Jeudi 20 mai 4 20 /05 /Mai 16:45

J'avais pris rendez vous une fois de plus avec Nelly, persuadé que j'allais vivre à nouveau une journée torride.

 

Lorsque je pus la joindre au téléphone, elle me dit simplement de me rendre à une adresse inconnue, de pénétrer dans le jardin et de me rendre devant la voiture qui y était garée, d'ouvrir la porte arrière, de récupérer un paire de menottes et un bandeau avant de me déshabiller entièrement et de mettre tous mes vêtements dans le coffre.

 

Une fois nu je devais mettre le bandeau sur mes yeux et passer les menottes dans mon dos. Il me suffisait ensuite de m'allonger en travers de la banquette arrière et d'attendre le bon vouloir de Nelly.

 

Il faisait une belle journée lorsque je pénétrais dans le jardin de cette maison inconnue. Sachant qu'il me valait mieux obéir, je ne tardais pas à me retrouver allongé nu, attaché et privé de vue sur la banquette de l'audi A4.

 

Quelques minutes plus tard, le six cylindres me fit comprendre que le début de cette nouvelle aventure venait de commencer. De mémoire, il ne me semblait pas que les vitres de la voiture étaient fumés !!!! Si par malheur on devait traverser la ville et s'arrêter à des feux rouges, on allait me voir dans cette position ridicule et qui sait quelqu'un pourrait même me reconnaître. Rien qu'à cette idée, je décidais de me mettre sur le ventre pour cacher mon visage.

 

La voiture ne démarrait toujours pas et je compris vite pourquoi. La porte arrière du véhicule s'ouvrit et un main me tira par les cheveux pour me faire asseoir au milieu de la voiture.

Une main ferme saisie ma cheville droite et je sentis qu'une corde passait autour d'elle puis se fixait très certainement à l'accoudoir de la porte. L'inconnue fit le tour de la voiture, fit de même avec mon autre cheville et la porte claqua. Quelques secondes plus tard, je sentis la corde se tendre pour écarter mes jambes. La corde avait été également passée dans l'accoudoir et on tirait ferme dessus pour la tendre et me distendre.

Quelques secondes plus tard je me retrouvais les jambes écartés au maximum, les bars attachés dans le dos, dans l'impossibilité de bouger et de cacher mon intimité.

 

La voiture se mit en route, décuplant mon angoisse. Ce que je craignais par dessus tout, se produit bien. Les bruits environnants me confirmaient que l'on était bien entrain de traverser la ville. Ne pouvant rien y faire je décidais de faire le maximum pour baisser la tête et tenter de dissimuler au maximum mon visage.

 

Après plusieurs minutes de trajet, et lorsque le véhicule ralenti, je compris qu'il allait se passer quelque chose qui e présageait rien de bon. Les cris et les rires me faisaient comprendre que l'on était arrêté devant un lycée ou une fac.

 

Une fois le véhicule stoppé, les rires féminins me firent comprendre que l'on se trouvait devant un établissement ou les filles étaient en majorité. Soudain un air frais pénétra dans le véhicule. Les deux vitres arrières de la voiture devait de s'abaisser !!!

Une voie féminine inconnue, à l'accent espagnol, se mit à appeler:  Ohé les filles, venez donc voir mon petit esclave !!

Les rires et les commentaires sur le ridicule de ma situation me faisait monter le rouge au joues. J'étais mort de honte et dans l'incapacité de cacher ma nudité, mon sexe exposé à la vue de ses gamines. Je sentis soudain une main attraper ma verge et je sentis presque en même temps le contact et l'odeur d'un feutre passer et repasser sur mon sexe. Ce contact provoqua une timide érection. Je venais de réaliser que l'un des filles avait décidé de donner une autre couleur à mon pénis. L'odeur caractéristique des gros feutres indélébiles me fit craindre le pire.

 

La pointe large du feutre se concentrait maintenant sur mes testicules et j'avais beau essayer de me soustraire à ce coloriage, rien ne semblait vouloir arrêter cette inconnue qui m'humiliait devant d'autres filles. les rires fusaient et je compris qu'un véritable attroupement s'était formé autour du véhicule.

 

La voix de la conductrice mit fin à mon supplice: C'est bon les filles, vous l'avez suffisamment colorié. A bientôt.

Les vitres remontèrent et le véhicule démarra lentement. L'odeur du stylo feutre avait rempli la voiture. Il m'était impossible de voir le résultat, mais j'imaginais que la fille avait parfaitement accompli sa tache vue le temps ou elle avait passé et repassé le feutre sur ma peau. Pourvu que je puisses me nettoyer avant de regagner le domicile.

 

Il fallu une bonne demie-heure pour que le véhicule stoppe à nouveau. Une odeur campagnarde m'emplie les narines.

Mes chevilles furent distendues et lorsque la porte s'ouvrit, la main inconnue me tira vers l'extérieur.

je me retrouvais nu en plein air, les mains attachées dans le dos, les yeux bandés et dans l'incapacité totale de savoir ou nous nous trouvions.

 

L'une des deux cordes fut passée autour de mon coup et je dus suivre mon bourreau qui d'un pas rapide m'éloignait du véhicule. Le sol était heureusement souple et le plus souvent recouvert d'herbe. Mais de temps en temps je sentais les cailloux et autres branchages me martyriser la plante des pieds.

 

Lorsque le périple prit fin, il me fallut me tenir à nouveau debout ne sachant quelle attitude adopter, ne sachant pas ce qui se trouvait devant, sur les cotés et derrière moi. Il me fallait attendre. L'inconnue passa derrière moi et me remonta les mains dans le dos. A l'aide d'une des cordes elle fit plusieurs passages autour de mes épaules afin que mes poignets se retrouvent fixés le plus haut possible dans mon dos.

J'étais certain que le fait de me mettre dans cette position signifiait que l'on voulait m"empêcher de protéger mes fesses.Je dus rester debout plusieurs minutes après avoir entendu l'inconnue s'éloigner sans un mot.

 

Après un temps qui parut une éternité, les pas s'approchèrent de moi et l'inconnue me fit lever une à une mes jambes. je sentis passer une culotte entre mes jambes. Les deux mains de mon inconnue remontaient maintenant la culotte sur mes fesses. Je sentis au passage que la culotte n'était pas vide. le passage sur mes cuisses me fit comprendre que des herbes y avaient été déposées.

 

Lorsque les deux mains remontèrent sur mon ventre la culotte je compris immédiatement que l'inconnue l'avait rempli d'orties fraîches. Le bruit d'un rouleau de Scotch que l'on dévide me parvint aux oreilles. Elle avait décidé de bien fixer cette culotte sur mon ventre afin que je ne puisses la faire glisser et tomber.

Presque immédiatement  une boule de feu m'emplie les fesses, le sexe, les testicules. Les orties avaient commencé leur supplice. La douleur était insupportable et je ne pu que laisser échapper de ma bouche des cris de douleurs.

 

Pour me faire taire, ma tortionnaire me fit passer le Scotch autour de mon coup et de ma bouche.

Aprés une dizaine de tours, je ne pouvais qu'émettre un gémissement tout à fait inaudible. Je me tortillais sur place pour essayer de lutter contre ce feu qui envahissait mon corps.

 

"A tout à l'heure"  me lança la voix inconnue en s'éloignant.

Je me retrouvais maintenant en pleine nature dans un lieu inconnu, dans une tenue honteuse, dans l'incapacité de marcher, de voir, de parler et d'appeler au secours. Mes bras liés dans le dos m'empêchaient de me protéger en cas de chute en avant et je me mis à pleurer de honte, de douleur et de stupidité d'avoir accepté de me mettre tout seul dans une telle situation. Qu'allait -il se passer maintenant, j'étais à cent lieux de men douter......

 

La douleur devenait réellement insupportable, pour éviter une chute dangereuse je décidait de m'asseoir et de réfléchir au moyen de sortir de ce terrible piège.

 

Ayant par bonheur les jambes libres, je posais un genoux à terre puis un deuxième et une fois dans cette position je fis une rotation rapide pour me poser sur les fesses sans chuter sur le coté. Les orties maintenant écrasées par mon propre poids me rentraient dans la raie des fesses et entre mes cuisses, ravivant au passage une douleur violente sous mes testicules.

 

Cette position de repos partiel était en fait le meilleur moyen de faire souffrir un peu plus mes fesses et mon sexe.

Je décidais d'écarter maintenant les jambes pour donner un peu d'air à mes cuisses en feu. Un peu plus tard je m'accordais le droit de m'allonger sur le dos puis sur le coté pour essayer de rendre un peu moins pénible ma situation.

 

Je n'étais pas allongé depuis quelques minutes que j'entendis venir des pas dans ma direction. A n'en pas douter c'était plusieurs personnes qui marchaient d'un pas rapide et décidé dans ma direction. Je ne savais pas quoi faire.

 

Si je ne bougeais pas j'allais être découvert dans cette position et ce serait atroce. Si j'essayais de bouger pour me cacher je risquais de me blesser en heurtant je ne sais quel obstacle. Je décidais finalement d'affronter la honte et le déshonneur d'être découvert attaché, bâillonné et le slip remplis d'orties. Je m'allongeais de tout mon long en attendant d'être découvert.

 

Lorsque les pas s'approchèrent de moi en silence, je compris très vite que les personnes qui me regardaient n'étaient pas là par hasard. Leur silence trahissait le fait qu'elle savait parfaitement que je me trouvais là. Aucune parole ne trahissait leur identité.

 

Soudain je sentis eux paires de mains me maintenir au sol en m'appuyant avec fermeté sur les épaules et le ventre. 

Le contact métallique froid de ce qui devait être un couteau ou une paire de ciseau, s'insinua entre le slip et ma cuisse. Un claquement sec puis un deuxième libéra le slip qui m'emprisonnait. Une main qui devait être gantée m'ota en un tour de main le tissu et surtout les orties qui fouillaient mon corps. S'insinuant entre mes cuisses et mes fesses les doigts enlevaient une à une les orties mouillées qui restaient collées à ma peau. Au fur et à mesure que cette main nettoyait mon corps je sentais la douleur diminuer en même temps que ma honte atteignait la côte d'alerte. Mais je décidais de me laisser faire. Une fois débarrassé des orties je sentis une odeur de lait de beauté m'emplir les narines.

 

Les mains amies me versaient maintenant un lait ou une crème sur le bas ventre et entreprenais de me nettoyer de fond en comble. Un long et complet nettoyage de mon intimité me procura même une érection inattendue et encore plus gênante. Un petit rire féminin fusa et je devinais alors qu'il y avait au moins une femme parmi ces paires de mains. Une main s'empara de ma verge et commença à me masturber tout en versant sur le haut de ma verge le lait bienfaiteur. le rythme s'accélérait et au bout de quelques minutes je ne pus retenir une longue et puissante éjaculation. Mais la main avait décidé de continuer à coulisser autour de mon sexe.

 

Constant que ma verge commençait à se ramollir, une deuxième main entrepris de m'écarter les fesses pour plonger un puis deux doigts dans mon anus déjà fortement sollicité. Les deux doigts écartaient mes sphincters pour forcer le passage et me violer un peu plus. Pendant ce temps l'autre main avait décidé de prolonger mon érection et d'obtenir une nouvelle éjaculation. Un mélange de plaisir et de souffrance me maintenait dans un état étrange.

 

 

Suite à venir !!!!!

 

Par gigipanpan
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