Laure m'aida à me mettre à genoux. Les mains liées derrière le dos et la jambes écartées au maximum, il m'était impossible d'y parvenir sans son aide, sous peine de chuter lourdement au sol sans pouvoir me protéger avec les mains.
Elle m'appuya la tête au sol après avoir été cherché un petit coussin dans sa chambre. Cela voulait-il signifier que j'allais devoir rester dans cette position pendant un certain temps ?
Une autre grande corde à la main, Laure fit passer la corde derrière mon cou et relia chaque bout de la corde à la barre d'écartement. Une fois tendues et attachées à la barre, il m'était impossible de m'allonger sur le ventre et je devais conserver cette position, jambes et genoux écartés au maximum, entre jambes largement offert aux envies et phantasmes de Laure.
Laure souleva un à un mes genoux et fit glisser sous chacun un coussin semblable à celui qui protégeait mon front de la rudesse du sol. J'étais maintenant dans une position un peu plus confortable si celle-ci devait durer dans le temps.
Fesses offertes, dans l'impossibilité de faire le moindre mouvement, j'en été réduit à imaginer la suite des évènements. La réponse ne se fit pas attendre bien longtemps.Je sentis le plug qui me remplissait le rectum, s'évaporer lentement de mes fesses. Laure le faisait tourner entre ses doigts, pour en ralentir au maximum la sortie de mon corps. La peur de ne pouvoir me retenir me fit resserrer au maximum mes sphincters au passage de la partie la plus fine du plug.
"Je vais te faire découvrir une nouvelle sensation, je reviens tout de suite"
Quelques minutes plus tard, j'entendis les pas de Laure qui s'agenouillait entre mes jambes.
"Pour commencer, on va un peu débroussailler le passage" dit-elle. je sentis le rasoir passer entre mes fesses et commencer son travail de tonte. Laure avait décidé de me raser "l'entre jambes"sans adoucir ma peau avec la mousse à raser. Il faut avouer que j'étais en nage et que le rasoir glissait sur ma peau avec facilité.
Une fois les derniers poils enlevés par les deux lames du rasoir, j'avais la sensation étrange d'être encore un peu plus nu.
Son visage à seulement quelques centimètres de mes fesses, Laure devait avoir une vue imprenable sur mes parties les plus intimes et sur mon anus en particulier. Je sursautais de surprise lorsque une sensation de froid sur celui-ci sonna le début de cet étrange sensation.
C'était de la glace... Laure avait, j'en étais certain maintenant, décidait de me "glacer les fesses". D'une main elle m'écartait les fesses et de l'autre elle poussait avec ses doigts le premier glaçon contre mon anus. Il devait avoir une forme allongée, un peu comme un suppositoire, car il fut rapidement avalé par mes sphincters qui se refermèrent immédiatement au contact de cet intrus glacé. Laure ne me laissait pas le temps de reprendre mes esprits. Un à un les glaçons étaient introduits dans mon rectum et en l'espace de quelques minutes je me retrouvait le ventre rempli d'une bonne dizaine de glaçons. Ce froid intérieur qui me congelais le rectum et contre lequel je ne pouvais lutter, me procurait une incroyable sensation de gène, de douleur et de plaisir à la fois.
Je me contractais pour éviter tout rejet de cette glace qui prendrait un temps fou à fondre en moi.
Laure se mit à rire de bon coeur en voyant mes efforts pour me contracter au maximum. Comme pour me récompenser de ces efforts, elle insinua ses deux mains entre mes fesses et commença à me frotter les testicules comme pour me réchauffer, et à me titiller le bout du gland pour provoquer une érection malgré le froid intérieur qui avait pour effet de me "ratatiner" un peu plus le sexe. Elle réussit sa manoeuvre car au bout de quelques secondes, malgré le froid qui continuer de me brûler le ventre, ma verge était aussi dure que les glaçons qui eux fondaient en moi à petit feu. Elle commençait à me masturber lentement, tirant ma verge vers le bas pour la dégager de mon ventre. De sa deuxième main, Laure promenait maintenant un glaçon sur le bout de mon gland. Un étrange contraste entre le chaud et le froid.
Cette initiative eut pour effet de stopper presque immédiatement mon érection. Je devais maintenant faire pale figure et montrer à Laure les limites de mon érection.
- Et alors, me dit-elle en riant . Le petit oiseau s'est endormi ?
Comme pour me punir, une série de quatre glaçons qui me semblaient plus gros que les précédents rejoignit les précédents au fond de mon ventre. J'avais de plus en plus de mal à me retenir et à la seule idée d'affronter le honte insupportable de me vider devant elle, je redoublait d'efforts pour me contracter au maximum. Je transpirais abondamment, de légers soubresauts et tremblements parcouraient tout mon corps. laure était en train de m'infliger la même punition que celle que j'avais choisi comme premier témoignage de sa soumission.
Je pensais qu'elle aussi allait me détacher pour que je puisses aller aux toilettes, mais qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis passer autour de ma taille et entre mes jambes ce que j'identifiais immédiatement comme une couche pour adulte. Rapidement refermée sur moi à l'aide des élastiques et des adhésifs, elle semblait bien en place.Laure entrepris de finir le travail afin d'assurer l'étanchéité de son stratagème en se servant du rouleau de film étirable. De nombreux tours et allez retours, entre mes jambes et autour de ma taille, et quelques minutes plus tard l'étanchéité de cette couche anti fuite était totale. tel un gros bébé engoncé dans cette boule de coton et de film plastic, je devais attendre la suite des évènements.
Laure entrepris de me mettre sur le dos, me faisant rouler sur le coté en prenant soin de soulever mes jambes pour que la barre d'écartement puisse faire une rotation complète. Une fois sur le dos je devais me cambrer pour ne pas trop peser de tout mon poids sur me bras et mes coudes attachés dans mon dos. Voyant cela, Laure me mit sous les fesses deux des trois coussins déjà utilisés. Cela rendait la position plus confortable, car c'était maintenant mes épaules qui étaient en contact avec le sol.
Nuque contre le sol et les yeux toujours bandés, je ne tardais pas à connaître les envies de Laure. A califourchon sur mon visage, Laure venait de s'asseoir sur mon visage, ses cuisses et ses mollets de chaque coté de mon visage afin que je ne puisses tourner la tête et me soustraire à ses envies.
Ses fesses bien écartées mettaient mon nez était en contact direct avec son anus dont j'arrivais à toucher les replis. Laure avait du se passer une crème spéciale avant mon arrivée, car l'odeur et le goût de sa peau me rappelait celui d'une pêche.
Ma bouche en contact elle aussi direct avec son sexe, ne laissait aucune interrogation possible sur les envies de Laure.
- Quand tu m'auras fait jouir avec ta langue, je te détacherais pour que tu puisses aller aux toilettes. A toi d'y arriver le plus vite possible, si tu veux ne pas souiller ta couche.
Comprenant qu'il me fallait maintenant passer à l'action, je commençais à lécher doucement les grandes lèvres de Laure vierges de toute pilosité, ce qui facilitait grandement mon travail préparatoire. Le goût de pèche dans la bouche et sur la langue existait aussi mon envie de la faire jouir le plus vite possible.
Je poussais ma langue le plus profond possible entre ses petites lèvres et constatait qu'elle était plus d'humide. J'avais la certitude de pouvoir arriver à mes fins en quelques minutes. De rapides coups de langues d'avant en arrière dans ce fourreau chaud et déjà ruisselant de plaisir, une pression constante du bout de mon nez sur sa "petite porte" et en un temps record que j'aurais pu imaginer à l'avance, Laure, que je découvrais être une véritable femme fontaine, déversait sur moi les éclaboussures de sa jouissance.
Fidèle à sa parole, Laure me détacha les jambes, puis les mains, et sans m'enlever le bandeau, elle me conduisit elle même à la salle de bain.
Avant de m'y laisser seul, elle me dit:
- quand tu auras fini de prendre ta douche, remet le foulard sur tes yeux et passe toi dans ton dos, la paire de menottes qui est posée à coté du lavabo. Je reviendrais te chercher dans un bon quart d'heure.
J'avais par bonheur réussi à me retenir et à ma plus grande satisfaction, ma couche était propre. je me déshabillais en hâte une fois seul dans la salle de bain, et lorsque je finis de déchirer le Scotch qui emprisonnait la couche, je constatais avec horreur que mon pubis, mon sexe et mes fesses étaient recouverts d'une couleur bleu que j'identifiais immédiatement comme du bleu de méthylène. Cette coquine de Laure m'avait piégé en remplissant la couche culotte de bleu de méthylène.
Catastrophe, comme allais je pouvoir enlever ça. Pire encore, si les copains du club de judo me voyaient dans cet état, j'allais devoir affronter les pires moqueries. Et comme nous avions une compétition dans quelques jours, il allais falloir trouver très vite une solution. Une angoisse terrible devant le ridicule de la situation me tordait maintenant l'estomac.
J'en oubliais presque mon rectum qui demandait d'urgence à être libéré de toute l'eau qui le remplissait depuis maintenant trop longtemps.
Une fois complètement soulagé, je décidais de passer sous la douche pour essayer d'atténuer cette catastrophe qui allait faire de moi la risée de tout le club, lorsque j'allais devoir me déshabiller dans le vestiaire ou passer sous la douche après les combats.
J'entrouvrais la grande porte vitrée de la douche multi-jets et commençais à faire couler l'eau sur tout mon corps.
Qu'elle surprise, l'eau qui coulait le long de mes jambes était toute bleutée et au simple contact de l'eau chaude mon ventre, mon sexe et mes fesses retrouvaient comme par magie leur couleur d'origine.
Laure m'avait piégé sur toute la ligne. Soulagée d'avoir été le dindon d'une farce qui se finissait bien, je m'activais pour me livrer à nouveau à Laure qui n'allait pas tarder à revenir me chercher.
Une fois lavé, rincé et séché, je repérais la paire de menottes posée devant moi. Comme demandé, je remis le foulard sur mes yeux et après l'avoir noué bien serré par un double noeud, je passais mes mains derrière mon dos,et refermais sur mes poignets les crans de sûreté dont le triple clic me condamnais à l'immobilisation.
Ne pouvant me repérer dans l'espace, je décidais de rester debout en attendant sagement le retour de Laure.
Suite à venir...........
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