Dimanche 12 septembre 7 12 /09 /Sep 08:41

Passé l'effet doux et chaud de ce premier contact sur le bout de mon sexe je sentis que ma verge pénétrait lentement dans une matière molle. Laure prenait tout son temps.

Cela pouvait ressembler à une crème épaisse......... 

Une odeur pourtant familière que je n'arrivais pas à identifier pour l'instant, et cette chose qui, petit à petit, m' enveloppait complètement mon pénis et maintenant les testicules: J'en été réduit à me creuser les méninges pour essayer de solutionner cette énigme.

 

Laure avait du mettre cette matière dans un petit sac, je l'imaginais un peu comme une bourse en cuir  du moyen âge. Je sentis dans les instants qui suivirent, qu'elle resserrait sur moi une corde qui passait sous mes bourses et au dessus de ma verge. C'était bien cela.... mon pénis et mes testicules étaient maintenant enfermé et emprisonnés dans un sac dont j'ignorais, pour le moment, totalement le contenu.

 

Excité par ce contact plutôt agréable, j'avais du mal à contenir une érection. Le carcan, qui devait être en tissu, jouait maintenant complètement son rôle et m'interdisait une véritable érection.

 

C'est seulement au bout de quelques minutes que les premiers effets se firent sentir.La première impression de douceur et de d'agréable chaleur, se transformait maintenant en chaleur de plus en plus difficilement supportable. Plus les secondes passaient et plus j'avais la sensation d'avoir mon sexe au beau milieu d'un feu de forêt. La brûlure devait à peine soutenable, non seulement le bout de ma verge décalottée était en contact direct avec cette matière inconnue, mais c'était maintenant sous mes bourses que cette sensation d'avoir un feu entre les jambes me faisait transpirer à grosses gouttes.

 

Laure se mit à rire avant de m' expliquer:

- Qu'est ce que tu en pense ?

- C'est une composition que j'ai trouvé sur un site internet. Camphre, moutarde, piment, alcool et dentifrice mentholé pour lier le tout. Décapant non ?

 

- Pour éviter que tu dérange les voisins, je vais te bâillonner. En quelques secondes elle avait réalisé un parfait bâillon sur ma bouche à l'aide d'un rouleau de bande adhésive très large. Il m'était maintenant impossible de sortir le moindre son de ma bouche. Je ne pouvais même pas bouger la mâchoire inférieure.

 

Coté jambes, ce n'était guère mieux: J'avais beau essayer de sautiller sur une jambe, il m'était impossible de me soustraire à ce cocktail encore plus efficace que des orties fraîches. Je secouait le bassin pour tenter en vain d'en minimiser les effets. En plus d'avoir à subir ce supplice inédit, il me fallait maintenant penser à changer de jambe pour éviter les crampes. Laure avait bien réussit son coup. Pour une première, c'était vraiment réussi, j'étais sous sa totale domination.

 

Au bout de quelques minutes qui me semblaient avoir duré des heures, elle entreprit de me libérer les jambes, pensant à juste titre que j'aurais bien du mal à en supporter d'avantage, sous peine de crampes. Les cordes qui me plaquaient au mur furent aussi enlevées, et je me retrouvait maintenant debout, les bras toujours liés dans le dos, les yeux bandés et surtout le sexe en feu.

Pensant naïvement atténuer la douleur, je pliait les jambes, et une fois le carcan entre mes cuisses, je refermais les jambes sur lui pour tenter un massage avec l'intérieur de mes cuisses.J'essayais maladroitement de me frotter, mais je compris bien vite qu'il fallait mieux ne pas bouger, car à chaque tentative, c'était pire encore.

 


Maintenant me dit-elle, il va falloir t'habiller. Je ne compris pas tout de suite ou Laure voulait en venir, mais lorsqu'elle me fit passer mon slip  en me soulevant une à une les chevilles, puis mon pantalon qu'elle reboutonna complètement. Je réalisais que j'allais avoir une nouvelle surprise.

 

- Je vais maintenant te détacher. Tu ne pourras pas enlever ton petit sac, car il est fermé par un cadenas à numéro. C'est seulement quand je t'appellerais que tu pourras te délivrer.

 

Laure commença par couper avec une paire de ciseau, le bâillon d'adhésif qui m'empêchait de lui répondre. Puis elle me libéra du foulard qui me bandait les yeux depuis que j'avais accepté d'être cette fois le dominé. Laure m'apparut encore plus belle que je ne l'avais vu en tout début de rencontre. Son visage radieux traduisait une réelle excitation.Elle devait prendre beaucoup de plaisir à me dominer et j'avais maintenant l'intime conviction qu'elle acceptais volontiers d'être soumise pour avoir après par la suite le droit et le plaisir suprême de dominer un homme.

 

 

Laure me détacha les mains et me tendit ma chemise. Je comprenais qu'il me fallait encore lui obéir sous peine ne pas obtenir le chiffre synonyme de délivrance totale. Le feu entre mes cuisses continuait de plus belle et si je voulais en finir avec cette douleur tenace, il me fallait quitter cet appartement au plus vite.

 

Une fois complètement vêtu, Laure déposa avec gentillesse un baiser sur mes lèvres, comme pour me signifier à la fois mon départ et la fin de ma première punition.

 

- Je t'appelle pour te donner le numéro du cadenas, et surtout n'essaye pas de l'enlever ou de l'arracher. Pour notre prochain rendez vous, il faudra que tu me le rapporte intacte.

 

La porte s'ouvrit devant moi et d'une tape amicale dans le dos, je fus poussé dehors. C'est en débutant mes premiers pas que je m'aperçus de la bosse très proéminente qui gonflait mon pantalon. Lorsque j'allais devoir marcher dans la rue, nul doute que cela allait se remarquer. Mais je ne pouvais de toute manière pas faire autrement, il allait me falloir affronter les regards curieux des passants que j'allais croiser.....

 

Une demie heure plus tard, j'avais affronté des regards insistants, la position inconfortable en voiture, la brûlure intense de mon entre jambes, lorsque le téléphone retentit. C'était Laure.

 

- Tu peux t'arrêter et enlever ta couche culotte. De toute façon, Le cadenas n'est pas fermé à clef. Laure m'avait une fois de plus piégé.

- Garde bien le cadenas ouvert car dans quelques jours je t'appelerais et tu devras peut-être t'en servir à nouveau.

- A bientôt et soit prudent sur la route.

 

Je décidais de m'arrêter le plus vite possible pour me libérer. Par bonheur un rouleau de papier wc était toujours dans ma boite à gants. J'allais pouvoir à défaut de me laver, au moins pouvoir m'essuyer et enlever la plus grande partie de cette pommade du diable.

 

 

 

Par PANPAN
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