Jeudi 25 novembre 4 25 /11 /Nov 11:39

Ma vie à St Joseph (1ère partie : première rentrée)


Je me prénomme Antoine, j'ai été pensionnaire dans une institution très sévère de la 6° à la T°L. Je vous propose de vous narrer ma vie dans ce pensionnat.

Nous somme en septembre 1989. J'entre en 6°. Mes parents, des bourgeois de la région bordelaise, ont décidé de me mettre en pension. Ils disent qu'au vu de mes résultats scolaires en primaire, et de mon manque de motivation, c'est la meilleur des solutions. Au mois de mai, nous avons eu rendez-vous avec le directeur de l'établissement. C'est une école privé catholique. Un petit séminaire. Le directeur, le père Kirchen, nous a reçus. Il a expliqué à mes parents que pour une instruction, un enfant avait besoin d'une discipline stricte avec des sanctions adéquates. Que les châtiments corporels et que les punitions sévères sont la meilleure façon d'éduquer un jeune et de lui inculquer la notion du travail. Mes parents ont approuvé et moi j'ai passé mes vacances à penser à l'horreur qui aller m'attendre à la rentrée. Nous avons reçu le courrier de rentrée. Je fus surpris car il était précisé que nous ne devions pas apporter d'affaire personnel, que tout était fourni par l'institution.

 

Le jour de la rentrée, une fois que tous les élèves furent arrivés, le directeur nous accueille. Il nous rappelle le règlement puis on nous réunit par division. Il y a trois divisions. La communauté des petits (6°/5°), la communauté des moyens (4°/3°) et la communauté des grands (lycée). Là, notre préfet de discipline, le père Désbien, se présente à nous. Il est assisté de deux surveillants. Un pour les 5° Monsieur Perry et un pour nous les 6° Monsieur Wendling. Le préfet, nous rappelle les règles, nous présente son martinet et son paddle, et nous indique que les surveillants ont aussi le droit de correction. Nous somme ensuite appelé par ordre alphabétique chaque niveau (6° et 5°) d'un coté. On nous coupe les cheveux bien courts, bien dégagé derrière les oreilles, puis on nous remet notre trousseau. Il se compose d'abord de nos uniformes. Le premier pour certaines occasions culotte anglaise classique en flanelle grise, chemise blanche, blazer bleu marine. L'uniforme classique de tous les jours. 2 Culottes anglaises classiques en velours côtelé bleu marine, 2 chemises blanches. 2 pulls en V couleur bleu marine. 7 slips blancs marqués pour chaque jour. 7 tricots de corps marcel blanc marqué aussi pour chaque jour. 7 paires de chaussettes noires. 7 gants de toilette 1 par jour.1 blouse bleu boutonnage sur le coté. 1 paire de chaussure basses noires et 1 paire de chaussure noires montantes. 1 paire de chausson. 1 Duffle-coat bleu marine. 2 serviettes de toilettes. Une trousse de toilette composée d'un savon, 1 flacon de shampoing, 1 tube de dentifrice, une brosse à dent, 1 coupe ongles. Nos affaires scolaires. Un micelle, et une bible. On prend notre valise, et on se met en rang. Direction les dortoirs. Celui des 5° et au second, le notre au 3°. Dés que l'on rentre, on arrive dans la salle d'eau. Une soixantaine de lavabos et d'armoires alignés sur 6 rangées. Sur chaque armoire notre nom et notre classe est indiqué. Dans l'armoire on y trouve une paire de drap blanc que l'on doit sortir. On doit ensuite ranger nos affaires dans cette armoire et mettre notre 1er uniforme. Nous arrivons ensuite dans le dortoir. 65 lits sont alignés en 2 rangée face à face. En face de chaque lit un bureau ou nous devons ranger nos affaires scolaires. Ensuite on doit mettre les vêtements dans lesquels on est venu dans un sac qui est placé dans un cagibi, puis nous retournons dans la cours en rang pour une inspection du directeur.


A notre arrivée, la division des petits s'installe à droite alignée. A notre gauche aligné de profil a par rapport à nous les moyens dans la même tenue que nous et en face les lycéens avec a peu prés la même tenue. Mais sont en pantalons.

Nous nous rendons ensuite au réfectoire. Le préfet nous a prévenus que nous devons garder notre uniforme propre car il ne sera pas laver maintenant. On nous sert une salade de tomates en entrée. Ca ne loupe pas. Pierre, mon voisin d'en face, renverse une tomate sur sa culotte. Le préfet le remarque, il l'attrape par l'oreille, le traine au milieu de la pièce. Il lui baisse sa culotte et son slip. Il prend une chaise, s'assoit dessus, il le couche sur ses genoux, relève son blazer et commence à le fessé. Pan, pan, pan, Pierre tente de se protéger le postérieur avec ses mains. Le père Desbiens lui ordonne de mettre les mains sur la tête. Il s'exécute et l'homme en soutane reprend le châtiment. Après une dizaine de claques bien sonnantes, mon ami se protège à nouveau. L'abbé le relevé alors et se dirige vers la porte. Il prend alors sur une étagère de la ficèle.

 

Il se dirige ensuite vers Pierre et lui noue les poignets solidement. Il le recouche ensuite sur ses genoux et lui assène une nouvelle série de coup. Clak, clak clak ! Son cul rougi à vue d'œil.

Le préfet est expert. Il va de fesse en fesses avec une régularité de métronome et une force ardente. Mon camarade, a les larmes qui lui perlent aux yeux. Nous assistons à la scène et nous comprenons vite que ce qui nous a été expliqué s'applique à la moindre occasion. Je me dis que je vais tout faire pour me montrer très obéissant et je plains le pauvre Pierre que je trouve très sympathique. Au bout de 5 minutes environ, le supplice s'arrête. Il lui signifie qu'il devra copier 3 pages de la sainte bible le soir même et qu'il doit rester les mains sur la tête au centre du réfectoire. Nous poursuivons le repas avec comme vue le cul tout rouge de notre camarde. Le repas se poursuit ainsi et au moment du plat principal, une élève de 5°, qui se prénomme François affirme qu'il déteste les choux Bruxelles et refuse don de manger ceux qui nous sont servis. Le préfet l'oblige à les mangé jusqu'au dernier, puis il le conduit par l'oreille au centre du réfectoire lui baisse culotte et slip, le courbe sur la chaise et lui donne le martinet. Les coups pleuvent à toute volée. Il encaisse les coups stoïquement dans un premier temps.

 

Mais la rage avec laquelle ils sont donnés le fait vite pleurer et crier. Il a les fesses striées et le préfet ne ménage pas sa peine dans la correction. Nous somme tremblants en assistant à cette démonstration. Il sait parfaitement manier cet instrument de torture. Il le lève bien haut et le fait retomber avec force sur les fesses du pauvre François. A la fin de la sanction, François rejoint Pierre au centre les mains sur la tête. Le repas se termine tranquillement. A la fin, nous devons rester debout silencieusement. Pauvre de moi, j'oublie vite cette consigne et demande je ne sais quelle bêtise à mon voisin. Vu et pris et pan, c'est à moi de tâter du martinet. L'abée Desbiens me baisse à mon tour ma culotte et mon petit slip blanc, me courbe sur la table et vlan me donne un premier coup de martinet. Moi qui n'est reçu qu'une raclée dans ma vie, et encore à la main, j'hurle immédiatement. Schlack, AAAAAAAAAIeeeeeeeeee. Ca me brule. Schlack, Schlack, Schlack, les coups s'enchainent avec force. Je pleure. Après une bonne vingtaine de coups, j'ai le cul en feu. Je suis enfin autorisé à me rhabiller. Ouf j'ai évité l'humiliation d'être exposé comme mes camarades. Les autres vont en récréation. Nous, nous devons nettoyer la cantine. Une fois terminé la récré et terminée. Nous nous rangeons avec les autres.

 

Le préfet nous informe, Pierre, François et moi que nous ferons notre punition après les douches. Qu'en attendant, nous suivons les autres. Arrivé au dortoir, nous devons tous nous mettre en slip et torse nu. Trousse de toilette, pyjama et serviette à la main, nous devons nous mettre en rang et attendre l'arrivée du préfet. Il commence les douches par nous les 6°. A son arrivée, nous descendons en silence. Le seul bruit autorisé et le glissement des chaussons sur le marbre. Les douches sont au rez de chaussé. Dés que nous y somme parvenu, nous sommes dans l'obligation de nous asseoir sur des bancs, placés dans le centre de la pièce. Il y a 12 douches. 6 de chaque cotés. Elles sont individuelles, séparées par un mur mais sans porte ni rideau. Si bien que le préfet peut nous observer et voir si nous nous lavons correctement. La douche se déroule ainsi. On se met nu. On dépose serviette et trousse de toilette sur le crochet prévu à cet effet. On range le slip salle dans la trousse de toilette. On se met sous la pomme de douche. Le préfet allume l'eau. Elle plus froide que tiède. Puis il coupe l'eau. On doit se laver les cheveux avec le shampoing. Il remet l'eau. On se rince. Puis on doit se savonner tous le corps avec le savon et le gant de toilette. On doit se frotter parfaitement sans oublier de décalotter notre sexe.

 

Ensuite le préfet, remet l'eau. On se rince. On s'essuie et après avoir enfilé notre pyjama, nous retournons nous asseoir. Cela dure environ 10 minutes. Quand tous le monde est passé, nous remontons en silence. Mais pour cette fois, Pierre et moi sommes invités à attendre mains sur la tête au coin. Il redescend 5 minutes plus tard avec les 5° et renouvelle l'opération.

Une fois les douches des 5° terminées. Nous montons à son bureau. Il nous indique les pages de la bible à copier. Nous montons la chercher ainsi que des feuilles et un stylo. Puis nous rejoignons la salle de punition située prés de son bureau. A 20h30, il nous dit de monter pour la prière au dortoir. Nous sommes tous agenouillé prés de notre lit. Nous sommes sous la surveillance de monsieur Wendling.

 

Après la démonstration du repas, personne n'ose faire le pitre et tout ce passe pour le mieux. A la fin de la prière nous retournons finir nos lignes. Nous terminons à 22h. Nous allons nous coucher en silence. Les autres dorment depuis une heure. Nous devons dormir sur le dos les mains sur les couvertures.

Le lendemain matin réveil à 6H. Nous devons faire notre toilette, nous habiller et nous coiffer. On descend à la messe puis petit déjeuner retour au dortoir, brossage des dents, réfection des lits au carré. On se range et on va en cours. On découvre l'ensemble de nos professeurs. Tous nous disent que si le besoin s'en fait sentir, ils n'hésiteront pas à utilisé les châtiments corporels. On est fixé. Cette première journée se passe tout de même sans embuche.

 

C'était ma première rentrée, dans les prochains épisodes je vous raconterai la suite.

 

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Ma vie à St Joseph (2ème partie : La 6°)

 

Outre la correction que j'ai reçue le jour de mon entrée en sixième, j'en ai reçue 5 autres durant cette année scolaire.

 

La première a lieu peu avant les vacances de toussaint. Donc peu avant mon retour à la maison puisse qui nous ne rentrons qu'aux vacances. C'est samedi. Une semaine avant de rentrer. Nous sommes en promenades avec l'ensemble de la division. Les 6° et les 5° réuni donc. Sauf les collés bien-sur ! Nous sommes avec notre préfet, le père Desbien et Monsieur Perry le surveillant des 5°. Monsieur Wendling notre surveillant est resté au collège avec les punis. Nous marchons en rang par deux. Nous somme avec nos uniformes de « tous les jours ». Culotte anglaise classique en velours côtelé bleu marine, chemise blanche, pull en V couleur bleu marine en dessous marcel du samedi et slip du samedi. Nous avons aussi nos Duffle-coat bleu marine car il fait déjà froid.

 

Arrivé dans une clairière ou nous avons l'habitude de nous rendre, nous somme libre de nous amusé un peu. Une demi-heure en fait. Après ce petit temps de récréation nous devons de nouveau non mettre en rang et l'appel et fait par le préfet. Mais ce jour là mon ami Lucas et moi somme absents. Nous avons disparu. On s'est t un peu trop éloigné dans le bois qui entoure la clairière. On n'a pas vu l'heure. Monsieur Perry et le père Desbien nous appelle. On les entend mais on ne trouve pas la sortie du bois. On s'est tout bonnement perdu. On crie, à notre tour mais visiblement personne ne nous entend. On bout d'un petit moment, le surveillant nous retrouve, nous sort du bois en nous tirant par l'oreille et on se retrouve devant l'abbé furibard. 3 claques sur les cuisses à chacun et la confirmation de la certitude que nous serions corrigés sévèrement à notre retour à l'école et le groupe et nous pouvons reprendre le chemin du retour.

 

 

Arrivé à St Joseph, tandis que l'ensemble de nos camarades se dirigent vers le réfectoire pour prendre leur goûter, Lucas et moi devons nous rendre au bureau du père Desbien. Il est toujours dans une immense colère. Il nous reproche le fait que l'on est fait perdre du temps au groupe. Il nous soupçonne de l'avoir fait exprès. Nous dit que cela va nous couter cher. Il se saisi de son paddle et nous ordonne ne baisser notre culotte et notre slip. Il ordonne ensuite à Lucas de se tenir a genoux les mains sur la tête prés de son bureau. Quand à moi, je dois prendre appui sur les accoudoirs d'un des fauteuils, monter mes fesses et écarter les cuisses légèrement. Il me remonta ma chemise aux hanches pour bien dégager mes fesses.

« Tu compte chaque coups. Tu vas en recevoir 30. Si tu te redresse, que tu bouge ou si tu cherche à te protéger, je recommence à zéro. C'est bien compris mon garçon. »

« Oui Monsieur. » Je me tiens prés. Je ne sais pas ce qui m'attend, mais je doute que cela va être douloureux.

 

Il se place à ma gauche, Lucas observe la situation. Le préfet lève son bras bien haut. Je me crispe un peu. Clac. Je pousse un cri et tiens fermement les accoudoirs pour ne pas me redresser. « Un » le deuxième coup tombe. La douleur est vive déjà. Lucas qui observe la situation à l'air de compatir. Il faut dire que son tour viendra ensuite. « Deux ». Le troisième coup me fait horriblement souffrir en atterrissant sur mes cuisses. Je me demande comment je vais tenir les 27 coups suivants. « Trois ». J'ai des sanglots dans la voix. Je pleure déjà à chaudes larmes. Le 4° coup s'abat au même endroit. Ca me lance énormément. « Quatre » j'ai du mal a articulé, je m'affaisse. Il me dit de me redresser. J'obéis avec bien du mal. Les coups s'enchainent et la douleur est toujours aussi drue. 5,6, 7, 8, 9,10.... Mes fesses sont brulantes et cramoisie. 11, 12, 13, 14, 15,16.... Je compte toujours mes j'ai de plus en plus de mal à cause de la douleur et des larmes. Finalement je réussi à encaissé les derniers coups. Mais je fini en fort sanglot. Mes fesses et mes cuisses me font horriblement souffrir. Je dois encore prendre la place de Lucas qui prend la mienne. J'assiste à mon tour à sa raclée. Il à l'air de souffrir autant que moi mais résiste également. Pendant que nos camarades profitent de la récréation, nous restons au piquet dans le bureau du préfet. A 17h10, nous regagnons l'étude avec les autres. Mais ce soir après la douche nous devrons encore copier 3 pages de la bible et demain dimanche nous serons consigné. Nous serons de corvées pour cirer les parquets de l'institution.


La suivante eu lieu peu de temps après. Juste après les congés de toussaint. Pendant le cours de mathématiques de Monsieur Lambercier. Au lieu d'écouter et de reprendre sagement la leçon, je préfère m'intéresser à la bande dessinée que mon parrain m'a offert pendant les vacances. Mais bon voilà, je ne suis pas très discret, le professeur me remarque et sans que je ne le voie venir m'assène une violente claque derrière la tête. Il me prend mon livre, m'en donne un coup sur la tête et me tire par l'oreille sur l'estrade.

« Monsieur si mon cours vous dérange je vais vous l'inculquer autrement. » Il me baisse culotte et slip. Prend sa baguette qu'il laisse toujours bien en vue sur le bureau. Pose son pied sur sa chaise. Me courbe par-dessus sa jambe et me fouette le cul avec fureur et rapidité. Je reçois en vingtaine de coups en moins de deux minutes. Je me relève avec les fesses striées et une douleur vive mais bien plus supportable qu'après le paddle du préfet. Je finis au piquet avec la consigne de rattraper le cours pour le lendemain. Bref du travail en plus mais je m'en sors bien car il n'en parlera pas au père Desbien.


La troisième je l'ai reçue au moi de février. J'étais bien calmé après les 2 corrections reçues en peu de temps. Mais ce jour là j'étais très excité. Je me suis déjà pris deux claques sur les cuisses et une sur le derrière de la tête par notre surveillant Monsieur Wendling, accompagnées par 2 pages à copier, mais je ne me calme pas. Je ne fais que rigoler, faire le pitre. Si bien que le surveillant en a marre et m'envoie chez le préfet.

Je n'en mène pas large en frappant à la porte du bureau. Je prends mon courage à deux mains. Toc, Toc, Toc. Personne. Il est encore aux douches avec les 5°. Ouf. Je remonte au dortoir. Wendling toujours énervé me renvois et me dit de l'attendre. Et mince je ne peux pas y échapper. Toc, toc, toc. Toujours pas là. Je patiente. Au bout d'un petit moment, il fait son apparition.

Que fais tu là Antoine ?

Ben heu...

Allez répond !

Ben voila mon père, c'est Monsieur Wendling qui m'envoie

Il ne me répond pas. Il ouvre sa porte, va s'assoir à son bureau. Je n'ose pas entrer et patiente prés de la porte. Il se met à consulter des documents et ne prête pas attention à moi. Puis au bout de cinq minutes, il le relève la tête, me fixe, puis me dit d'entrée.

Et pourquoi t'envois t'il ici ?

« Ben heu... Voilà. Je ne suis pas très obéissant mon père. » je préfère être franc, j'ose espérer ainsi sa clémence.

Il ne me répond rien. Il allume une cigarette. Et reprend la consultation de ses documents. Je reste devant son bureau, penaud, tête baissée et je me demande ce qui va me tomber dessus. Cinq minutes s'écoulent encore.

Alors, explique toi me dit il

Je fais des bêtises, je n'écoute pas malgré les punitions mon père

Alors c'est que ce n'est pas suffisant. Répondit-il en éteignant son mégot.

Je suis calmé maintenant mon père.

Je vais m'en assurer.


Il se lève, martinet en main, et Schlack, Schlack, Schlack me donne trois coups sur les mollets avant de me baisser le pantalon de pyjama. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me retrouve couché sur l'accoudoir d'un des fauteuils. Et Schlack la raclée commence. Mes fesses, mes cuisses, mes jambes, mon petit corps est meurtri par les lanières de ce satané martinet qui s'abattent violement sur moi. Il frappe comme toujours avec intensité. Comme à chaque fois je ne peux retenir mes larmes. Je le supplie d'arrêter, lui promet d'être sage, mais cela ne change rien, il continu de me punir. La sanction finie quand même au bout de 10 minutes. J'ai les fesses en feu, j'ai mal, je pleure et baisse la tête. Il me remonte au dortoir. Me fait prendre ma bible et m'installe dans la salle des punis avec 3 pages à copier.


Je suis calme, jusqu'au moi de mai. Début mai. J'ai ramené du chocolat de la maison. Au lieu de le mettre dans mon tiroir, au réfectoire, je l'ai caché dans mon armoire au dortoir. Ce qui est interdit. Il nous a été clairement signifié au début de l'année que la nourriture devait rester au réfectoire. Tous ceux qui se sont fait attraper ont été punis. Moi, cela fait une semaine que je berne tous le monde. Tous les soirs je mange mes deux carrés de chocolat après l'extinction des feux. Aujourd'hui pas de chance, Monsieur Wendling viens de trouver ma dernière plaque dans l'armoire. Il m'appelle. Il me gronde et m'envois copier 200 fois je respecte le règlement. Il a été cool. Il ne m'a pas frappé. Mais par malchance, le préfet passe par là et il me voit entrain de gratter. Il me demande ce que je fais là. Je lui réponds. Il me dit de me lever. Il prend ma place sur la chaise. Me baisse ma culotte de pyjama, me couche sur ses genoux. Il relève la veste du pyjama. Pan, Pan, Pan il me fesse sans ménageant. Il ma bien caler, je ne peux pas bouger. Je dois subir le châtiment, je n'ai pas le choix. C'est la première fois que le père Desbien me donne la fessée à la main. C'est seulement ma Deuxième fessée à la main, après celle une fois de mon père. Cela fait nettement moins mal que celle au martinet ou au paddle, mais c'est tout de même bien douloureux. Je reçois une vingtaine de claque sur les fesses et le haut des cuisses. Il double ma punition. J'en ai jusqu'à 23H.


La dernière enfin a lieu début juin. Pendant le cours de mademoiselle Boisseau notre professeur de musique. Il fait très chaud, les fenêtres sont ouvertes. Dehors les 5°1 sont en sport. Je vois mon ami Pierre. Et comme je m'ennui à mourir pendant cette dictée musicale, je l'appelle et je lui fais de grands signes. ANTOINE APPROCHE me crie mon professeur. Je m'exécute. Je m'avance tout penaud, la tête baissée. Schlack, Schlack. Une paire de gifle bien sonnante me tombe sur les deux joues. Je dois allez au coin. A la fin de l'heure, Mademoiselle Boisseau me demande de rester. Elle m'ordonne de baisser ma culotte et mon slip. Je le fais. Elle me courbe contre le bureau et me donne 5 coups de paddle. Elle les a donnés gentiment. Je n'ai pas trop mal. Je me rhabille, la remercie et pars rejoindre mes camarades. Cette dernière fessée ne me laisse pas trop de marque si ce n'est le fait que ma prof est vue mon petit oiseau.

 

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Ma vie à St Joseph (3ème partie : La 5°)

 

Cette année là j'ai reçu 5 corrections...

 

Rien n'a vraiment changé depuis l'an dernier si ce n'est que Monsieur Wendling notre surveillant de 6° à été remplacé par Monsieur Héder. Mais bon ca je m'en moque je suis passé en 5°. Le préfet et toujours le père Desbien, et le surveillant des 5°, donc mon surveillant et toujours Monsieur Perry. J'ai de nouveau profs, des anciens, enfin comme tous les collégiens. Enfin les règles n'on pas du tout changée.

Je suis resté un élève sage et brillant, toutefois, après deux semaines, Grégory un nouveau qui ne pense qu'à embêter les autres m'a cherché pendant la récré du soir. Si bien que je n'ai pu m'empêcher de lui mettre un coup de poing dans les dents. Il a les lèvres en sang. Il a le toupet de se plaindre à un surveillant, qui m'envoie immédiatement chez le préfet. Je tente de m'expliquer, mais il ne veut rien savoir. « On ne frappe pas les autres ». Mais lui il va me frapper. Je prends position sur les accoudoirs d'un des fauteuils du bureau. Il prend le martinet et s'approche de moi. Il me baisse ma culotte, puis mon slip. Je sais que vais morfler. Je n'ai pas oublié la douleur que cela procure.


Schlack ! Aouh. Schlack ! Schlack ! Schlack ! AIEEEEE ! Les larmes commencent à couler et je sais très bien qu'il ne sert à rien de demander pitié. Schlack ! Schlack ! Schlack ! AAAAHH ! Mes fesses ! Le haut de mes cuisses ! Tout y passe. Il me fouette vite et fort. Je hurle et me tient solidement aux accoudoirs pour ne pas me redresser et recevoir encore plus. Schlack ! Schlack ! Schlack ! Je pleurs et je cris. J'ai mal ! Ca me brûles, j'ai l'impression que fesses sont complètement en feu ! Après une trentaine de cinglés, le père Desbien m'ordonne de me rhabiller et m'annonce que je serai en retenue samedi. Je sais que c'est la faute de ce Grégory que tous le monde déteste au pensionnat et me promet de me venger.


La suivante à eu lieu en novembre. Depuis un certain temps mon camarade Victor et moi avons pris l'habitude d'arriver en retard en cours d'histoire géographie. Cela nous amuse car monsieur Triballait notre enseignant, ne nous punis pas pour cela mais ralle après pendant une bonne dizaine de minutes. On ne comprend rien, il marmonne. Après on s'amuse à l'imitait en récréation. Mais là on du dépasser les bornes. Et on comprend très bien que nous irons chez le directeur à la fin du cours avec lui.

J'ai le cœur qui bat à 200 km/heure et le ventre noué quand on arrive devant la porte du père Kirchen, le directeur. Notre professeur explique la situation. Le Directeur nous fixe Victor et moi. Il nous demande des explications que nous sommes bien incapables de lui donner. Monsieur Triballait quitte la pièce sachant très bien ce qu'il va nous arriver. Le père Kirchen nous fait mettre complètement nu dans son bureau et replié parfaitement nos vêtement. Nous devons les poser sur une chaise. Puis il nous indique un coin à chacun, ou nous devons nous tenir droit les mains sur la tête. Après avoir vérifié notre emploi du temps, il nous demande de confirmer que nous avons bien permanence. Nous lui confirmons et il nous indique que nous allons passez cette heure dans ce bureau. Il appel ensuite Victor. Il le couche sur ses genoux. Le maintien parfaitement pour qu'il ne puisse plus bouger et lui donne une fessée monumentale. Il le renvois au coin et c'est à mon tour. Il me prend par la main, me courbe et m'allonge sur ses genoux.


Il se met alors à me claquer les fesses avec vigueur. Les premières claques tombe et je sens direct la douleur. Sa main rebondit sur ma chair, y laissant à chaque coup une brûlure. Après une cinquantaine de coups il me renvois au coin et rappel Victor. Il le fait se courber sur une des chaises qui accueille habituellement ses visiteurs. Il a pris dans son armoire un martinet de grande taille. Il le corrige sèchement puis il retourne au piquet et c'est à moi de déguster. Il commence par me fouetter sèchement mes fesses. La droite, puis la gauche, puis les deux en même temps. Je souffre terriblement ! La sensation, comme des griffures cuisantes, m'oblige à serrer les dents pour ne pas pousser une plainte. Je sais que je ne tiendrais pas longtemps. Il frappe fort et régulièrement. Après un coup particulièrement douloureux, je bouge, mais la Il me promet 10 coups supplémentaire. Je suis résigné à subir la punition tranquillement. Mes fesses me brûlent et chaque nouveau claquement du martinet me fait souffrir encore plus que le précédent. Il fait en sorte que les lanières de cuir me frappent sur l'ensemble du postérieur. Je résiste je ne sais comment. Quand la punition s'achève je suis en larme.


Victor est rappelé et moi je retourne dans mon coin. Il a pris cette fois une canne dans son armoire. Victor reprend la position et prend 20 coups de canne qui le font crier et pleurer à chaude larme. C'est de nouveau à mon tour. Je vais recevoir mes 20 coups aussi. Dés le 1er coup j'hurle. La douleur est intense. Je sens bien la marque strie rouge qui viens décorer mes fesses. La douleur est insupportable pour le 2ème coup. Et de trois c'est horrible. J'ai mal. Quatre, je pleure. Cinq je suis en sanglot et les coups continus de tomber. Six, j'ai l'impression d'être brulé au 3° degré. Sept je me dis que je n'arriverais pas au bout. Huit je chiale comme jamais. Neuf, je soufre le martyr. Dix c'est la moitié de la punition. Je n'en peux plus. Mais il me reste autant à recevoir. Le dirlo ne faibli pas lui. Onze c'est insoutenable. Douze j'hurle de plus belle. Treize je supplie d'arrêter mais rien n'y fait. 14, 15, 16, 17, 18,19 les coups s'enchainent et la douleur est vive et intense je n'en peux plus. Vingt c'est le dernier coup qui rajoute une énième marque a mon derrière brulé. On fini l'heure au piquet avec une lettre d'excuse pour notre professeur à lui remettre pour le lendemain. Pendant trois jours je ne peux dormir que sur le ventre et assis en classe je souffre comme si je recevais encore cette maudite canne en rotin.


La troisième correction à lieu la veille des vacances de noël. Elle m'est donnée par notre prof de sport. Pendant le cours de gymnastique. Je monte à la corde sans que ce soit mon tour puis je fais des galipettes sur le matelas de saut en hauteur. Monsieur Péricard en a marre et devant toute la classe il me baisse mon short et mon slip et il courbe contre lui. Devant toutes la classe je reçois une vingtaine de claque sur le cul. Je ne sais pas si la douleur intense ou la honte me fait le plus mal. Je reçois en prime 2 heures de colles.


En avril la quatrième correction tombe pendant l'étude du soir. Nous sommes un peu après le retour des vacances de pâques. J'ai profité des congés pour ramener des boules puantes que j'ai fait exploser dans les couloirs. Le préfet à mener son enquête. Il a découvert le poteau rose. Il rentre dans le dortoir alors que nous faisons notre travail. Il me fait venir au milieu du couloir. Il a son martinet en main. Il annonce à tous le monde que c'est moi qui ai pété les bombes puantes. Il me dit de baisser ma culotte courte et mon slip. J'obtempère. Il m'annonce ainsi qu'à mes camarades que je vais recevoir maintenant 80 coups de martinet, puis 80 coups au réfectoire ce soir et enfin 80 coups ce soir à son bureau après la prière. Je me mange aussi 4 heures de retenues et 400 lignes à faire ce soir après la correction.

Il me dit de compter et me fait prendre appui sur une des palissades du dortoir. J'écarte les jambes. Les premiers coups tombent et me font déjà souffrir. Il enchaine. Les fesses, les cuisses, les mollets. Les cinglées sont fortes et données sans retenue. Je crie, je pleure, je transpire, renifle. A la fin je suis soulagé que cela se termine mais je sais que je vais de nouveau subir au repas.


Arrivé au réfectoire le préfet me fait mettre à genoux sur une règle en fer au milieu de la pièce. Les mains sur la tête. Pendant que mes camarades mangent, je reste ainsi. Quand ils ont finis je prends position appuyé, courbé sur une chaise. L'abbé Desbiens à pris son martinet. L'ouragan se déchaine, des allers et retours de folie me cingle les côtés, les fesses, le bas du dos. Je sursaute, à chaque coup imbriqué et les coups pleuvent encore sur mes cuisses et mes jambes et mes fesses. Je suis en larme, mes lèvres tremblent, je renifle comme un bambin mal mouché. Cette correction à bien réveillé les morsures de la précédente correction, mes cuisses et mon cul sont en feu, comme broyés par une meule de clous.

A la douche je vois biens les morsures et les marques. Le savon me brule quand je frotte. Après la prière je me retrouve au bureau. Appuyé sur le bureau je reçois 80 coups de nouveau qui me mon hurler et pleurer de nouveau. Je me couche avec les fesses, les cuisses et les mollets cramoisis. J'ai les marques et j'ai mal pendant plusieurs jours après.

 

La dernière à lieu en mai. Après avoir crié en étude, le surveillant décide de m'envoyer chez le préfet ne voulant pas s'énervé et faire un exemple car nous nous somme excités par la chaleur. Fort heureusement le préfet et dans un bon jour. Il ne me punit que par une fessée à la main. Il se lève de son bureau, prend une chaise et vient s'asseoir devant moi et je dois me coucher sur ses cuisses. Il me dit de garder mes mains sur la tête. Je suis prêt à encaisser ma première claque. Et elle ne se fait pas attendre. Fesse gauche, fesse droite. 1, 2. Je suis surpris mais je n'ai pas vraiment mal. Puis assez rapidement suivent la 3, la 4 et la 5. Elles sont plus fortes mais je tiens très bien le coup. La 6ème me tombe sur le haut de la cuisse gauche, suivie directement par la 7ème sur l'autre cuisse,. Elles sont plus fortes, la douleur persiste cette fois.. 8, 9, 10 et 11 sur mes fesses. Ca chauffe, j'ai mal maintenant. Les coups sont si rapprochés que je ne sais plus digérer la douleur entre les fessées. 12, 13, 14 et 15 sont pour mes cuisses,. J'ai très mal maintenant, j'ai les larmes aux yeux. Et puis la 16ème est terrible. Je crie de douleur, je me débats, je gigote, je veux me protéger de la suivante. Le père Desbiens m'ordonne de reprendre la position. Je sanglote, je demande pardon. Mais rien n'y fait. Il me dit simplement que j'en recevrai 5 de plus parce que je me suis protégé. Et puis il accélère le rythme 17, 18, 19, 20, 21, 22. Six claques d'affilée.

 

Je pleure, je renifle. J'ai mal. Je demande pardon. Mes fesses sont chaudes et sûrement rouge. Il recommence et frappe encore plus fort et si vite que je n'ai pas le temps de cabrer mes muscles des fesses. Les 8 dernières sont données à toute volée. Je crie, je pleure,. La punition est terminée. J'ai très mal. Je suis très humilié.


Je demande pardon et monte me coucher.


 

 

 

 

 

 

Par PANPAN
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