Il était 17h et des poussières quand la sonnerie du téléphone me tira de mes révisions, le nom affiché sur le cadran était celui de mon ami Alex
— Salut ma poule ça va ? lui demandais je en décrochant
- Oué oué comme toujours et toi ? me répondit il
- Super qu'est ce que tu voulais ?
- Ben, ça te dirait qu'on se voit si t'es pas trop occupé ?
- Bien sur que non, ben écoute tu veux qu'on se voie en ville ?
- Non je suis chez mes parents la, tu connais le petit bois à coté du centre ?
- Bien sur j'ai grandis ici je te rappelle
– Ben on se retrouve à l'entrée dans une demi-heure ça te vas ?
- Ok à tout a l'heure
Je raccrochais et partis me préparer, pendant ce temps je me dis qu'il y avait quelque chose d'étrange, Alex est rarement aussi pressant d'ordinaire, il devait avoir très envie de discuter avec quelqu'un de « neutre »
Je vous explique, Alex est un garçon que j'ai connu en fac, d'une grande intelligence mais avec quelques problèmes de dépression et de drogue qui l'ont conduit plus jeune dans hôpital
psychiatrique, et maintenant encore dans un foyer pour jeunes adultes
Il à 24ans mais on lui en donnerait tout juste 19, il est étudiant en sociologie actuellement et est bisexuel, on c'est tout de suite bien entendus et j'avoue qu'en apprenant à le connaître
j'ai commencé à avoir le béguin pour lui
Le coup de l'invitation dans un bois c'est une grande première, jusqu'à présent nous nous sommes vus dans des bars, des boites, des bibliothèques etc.
Une fois paré de ma chemise et d'un jeans je me mis en route vers le centre ville, le petit bois était quelques mètres derrière l'église, c'est un endroit surprenant, un lieu très isolé et pourtant en plein cœur de la ville, bien que nous soyons en octobre, cette journée faisait penser à l'été, seuls les feuilles mortes et les marrons sur le sol trahissaient le saison réelle
J'arrivais enfin à l'entrée du petit bois, Alex était en retard, je m'assis sur un petit rebord et allumais une cigarette en l'attendant ; Alex arriva quelques minutes plus tard chargé d'un gros sac à dos si pleins qu'il aurait pu exploser, je fus surpris de sa tenue, lui que j'avais toujours connu en petite chemise style premier de la classe, portait aujourd'hui un jeans bien trop large et un sweat à capuche
— Et ben dis moi tu t'es métamorphosé ? lui demandais je ironiquement
- On dirait bien oui, c'est plus confortable comme ça, me répondit il
- Je vois... et le sac ? tu veux qu'on campe sur place ce soir ?
- T'es bête c'est les bières voyons
- Évidemment...
On se mit en chemin à travers le bois pour trouver un « endroit tranquille », la nuit commençait déjà à tomber un peu, sur le chemin Alex me dit qu'il avait pris une trentaines de bières dans son sac, ce qui me sembla un peu démesuré pour une seule soirée
Son comportement lui aussi semblait différent, quelque chose d'étrange dans sa voix m'intriguait mais la soirée ne faisait que commencer et je savais qu'il me dirait bien ce qui lui arrive tôt ou tard
On traversa un petit chemin plein de fourres pour arriver finalement sous un chêne sous lequel on pouvait s'installer, je n'avais jamais été aussi profondément dans cette forêt mais le coin était tranquille car très éloigné du chemin
On commença alors à discuter de tout et de rien comme d'habitude en sirotant des bières, je ne pu m'empêcher de constater qu'il avait une sacré descente et que sa première bière fut terminé en quelques gorgées
Le temps passa et les bières aussi et notre conversation devint plus intimes
— Bon faut que je te l'avoue maintenant, me dit il en baissant les yeux
- Qu'est ce qu'il se passe ma poule, lui demandais je alors
- Ben j'ai un peu fait des conneries ces derniers temps...
- Ah oui ? et de quel genre ?
- Ben du genre que tu sais la semaine dernière quand t'as essayé de m'appeler et que je ne répondais pas
- Oui et alors ?
- Ben en fait je n'étais pas en cours, je venais de me faire un mauvais trip
- Pardon ? lui demandais je outré
- Oué, j'ai acheté de la cocaïne à un mec en ville, et j'en ai un peu trop pris, du coup j'étais pas super bien
- Mais t'es malade ou quoi ? qu'est ce qu'il t'a pris ? connaissant ton passé pourquoi t'as retouché a cette merde ?
- Ben justement je sais pas trop, j'avais envie de m'amuser un peu...
- Et ben c'est du joli ça...
- Oué ben c'est pas tout, reprit il alors
- C'est-à-dire ?
- J'ai abandonné les cours aussi
- Mais t'as un pète au casque toi ou tu te fous de moi ?
- Non pas du tout, j'arrivais plus vraiment à suivre et je me suis dis qu'il valait mieux que j'abandonne pour trouver un emploi stable
- Intéressant, et quel genre d'emploi stable tu penses avoir sans diplôme ni formation ?
- Ben je sais pas mais tu sais y'a des gens qui s'en sortes très bien avec juste le BAC, ou même parfois même sans, je trouverais bien, et puis c'est trop tard je me suis déjà dés inscrit
Sa réponse me choqua tellement que je ne su même pas quoi dire, ma seule réponse à cette idiotie fut un grand coup de ma main sur sa joue qui résonna dans le bois et le fis tomber sur le coté
— Merci, me répondit il contre toute attente, je crois que je l'ai mérité...
- Oh ça c'est sur que tu l'as mérité, lui dis je en colère, tu mérites même bien pire, mais t'es idiot ou quoi ? la drogue t'as grillé le cerveau c'est pas possible mais comment toi t'as pu
faire des trucs aussi débile ?
- Je me doutais un peu que tu te mettrais en colère... c'est pour ça que j'ai eut autant de mal à te le dire... mais j'ai besoin de ton aide... je sais pas comment m'en sortir... me dit il avec
cet air de gamin que l'on prend en train de faire une bêtise
- Bien deviné alors, bon la solution est simple, primo tu me donne ce qu'il te reste de drogue pour que je m'en débarrasse, repris je
- Ben en fait, j'en ai plus j'ai tout pris l'autre fois
- Bon tant mieux, mais t'as pas intérêt à en reprendre sinon je te jure que je te massacre c'est compris ?
- Oui, tout à fait, me dit il
– Bien, secundo, demain à la première heure j'appellerais la fac pour les convaincre de ne pas tenir compte de ton désistement, une chance j'ai une amie qui y travaille et qui pourra me
rendre ce service, et des demain matin tu retournes en cours
– Ok, c'est d'accord, merci beaucoup
- Et tertio, continuais je sur ma lancée, ce que tu as fais est vraiment puéril et idiot, et tu mérites d'être puni pour ça et c'est pas une simple gifle qui va suffire
– Hein ? dit il alors, qu'est ce que tu veux dire ?
- Une fessée dis je simplement
- Une... quoi ? me répondit il en bafouillant
- Je vais te donner une fessée, ici et maintenant pour ton comportement, et pas du genre fessée de gamin où tu donne deux claques et c'est fini, ça va faire mal pour que tu t'en souvienne
– Merde, tu déconnes là ?
- Pas du tout
- J'ai le choix ? me demandat' il alors
– Pas vraiment non
Un long silence commença alors, je lui laissai réfléchir un peu à la situation sans rien dire, le « pas vraiment » venait du fait que je fais facilement le double de son poids, il ne me serait donc pas très difficile de le contraindre et il le savait bien
Le silence continua un peu, quand d'un coup je l'entendis dire d'une voix faible et un peu résignée « ok vas y »
La nuit n'allait pas tarder à tomber, il me fallait faire vite.
Alex sur mes ordres se releva. Déshabille toi entièrement et pose tes affaires par terre. Il commença par déboutonner sa ceinture et enleva son jeans. Baissant la tête, il baissa son boxer jusqu'à ses chevilles, avant de tout mettre par terre et se retrouver intégralement nu devant moi. Il n'avait conservé sur lui que ses chaussettes.
La vue d'Alex nu devant moi, résigné à recevoir de mes mains une punition bien méritée, m'excitait au plus haut point. Cette fessée s'annonçait mémorable........
- Va te mettre là entre les deux arbres, ordonnais je.
- Écarte tes bras et pose tes mains sur chaque tronc. Si jamais tu baisse les bras ou si tu tente de te protéger les fesses ou de fuir, je te dénonce aux autorités.
Tournant la tête vers moi il répondit:
- C'est juré, j'accepte la sentence. Mais vas y commence, si quelqu'un arrive.........
Je le laissais là un moment, le temps de trouver sur un arbre un branche fine et souple qui servirait de badine.
J'en trouvais une qui ferait parfaitement l'affaire.
Longue d'environ soixante centimètres, souple à souhait et encore verte. Pour effrayer un peu plus Alex, je me mis à la faire siffler en fouettant l'air à plusieurs reprises.
Je surpris son regard effrayé à l'idée du prochain contact de fesses avec cette verge menaçante.
Avant de commencer je regardait un peu ses fesses que je voyais nues pour la première fois, elles étaient bien rebondies et imberbe, en posant ma main dessus je sentis un frisson parcourir le corps de mon ami et je pus remarquer qu'elles étaient très douces
Je n'avais pas encore commencé la fessée, que je sentis qu'il sanglotait déjà, probablement par l'humiliation de se retrouver cul nu en pleine forêt, à attendre une fessée.
Ma main se souleva enfin et dans un sifflement strident la verge mordit une première fois ses fesses, lui faisant pousser un petit cri étranglé de surprise et de douleur. Il fallait être dur avec lui pour qu'il apprenne la leçon ; après seulement quelques coups bien senties, Alex commençait déjà à gigoter le derrière, comme pour essayer de se protéger.Plus je le fessait et plus je sentais monter en moi ce sentiment de pouvoir du fesseur monter en moi ; les morsures de la verge résonnaient dans la foret, rythmées par les soubresauts et les gémissements d'Alex, il y avait quelque chose de "musica"l dans tout cela
J'oubliais qu'il s'agissait de mon ami, j'oubliais qu'il était la, je frappais juste mécaniquement sur ses fesses
Je fut réveillé de ma frénésie quand j'entendis Alex pleurer à grosses larmes, je compris à cet instant que la fessée devait prendre fin ; je stoppa net les coups et commença a caresser ses cheveux et ses fesses qui étaient brûlantes et striées de rouge.
-Tu peux abandonner ta position et te rhabiller, je crois que la leçon portera ses fruits.
Nous ne nous somme plus rien dit de la nuit, les mots étaient inutiles mais même sans cela notre conversation continuait par nos yeux, les choses entre nous étaient à présent bien claire
Le soleil se levait déjà, un nouveau jour commençait, je n'avais pas vu le temps passer. Il était 7h00 du matin et les tons ocre du levant éblouissaient nos deux visages, la nuit était bien finie et la soirée avait été riche en émotion.
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