Je me retrouvais à nouveau seul dans la cuisine priant de toutes mes forces que plus personne ne passe ans cette coursive tant que Tichka ne serait pas revenue.
Le temps me paraissait interminable, et j'avais de plus en plus de mal à rester sur la pointe des pieds. Pour me soulager un peu, je levais une jambe après l'autre pour éviter la venue de crampes ou de fourmis.
Autant vous avouer tout de suite que mon érection n'était pas restée très longtemps vivace.
Au moment ou je m'y attendais le moins, la porte me poussa en avant et je dus sautiller d'un pied à l'autre pour laisser le passage à Tichka.
- Bien, tu as été sage pendant mon absence ? Je vais te détacher pour que tu puisses te dégourdir un peu. Après nous rejoindrons le donjon que tu ne connais pas encore. La journée ne fait que commencer. mais avant de rejoindre le donjon, nous allons passer un petit moment sur la terrasse pour te préparer convenablement.Il faut que tu sois propre de fond en comble pour la visite de mes amies. Seul un véritable lavage en profondeur est envisageable.
Ne comprenant pas bien à quoi elle faisait allusion. Me tirant par la corde toujours attachée à mon sexe, je la suivis à travers les couloirs qui se succédaient, pour finir au pied d'un escalier en colimaçon. Son appartement qui était en fait un immense duplex. Je n'aurais jamais imaginé qu'elle habite seule dans un appartement aussi grand. Le loyer devait lui coûter une petite fortune !!!
Elle passat devant moi, continuant à tendre la corde pour m'inviter à la suivre. Les bras toujours attaché dans le dos, je faisais attention de ne pas trébucher en montant une à une les marches en bois qui craquaient par endroits sous le poids de nos deux corps.
Une fois arrivée en haut, un grand salon moderne s'ouvrait sur une magnifique baie vitrée. Je découvris une superbe terrasse qui surplombait presque tous les toits des maisons voisines. Sur ma gauche la terrasse d'un autre appartement. Une petite palissade en bois séparait les deux terrasses, mais il était plus que certain qu'une personne se tenant debout pouvait voir ce qui se passait de l'autre coté.
Avant de me faire mettre à genoux, elle me détacha les bras et ôta le noeud coulant qui m'enserrait la vege et les bourses depuis trop longtemps à mon goût.
- Met toi à quatre pattes bien au milieu de la terrasse, il va falloir que je te prépare. Laisse toi faire sinon il t'en cuira ou comme je te l'ai déjà dit, on s'arrêtera là.
Une fois à quatre pattes, je sentis Tichaka se rapprocher de moi. Elle se positionna entre mes cuisses et commença à introduire son index dans mon anus.
- Il faut que je prépare le passage, ne bouge pas.
Incapable de me rebeller, je me laissais faire de peur qu'elle mette à exécution ses menaces.
Son doigt fouillait et écartait maintenant mon anus à un rythme soutenu.
Pendant plusieurs minutes elle fit en sorte de distendre le plus possible mes sphincters.
J'avais beau serrer les fesses le plus possible, son doigt continuait sans faiblir à me "travailler" l'anus. Au bout d'un long intermède, elle me dit:
- Te voila prêt à recevoir un bon petit lavement. Reste sagement en place je vais préparer le matériel.
Frissonnant de peur et aussi parce que j'étais totalement nu, en plein air sur cette terrasse ou par bonheur le soleil réchauffait le carrelage du sol, j'allais devoir subir un véritable outrage à ma virginité anale.
Tichka, s'agenouilla entre mes jambes qu'elle me demanda d'écarter un peu plus. J'obéissais, lui laissant voir les parties les plus intimes de mon anatomie. Ma verge et mes testicules lui pendait maintenant sous le nez.
Je sentis soudain le contact dur et rèche d'un corps étranger qui forçait le passage de mes fesses. Tichka m'introduisait dans le derrière, le tuyau d'arrosage de sa terrasse. Par pur réflexe, mes sphincters se contractèrent, mais sans pouvoir arrêter la marche en avant du petit serpent de caoutchouc. Elle poussait en moi le tuyau souple et lorsqu'elle jugea qu'il était suffisamment entré en moi elle me dit:
- C'est maintenant le moment de serrer les fesses, car il va falloir que tu le garde en toi tant que je le dirais. Je vais aller ouvrir l'eau.
Elle se leva et se dirigeât vers le robinet d'arrivée d'eau. Pour éviter que le tuyau ne ressorte d'un coup sous la pression elle l'avait coincé sous mon genoux gauche.D'un geste rapide et précis elle venait simplement d'entre ouvrir le débit d'eau.
Je sentis de l'air pénétrer en moi, puis presque tout de suite un filet d'eau froide couler au fond de mon ventre A ce rythme te cette pression, le tuyau ne risquait pas de sortir de mes fesses. Le remplissage continuait lentement sous la surveillance de Tichka qui faisait en sorte de régler à sa guise le débit de l'eau.
Je commençais à avoir du mal à ne pas relâcher se liquide qui remplissait maintenant intégralement mon rectum.
C'est en fait ce que Tichka avait en tête. L'eau commençait à couler entre mes cuisses, accomplissant son travail de lavage interne. Par chance, j'avais été plusieurs fois au wc avant de venir rejoindre Tichka.
Tichka venait d'augmenter la pression d'eau et ce qui était depuis le début un léger filet d'eau fraîche entre mes cuisses, se transformait maintenant en un flot important et régulier. Mon ventre étant rempli à l'extrême, toute la quantité d' eau qui m'arrivait dans le rectum ressortait au même rythme.
Obligé de subir ce lavement qui n'en finissait pas de me nettoyer le ventre, je gardais la position demandée. Des bruits provenant de la terrasse d'à coté attirèrent mon attention. Je relevais la tête discrètement pour voir ce qui se passait.
Face à moi, accoudées à la séparation en bois, les deux femmes qui m'avaient découvert dans la cuisine me regardaient tout en discutant le plus naturellement du monde. Je ne pus continuer à les regarder dans les yeux, tout honteux de me montrer à elle dans cette position des plus humiliante.
Au bout d'un bon quart d'heure de discussion entre les trois filles, Tichka arrêta le débit de l'eau. Elle s'approcha de moi tout en disant aux deux filles.
- Venez me rejoindre au donjon, je le sèche et on arrive, vous pouvez préparer le matériel.
Je venais de réaliser que les trois filles se connaissaient et visiblement partageaient les mêmes plaisirs sexuels.
Tirant en arrière avec délicatesse le tuyau de mes fesses,elle me libéra de ce pal souple. les dernières gouttes s'échappaient de mes fesses avec des bruits que j'avais du mal à contenir devant elle.
- Tiens. Sèche toi avec cette serviette. Quand tu auras finit, rejoint moi dans le salon.
Même s'il ne faisait pas froid, je claquais des dents et il me fallait me réchauffer rapidement avec la serviette, si je ne voulais pas attraper froid.
Une fois bien séché et passablement réchauffais, je rejoignis Tichka qui m'attendait assise dans un club en cuir blanc, un magasine "SM" bien en vue sur ses genoux.
Elle se releva, ne me laissant pas le temps de m'arrêter devant elle.
- Suis moi, on rejoins les filles ans le donjon.
Me prenant immédiatement par la main, je dus la suivre toujours nu, dans le long couloir blanc et couvert de photos et dessins érotiques. La porte qui marquait la fin du couloir était capitonnée de cuir vert foncé.
Tichka, poussa la porte d'une main et tout en la suivant je découvris ce qu'elle appelait "le donjon".
Une immense pièce de plus de cinquante mètres carrés ou l'on trouvait sur la gauche accrochée au mur, toute la panoplie des ustensiles indispensables pour une séance de SM, de l'autre une véritable salle de bain ouverte et en plein milieu de la pièce un lit au dessus duquel toute une série de palans, carcans, cordes,colliers, bracelets de cuirs attendaient patiemment l'infortuné esclave.
Debout au milieu de la pièce ne sachant comment cacher ma nudité, je restais planté comme un idiot les bras ballants, attendant la suite des évènements.
L'une des femmes s'approcha de moi et me passa à chaque main des bracelets de cuir, puis un large collier autour du coup et pour couronner le tout, elle me fit ouvrir la bouche en grand en pressant sur mes mâchoires avec ses doigts. ne pouvant résister à la douleur de ses doigts contre mes gencives, j'ouvrais la bouche et elle en profitais rapidement pour m'introduire entre les dents un bâillon boule qu'elle s'empressa de m'attacher derrière la tête.
- Allonge toi sur le dos et met les mains bien au dessus de ta tête.
J'obéis me positionnant bien au milieu du lit dont le dessus était recouvert de latex.
Mes bras tirés en arrière furent attachés au bas du lit. Une fois mes bras immobilisés, je ne pouvais plus me protéger.
Tichka était entrain de m'attacher les pieds à l'autre extrémité du lit. Bras tendus et jambes tendus comme pour subir le supplice de l'écartèlement, j'en étais réduit à espérer que mon supplice soit le plus court possible.
Les deux femmes étaient partis chercher je ne sais quoi du coté des ustensiles. Cela ne présageait rien de bon.
L'une d'elle semblait avoir trouvé ce qu'elle cherchait, elle revenait un large sourire au lèvres.
- On va pouvoir tester sa résistance dit-elle sur un ton dur et sec.
Je tentais un regard de coté pour apercevoir ce qu'elle tenait à la main. Elle tenait dans sa main une espèce de petite sacoche reliée à trois petites chaînes. Elle s'approchât et se penchât vers moi.D'une main adroite, elle prit mes testicules et les tira vers le haut et de son autre main, elle glissa, cette sacoche de cuir sous mes bourses. La sacoche était en fait ouverte et il lui suffisait maintenant de la fermer sur moi à l'aide des boutons pressions. Une fois refermé, mes testicules se trouvaient emprisonnés dans ce carcan de cuir dur.
Je vis l'autre femme se saisir d'une petite télécommande qui reposait au sol et lorsqu'elle se mit à appuyer sur l'un des boutons, un bruit métallique se fit entendre au plafond. lentement mais sûrement, un crochet relié à une chaîne de bon calibre, descendait vers mon ventre. je commençais à comprendre se qui m'attendait maintenant.
Une fois le crochet posé sur mon ventre, Tichka prit l'initiative de passer les anneaux des trois chaînettes dans le palan qui ne demandait plus qu'à rejoindre le plafond.
En même temps l'autre femme fit fonctionner le mécanisme dans l'autre sens. Petit à petit la le crochet remontait entraînant avec lui le carcan de cuir.
Ralentissant le rythme de montée pour ne pas m'arracher les testicules, Il lui fallait maintenant régler la tension avec précaution.Par petites saccades, elle tendit la chaîne jusqu'à ce que mes bourses soient plaquées au maximum par la gaine de cuir noir. Ma verge quand à elle, restait libre
- Encore un petit effort Kirta, il faut lui tirer les couilles le plus possible pour tester réellement sa résistance. S'il passe avec brio cette épreuve, il aura une récompense.
Un dernier grincement et je me retrouvais presque obligé de soulever mes fesses pour soulager un pe la tension qui me pressait les testicules dans la poche de cuir.
- Tu vas rester comme cela pendant trente minutes. Nous viendrons te délivrer et si tu reste bien sage sans bouger ni appeler pour que l'on te délivre, je te promet une belle récompense. A tout à l'heure.
Les trois filles quittèrent la pièce me laissant seul attaché sur ce lit dans une position que je ne savais s'il me serait possible de la supporter aussi longtemps. Je décidais de ne rien lacher pour leur montrer à toute les trois que j'étais capable de souffrir en silence
Suite au prochain chapitre............
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