas mes copains les fautifs, ce sont des filles qui m'ont mis dans cet état. Au point ou j'en étais, je continuais à leur raconter les circonstances exactes qui m'avaient au final conduit chez elles.

 

- Le salopard, s'écria Alexandra, en prenant sa copine à témoin, il fait souffrir les filles et maintenant il voudrait qu'on le soigne et le console.

- Christine, vas chercher dans le sellier de quoi attaché ce mal élevé solidement. En même temps qu'elle donnait son ordre, elle prit dans sa main gauche mes testicules, les emprisonnant complètement et serrant fermement avec ses doigts.

- Si tu bouges d'un seul millimètre, je te presse les couilles comme un citron à t'en faire hurler de douleur.

Persuadé qu'elle ne plaisantais pas du tout, je restais pétrifié sur le lit, les bras le long du corps, tournant l tête  pour éviter de croiser le regard d'Alexandra.

 

Revenu avec le nécessaire, Christine ne mit pas bien longtemps à m'attacher les bras en croix au dessus de la tête, fixant les cordes qui m'enserraient les poignets, aux piètement du lit. Pour mieux me maintenir en place, je la vit passer sous le lit une longue sangle qu'elle repassa sur mon ventre pour la tendre au maximum et me plaquer le corps sur le lit.

-eh bien maintenant que tu es correctement immobilisé, il va falloir que l'on retire ce tampon et croie moi sur parole, ça ne vas pas être facile. Christine s'il te reste une corde à linge attache lui donc les jambes en l'air, ça sera plus facile pour travailler.

Obéissante à souhait,Christine revenait quelques instants plus tard avec la corde nécessaire à cette immobilisation.Elle passait la corde sous me genoux, puis elle tendit le fin cordage  en l'attachant à mes poignets, m'obligeant immédiatement à replier les jambes. J'étais moi même obligé de tenir mes genoux repliés vers le haut  pour ne pas être cisaillé.Le système était simple mais efficace.

J'étais maintenant exposé à leur vue, les jambes écartées, exposant mon anus imberbe mais rempli à ces deux lesbiennes.

- Je vous en supplie, laissez moi partir, je commençais à paniquer et bêtement, je me mis à crier au secours. Un gifle cinglante fut la réponse à mon appel de détresse. Dans la seconde qui suivait, Alexandra prit sa propre culotte et me la mit dans la bouche.

- Si tu la recrache, je m'occupe à nouveau de tes couilles, tu as compris ? je fis "Oui "de la tête pour éviter une telle sentence.

 

Christine s'était assise à nouveau sur le lit et entreprit de tirer sur la ficelle du tampon. Serré comme il l'était mon anus n'était pas décidé à libérer si facilement le tampon qui avait eu largement le temps de se dilater.

- Il faudrait essayer de lui écarter le trou du cul, dit naïvement Christine. Joignant l'acte à la parole, elle essayait pudiquement d'introduire un doigt dans mon anus, mais par réflexe naturel mes sphincters se contractaient, indiquant à l'intrus qu'ils n'étaient pas décidés à laisser le passage libre.

- Alexandra, il est serré comme une jeune vierge, on ne vas par y arriver comme ça, je crois que la ficelle va casser dès que je vais tirer un peu fort. Tu as une autre idée ?

 

-On pourrait essayer soit un laxatif soit avec un spéculum, dans ce cas il faut que tu ailles à la pharmacie ou appeler une infirmière.

 

Effrayé à l'idée d'avoir à me montrer à une autre personne dans cet état, je secouais la tête pour montrer ma désapprobation. Mais manifestement les deux filles n'en avaient rien à faire.

 

- Fait moi voir, pousse toi un peu, on va essayer de lui écarter le trou du cul avec de baguettes, vas donc en chercher à la cuisine, je sais qu'il y a au moins deux paires de baguettes chinoises dans le placard du haut.

 

Christine revenait, tenant dans sa main deux paires de baguettes en plastic. Je ne comprenais pas très bien ou elle voulait en venir, mais au point ou j'en étais, je n'avais qu'à me laisser faire pour que mon supplice dure le moins longtemps possible.

 

- Je vais  faire comme un spéculum. Alexandra appuyait maintenant ses doigts autour de mon anus essayant en tirant la peau vers l'extérieur d'écarter un peu le passage.De l'autre main elle poussa lentement une première baguette qui compte tenu de sa finesse se faufila facilement entre mes sphincters. Une deuxième, puis une troisième prit place dans mon rectum.

- Aide moi Christine, prend une baguette dans chaque main et ensemble essayons d'écarter ce derrière de puceau.

Je sentis soudain la pression des trois baguettes qui prenaient appui sur mes sphincters pour écarter mon orifice.

Mais après plusieurs tentatives, les deux femmes durent se rendre à l'évidence que cela ne fonctionnait pas et que le tampon n'avait maintenant aucune chance de sortir en employant cette technique.

 

- Ça ne marche pas, il va falloir essayer un lavement, descend à la pharmacie chercher des suppositoires laxatifs pour notre jeune ami. On va lui vider le ventre, ça devrait entraîner le tampon vers la sortie.

 

Aussi tôt dit aussi tôt fait. Christine en bonne compagne s'exécutait. Au bout d'un quart d'heure d'attente inconfortable, elle revenait tenant dans sa main une boite de laxatifs.

 

C'est Christine qui se chargea de m'enfoncer délicatement dans les fesses non pas un, mais deux suppositoires.

- Tu vas voir dit-elle, d'après la pharmacienne, cela devrait faire effet dans les cinq minutes.

 

- Il faut l'installer sur la cuvette des wc, sinon il va nous bousiller les draps. Alexandra commençait à me détacher, puis m'aidant à me lever, elle me conduisit au toilettes juste à temps pour que je puisse m'asseoir sur la lunette au son des premières flatulences qui annonçaient le début du lavement.

Alexandra avait laissé volontairement la porte ouverte et je fus obligé d'affronter le regard curieux et amusé des deux filles qui semblaient prendre un plaisir certain à jouer avec moi et à se venger de mon attitude envers le sexe dit faible.

 

Soudain, je sentis dans mon ventre un flot de gargouillements, suivis immédiatement des premières envies de me soulager sous la pression qui s'exerçait maintenant sur mes sphincters. Loin de moi l'idée de vouloir me retenir, je me laissait aller en baissant la tête afin de ne pas voir le regard des deux femmes entrain de me regarder me soulager devant elles. J'étais mort de honte, mais je préférais continuer à pousser intérieurement pour faciliter l'évacuation du tampon. Au bout de dix bonnes minutes assis sur les wc, je n'avais plus rien à évacuer, mais le plus dramatique c'était que le tampon était toujours bien en place dans mes fesses.

 

- Flûte, ça ne marche pas non plus dit Alexandra, il va falloir employer les grands moyens. Retournons dans la chambre, mais avant essuie toi correctement et va te laver les fesses à la salle de bain.

 

Je ne demandais pas mon reste et une fois seul dans la salle de bain, j'en profitais pour me laver tout en réfléchissant à toute vitesse sur ce que je devais maintenant faire. J'avais la possibilité de partir en courant pour aller rejoindre l'appartement ou mes deux copains devaient certainement m'attendre, mais s'ils n'étaient pas là, jouer un tel tour au deux filles qui m'avaient recueilli, et c'était l'assurance de me retrouver sur le pallier, nu avec toujours au fond de moi ce maudit tampon, avec la quasi certitude de rencontrer d'autres personnes.

Plutôt que de risquer cette option avec trop d'inconnues, je rejoignais la chambre ou les deux femmes m'attendaient.

 

- Bien me dit Alexandra, je vois que tu as prit la bonne décision, nous étions entrain de nous demander si tu allais essayer de filer à l'anglaise. Monte sur le lit, on va procéder autrement.

 

Suite à venir..........

Par PANPAN
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