Plaqué et maintenu au sol, je devais subir un nouvel assaut des mains inconnus. Une nouvelle éjaculation mis définitivement fin à mon érection et en un temps record mon sexe se repliât rapidement entre mes cuisses.
"Tu es sale comme un cochon" dit une jolie voix féminine.
"Il va falloir te nettoyer de fond en comble avant de te renvoyer chez toi".
Je fus mis debout puis plaqué contre le tronc d'un grand arbre qui se trouvait à proximité. Le ventre plaqué contre l'écorce rêche, une corde fut passé autour de ma taille pour me maintenir en place. Mes jambes furent écartées à la limite du supportable, puis attachées à l'arbre.
Bloqué contre ce pilori naturel, je devais attendre la suite des évènements. Je sentis une main s'introduire entre mes jambes pour écarter mes fesses et dégager le passage. Pendant que deux maintenaient les globes de mes fesses écartés, un doigt venait de s'aventurer sur mon orifice rectal et commençait un va et vient afin d'en faciliter le passage. Un lubrifiant avait du être mis sur le doigt inquisiteur car le va et vient ne me provoquait aucune souffrance.
Quelques instant plus tard, un tuyau força mes sphincters et s'introduit profondément dans mon rectum. Je sentais dans mon ventre le long tuyau qui prenait place.
J'entendais maintenant quatre voix bien distinctes et j'avais beau chercher dans ma mémoire, aucune d'elles ne m'était connue. Les réflexions, moqueries et rires devenaient de plus en plus fréquents et vexatoires.
"Opération lavage de l'intérieur" dit l'une d'entre elle.
presque en même temps je sentis couler en moi un liquide chaud qui peu à peu me remplissait le ventre.
"Si tu en relâche une seule goutte avant mon autorisation, je te brule les fesses à t'en faire hurler de douleur" le ton employé était sans ambiguïté sur la détermination de cette femme inconnue.
La peur me faisait transpirer et je décidais de serrer au maximum mes sphincters. Le liquide continuer à m'envahir le ventre. Je le sentais gonfler pour absorber la quantité ingurgitée. J'avais bien du recevoir plus d'un litre quand je sentis le tuyau se retirer de mes fesses. Il me fallut faire en effort supplémentaire lorsque le bout du tuyau libéra mon anus. Je savais être observé et je ne voulais pas prendre le risque de libérer la moindre goutte de liquide.
Mon ventre se mit à gargouiller par saccades. Je transpirait de plus en plus en me contractant le plus possible pour ne pas me vider devant ces inconnues.
"Un quart d'heure, tu vas te retenir un quart d'heure, sinon il tu le regretteras" La voix venait de donner une limite de temps à mon supplice. je devais maintenant tenter de me calmer pour ne pas céder à la panique et aux assauts répétés du liquide qui ne demandait qu'à sortir de mon ventre.
Les quatre filles devait attendre assises devant moi, le moment ou j'allais capituler car je les entendais commenter mes lentes contorsions. Je serrais les dents, contracté tous mes muscles pour lutter contre la poussée intérieure de l'envahisseur.
"Plus que cinq minutes" m'annonça une autre voix.
Je me mis à trembler de tous mes membres, je n'allait pas pouvoir tenir aussi longtemps. Le liquide commençait à écarter inexorablement mes sphincters. je tentais un dernier effort et tout en hurlant dans mon bâillon de Scotch pour me donnait du courage, je me gesticulait dans tous les sens pour contracter mes muscles le plus fort possible.
J'étais en nage. La transpiration ruisselait tout le long de mon visage, de mon dos, de mon ventre et de mes jambes. J'avais l'impression d'être passé sous la douche tellement j'étais trempé.
Mais la lutte était trop inégale. Une dernière charge du liquide me fit capituler. Telle une vanne que l'on ouvre d'un coup, un jet d'une puissance incroyable sorti de mes fesses. Le bruit honteux du liquide qui s'écoule avec violence sur le sol, me fit pleurer de rage de n'avoir pu lutter plus longtemps.
Je me vidais en un long jet chaud qui s'échappait de mes fesses que je n'arrivais plus à contrôler.
En plus de l'eau, je sentais passer avec horreur quelques matières fécales qui se mêlaient au liquide. Je voulais mourir de honte tellement m'était insupportable de devoir me vider devant ces quatre femmes qui dans quelques minutes allaient de toute évidence se défouler sur moi.
Pendant de longues minutes les gargouillis se mélangeaient aux dernières saccades de mon ventre qui se vidait intégralement. Une odeur désagréable monta jusque dans mes narines, preuve que je me vidait complètement.
J'en pleurait un peu plus de rage, sachant que dans quelques instant j'allais devoir endurer une punition encore inconnue pour n'avoir pas su me retenir. Les dernières gouttes de liquide coulaient maintenant le long de mes cuisses, comme les dernières larmes de ma détresse.
Je dus rester ainsi encore quelques minutes, et lorsque les inconnues entreprirent de me détacher de l'arbre se fut pour me plaquer à nouveau par terre, sur le dos.
Je sentis mes jambes s'écarter au maximum. Des cordes furent passées autour de mes chevilles et une fois tendues à la limite de ce qu'un prisonnier peut supporter, les femmes me lâchèrent dans cette position pas du tout confortable. Mes mains croisées dans le dos m'obligeaient à me cambrer et à soulever légèrement mes fesses.
Je n'allait pas tarder à découvrir ma punition. le craquement d'une allumette n'annonçait rien de bon.Rapidement suivi d'un deuxième puis d'un troisième et enfin d'un quatrième. Le silence du lieu et le fait que les femmes ne parlaient plus entre elles me faisait craindre le pire. J'essayais sans succès de gesticuler pour libérer mes chevilles et pour tenter de refermer mes jambes pour me protéger de cette punition inconnue.
Presque en même temps quatre piqûres de feu enflammèrent mon sexe. Puis ce fut un flot presque continu de ce que je venais d'identifier comme de la cire chaude. Mes tortionnaires avaient manifestement l'intention de me recouvrir de cire chaude. J'essayais à nouveau de gesticuler pour éviter ces terribles gouttes de cire chaude qui brûlaient ma peau à chaque contact. Ce supplice dura pour moi une éternité.
Une fois mon sexe recouvert de cire les filles décidèrent de s'attaquer à mon entre jambe. Ce fut au tour de mes testicules de recevoir ce feu liquide qui m'arrachait presque à chaque instant des gémissements de douleur. Puis ce fut au tour de mon ventre, de mon torse et mes seins. je perdais toute notion de temps mais j'imaginais facilement que les bougies devaient être énormes car le flot ininterrompu de cire prouvait bien que les filles souhaitaient me recouvrir entièrement le corps.
La cadence finit par ralentir et lorsque je sentis les cordes emprisonnant mes chevilles se distendre légèrement, je me mis à imaginer stupidement que ma punition était maintenant terminée.
Les paires de mains commençaient maintenant à arracher par petits paquets la cire qui me recouvrait le corps. Je devais maintenant subir une véritable séance d'épilation tel que les femmes en ont elles pris l'habitude. C'était encore plus difficile à supporter que les gouttes de cire. Ma pilosité naturelle étant importante, mon torse, mon pubis et mon entre jambe leur procuraient un terrain de jeu extrêmement favorable et fourni. J'allais me retrouver à la fin dans la peau d'un nouveau né sans le moindre poil sur le corps si l'on excepte la tête.
Suite à venir..............
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