Samedi 21 août 6 21 /08 /Août 00:53

Mon corps n'était plus qu'une boule de feu. Aussi imberbe qu'un enfant qui vient de naître, je devais donner à mes tortionnaires une drôle d'image.

 

Je fus remis debout et l'on me reconduisit jusqu'à la voiture, toujours aussi nu et tiré par une corde qui me serrait le coup.

Je dus monter cette fois dans le coffre.

Le véhicule après avoir roulé pendant de longue minute s'immobilisa, puis lentement pénétra dans un garage. Je reconnaissais le bruit particulier d'un portail électrique qui se baisse.

 

On me sorti de la voiture et je dus à nouveau marcher pied nu sur un carrelage froid. On me fit enjamber ce que je reconnu être un bac à douche. Dans la seconde qui suivi un jet puissant et glacé me trempa jusqu'au os. Pendant de longue minutes je fus récuré par plusieurs gants de crins. A nouveau cette sensation incroyable de chaud et froid.

Une fois poncé de haut en bas, je fus détaché entièrement et à ma grande surprise on m'ôta le foulard qui m'empêchait de voir. Malgré le "gommage" subi, je constatais que mon sexe était encore couvert de traces de feutre noir.

 

Je faisais fasse à quatre superbes femmes d'une trentaine d'années qui de part leur look m'incitait à penser que ce devait être des féministes convaincus ou des lesbiennes. Cheveux courts, look masculin, tout y était.

 

L'une d'entre qui devait être la "chef" me dit d'une voix grave.

 

Il te reste une épreuve à subir avant de retrouver tes affaires et rentrer chez toi.

 

" Tu vas sortir dans le jardin et tu vas t'asseoir sur la chaise qui est au milieu de la pelouse. On viendra te rechercher quand il sera temps de rentrer. Prends ces deux paires de menottes avec toi. Tu devra attacher tes chevilles aux montants et passer tes mains derrière les barreaux de la chaises pour y  attacher tes poignets. Si tu n'obéi pas tu restera dehors toute la journée et toute la nuit.

 

La  femme avait à peine fini de parler que les trois autres me prirent par les bras et me poussèrent dehors en prenant bien soin de refermer la porte à clef. je me retrouvais à l'extérieur, nu avec dans la main deux paires de menottes ouvertes dont bien évidement les clefs avaient été enlevées. L'une d'elle avait une longue chaîne afin que je puisse très certainement faire le tour de la chaise pour attacher mes chevilles.

 

Je ne savais absolument pas à quoi ressemblait la maison. La porte d'entrée était située en haut d'un double escalier qui surplombait le jardin. De là, j'apercevais les passants dans la rue et je compris vite qu'il valait mieux que je descende au plus vite avant de me faire repérer.

 

 Je commençait à comprendre ce que j'allais devoir faire. Les filles avaient bien combiné leur coup et j'étais certain qu'entre les arbres des passants pourraient sans grandes difficultés me voir sur cette chaise haut perchée. Heureusement que les arbres et la haie devant les grilles cachaient en partie la vue. Je m'approchais de la chaise métallique et montait m'y installer de peur des représailles qui m'attendaient si je n'obéissait pas.

 

Une fois assis sur le siège, je prenais la paire avec la grande chaîne et fixait mes chevilles de chaque coté, aux montants en tube. Une fois mes chevilles immobilisé en position de jambes écartées, je passais mes mains derrière les barreaux du dossier et refermait les menottes après les avoir fait passer entre les barreaux. Le double cliquetis de fermeture sonna le départ de ma punition.

 

La position était confortable et je souriais intérieurement en pensant que les quatre femmes avaient imaginés pour moi un supplice bien plus doux que ce que je venais d'endurer.

 

Je n'avais pas remarqué en montant sur la chaise d'arbitre, que celle-ci était pourvue de roulettes afin de pouvoir facilement la déplacer d'un endroit à un autre. C'est lorsque je vis ressortir les quatre filles que je réalisait que mon optimisme allait certainement être de courte durée.

 

La chaise fut en quelques secondes poussée bien au milieu du jardin et de là je surplombait toute la rue. Les arbres étaient beaucoup moins nombreux et la haie plus basse. Si un passant tournait la tête pour regarder vers la propriété, nul doute que je serrait dans son champ de vision.

 

Une fois en place, les filles s'éclipsèrent sauf une qui s'arrêta au pied des escaliers pour ouvrir un petit placard. Quelques secondes suffirent pour que se mette en place l'arrosage automatique du jardin. De puissants jets d'eaux commençaient à m'inonder tout le corps. Je comprenais maintenant pourquoi les filles avaient voulu que je m'attache.

 

La violence des jets d'eaux m'obligeait à tourner la tête à chaque passage; L'un deux m'arrivait de face et je devait me contorsionner sur la chaise pour ne pas recevoir le puissant jet sur mes testicules. A chaque passage, je devait soulever mes fesses du siège pour que le jet passe sous moi. Chaque mouvement me tendait les poignets et les chevilles. Si ce petit jeux durait longtemps j'allais finir par avoir des crampes aux jambes et aux bras.

 

Heureusement pour le moment personne ne passait devant la maison. Je pouvais donc continuer à gesticuler sans que l'on puisse m'observer.

Au bout d'un bon quart d'heure, je commençais à ne plus pouvoir me lever complètement, tellement mes muscles déjà sollicités me faisaient souffrir. Le jet d'eau qui visait montre entre jambes semblait devenir de plus en plus précis. En fait c'est surtout moi qui avait de plus en plus de difficulté à me déplacer pour éviter le choc de l'eau sur mes parties intimes.

 

Mes gesticulations allaient forcément finir par attirer l'attention. Par bonheur le passage fréquent de nuages assombrissait un peu la luminosité ambiante et avec un peu de chance, j'allais pouvoir attendre la fin de mon supplice sans avoir à endurer l'humiliation d'être découvert par des passants, nu attaché de façon grotesque en plein milieu d'un jardin et entrain de recevoir la plus humiliante des douches froides.

 

Soudain les jets d'eaux stoppèrent leur va et vient, me laissant maintenant en position "séchage" imposé.

Il ne faisait pas très froid et ma nudité était supportable.

C'est au moment ou je m'y attendait le moins qu'un groupe de six jeunes décida de stopper presque devant l'entrée de la propriété pour s'échanger des livres. Les trois filles vu leur physique devaient être en terminale. L'une d'elle en se retournant pour ranger un livre dans son sac me fit dans son champ de vision.

 

Plus aucun doute maintenant, la fille me fixait avec des yeux incrédules à la vue d'un tel spectacle pour le moins insolite. je lisait sur son visage son étonnement dans les premiers instants. Pour se persuader qu'elle n'avait pas de vision, elle s'approcha de la grille en écartant avec ses mains les branches des petits cyprès.  Un grand éclat de rire ponctua ses quelques moments d'étonnement.

 

En même temps les autres jeunes s'étaient retournés et s'approchaient eux aussi pour profiter du spectacle. Après les premiers rires et moqueries que j'avais du mal à entendre, j'eus droit à une séance photo avec les téléphones portables. Je faisais en sorte de tourner la tête pour cacher mon visage, quand, comme pour éviter un attroupement, les quatre femmes arrivèrent en marchant calmement pour déplacer la chaise roulante sous les yeux encore étonnés des six voyeurs involontaires. Je priais que les clichés pris à la sauvette ne soient pas exploitable ou au moins que l'on ne puisse pas me reconnaître ou voir mon visage.

 

la chaise fut rapidement poussé dans un coin du jardin hors de la vue des passants. Au moins sur ce point mon humiliation allait s'arrêter.

 

Eh bien me dit l'une d'elle. On est arrivé à temps pour t'éviter d'être vu par tout le village !!!

 

L'une des filles était en train démonter sur la chaise avec à la main, les clefs des menottes. Une fois mes chevilles détachées, elle fit en sorte de libérer l'espace d'un instant mes poignets et une fois la paire de menottes repassée devant la chaise métallique, d'un geste rapide et précis, elle referma à nouveau les menottes sur mes poignets. Je dus avoir recours à son aide pour descendre de la chaise. Les barreaux en fer mouillés étaient glissant et mes pieds nus risquaient à tout moment de déraper.

 

Une fois en bas, je fus reconduit dans la maison et sans dire un mot les filles me poussèrent dans la salle de bain.

L'une d'elle s'adressa à moi:

"On va t'appeler un taxi pour qu'il te ramène jusqu'à ta voiture. Tu l'a bien mérité.

J'entrevoyais la fin de mon calvaire !!!

 

Pendant que la femme sortait pour aller téléphoner, les trois autres avaient entrepris de me rincer sous la douche. Je dus enjamber la grande baignoire qui trônait au milieu de la salle de bain intégralement recouverte de marbre.

 

Le jet chaud de la douche me faisait un bien énorme et je commençais à me réchauffer après la douche glacée subie dans le jardin.  Pendant qu'une tenait le jet d'eau dans ma direction, les deux autres me savonnaient de fond en comble, et l'une d'elle prenait un malin plaisir à s'attarder sur mon anus avec un doigt inquisiteur qui allait et venait lentement pour forcer le passage.

"Il est prêt "lança la femme au doigt indiscret.

celle qui tenait le pommeau de la douche tourna la molette et le jet se transforma immédiatement en un jet puissant et très concentré.

Tiré en avant par les cheveux, et ne pouvant me protéger avec mes mains attachées dans le dos, je me pliais en deux et je sentis en même temps que des doigts écartaient mes fesses afin de pouvoir plaquer sur mes fesses, le pommeau de la douche.

Je sentis le liquide chaud forcer mes sphincters et je frayer un passage. J'étais en train de recevoir un lavement de cheval et ce n'est que grâce à un hurlement de douleur que les filles décidèrent d'interrompre le traitement.

 

Mes poignets furent déliés, et l'une d'entre elle posa mes vêtements sur une chaise.

 

"Tu peux te rhabiller, et partir, le taxi t'attends devant la porte".

"Dépêche toi car il ne vas pas t'attendre longtemps.

 

Le temps de vêtir en hâte et je fonçais à l'extérieur de cette superbe bâtisse. Sans même me rendre compte que j'avais dans le ventre au moins deux litres d'eau, je me laissais tomber sur la banquette arrière de la voiture.

 

Le taxi avait du être prévenu de l'adresse ou me déposer, car il démarra sans me demander quoi que ce soit.

 

Dans le rétroviseur intérieur, je croisait de temps en temps le regard du chauffeur qui devinait à n'en pas douter que quelque chose de bizarre allait se passer. A chaque  secousse ou redémarrage de la voiture mon ventre menaçait d'exploser et de libérer tout ce liquide qui emplissait mon rectum.

 

D'énormes gargouillis faisaient un bruit énorme et attiré l'attention du chauffeur. J'avais de plus en plus de mal à me retenir. De grosses gouttes de transpiration coulaient le long de mon front et de mes joues. Je serrais les dents autant que mes fesses. Le véhicule roulait maintenant en dehors du village.

 

Ne pouvant plus me retenir, et paniqué à l'idée de me vider dans le taxi, je fus obligé de demander au chauffeur de s'arrêter en urgence. Il stoppa le véhicule au bord de la route et mis immédiatement le warning. Le temps pour moi de plonger dans le fossé et de baisser à toute vitesse mon pantalon et mon slip, je sentis dans la même seconde les premières gouttes chaudes couler le long de mes fesses en un jet saccadé.

 

Le fossé n'était pas très profond. Le chauffeur m'observait du coin de l'oeil avec le rétroviseur de droite, son regard en disait long sur son amusement. Un flot régulier de véhicules ralentissaient à la vue du warning. Ne pouvant me cacher, j'offrais à tous les conducteurs et passagers le spectacle comique d'une paire de fesses bariolées au feutre, en train de vider par jets puissants tout le liquide qui m'avait été introduit de force.

 

Pendant de longues minutes je dus rester dans cette position indécente car l'eau continuait à sortir de mes fesses. Les dernières gouttes furent les plus humiliantes,car à l'eau se mêlait maintenant des matières fécales. Je venait de prendre conscience que je n'avais pas de papier toilette. Du regard je cherchait une solution impossible qui ne pourrait venir que d'un tiers.

 

Comme s'il avait deviné mon embarras, le chauffeur de taxi venait de descendre de son véhicule et s'approchait de moi. J'essayais tant bien que mal de lui cacher ma nudité.

 

"Vous aurez certainement besoin de cela" me dit-il en me tendant un paquet de mouchoirs jetables.

Je lui répondis un simple merci bredouillant de honte, ainsi exposé à la vue d'un inconnu, qui découvrait en même temps un sexe rasé et colorié, des fesses rougies par le traitement subi durant toute la journée et elles aussi décorées au marqueur indélébile. Bref il avait devant lui un spectacle qu'il allait pouvoir raconter à tous les copains et amis pendant de nombreuses années.

 

Une fois remonté dans la voiture je fis en sorte d'éviter son regard dans le rétroviseur.

 

Une bonne demi heure plus tard, son taxi s'arrêta juste devant mon véhicule.

 

"La course est gratuite, ne vous en faites pas, vous pouvez partir".

 

Sans demander mon reste, je m'engouffrait dans mon véhicule qui me semblait être à ce moment là, l'endroit le plus agréable de la planète.

 

 

 

 

 

Par panpan
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