Il se dirige vers l'arrière de la maison et, comme d'habitude, sur la petite terrasse devant la cuisine, devant l'office comme disent Alain et Axel, il ôte ses chaussures usées, enlève son t-shirt tout aussi usé et son froc troué, replie le tout soigneusement et entre, à poil, par la porte de service. Il sait que son premier regard est pour le tableau noir accroché au mur où l'attende ses premiers ordres de cette fin d'après-midi.
Vincent a 22 ans, il est mince, très mince, blond, les cheveux coupés au plus cours comme le veulent Alain et Axel, et pour le reste pas un seul
poil sur le corps si ce n'est ses sourcils. A chaque téton il porte un pearcing, sa queue est enfermée dans une cage de chasteté et juste au dessus de la base de ses reins, un tatouage
explicite : je ne suis plus un homme, je suis un esclave !
Vincent s'est levé, comme d'habitude à 5 heures du mat et à 7 heures il est parti travaillé comme éboueur jusqu'à 16 heures mais il sait que sa
journée est loin d'être finie.
Sur tableau il peut lire : ordres permanents (ces ordres là sont peints sur le tableau) : lave-toi, collier et sangles aux 4 membres, masque, gode en place. Et puis, écris à la craie rouge : on sera là juste après ta douche. Sois prêt à nous accueillir, sinon gare !
Vincent court vers quartiers : la cave où Alain et Axel lui on fait aménager une cellule ne comportant qu'un lit et plus loin une salle d'eau sommaire : un wc turc et en même temps grâce au pommeau fixé au plafond, sa douche. Entre la cellule et la salle d'eau un espace muni d'une longue table et au mur tout ce qui fait le décor d'une salle de torture.
Et sous la douche, malgré la pression, pour une fois se pose la question : mais comment en suis-je arrivé là !
Tout a commencé il y a tous justes 4 ans avec l'arrivée d'Alain et Axel. Avant cela, Vincent vivait heureux avec son père. Sa mère avait quitté son père lorsqu'il avait 3 ans et il ne l'avait jamais revue et n'avait pour ainsi dire aucun souvenir d'elle. Il vivait entouré d'amis – surtout des amis parce qu'il ne se sentait pas du tout attiré par les filles. Mais jusqu'à ses 18 ans il n'avait jamais montré publiquement ses sentiments, ses attirances. A 18 ans il était vierge sans expérience si ce n'est avec lui-même. Mais via internet il fantasmait beaucoup et ses abonnements à des sites gays payants étaient nombreux. Il se savait homo mais aucun de ses amis, ni son père n'étaient au courant.
Et puis tout a basculé. Un soir, un clerc de notaire s'est présenté devant leur propriété. Et en présence du père et du fils il a lu le testament
que sa mère avait établi à sa mort. Elle demandait de la pardonner, il n'y avait pas d'héritage à espérer mais bien une supplique, celle de bien vouloir s'occuper de ses deux fils âgés de 15 et
16 ans. Elle ne voulait pas qu'ils finissent comme leur géniteur, comme leur père dans la délinquance.
Le paternel de Vincent ne donna pas directement une réponse au clerc ; il voulait un temps de réflexion ; il voulait en discuter avec son
fils. Pour Vincent c'était une sorte d'euphorie : lui qui avait toujours été l'enfant unique, le gars sans frangin, sans cousins se retrouvait du jour au lendemain enrichi de 2 frères, de 2
demi-frères ! Dans sa tête d'homo frustré, sans expérience, si ce n'est celle du net, cela galopait... Il pourrait les observer quand ils se douchent, il pourrait les voir à poil et qui sait
peut être aussi leur toucher la bite, car à part la sienne il n'en avait jamais touché.
Aussi quand son père lui annonça qu'il avait donné son accord au clerc pour s'occuper des fils de son ex, Vincent était aux anges. S'il avait su !!
Leur arrivée était prévue le 30 juin, à la fin de l'année scolaire. Comme la maison est grande, très grande, le père de Vincent avait fait aménager aux deuxième étage deux chambres à l'identique pour Axel et Alain. Ils se partageraient une salle de bain et pour les études, ils pourraient partager la salle d'étude qui jouxte la chambre de Vincent au premier étage.
Et quand le clerc de notaire accompagné d'un assistant social amena les deux garçons, Vincent était très nerveux, très excité.
Alain, l'aîné venait de fêter ses 16, ans. Il était mince quasi filiforme, une grosse tignasse noire et de grands yeux bruns. Axel, lui allait avoir
15 ans au mois d'août. Il était presque aussi grand que son frère mais tout en étant mince il était large d'épaule. Il était musclé sec et ses cheveux étaient blonds coupés très courts et ses
yeux étaient gris. Ils portaient tous deux des shorts et leurs frusques semblaient usagées et vieillots. Pendant que le paternel terminait les paperasseries avec le clerc, Vincent précédait les
garçons et les installait dans leur chambre respective. Vincent n'avait d'yeux que pour Alain. Aussi, une fois que les pauvres affaires d'Alain étaient déposées dans la chambre, Vincent lui
proposa d'aller prendre une bonne douche et d'aller ensuite dans sa chambre pour choisir l'un ou l'autre vêtement avant d'aller le lendemain faire quelques emplettes. Pendant qu'Alain se
douchait, Vincent était resté tout près de lui et l'observait. Il ne pouvait pas quitter son corps des yeux ; il ne pouvait pas s'empêcher de bander et, pour se calmer, il passait la tête
dans la chambre d'Axel. Pour sa part, Alain ne se doutait de rien ; il était trop content de bénéficier d'une douche pour lui tout seul et la présence de Vincent ne comptait pas pour lui en
comparaison de ce qu'il avait vécu les six derniers mois dans cet orphelinat où par groupe de 8 ils avaient 5 minutes pour se doucher sous l'œil des moniteurs. Une fois séché dans la salle de
bain, c'est à poil, sans complexe qu'Alain suit Vincent dans sa chambre. Quand Vincent ouvre sa penderie, le jeunot n'en croit pas ses yeux : des pantalons en tout genre, au moins 10 jeans,
10 vestes et dans la lingère des dizaines de pull, de t-shirts, de polo et au moins 50 slips, boxers, caleçons mélangés.
Vincent sélectionne les frusques qui sont trop petites pour lui et les étale sur son lit pour permettre aux frères de choisir. Pendant ce temps,
Axel, le plus jeune les a rejoints dans la chambre. Lui aussi tout nu.
« Tu as aussi profité comme moi de cette première douche ? » demande Alain à son frère et il poursuit « moi,
totalement. Loin du bruit, des cris, des touche-pipi et des attouchements en tout genre. »
« Oui, moi aussi. Cela m'a permis de réfléchir pour voir comment j'allais pouvoir survivre ici et nous trouver de quoi améliorer notre
ordinaire. J'ai peur que ma vie ici ne soit trop morne par rapport à l'ambiance et l'excitation constante de l'orphelinat et aux possibilités qu'on avait. » rétorque Axel. Et d'ajouter
avec un sourire narquois « de toute façon les touche-pipi, les attouchements et le reste tu as intérêt à aimer cela » et s'approchant de son frère et le poussant sur le lit il
saute sur lui et en moins de deux, il emprisonne les couilles et la queue de son frère dans une main, s'assois en califourchon sur la poitrine d'Alain et lui fout sa bite molle dans sa figure.
Vincent, pour sa part est stupéfait mais l'échange verbal et la petite saynète l'ont fortement émoustillé qu'il en bande. Et cela se voit.
« Dois-je te rappeler que maman voulait que malgré que je sois le plus jeune c'est moi qui prenne soin de toi et que tu me dois une totale
obéissance. » ponctue Axel, en frappant sa verge dans la figure de son frère.
« oui Axel, murmure l'aîné »
« Que dis-tu, parle à haute voix et avec la formulation correcte » répond Axel tout en continuant de frapper sa verge qui bande
maintenant fortement sur la figure de son frère.
Vincent, lui n'en croit pas ses yeux mais il sent bien que ce n'est pas le moment d'intervenir ?
« Alors, j'écoute » dit Axel tout en triturant les couilles d'Alain.
« Oui, maître, je te dois une obéissance totale, je ferai ce que tu juges bon pour moi.» Alors, sur un signe de tête d'Axel, Alain
ouvre grandement sa bouche et englouti la bite toute raide de son frère. Vincent n'en revient toujours pas. Il s'est laissé tomber sur le lit. Sa queue bande fortement et sous l'effet de la scène
qu'il vit, il ne peut s'empêcher de prendre sa queue en main et commence à se masturber.
Mais déjà Axel se retire et libère son frère de sa double emprise. Il se lève, se dirige vers Vincent et lui met la main au paquet et dit
« Depuis que nous sommes arrivés ici, tu n'as eu d'yeux que pour mon frère et tu aimerais bien qu'il en fasse autant avec toi. Tu aimerais bien n'est ce pas fourrer ta petite bite de
pédé frustré dans sa petite bouche d'ado. Et bien cela ne dépend que de toi ! » Et détaillant complètement la chambre avec les yeux il annonce « il est à toi pendant une
heure si tu me cèdes ton ordi et ta chaîne stéréo et si en plus tu le veux dans ton grand lit cette nuit, je te taxe de 50 frusques dans ta garde-robe. A toi de te décider. Alors tu le veux pour
une heure, pour la nuit ou les deux ?» Axel bien sûr continue à exciter Vincent avec sa main experte et sans presque un moment d'hésitation Vincent éructe sa réponse
« maintenant et cette nuit ». « Parfait » dit Axel en lâchant prise et ajoute « J'ai encore un petit œuf à régler avec Alain. Alors, Vince, va déjà
installer ton ordi et ta chaîne stéréo dans ma chambre et tu ne reviens ici que lorsque je t'appellerai. » Et Vincent de s'exécuter en disant oui maître s'en sans rendre compte. Et
pendant que Vincent déconnecte ordi et appareils stéréo, Alain sur un signe de son frère est venu se mettre à genoux devant lui. Il sait qu'il n'échappera pas à une bonne fessée pour sa
nonchalance et que c'est avec les fesses toutes rouges qu'il passera les bons moments avec Vincent.
Cela ne fait même pas encore 12 heures qu'Axel et Alain sont entrés dans la vie de Vincent que moi, le narrateur, me rend déjà compte qu'Axel, le grand prédateur, ne perd pas une seconde pour piéger tout le monde et les mettre tous à sa merci. Bien sûr il a infligé une fameuse correction à son frère ; d'abord une bonne fessée à la main puis 20 coups de ceinture et ensuite après l'avoir mis au coin pour qu'il se calme et arrête de chialer il a obligé son puni de frère de le sucer à fond. Et c'est seulement après cette bonne jouissance qu'Axel appelle Vincent. Pendant qu'il s'amène, Axel a tout fait pour qu'Alain bande un maximum et, avant de 'louer' son frère à Vincent il tient à voir jusqu'où va se baisser ce dernier pour se payer une heure de bon temps. « Tu vois, mon frère et moi sommes encore toujours à poil et en plus, comme tu peux le constater, j'ai chauffé mon frérot à blanc » dit-il en caressant les couilles de son frère et poursuit « A toi maintenant de te foutre à poil pour que je puisse juger à qui j'offre mon frère et jauger si tu mérites mon frère ». Et Vincent d'ôter ses chaussures, chaussettes, polo, jeans et boxer en moins de deux et de présenter à Axel et Alain son corps un peut-être un tant soi peu grassouillet (-note du narrateur– cela a bien changé depuis) et sa belle bite bandante. Alors en maître magnanime, axel lance « Bon, vous avez maintenant une bonne heure pour faire connaissance si je puis dire mais avant cela, Alain, comme d'habitude, tu viendras me remercier pour mes largesses et toi Vincent tu en feras autant. » Et Alain de se jeter à genoux devant son frère et de lui embrasser les pieds en disant très distinctement « Merci Maître ». Vincent à l'air très surpris mais comme il a franchement envie de tirer son coup, à son tour il se met à genoux devant Axel, lui embrasse les pieds et ajoute aussi un « Merci Maître » plutôt murmuré. Alors, sans ménagement, Axel attrape sa tignasse blonde et mettant son visage à moins de trois centimètres de sa bouche, il lui dit « dorénavant tu me remercieras d'une façon plus audible. » Et obligeant Vincent maintenant à le regarder au fonds des yeux il ajoute « Allez faire vos galipettes dans la chambre d'Alain ; je reste dans la tienne pour me choisir les 50 frusques que tu me dois et 20 autres pour mon frangin. Tu n'y vois pas d'inconvénient ? » Et Vincent toujours empoigné par Axel et tenant compte de sa remarque laisse échapper « Non Maître, merci Maître.» Et quand enfin, Axel repousse Vincent et lui permet de se relever il quitte sa chambre en compagnie d'Alain.
Axel, lui, a plus d'une idée vicieuse derrière la tête pour l'instant. Il commence par se choisir un short et a vite fait d'enfiler un Dolce & Gabana tout blanc ; lui, Maître ne va quand même pas rester à poil ! Puis il laisse vagabonder son esprit. Comme vont les choses, il sait déjà que Vincent ne fait pas le poids malgré ses 18 ans. C'est un fils de riche, il n'a jamais dû se battre pour quoi que ce soit et il sent très bien que pour la fin des vacances scolaires il aura un contrôle presque complet sur lui.
Alors, plutôt que de se choisir des vêtements, Axel commence à fouiller systématiquement toute la chambre à la recherche de ce qui lui permettra d'avoir Vincent sous son emprise. Et il commence par le froc que Vincent a ôté si précipitamment et y trouve un portable qu'il met en poche et un portefeuille qu'il vide de son contenu : la pêche fut bonne : une carte bancaire, une carte de crédit, deux cents euro, une carte d'un vidéo club, et des cartes de membres de différents clubs de sport : tennis, golf et fitness. Dans sa table de chevet, rien que des mouchoirs en papier, du lubrifiant et quelques capotes. Mais c'est dans le meuble bureau sur lequel se trouvait l'ordinateur qu'il fait les meilleures découvertes. Sous une pile de livre de cul, il découvre une liste avec un nombre incroyable d'adresses du web accompagnés d'un identifiant et des mots de passe. Il est très satisfait de son butin et comme il se met à vider la garde-robe de Vincent pour se choisir ses frusques il met la main sur un coffre genre coffre à outil et y découvre les jouets sexuels de Vincent : godes, plugs, menottes, cordes, pinces, fouet, cravache, bougies. « Le petit vicieux.... Mais j'aime ça » se dit-il tout en entretenant avec sa main la subite érection que le contenu du coffre a fait naître chez lui.
Ensuite, Axel a vite fait de trouver un grand sac où il fourre d'abord toutes ses trouvailles, toutes ses confiscations comme il appelle cela dans son jargon, ensuite il y fourre les habits qu'il a sélectionnés. Il ne les a pas comptés mais quand il a fini de sélectionner ses frusques et ceux destinés à son frère, il ne reste plus que dans la garde-robe que 3 vestes horribles, 3 jeans, 2 shorts, 1 pantalon, 5 t-shirt, 5 polos et deux paires de shoes. Et en définitive, en plus du sac quatre valises sont nécessaires pour emporter son butin. Avant que l'heure ne soit, Axel a tout emporté dans sa chambre...
Et puis, quand l'heure est venue, en propriétaire convaincu, il entre sans frapper dans la chambre d'Alain qui se fait à cet instant lécher le cul par Vincent et clame « Bon Vincent, c'est terminé, l'heure est passée. Tu as tout juste le temps de prendre ta douche et d'être prêt pour passer à table avec ton père. Quant à toi Alain tu descends prendre les frusques que j'ai sélectionnées pour toi et qui sont sur le lit de Vincent, ensuite tu prends une douche en quatrième vitesse et tu me rejoins dans ma chambre. Tous deux, exécution » Et les deux amants, malgré leur trique tendue entre les jambes de dire respectueusement « oui Maître » et de disparaître. Axel n'en revient pas et cela l'excite fortement et il murmure « si cela continue ainsi il sera totalement à moi avant un mois. Et je serai fixé dès ce soir ! »
Comme ils sont tous trois pressés par le temps, rien ne transparaît au souper. C'est la cuisinière qui a tout préparé. Le repas est simple et bon. Et après le souper, à la surprise de Vincent, son père annonce qu'il doit s'absenter quelques jours, une petite semaine. Vincent est surpris parce que ce généralement son père l'averti mais cette fois-ci apparemment il s'agit d'une affaire importante et urgence qui ne peut attendre.
Il demande aux garçons s'ils pourront se débrouiller et si la cuisinière doit venir. Mais aussi bien Alain – ce qui est tout à fait normal – que Vincent regardent Axel et attendent sa réponse. « Je pense monsieur, que nous nous débrouillerons à trois, n'est ce pas Vincent » Qui fait oui de la tête et ajoute : « ne t'en fait pas, père, mes frères et moi, on s'occupera de tout et quand tu reviendras la maison sera en ordre et nous aurons mangé à notre faim ». « Je pars demain de bonne heure mais j'espère bien encore pouvoir prendre le petit déjeuner avec vous ». Et les trois garçons de répondre « avec plaisir »
En remontant vers les chambres, Axel s'attend à une réaction de Vincent et tout en grimpant les escaliers elle arrive : « Axel, on avait convenu que tu me prennes 50 pièces vestimentaires et 20 pour Alain en plus de ma chaîne stéréo et mon ordi pour que ton frère et moi puissions passer une heure et ensuite toute la nuit ensemble. Mais en définitive tu m'as taxé de toutes mes fringues et je n'ai même plus de boxer et chaussettes à me mettre et les jeans, je n'entre plus dedans. Je ne suis vraiment pas content. Rends-moi ce que tu as pris en trop !» Alors Axel, se retourne brusquement vers Vincent, lui envoie deux gifles à la retourne, l'attrape par la tignasse et l'oblige à le suivre dans sa chambre qu'il ferme à double tour. Il tient encore toujours Vincent par les cheveux et quand il s'assied sur son lit il oblige Vincent à se coucher en travers de ses genoux. Axel n'a pas dit un mot et Vincent non plus à part quelques 'aïe, ou ouille'. Et sans perdre une seconde, Axel commence à fesser Vincent qui ne porte qu'un mince short. Le fessé est surpris et tente de se débattre mais Axel le tient fermement et après cinq minutes de ce tarif là, Vincent le supplie déjà d'arrêter mais ce n'est qu'après cinq autres minutes qu'Axel s'arrête. Et après l'avoir obligé de se mettre à genoux devant lui, Axel prend enfin la parole « Pour commencer, je pensais que tu avais compris que dès que nous somme seuls tous les trois tu m'appelles maître, si je t'ai taxé de tous tes frusques c'est pour plus d'une raison et la première est qu'en tant que ton maître je peux tout et toi tu ne peux rien. Ensuite, j'ai trouvé entre tes affaires quelques jouets que si je les montrais à ton père tu passerais un mauvais quart d'heure ou si tes copains les voyaient tu serais rejeté comme étant un malade. Moi, je les ai confisqués. Enfin, je t'avais laissé quelques vêtements et ce n'est pas de ma faute que tu t'es laissé gonfler. Fais plus de sport, plus de fitness... tu as quand même un abonnement et tu rentreras à nouveau dans tes culottes. Et pour ce qui est des slips et des chaussettes, Alain ne t'as rien dit ? Ceux qui m'appellent leur maître n'ont pas droit à porter des caleçons ni des chaussettes à la maison. Aussi, voici ma sentence. Mais bien sûr, tu peux toujours refuser mon autorité, te rebeller, faire appel à ton paternel. Moi, j'attends. Mets-toi à genoux, dans le coin, les mains sur la tête et prends le temps de la réflexion. Je te donne cinq minutes, le temps de m'occuper d'Alain. » Axel est passé par la salle de bain pour aller dans la chambre de son frère. Vincent est seul dans la chambre. Il a tout le loisir de se lever, d'ouvrir la porte, en un mot de quitter l'emprise d'Axel, de se rebeller, mais non. Il reste le nez au mur attendant effectivement son Maître. Et quand Axel revient, il retrouve son demi-frère dans la même position. Il jubile. « Alors tu veux entendre ma sentence ? » « Oui, maître » répond Vincent à haute voix. « Alors, commence par te foutre à poil et retiens que dorénavant quand nous ne sommes qu'à trois, cela sera ton costume obligatoire » « Oui, Maître » Et Vincent de s'exécuter. Et la lecture de la sentence commence : « Pour ne pas m'avoir appelé 'maître', dix ; pour mon plaisir, dix de plus ; des jouets interdits, j'en ai compté treize, cela fera donc treize, j'estime que tu devras maigrir de 5 kg, cela en fera 15. Grand total : 48 que j'arrondi à 50. » Et sans ajouter un mot, Axel indique à Vincent de prendre ses chevilles en main et sans attendre et sans temps mort il lui inflige 50 coups de ceinture. Bien sûr, bien avant le dernier coup, Vincent pleure, il transpire, il a mal, son nez plein de morve coule et « Merci Maître ». Et tout en faisant se remettre à genoux dans le coin les mains sur la tête et en conclusion Axel lui administre le coup de grâce en ajoutant « Comme j'ai dû te punir, tu es bien entendu priver de ta nuit avec Alain et à la place tu passeras ta nuit ici dans le coin où tu te trouves sous ma surveillance et totalement à mon service. » Et Vincent de commencer à pleurer à chaudes larmes pendant qu'Axel ouvre l'ordinateur à la recherche d'autres faiblesses de Vincent.
Mais bien vite la situation change. Vincent se lève et se dirige vers Axel « Tu ne penses quand même pas que je vais accepter tout ça. Si j'ai suivi ce que j'appellerais ton 'jeu' c'est parce que je me sens très proche de ton frère que tu terrorises depuis très longtemps apparemment et que j'avais envie et besoin de passer de beaux moments avec lui. Alors, maintenant tu ouvres toi-même cette porte et tu me laisses sortir. » La réplique d'Axel ne se fait pas attendre « Mais mon pauvre petit bibendum, malgré tes 18 ans et tes kilos en trop, tu ne fais pas le poids vis-à-vis de moi tu sais. Tu veux sortir d'ici et bien voilà je t'ouvre même la porte mais encore ce soir ou au plus tard demain, tu viendras me manger dans la main et me demander pardon. »
Et Axel d'ouvrir la porte et Vincent de sortir de la chambre en disant « Pauvre con ! » A peine Vincent est-il sorti qu'Axel se dirige vers la chambre de son frère et ferme la porte et empoche la clef. « Il se révolte, j'aime ça. Je vais pouvoir me défouler. Tu restes bien sûr à ma disposition et quand je t'appelle tu viens illico. Ok ? » « Oui, mon frérot de Maître » répond Alain avec une admiration certaine dans sa voix. Comme la situation a quelque peu changé, Axel s'occupe d'abord du téléphone portable de Vincent et en retire très rapidement des données qui peuvent le servir : 3 numéros qui apparaissent souvent ; des dizaines de texto à deux numéros et en feuilletant son répertoire téléphonique il tombe sur 'moi' et sous cette 'identité' il trouve un numéro de 4 chiffres et comme indications complémentaires '20sansVincent et moi20cent'. Axel copie fébrilement toutes ces données en se disant « je parie que je viens de découvrir le code secret de ce con ». Et pour s'en convaincre, il éteint le portable, le rallume, entre le code et le portable se remet à fonctionner.
Il a à peine terminé de 's'informer' du contenu du portable que Vincent fait irruption dans sa chambre. Bien évidemment il n'est plus tout nu et à l'air furibard « Où as-tu mis mon portable ? J'en ai besoin » Et Axel de lui tendre l'appareil avec un grand sourire en disant « Retiens bien ce que je t'ai dit, tu viendras bientôt manger dans ma main. » Et Vincent de sortir en claquant la porte.
Axel avant de s'intéresser à l'ordinateur de Vincent appelle son frère. « Alain ici et en vitesse ! » Et son frère
d'accourir à poil et de se mettre à genoux aux pieds d'Axel et de dire « A ton service maître ». « Raconte-moi les faits marquants de cette heure passée avec ton
demi-frère » demande Axel. Et Alain de faire son rapport sur sa rencontre avec Vincent. Mais Axel s'énerve : « je veux savoir s'il a de l'expérience, s'il est actif ou
passif, s'il t'a sucé ou enculé, s'il t'a embrassé, s'il a joué uniquement avec ta queue ou aussi avec le reste de ton corps. Alors j'écoute » Et Alain de répondre en style
télégraphique : « non, très gauche, je pense sa première fois ; je pense plutôt actif ; il m'a enculé et il m'a sucé. J'ai eu mal, il est brutal ou sans expérience ;
il m'a beaucoup embrassé il n'a joué qu'avec ma bite et moi surtout avec la sienne qui est quand même l'une des plus grosses et longues que j'ai eu en moi. » « Je ne te demande pas
tes états d'âmes » et Axel de gifler son frère bien fait, vite fait. « Bon venons-en aux choses sérieuses pour toi. Avec ces six mois que l'on a passé dans l'orphelinat, tu ne m'as
pas rapporté grand-chose. Bien sûr avec ce que tu as presté durant ces six mois avec les gars et les matons cela m'a permis de bénéficier d'un certain confort, de certaines libertés mais
maintenant tu vas travailler ferme. Je sais que tu aimes ça et tes mois de juillet et août seront bien remplis. Je m'en occupe. »
Et Axel de prendre son appareil photo et d'obliger Alain de prendre les poses les plus explicites. Ensuite, pour le chauffer, il va même jusqu'à lui
faire une sucette ce qui est une chose tout à fait exceptionnel. Et une fois les photos prises... « A toi maintenant de me faire plaisir frangin et ensuite avant que tu puisses te
retirer dans ta chambre tout en restant à mon service, je te donnerai encore une bonne fessée pour m'avoir fait part de tes états d'âmes dont je n'avais franchement pas besoin. » Et
Alain, de pousser son frangin sur le lit et de mettre sa tête entre ses jambes et de lui sucer le dard sans discontinué jusqu'à ce qu'Axel l'arrête, le retourne comme une crêpe et l'encule sans
ménagement et lui tringle le cul durant un bon quart d'heure avant d'exploser en lui.
Ensuite, il reste en lui durant un bon bout de temps et dès qu'il se retire, Alain fait volte face et lui nettoie la queue religieusement. A peine
a-t-il terminé qu'Axel prend dans son armoire un ceinture bien large et lui applique 20 coups qui font pleurer Alain comme un enfant de 6 ans. Une fois la punition encaissée, Axel l'envoie dans
sa chambre où il devra rester debout près de son lit les mains sur la tête jusqu'à ce que son frère vienne lui donner le baiser du pardon.
Pendant ce temps, Axel s'est penché sur l'ordinateur de Vincent. « A nous deux maintenant, et j'espère que tu me feras découvrir toutes les
facettes cachées de mon tout prochain esclave. » dit-il en ouvrant l'ordinateur. Avec les données qu'il a puisé du portable de Vincent percé les identifiants et les mots de passe est un
jeu d'enfant. Il fait d'abord une visite aux dossiers 'mes photos' et outre quelques prises de vue de différents voyages, Axel découvre surtout des photos osées, sinon obscènes de Vincent. Axel
jubile. Puis il fait un tour par les fichiers temporaires et découvre toute une série de sites ou les mots 'porn' ou 'gay' apparaissent. Axel jubile encore plus.
Il est temps de se brancher sur le net. Et une fois sur le net, Axel commence par ouvrir les 'favoris' et encore une fois Bingo ! Plus de 10
sites explicites répertoriés et évidemment aussi une page facebook comme il se doit. Il ne lui reste plus que de forcer l'entrée à tous ces sites avec les mots-clefs qu'il a extirpés de
Vincent.
Et c'est seulement à ce moment là qu'Axel se souvient de ce qu'il a imposé à son frère. En se dirigeant vers sa chambre il se dit qu'il possède tous les éléments pour reprendre le contrôle sur Vincent. Il est très content de ses découvertes et aussi très excité intérieurement. Et quand il découvre son frère, en bon soumis obéissant, toujours debout près de son lit les mains sur la tête il décide qu'ils passeront la nuit ensemble à essayer les jouets intimes qu'il a confisqué à Vincent. « Met le verrou dans ma chambre et vient me rejoindre dans ton lit, Alain et apporte moi le sac noir que j'ai laissé sur mon lit. Je t'avais oublié je dois dire mais comme tu es devenu très obéissant depuis ta dernière punition magistrale je trouve que tu mérites une récompense ce soir. »
« Merci, maître Axel. » Et Alain de quitter bien vite la chambre et de revenir quasi au pas de course avec la fameuse besace. Il la dépose sur le lit et se met à genoux au pied du lit en attendant les instructions de son frère qui lui est allongé sur le lit. (Note du narrateur – le père de Vincent a bien fait les choses, je dois dire, comme les enfants de son ex femme sont presque adultes, il a opté pour des lits normaux ; pas des lits de 80 ou 90 cm de large mais d'environ 140 cm !). Et tout en ouvrant le sac il parle à son frère : « Notre petit con de demi-frère m'a légué ses petits jouets » et il tire du sac un Butt Plug noir assez gros, suivi de pinces et d'une bougie et une cravache. Et se penchant vers son frère il lui pose les pinces à ses tétons. Alain, évidemment, réagi fortement car c'est nouveau pour lui mais rien qu'en voyant ce que son frère a préparé pour lui il se met à bander. Alors, son frère lui fait signe de se mettre sur le lit à quatre pattes et à peine installé Axel lui enfonce le Plug sans aucun ménagement et Alain ne peut s'empêcher de crier. « Pardon maître, mais cela m'excite beaucoup. » « Tu restes ainsi et tu te tringles toi-même le cul maintenant » « Bien, Maître » Et Alain de se chauffer en cul en solitaire pendant que son frère quitte la chambre à la recherche d'allumettes ou d'un briquet.
Et quand il revient, la bougie se consume déjà et sans attendre il laisse couler la cire sur le dos et surtout sur la naissance des fesses de son esclave de frère. La bite d'Axel est tout aussi tendue que celle d'Alain et quand son excitation est au comble, plutôt que d'enculer Alain, il se précipite sur la cravache et comme s'il voulait encore porter son excitation au paroxysme il commence à cravacher son frère dans tous les sens : les fesses, le dos, les cuisses, la plante des pieds, le torse, la queue et les couilles. Il est tellement possédé qu'il n'entend pas son frère lui supplier d'arrêter. Alain ne se trouve plus sur le lit depuis un bon moment ; il est recroquevillé dans un coin de la chambre et essaye de se protéger un maximum mais sans succès. Enfin, après une bon quart d'heure de se régime, Axel se calme. Il s'agenouille près de son frère, le prend dans ses bras, l'embrasse, le caresse pendant qu'Alain en larme essaye de se reprendre.
Axel aide Alain à se relever, ils se couchent tous deux sur le lit, le maître embrasse toujours son esclave, lui retire la pince qui était restée sur le téton gauche, lui ôte le gode qu'il avait toujours en lui et quand Alain semble calmé, Axel quitte les lèvres de son frère et reprend son rôle de dominant. « Ca suffit je crois. Mets-toi au travail et suce-moi bien si tu ne veux pas une deuxième rencontre avec cette cravache ce soir. » Et Alain encore les yeux humides obéis à son frère et le suce du mieux qu'il peut pour plaire comme toujours à son frère. Heureusement pour Alain, son frère est tellement excité que bien vite il se retrouve couché sur le dos, les jambes repliées derrière la tête et la queue de son frère en lui, profondément en lui et après à peine quelques coups de reins profonds et puissants, Axel explose en lui lâchant quelques giclées qu'Alain, les jambes toujours relevées, sent en lui.
Les torses des deux frères sont l'un contre l'autre pour le moment et Axel embrasse à nouveau son frère. Ils restent ainsi un très long moment. Axel n'est pas encore rassasié ; il se retire des entrailles de son frère qui aussitôt vient nettoyer sa bite qui bande encore fortement. « Tiens la en bouche et fais-moi encore jouir, petit » dit Axel tout en prenant à son tour la queue de son frère en main. « Malgré que tu aies eu ta part de bon temps cet aprèm, je vais te faire jouir, frérot mais ne t'avise pas de cracher avant moi ni de cracher sans mon accord sinon tu sais ce qui t'attend. » dit-il en prenant la cravache en main. Et Alain de faire un signe de la tête pour indiquer qu'il a reçu le message. Heureusement tout se passe bien ; Alain parvient assez rapidement à faire jouir son frère dans sa bouche et après avoir demandé l'autorisation de son frère, il est obligé de jouir dans ses mains pendant que son frère le branle et il est bien sûr invité à avaler son propre jus. Dès que leurs ébats sont terminés, les deux frères se couchent et Alain de dire en éteignant les lumières : « Merci Maître pour cette bonne première journée de notre nouvelle vie. »
A six heures, Axel est déjà debout. Pour une fois, il laisse dormir son frère et va dans sa chambre et met l'ordinateur en route. Comme le petit déjeuner avec le paternel de Vincent n'est prévu qu'à huit heures, cela lui laisse près de deux heures pour s'occuper des photos de son frangin. Il va d'abord visiter un site américain mais qui est visité par le monde entier et entre dans le site France et Francophonie. C'est un site pour jeunes et plus spécialement pour les jeunes homos jusqu'à 16 ans. Il a un compte sur ce site depuis ses 13 ans mais sous le couvert de son frère. Avant le décès de leur mère, les frères étaient déjà actifs sur ce site et les affaires étaient florissantes. Cette fois-ci, la tactique ne change pas. Axel place les pics de son frère, plus explicites les unes que les autres sur sa page perso avec comme toute légende 'laisse-moi un message et je prends contact avec toi ! Bisou !' « Je te parie qu'avant midi, j'aurai déjà des réponses de mecs chauds. » se dit-il en fermant l'ordi. Il est satisfait de son travail et en se dirigeant vers la salle de bain il crie joyeusement à l'attention de son frère : « Réveille-toi mon petit soumis, il est temps de te lever, de me faire plaisir, de prendre ta douche et d'aller prendre le petit déjeuner avec notre demi-frère et son paternel.» Et c'est sous la douche qu'Alain se met à genoux et suce son frère jusqu'à ce qu'il s'éclate au fond de sa gorge. Et vers 7.50 heures les frères sont fins prêts. Ils sont sapés de shorts signés Versace et des polos D&G. Un dernier regard devant le grand miroir de leur salle de bain quand on frappe à la porte de la chambre d'Alain. « Alain, tu es prêt mon chéri, père nous attend. » chuchote presque Vincent. Alain regarde son frère d'un air perplexe mais c'est Axel qui réagit en ouvrant la porte. Il se fait presque minaudant : « Mais nous sommes prêts mon brave. Nous te suivons jusqu'à la table de monsieur ton père.» Et en descendant les escaliers Axel demande à son frère de telle façon que Vincent l'entende distinctement : « je vois que tu ne portes pas de chaussettes, très bien et pas de slip ou caleçon quand même ? » « Non maître, je sais que cela m'est interdit » répond Alain d'une voix presque inaudible. « C'est très bien, mais je veux que tu parles haut et fort, tu entends ! » « Oui, Maître. » Et Alain de répéter à haute et intelligible voix sa réponse.
Le père les attend dans la salle à manger et les deux frères prennent place en face de Vincent. Le père donne ses dernières instructions et une fois sa tasse de café bue il prend congé des frères et Vincent l'accompagne jusqu'à sa voiture. « Tiens, ce qui m'étonne » dit Alain « c'est que Vincent n'a pas de voiture. Il a pourtant 18 ans et avec le fric que son père doit avoir... ». « Encore faut-il que cette pédale ait son permis » répond Axel en se prenant un troisième croissant et ajoute à l'intention de son frère : « on est seul ici maintenant, ti sais ce que cela signifie ! ». Et Alain de se désaper en quatrième vitesse et de se rassoir, tout nu, aux côtés de son frère.
Mais déjà Vincent qui n'a l'air qu'à moitié surpris revient à table. Son père est parti, il se retrouve, durant près de six jours, seul, devant Axel le diabolique et Alain, son premier amant. Vincent se lance : « Ce matin à 10 heures, je joue au tennis avec mon copain Daniel et puis, si vous voulez on peut aller faire quelques achats pour autant que toi, Axel, me rende ma carte de banque et ma carte de crédit que tu m'as volées. Tu sais, je n'ai encore rien dit à mon père – je ne voulais pas qu'il s'inquiète avant son départ – et j'espère franchement Axel que je ne devrai pas le faire. Tu sais, malgré ta force et tes muscles, tu ne me fais pas peur. » La tirade de Vincent est terminée ; tout a été débité d'une voix monocorde et sans conviction comme s'il avait appris sa leçon par cœur. Et il ajoute à l'adresse d'Alain « Veux-tu m'accompagner au tennis et faire la connaissance de mes amis ? ». Alain ne répond pas directement ; il interroge son frère du regard et c'est Axel qui prend la parole «Oui, il va t'accompagner. J'espère qu'il pourra participer à vos jeux mais avant cela il faut encore ranger ici et mettre les chambres en ordre » Bien sûr, Axel ne revient pas sur les cartes et lui-même quitte la salle à manger en laissant Vincent et Alain faire le boulot. Revenu dans sa chambre, il se remet derrière son ordinateur et s'attaque aux sites fréquentés par Vincent mais avant tout à sa page Facebook. S'il parvient à forcer cela il sait que sa victoire sera proche. Quand Alain apparaît tout nu et ses frusques sous le bras, il se remet au travail sans déranger son frère car celui-ci semble plus qu'énerver. Et pour cause : il est parvenu à rentrer sur la plupart des sites porno gay visités par Vincent mais Facebook lui résiste ! Il s'est aussi rendu compte qu'il ne possède pas le ou les comptes mails de Vincent et là, il râle ferme. Aussi, au moment où Alain lui demande l'autorisation de se rhabiller pour accompagner Vincent, Axel lui donne quelques instructions : « essaye de savoir s'il a une relation avec le mec, ou essaye toi de te le farcir. Je veux aussi que tu reviennes avec une adresse e-mail de Vincent ; débrouille-toi pour en obtenir une, sinon gare à tes fesses. Tu ne mettras qu'un short et un polo et demande à Vincent une tenue de tennis et une serviette pour te doucher par après. Amuse-toi bien. » Et Alain de faire la bise à son frère tout en lui donnant une claque sonore sur chaque fesse.
Une fois seul et pour se changer les idées, Axel retourne voir les photos osées de Vincent. Se sont toutes des pics solo avec ou sans matos et sur
la plupart on voit des détails de sa chambre et de l'ordinateur. Jamais un deuxième mec avec lui !
Axel a déjà fait le tri et sait lesquels il va utiliser.
Puis, il va sur une de ses adresses e-mail pour voir s'il y a des réactions par rapport aux sites où il place les pics de son frère. Et bingo, 3
réactions.
La première, d'un mec de 18 ans 'salut, je sais que je ne pourrais pas venir sur ce site mais tu as l'air tellement mignon et excitant. Et cette
ceinture que tu as en main, j'aimerais bien te la faire sentir sur tes fesses. Je te laisse mon adresse mail à tout hasard' signé un fesseur admirateur.
La deuxième, d'un jeune gars de 16 ans selon son identification. Slt, tum plé bien ! Ta tbe ds mon cul pour 100 balle ! D'ac ?
Sylvain
La troisième, d'un mec de 29 ans. J'aimerais passer quelques moments avec toi. Je suis tellement malheureux chez moi. A l'hôtel ou chez toi. Je
t'embrasse déjà. Signé Cédric et il a joint son numéro de téléphone en ajoutant n'envoie que des texto stp.
Et puis, en regardant les 3 adresses de ses contacts... mais oui bon sang mais c'est bien sûr : Hotmail, gmail, Yahoo, live ! C'est sûrement chez un de ces providers que Vincent doit avoir un compte et peut être qu'avec les données en ma possession .... Et une bonne heure plus tard après avoir essayé les diverses combinaisons possibles Axel a enfin accès à l'une des adresses e-mail de Vincent. Mais bien vite il se rend compte que ce n'est que des contacts de cul. C'est déjà pas mal mais son adresse officielle où il contacte ses amis et connaissances serait bien plus bénéfique pour les affaires d'Axel. Et il revient aux trois contacts pour son frère.
Au premier contact, il demande une photo à poil du mec et que 'ses' fesses (note du narrateur – mais bien évidemment ce sont celles de son
frère) sont à disposition pour 50 balles la demie heure ; au second il demande quand et où cela l'arrange et au troisième il envoie le texto suivant : 'slt, suite à message, oké chez
moi ce soir si cela t'arrange. Bisous, Alain'. Et dans la minute qui suit il reçoit déjà une réponse avec comme texte : 'puis-je te tel maintenant' et Axel de répondre 'oui'. Quand son
portable sonne Axel prend une voix douce et
« Salut, merci pour ta réaction » dit il d'une voix charmeuse.
« Ca te dérange pas qu'on bavarde un peu ?»
« Non, pas du tout »
« Tu es très sexy sur les photos, je suis libre ce soir, j'ai 29 ans, c'est pas trop vieux ? »
« Non pas du tout. Tu ne vis pas seul ? »
« Non j'ai une copine, mais ça va mal entre nous »
« Alors tu cherches du plaisir ailleurs » Et ensuite Axel joue son jeu pour exciter le mec. «Chez moi, je peux t'offrir de la
tendresse, je peux t'attendre nu si tu veux ou à genoux mais surtout j'aime recevoir la fessée quand tu me prendras. Tu aimes donner la fessée, mon grand ? »
Et à la voix du mec on sent déjà son immense excitation : « Oui, j'adore fesser. J'ai des cravaches et des martinets. Tu es prêt à me
recevoir tout nu avec un Plug dans le cul ? Tu as un Plug ? A ton âge peut-être pas ? »
Axel s'échauffe aussi malgré qu'il est en train d'exciter un 'client' pour son soumis de frère. Et tout en répondant à son correspondant, il a
baissé son short et se branle « Oui, j'ai un Plug et je me le mettrais bien dans le cul maintenant. »
« Non, non attend que je sois là ce soir !! » Répond le mec surexcité qui
ajoute «J'habite aussi à Lyon et je pourrais être chez toi à partir de 20 heures »
Et Axel de conclure le rendez-vous pour son frangin à 21 heures. Une fois la conversation terminée, Axel se calme, remet sa bite encore toute raide
dans son short et le remonte en se disant 'dès qu'Alain rentre, je me le farci et puis je m'occupe de Vincent. J'espère que mon frère reviendra avec des renseignements utiles, très utiles,
sinon ses fesses seront déjà rouge avant l'arrivée de notre première victime à Lyon, Jeremy' !
Enfin, Alain et Vincent refont surface. Il est près de 13 heures. Dès qu'Alain est rentré, dans le hall d'accueil, il se déshabille complètement.
Vincent quand même surpris de dire «Pourquoi tu t'écrases ainsi devant ton frère. On dirait que tu as peur de lui. Tu lui obéis au doigt et à l'œil. Heureusement qu'on a pris notre pied à
trois dans les vestiaires parce que je te parie qu'il va tout faire pour nous séparer ce petit con ! » Mais Alain ne réplique pas ; son frère n'est pas loin et il doit
faire rapport. Aussi monte-il directement dans la chambre de son frère. « Alors tu as de bonnes nouvelles j'espère sur ce petit trou du cul de Vincent ? » demande Axel assez
sèchement et prenant la bite molle de son frangin en main « et je parie que tu t'es encore donné ! » « Oui, mon Maître, j'ai pas mal de bonnes nouvelles et oui,
ils m'ont tous les deux sautés.» « Alors j'écoute » dit Axel d'un air énervé. Et Alain de raconter
que le Daniel en question était très sympa qu'avant aujourd'hui il n'avait jamais rien fait avec Daniel, que le mec parlait quand même souvent de
filles, que dans les vestiaires c'est lui qui s'est 'attaqué' à Alain et qu'ensuite Vincent a participé. Et après à la cafète, ils ont échangés leurs e-mail. Puis Alain ajoute « Quand je
leur ai dit qu'à côté de l'adresse 'officielle' j'en avais encore une pour les affaires de cul, Vincent m'a avoué qu'il en avait bien... » « 5 au moins car ces adresses là je
les ai trouvées » ajoute souriant Axel. « Et point de vue fantasmes, ils en avaient ? » demande curieux Axel. Et son frère de répondre qu'à part quelques petites
fessées durant les jeux tout était plutôt soft.
« Tu as fait du bon boulot, frérot. » Et Axel, tenant son frère par la queue « Suis-moi dans ta chambre, désape-moi, et
suce-moi bien raide. J'ai des choses à te raconter avant que je ne te la mette dans ton petit cul. »
Et pendant qu'Alain s'occupe du dard de son frère, celui-ci lui explique le topo pour ce soir. « J'espère que tu as tout bien pigé. On a
déjà fait cela dans le passé. Et gare à tes fesses si tu me déçois et, pour être sûr d'être bien compris.... » Axel attrape son frère par les cheveux, l'oblige à abandonner son travail
sur la bite, l'allonge au travers de ses genoux et lui donne une magistrale fessée durant cinq bonnes minutes. Et quand ses fesses sont bien rouges et que ses yeux sont pleins de larmes il force
Alain à se mettre à quatre pattes et sans ménagement aucun, l'encule, le tringle pendant dix bonnes minutes et puis se décharge totalement en lui et lui frappant encore les fesses. Puis, il
s'écroule sur lui et ce n'est que bien plus tard qu'il se retire et que directement Alain prend soin de la bite encore raide de son frère et la nettoie convenablement avec sa langue.
Quand enfin ils descendent dans la cuisine, Vincent s'est déjà sustenté. Et il attaque directement Axel « je voudrais récupérer mes cartes
de banque que tu m'as volées. » « Pas question pour le moment. De toute façon, il est presque 16 heures et nous n'irons plus faire des achats aujourd'hui. » Rétorque
Alain qui est fâché contre lui-même. 'Pourquoi n'ai-je pas été essayé les codes que je possédais !?!' « Tu les recevras en retour en temps opportun et si tu le
mérites ».
« Mais c'est quoi cela encore. Tu penses que tu vas pouvoir faire avec moi comme avec ton pauvre frère qui doit courir à poil et être à ta
disposition quand tu le siffles.»
Mais Axel ne réplique pas et s'adressant à son frère « fais-nous une omelette mais sers-moi d'abord un verre de lait. Je m'installe dans la
salle à manger. » Et Alain de faire signe de la tête en guise d'accord. Mais Vincent n'abandonne pas « Mais tu ne vas pas t'en tirer ainsi mon vieux » dit-il en
tirant Axel par la manche et, pour la première fois, Vincent va être confronté avec sa force. Axel fait volte face, attrape le polo de Vincent à hauteur de sa poitrine, se baisse brusquement et
fait valser Vincent au-dessus de lui après lui avoir mis un pied dans les parties. Et Vincent s'écrase par terre dans un horrible bruit. Axel s'est déjà relevé, se rue sur sa proie, et lui fout
une dizaine de gifles à la volée et ajoute « Ne fais plus jamais cela, sinon je t'envoie à l'hosto. Maintenant tu te lèves, tu vas dans ta chambre, au grenier, dans la cave, au garage
mais reste hors de ma vue jusqu'à demain au moins. » Et Vincent de se lever et de regagner sa chambre la queue entre les jambes. Enfin débarrasser de sa future victime, Axel passe par
la cuisine et signale à son frère qu'il s'absente pendant un petit quart d'heure. « Quand je reviens, au passe directos à table et n'essaye pas de prendre contact avec notre demi-frère.
Entendu ? » « Oui, Maître, tout sera prêt » répond humblement Alain. Son frère monte quatre à quatre jusqu'à sa chambre, prend les cartes de banque et se dirige vers le
premier guichet automatique qu'il trouve. Il insère une carte et essaye l'un des codes en sa possession mais c'est négatif. Il en essaye un deuxième et encore négatif. Il change de carte réessaye
encore mais cela ne réussit pas. « Merde, ce petit con va me le payer cher quand je serai prêt. Et je pense que ce soir, pendant que mon frérot s'occupera de Jeremy, tout sera
fin prêt et que dès demain matin je commencerai avec sa mise à mort. »
Et vers 21 heures Jeremy comme convenu, attend devant la propriété. Alain, vêtu uniquement d'un short et d'un t-shirt et chaussé d'espadrilles va à
sa rencontre. « Bonsoir, Jeremy. Je suis impatient de mieux te connaître » dit Alain d'une voix suave. On voit et l'on sent que Jeremy est à la fois excité et nerveux. Il ne
doit avoir fixé souvent un rendez-vous avec un mec. Et Alain en bonne petite pute le prend par la main et l'emmène vers sa chambre. En chemin, Alain apprend qu'il vit avec une fille mais qu'il
s'est rendu compte que ce n'est pas sa tasse de thé, qu'il visite depuis un certain temps les sites gays et qu'enfin aujourd'hui il s'est lancé dans sa première rencontre réelle. Alain, en
pensant à Axel se dit 'le parfait petit pigeon' et en montant les escaliers, Alain tire Jeremy contre lui et lui donne son premier baiser entre garçons. Arrivés dans la chambre, Alain se fout
directement à poil, déshabille Jeremy et lui propose de prendre une douche ensemble. Les deux bites sont déjà bien tendues et sous l'eau bien chaude, leurs corps, leurs lèvres, leurs mains, leurs
queues se touchent et s'excitent mutuellement. Alain a reçu l'ordre d'Axel de rester sous la douche au moins un quart d'heure ; le temps qu'il 'visite' les affaires personnelles de leur
victime à la recherche de fric, de cartes bancaires ou d'autres éléments pour le faire chanter. Et banco, Alain découvre quelques dizaines d'Euro, une carte de crédit et une photo de sa bonne
amie. Et quand Axel n'entend plus l'eau de la douche couler, il quitte la chambre de son frère furtivement.
Une fois séchés, Jeremy et Alain se couchent sur le lit et les ébats amoureux reprennent et quand Alain comprend que Jeremy veut l'enculer, il se
couche sur le dos, lève ses jambes, les poses sur les épaules de son amant et se laisse pénétrer avec plaisir. Jeremy est tellement excité qu'il ne lui faut pas bien longtemps pour exploser dans
le cul d'Alain et c'est en se retirant et en maintenant les jambes d'Alain levée qu'il se rend compte que celui-ci a été fessé il y a peu. Et cela excite fortement Jeremy qui du coup s'enfonce à
nouveau dans le cul d'Alain et le tringle à fond. Et c'est le moment qu'Axel choisit pour faire irruption dans la chambre. « Mais Alain qu'est-ce que tu fous encore une fois. Tu as de
nouveau amené un mec à la maison. » Hurle Axel et s'adressant à Jeremy « Et toi, tu veux finir en prison ! Mon frère n'a pas encore 16 ans. Tu aimes bien te taper des
petits jeunes n'est ce pas ? » Entre temps, Jeremy s'est retiré du cul d'Alain et s'est assis sur le lit. Il essaye de placer un mot mais Axel ne lui laisse pas l'occasion et quand
enfin Axel en a terminé Jeremy prend la parole. « J'ai fait la connaissance de votre frère sur un site de rencontre. Ses photos étaient suggestives et je lui ai bien indiqué que j'avais
29 ans. Mais il ne trouvait pas cela un problème » « Evidemment » rétorque, Axel, « il sauterait n'importe qui si je n'étais pas là » Et
s'approchant de son frère, il le gifle à la volée et l'oblige de se mettre à genoux dans le coin avec les mains sur la tête et ajoute : « toi et tes fesses vous allez encore me
retrouver tout à l'heure. » Et sortant son portable de sa poche, il fait mine de vouloir téléphoner aux clics. Voyant cela, Jeremy intervient immédiatement « tu ne vas quand
même pas appeler les flics ! Je ne vis pas seul et je ne veux pas de scandale. On peut sûrement trouver un terrain d'entente ! » Ajoute Jeremy en essayant de prendre
son froc pour en sortir son portefeuille. « Tu crois que tu t'en sortir en me donnant uniquement du fric ? Alors tu ne me connais pas ! » « Ecoute tu peux me demander
ce que tu veux mais réglons cela entre nous. J'ai 80 balles ici en liquide et.... » « Et tu as sûrement une carte bancaire » ajoute Axel. « Oui, dis-moi ce que
tu veux mais surtout n'appelle pas les flics. » supplie Jeremy pour la nième fois. « Comme tu veux régler cela entre nous, voici mes conditions. Tout d'abord, je te confisque
tes 80 balles, et en partant tout à l'heure je t'accompagnerai pour que tu arrondisses le compte à 200. » « D'accord, pas de problème » dit Jeremy pensant qu'il s'en
tire à bon compte.
Mais Axel reprend l'air agacé « ne m'interrompt pas et par respect pour moi, viens te mettre à genoux devant moi » Et très
étonnant, Jeremy se met en position et Axel poursuit « le fait que je n'appelle pas la police, cela a un prix : voici mes conditions : je veux que tu me donnes ton adresse et
ton numéro de portable, je vais prendre des photos explicites de toi, je veux tes codes d'accès pour ton adresse e-mail et pour facebook. Je veux que tu sois à ma disposition durant les deux mois
à venir – ce sont mes deux mois de vacances – et si je te bigophone, tu es là dans la demie heure qui suit. Si tu me fais faux bond, les photos que je vais prendre maintenant
seront mises sur facebook et envoyées à tous tes contacts, amis, famille, boulot. Et avant que je vérifie les données que tu me donnes et de prendre les photos je veux en guise de preuve de ton
accord que tu me dises à haute et intelligible voix 'Maître punissez moi comme vous le voulez'. Tu as cinq minutes pour réfléchir le temps que je m'occupe de mon malade de
frère.» Et tirant Alain par l'oreille il se dirige vers sa chambre en passant par la salle de bain commune.
Une fois dans la chambre Axel félicite Alain et ajoute « je t'appellerai tout à l'heure pour les photos » Et Axel retourne dans sa
chambre. Jeremy est encore là où il l'a laissé : à genoux au pied du lit. « Alors, tu as pris une décision : tu te soumets à moi durant deux mois ou dois-je appeler les
flics ? » et pour toute réponse Jeremy murmure «Maître punissez moi comme vous le voulez » Et Axel s'approchant de lui, le gifle et ajoute « A haute et
intelligible voix » Et Jeremy de répéter comme il faut « Maître punissez moi comme vous le voulez » Axel jubile intérieurement et s'assois sur le lit, fait signe à
Jeremy de se coucher en travers de ses cuisses et ajoute « je vais commencer par te donner une bonne fessée, cela te calmera et mettra tes idées en place » Et la première
claque résonne déjà sur les fesses de Jeremy et les claques se suivent, toutes très fortes et après 10 minutes Jeremy supplie déjà son maître d'arrêter. Mais Axel ne terminera la punition que
lorsque sa victime pleurera à chaudes larmes... une bonne demi-heure plus tard. Et pendant que Jeremy se calme à genoux, nu bien sûr, les fesses bien rouges et les mains sur la tête, Axel
l'interroge déjà pour obtenir les renseignements qu'il a demandés et ensuite il rappelle Alain qui entre dans la chambre un appareil photo numérique à la main. Alors, installés sur le lit, Axel
oblige Jeremy de sucer Alain, de se faire enculer, de prendre une bonne giclée de foutre dans sa figure. Après une demie heure, Axel a tout le matériel photo dont il a besoin et il a même une
petite vidéo qui fera peut être un jour son apparition sur facebook. Axel quitte la chambre d'Alain pour aller vérifier les données sur son ordinateur. Bien sûr, il n'a pas laissé Jeremy et Alain
seuls. Non ils sont côtes à côtes à genoux les mains sur la tête en attendant les instructions d'Axel. La vérification fut rapide : Jeremy a franchement peur des flics car toutes ses
informations sont exactes ; il devra obéir à son maître sinon les conséquences pourraient être graves pour lui. Alors, avant d'accompagner Jeremy jusqu'à la banque, Axel se fout à poil, se
couche sur son lit et appelle Jeremy et il l'oblige de lui sucer la bite après lui avoir bien léché le cul. Ensuite quand il est bien dur il force Jeremy à se mettre à quatre pattes et l'encule
sans ménagement et après l'avoir tringlé dix bonnes minutes, il explose dans son cul ; Et quand il se retire il appelle son frère qui lui lèche sa bite goulument. Alors s'adressant à
Jeremy : « tu vois ce qui t'attend durant ses deux mois. On se revoit demain à la même heure ; je te donnerai tes instructions par texto. Maintenant en route pour la
banque ».
« Maître, je suis très content de vous avoir rencontré » dit Jeremy à Axel sur le chemin les amenant à la banque. Encore un maso se dit Axel qui ne dit pas un mot et Jeremy de continuer à parler. « Je me rends compte que c'est quelqu'un comme vous dont j'ai besoin pour vivre, pour me sentir bien. » Et Jeremy de raconter qu'il vit actuellement avec une fille mais qu'en fait il n'est pas heureux et que quelque part il regrette l'époque de ses 13 à 18 ans. « Ah bon » dit Axel pour relancer Jeremy. Et voici son histoire. Ses parents se sont séparés quand il avait 10 ans et il vivait seul avec son père Et vers ses 13 ans, sur l'avis d'une des amies de son père il est allé en pension. Cette amie qui était assez riche avait aussi mis son propre fils, Hervé, âgé à l'époque de 16 ans dans cette même école qui regroupait uniquement des garçons âgés de 11 à 18 ans. Les élèves devaient se prendre totalement en charge après les cours et les éducateurs n'intervenaient qu'en dernier ressort. La soixantaine d'élève était répartis en 5 groupes menés par un préfet. Dans son groupe, le préfet était le chef absolu et il avait droit à des 'appartements' composés d'une chambre et d'une salle d'eau personnelle et il avait à sa disposition un 'valet' qu'il devait sélectionner parmi les élèves dont il avait la charge et qui partageait ses appartements. Les préfets étaient généralement les élèves les plus âgés et les valets ceux de première année ou les nouveaux venus. Le 30 août, le jour de la rentrée pour les nouveaux, mon père m'a déposé avec ma valise au pied du bâtiment principal où j'ai été pris en charge par un préfet qui m'a directement amené dans une salle où se trouvait tous les nouveaux. Les ordres étaient inscrits au tableau :
1 – se taire
2 – étaler le contenu de ses bagages sur le banc devant soi
3 – se mettre au garde-à-vous
Nous étions 8 nouveaux je crois tous des premières années sauf moi. Puis, les préfets sont rentrés et ils ont vérifiés tout ce que les nouveaux avaient étalé sur les bancs. A part les vêtements, ils ont tout confisqué : lecteur cd, jeux vidéo, friandises, mais aussi l'argent de poche. Puis l'un d'eux a pris la parole, c'était Hervé « ceux qui dans leurs vêtements ont apportés des pantalons longs sont priés de me les apporter ». Bien sûr nous avions tous un ou des pantalons longs et moi j'étais le premier à me présenter devant Hervé mes 3 pantalons à la main « Ici, les nouveaux ne peuvent porter que des culottes courtes la première année » et s'adressant à moi il ajouta « alors baisse-moi ce pantalon immédiatement » ce que je fis après quelques moments d'hésitation car j'allais me retrouver en caleçon devant une quinzaine de garçons et une fois mon pantalon entre les mains d'Hervé, un autre préfet me collait un 4 sur la poitrine et le ramenait à mon banc où je devais me remettre au garde-à-vous.
Quand les 7 autres avaient remis leurs culottes longues à Hervé, celui-ci repris la parole : « vous avez tous contrevenus la règle non écrite et vous allez être punis et commencez par vous mettre torse nu pour que nous puissions choisir nos futurs valets» Et prenant en main une sorte de canne en bambou il se dirigea vers le banc le plus près de lui – c'était mon banc ! Les autres préfets l'entouraient. « Viens te présenter aux préfets, petit ! » « Je m'appelle Jeremy, j'ai 13 ans et je rentre en troisième » « Pardon, tu n'as pas oublié quelque chose, recommence » Et je répète « Je m'appelle Jeremy, j'ai 13 ans et je rentre en troisième » « Tu le fais exprès ou quoi ! Recommence ! » Et là je comprends enfin et je répète une troisième fois la phrase en ajoutant « monsieur le préfet ». Enfin ! Rugit Hervé qui continue « tu avais 4 pantalons cela te fera donc 4 coups de cette bonne canne mais à cause de ton impolitesse cela fera 8 coups et une demi-heure de piquet. Baisse ton slip et prends appui avec tes mains sur le banc ». Comme j'hésite à enlever mon slip devant tous ces gars, Hervé commence à s'impatienter et lance « tu en veux encore 8 en plus » Et là, je dois dire que j'étais à poil directement. Je ne bandais pas heureusement et une fois en appui sur le banc Hervé m'a distillé d'abord 4 coups séparés de 10 à 20 secondes d'après moi. En tout cas j'avais le temps de 'digérer' la douleur et mes yeux étaient déjà remplis de larmes. Mais les 4 suivants il les a donné à la volée, l'un après l'autre et si fortement que je me suis écroulé en larme et en hurlant sur le banc. Il ne m'a pas laissé le temps de me reprendre et j'ai dû me mettre nu sur le banc à genoux mains dans la nuque pour que tout le monde puisse admirer mes fesses rouges.
Les 7 autres nouveaux y sont tous passés et de l'endroit où je me trouvais j'ai pu constater que la plupart des préfets prenait du plaisir à voir les nouveaux souffrir et plus d'un passait sa main dans son pantalon pour remettre leurs couilles et bite en place. Et les deux pauvres nouveaux qui se sont mis à bander ont dû se branler devant tout le monde. Une fois que tous les nouveaux se trouvaient nus, les fesses rouges sur leur banc, les préfets ont choisis leur valet personnel. Pour les deux branleurs, les préfets se sont presque disputés et moi, d'entrée de jeu je me suis retrouvé être le valet d'Hervé. Et c'est seulement quand il m'a emmené nu comme tous les autres d'ailleurs vers ses appartements qu'il m'a dit que je lui ai été recommandé par sa mère.
A peine mes affaires reposées il m'a demandé ce dont j'étais capable. Comme je ne comprenais pas sa question il m'a giflé. « Je veux savoir si tu te branles souvent, si tu as de l'expérience avec des gars.» J'ai fait non de la tête et sans mot dire il m'a tiré par ma queue et m'a emmené dans la chambre, m'a foutu à genoux, à baisser son froc et je recevais ma première bite en bouche.
Comme les cours ne commençaient effectivement que le 2 septembre les préfets – en fait surtout les 8 nouveaux – avaient 3 jours pour mettre les classes et les dortoirs en ordre. Et moi, je me retrouvais seul avec Hervé pour mettre notre étage en ordre. Mais dès après ma première pipe, Hervé me remettait 4 feuilles papier ministre avec toutes ses règles, ses instructions, ses punitions que je devais apprendre par cœur pour le lendemain. Mais il n'était que 16 heures ce 30 août ! Alors, Hervé m'a amené nu dans le dortoir où 10 lits étaient alignés avec ordre de faire les poussières et de nettoyer le sol et lorsque j'en aurais fini, je devais me représenter dans ses appartements avant de devoir nettoyer les sanitaires. Et si entre temps il m'appelait, je devais tout abandonner et me présenter au plus vite devant lui. A peine avais-je commencé à dépoussiérer qu'Hervé criait déjà mon nom – enfin pas mon vrai prénom. J'étais son valet et il m'appelait 'valet'. Il avait un besoin urgent à satisfaire. Il m'a fait mettre à genoux devant lui, j'ai dû déboutonner sa braguette, sortir sa queue. Ensuite il m'a obligé d'ouvrir la bouche et à commencer à me pisser dans la gueule. Bien sûr, je me suis directement reculé, j'ai fermé ma bouche et lui continuait à me pisser dessus. Alors, il s'est arrêté de pisser, m'a giflé, a pris sa ceinture qu'il avait déjà préparé sur son lit et il a commencé à me rosser durant dix bonnes minutes. Il me frappait partout : sur le dos, le torse, les bras, les cuisses, les fesses. Et quand il était enfin calmé, il m'a pris par le menton m'obligeant à le regarder au fond des yeux et m'a dit textuellement : « ma mère m'a quasi obligé de te prendre comme valet, alors je veux que tu m'obéisses à partir de maintenant au doigt et à l'œil et tu feras tout – tu as bien entendu – tout ce que je te demande et sans aucune hésitation. D'accord ? » « Oui » que je lui réponds.
Et tout en me tenant par le menton d'une main, il me gifle de l'autre. J'ai compris et je répète « Oui, monsieur le préfet ». « Non, non, tu ne t'en sortiras pas à si bon compte mon cher, ma larve, ma pute ; tu m'appelleras à partir de maintenant 'maître'. Pas seulement dans mes appartements mais aussi dans notre maison et même dans la salle de détente où tous les élèves peuvent se réunir. Et quand tu parleras de moi à tes copains ou aux autres préfets tu diras 'mon maître'. Est-ce clair valet ? » « Oui, maître » « Et tiens le toi pour dit car j'interrogerai tes condisciples et mes confrères et à la moindre incartade tu seras puni lourdement, très lourdement.» Alors seulement il m'a lâché le menton, m'a remis sa bite en bouche et il a continué à me pisser dedans. Puis, j'ai pu lécher toute sa pisse qui était tombée sur le carrelage et ensuite avant de continuer mon nettoyage il m'a mis dans le coin durant une demi-heure avec obligation de lire à haute voix ses quatre pages d'instructions diverses. Et puis, en me renvoyant vers ma corvée il m'a dit : « c'est le premier jour d'une nouvelle vie pour toi. Elle pourra durer un an mais aussi 3 ans, le temps que je termine mes études ici. »
Le premier mois a été terrible. C'était un mois d'apprentissage dans tous les domaines. D'abord les horaires, à 6 heures debout pour préparer les affaires de mon maître, à 6.30 à genoux au pied de son lit en attendant son éveil, à 7 heures, aller réveiller les autres 10 élèves, tout nu évidemment, à 7.30, le petit déjeuner ensuite les cours et pour moi une sorte de respiration jusqu'à 12 heures. Puis, cela recommençait une fois que nous étions dans notre maison pour bouffer.
Déposer mon plateau, me foutre à poil, me mettre à genoux devant les autres aux côtés de mon maître et attendre son bon vouloir pour pouvoir manger. A 13 heures je devais remettre la salle en ordre et me retrouver un quart d'heure plus tard à ses pieds dans ses appartements.
De 14 à 18 heures j'avais à nouveau la paix. Puis j'étais à nouveau sa chose, son souffre-douleur jusqu'au coucher et parfois même la nuit. J'y reviendrai. En ce qui concerne les tenues c'était bien plus simple que dans ses instructions du début. Je devais tout simplement être à poil quand nous étions dans notre maison. Et pour suivre les cours je portais la culotte courte de l'uniforme, la chemise et le pull de l'uniforme ; rien de moins rien de plus. Et les rares fois où je pouvais participer à des activités hors de notre maison je devais mettre un vieux boxer et un vieux t-shirt de mon maître.
En fait, quand je dis à poil, je devrais dire sans poils. Car le deuxième jour que j'étais sous son autorité, il m'a emmené dans la salle d'eau et j'ai dû le rejoindre sous la douche et après m'avoir bien savonné, il a coupé l'eau et muni d'un rasoir à jeter il a commencé à me raser les poils du pubis puis il a passé le rasoir sur ma bite, mes couilles et mon cul et enfin mes aisselles. Et tout le temps que j'ai été sous sa domination j'ai été rasé par ses mains. J'étais en fait son jouet. Quand il était furibard pour l'une ou l'autre raison, il me donnait la fessée durant 10, 20 ou 30 minutes et avec tout ce qui lui tombait sous la main : ceinture, latte, canne, palette de ping-pong et j'en passe. Ceci en sus des fessées qu'il me donnait pour mes manquements comme il aimait à dire. Quand il devait pisser, c'est moi qui recevait sa pisse ; la plupart du temps directement dans ma bouche, mais parfois servi dans un verre en présence de ses copains, très rarement il me pissait dessus et à deux ou trois reprises il m'a pissé dans le cul mais il n'appréciait pas l'odeur. Je me dis maintenant que grâce à cela il ne m'a jamais entraîné dans le scato.
Et puis j'étais son objet sexuel. Au moins quatre fois par jour je recevais son nectar soit en bouche, soit dans le cul mais parfois il parvenait à juter jusqu'à 12 fois par jour. Moi, par contre, je ne pouvais pas juter sans son autorisation et c'était toujours le même scénario : à genoux sur ma table de travail, les mains sur la tête et les yeux fermés. Alors il mettait un gant assez rêche et il me branlait jusqu'à ce que je jute. Il tenait ma queue de telle façon que mon jus atterrisse dans un verre qu'il m'obligeait ensuite de boire après y avoir ajouté selon sa fantaisie, sa pisse, ma pisse ou celle d'un ami, du crachat, le jus d'un autre gars ou le sien. Par contre j'avais, selon mon maître un grand privilège : j'étais le seul à pouvoir nettoyer sa bite après qu'il ai juté. Et comme à ses yeux j'étais un objet et non un mâle j'étais obligé à être présent pendant qu'il couchait, jouait, enculait par un autre gars que ce soit un de ses copains ou un de ses sujets comme il appelait les 10 autres occupants de notre maison. Il me faisait mettre à genoux, mains sur la tête et face au mur, comme pour un piquet et je devais me contenter d'entendre et d'attendre. Et quand ses ébats étaient terminés je devais lui nettoyer son braquemart quelque soit son état. C'est vrai qu'il n'a jamais pratiqué la scato sur moi mais dans le nettoyage de bites j'ai rencontré plus d'une fois de la m....
Et puis il y avait aussi les piquets. Il y avait deux sortes de piquet : le piquet d'après punition qui durait généralement entre un quart d'heure et une heure, au coin à genoux, nu évidemment, les mains sur la tête. Le piquet d'après les jouissances non autorisées – c'était presque toujours parce que j'avais joui pendant qu'il m'enculait. Alors là, il était furieux. Même position que pour le piquet précédent mais en plus il me foutait l'un ou l'autre truc dans le cul – mais très rapidement c'est devenu un gros manche de tournevis, il ligotait mes couilles ensemble avec une corde qu'il fixait à un piton qui se trouvait dans le mur. Ce genre de piquet durait généralement deux heures mais parfois toute une nuit quand j'avais eu le malheur de juter lors d'une partie de jouissance nocturne.
Et puis il y avait l'ambiance générale : je ne pouvais manger qu'après les autres, parfois que les restes, parfois pas du tout. A cette époque je n'ai jamais mangé de dessert, ni de frites, ni de steak ; toutes les bonnes choses m'étaient confisquées. Il arrivait qu'à part d'aller aux cours je restais des semaines entières sans pouvoir quitter la maison et si la première année j'ai pu rentrer chez mon père 6 week-end sur toute l'année scolaire c'est beaucoup. A cette époque, la relation d'Hervé avec sa mère était très mauvaise – elle cherchait à remplacer son père décédé et cela ne lui convenait pas du tout – il trouvait toutes les excuses pour ne pas devoir rentrer chez lui et du coup, moi il m'obligeait à rester avec lui. Les week-ends étaient franchement très durs surtout quand nous étions les seuls à rester à l'exception de son meilleur ami et préfet Félix. Nous devions 'nous débrouiller tout seul' comme disait le directeur. Ces week-ends là, Félix venait loger dans nos appartements ; il occupait ma couche et moi je devais dormir par terre pour autant que je puisse parler de 'dormir'.
Les sessions de punitions étaient longues ; ils me frappaient sur tout le corps avec des concours entre eux pour celui qui faisait la plus trace de coup ou celui qui me faisait crier le plus fortement ; les piquets plus courts car ils voulaient m'utiliser au maximum ; un exemple : dans notre salle d'eau, je devais me mettre à genoux et pendant que mon maître me pissait dans la bouche Félix me pissait dessus. Une fois tous deux satisfaits, je devais laper à quatre pattes la pisse de Félix pendant qu'ils me fouettaient le dos et les fesses. Durant ces week-end là, je ne mangeais que leurs restes et encore bien comme un chien à qui l'on jette sa pitance.
Ici, Axel, relance la conversation « Et tu as tenu le coup un an ? »
« Oui, maître, bien plus d'un an » répond Jeremy qui continue son histoire.
Vers la fin de l'année scolaire 'l'amie de mon père' est devenu la femme de mon père et Hervé et moi on s'est retrouvé 'frères' dans cette famille reconstituée. Hervé en était démoli et il s'est en quelque sorte vengé sur moi. Je suis resté son 'valet' jusqu'à ce qu'il quitte l'école à 19 ans – moi j'en avais 16 ! Ensuite quand après les vacances scolaires il s'est inscrit en faculté, il a convaincu mon père que ce serait mieux que j'aille dans une école située dans la même ville que la faculté où il ira étudié sous prétexte que je ne suis pas un trop bon élève et qu'il a toujours pris soin de me faire répéter mes cours, chose dont j'avais absolument besoin pour obtenir mon bac. Et mon père était convaincu ! J'ai donc dû suivre mon bourreau. Et les règles n'ont pas changées. Uniquement culottes courtes, pas de sous vêtements, être rasé chaque semaine, beaucoup de punitions mais surtout encore plus de sexe.
Et puis quand j'ai eu 18 ans, Hervé a disparu de ma vie. Un jour il s'est amené dans notre appart en me disant qu'il avait trouvé un chouette boulot à l'étranger, qu'il avait vidé son compte bancaire – son père était très fortuné – et il a quitté le pays. Je ne l'ai plus revu depuis ce temps.
Alors ce moment je me sentais en même temps abandonné mais aussi libéré. J'ai commencé à vivre normalement – je devrais dire j'ai essayé. Six mois après je me suis mis en ménage avec une fille. Stupide n'est-ce pas ! J'étais convaincu qu'Hervé était homo mais je me considérais moi-même comme un hétéro. Tout ce que j'avais subi c'était à cause de mon état d'esclave et comme j'étais devenu un homme libre je devenais d'office à mes yeux hétéro. Et ce n'est que ces derniers temps que je me suis rendu compte – 10 ans après – que je suis un homo, que j'ai besoin d'être pris en main, d'être inférieur, d'être battu, de souffrir pour le plaisir de mon maître. Et au départ, je cherchais un maître de mon âge ou plus âgé mais bien vite je me suis rendu compte que dans mon esprit mon maître doit avoir l'âge d'Hervé quand il m'a pris en main, quand il m'a volé ma liberté. C'est suite à cela que j'ai répondu à l'annonce de votre frère. Et maître, je suis très heureux que je pourrai obéir à vos ordres durant ces deux mois d'été.
Avant de s'en retourner à la maison pour régler le compte de Vincent, Axel était tellement excité qu'il a emmené Jeremy dans une impasse bien sombre pour l'enculer vite fait bien fait après l'avoir obligé à se foutre à poil et d'avoir tanné son cul à coups de ceinture. Une fois apaisé, il a renvoyé Jeremy vers sa copine en lui rappelant qu'il peut être appelé à tout moment par son nouveau maître. En chemin, Axel se dit que ce qu'il entreprend avec Vincent ressemble en certains points avec ce que Jeremy et Hervé ont vécu mais la grosse différence à ses yeux c'est que Jeremy était consentant malgré lui. Il devait obéir à la volonté de son père, il ne pouvait pas refuser d'être 'valet', il devait subir Hervé, son maître car se plaindre chez le directeur n'aurait fait qu'aggraver son cas. Tandis qu'Axel lui, il voulait prendre le contrôle sur Vincent, un 'jeune homme libre' et pas spécialement soumis.
Son plan était parfaitement clair dans sa tête et demain matin la mise à mort allait commencer. Il avait pu noter une dizaine de numéros de téléphone en contrôlant le cellulaire de Vincent et il avait déjà préparé un courriel pour les deux adresses qu'il avait pu trouver sur un des site porno fréquenté par son demi-frère et qui semblait être selon le contenu des messages qu'il avait pu lire des commentaires venant d'amis ou de connaissance hors milieu. Et surtout il ne pouvait pas oublier l'adresse e-mail et le numéro de portable de Daniel qu'Alain lui avait fourni.
Une fois à la maison et après avoir pris une bonne douche, Axel s'est couché en pensant aux jours futurs. A 9 heures du mat, il est déjà derrière son ordi. Il relit une dernière fois le courriel qu'il va envoyer aux quelques adresses qu'il a. Le texte est très simple : 'Et ce Vincent ci, le connaissez-vous. Envoyez-moi vos réaction sur mon cellulaire 0123456789' suivi de quelques photos explicites où l'on voit Vincent nu en train de se branler, avec un gode dans le cul et même un petit avi où on le voit bouger derrière son ordi et suivre des instructions d'un autre mec. Axel est satisfait et.......'envoyer'.
Ensuite, sur son GSM il charge une seule photo montrant Vincent se branlant et il l'envoie aux quelques adresses qu'il a. Les dés sont jetés ! Il n'y a plus qu'à attendre les réactions qui arriveront tout naturellement par Vincent.
Alors, le travail accompli, il se rend dans la chambre de son frère pour que celui-ci satisfasse à ses besoins matinaux. Alain dort encore, alors Axel se couche auprès de lui la queue déjà bien raide et avant que son frère ne réagisse il est déjà en lui et après quelques minutes à peine, sous l'excitation que lui a procurée le début de la mise à mort de Vincent, il explose dans le cul de son frère. Il reste en lui un très long moment et serre son frère dans ses bras et lui pose la question qu'il ne fallait pas poser. « Qu'as-tu fait hier soir lorsque j'ai été 'reconduire' Jeremy ? » « Tu ne vas pas te fâcher, hein maître. Oui, je sais j'ai fait une bêtise. Vincent est venu me chercher et nous avons baisé dans sa chambre, maître » répond Alain d'une petite voix. Mais Axel est furibard. Il repousse violemment Alain, l'attrape par le poignet et l'oblige ainsi de le suivre dans sa chambre et le couche brutalement sur son lit. Il se muni de sa ceinture et commence à le rosser. Tout en le frappant sur les fesses pour commencer il l'engueule en lui disant qu'il était puni, qu'il ne pouvait pas prendre son pied avec Vincent, qu'il allait le payer cher. Et Axel continue de frapper. Plus uniquement les fesses mais aussi les mollets et le dos et quand il s'arrête enfin, Alain est en larme, le corps meurtri et strié de traces rouges. Et de lui-même Alain se lève du lit et va se mettre à genoux dans le coin avec les mains sur la tête. Mais Axel n'en a pas fini « O mon ami, tu ne vas pas t'en sortir aussi facilement » et fouillant dans les 'jouets' confisqués à Vincent il en sort un Plug qu'il plante sans dans le cul de son frère, puis lui passe les menottes aux mains qu'il doit garder dans la nuque ensuite il lui fait faire un quart de tour et fait passer une corde autour de sa bite et ses couilles fait un nœud bien serrant passe la corde entre ses jambes et vient la fixer aux menottes, puis avec le pied il l'oblige à se remettre nez au mur. « Tu resteras ainsi le temps que je jugerai nécessaire mais sache qu'il est presque certain que tu resteras ainsi jusqu'à ce soir. Sans manger, sans boire, sans rien. Et en plus je ne veux rien entendre et pour en être sûr.... » Il prend son slip de la veille et le fourre entièrement dans la gueule de son frère.
Puis, il va prendre une douche et descend prendre son petit déjeuner. Dans la cuisine il retrouve Vincent. Celui-ci est encore fâché parce qu'Axel ne lui a pas rendu ses cartes de banque et qu'il a confisqué toutes ses frusques. Il est là dans la cuisine vêtu d'une culotte courte bien trop petite pour lui et d'un t-shirt. Mais apparemment Vincent n'a pas encore été informé par ses amis sur les messages envoyés par Axel. Vincent est le premier à prendre la parole « Ton frère, le pauvre petit Alain, ne vient pas prendre son petit déjeuner. » « Non, il ne descendra pas, ni pour le petit déjeuner, ni pour le déjeuner, ni pour le repas du soir, ni pour se faire niquer par toi. Il est puni et il restera dans ma chambre jusqu'à ce que je lève sa punition » dit calmement Axel en allant s'asseoir, un bol de céréales à la main. « Et puis-je savoir pourquoi il est puni ? » demande Vincent « Il n'avait pas du tout mon autorisation pour se faire baiser par toi. En plus il était puni et ne pouvait pas quitter sa chambre. J'ai aussi décidé d'être plus dur avec lui parce que dans ce nouvel environnement il ne peut pas profiter de plus de liberté. » Et à ce moment précisément, le cellulaire de Vincent sonne « Salut Daniel, déjà debout ? » Répond Vincent à son interlocuteur. Puis, il devient tout blanc. Axel jubile intérieurement ; Vincent quitte précipitamment la cuisine mais Axel entend encore un mensonge qui l'excite aussi «Non, j'ai dû prêter mon ordi à mon père » Axel remonte dans sa chambre, laisse la porte ouverte et dans la demi-heure qui suit Vincent reçoit quand même quelques coups de fil et à ce moment là, il a compris d'où vient le vent et se rue dans la chambre d'Axel qui l'attend de pied ferme.
« C'est toi n'est ce pas qui a envoyé ces courriels et ces mms à mes amis ? » crie Vincent. Et Axel très calmement « Oui, j'avais trouvé quelques photos de toi et je me demandais si tes amis te connaissaient sous cet angle là » « Mais tu es complètement taré ! Tu veux quoi au juste ? Rends-moi mon ordinateur et je t'interdis d'entrer encore en contact avec mes amis. » Rugit Vincent. Et Axel toujours aussi calme « Tu veux m'interdire quelque chose. Regarde ce que j'ai préparé » Et il lui affiche sur l'ordi une page pleine de pics plus osées les une que les autres montrant toujours Vincent nu, en solo avec la bite pointée ou les pinces aux tétons ou un Plug dans le cul ou se faisant couler de la cire de bougie sur le ventre, sur les couilles sur sa bite. « Tu vois Vincent, je n'ai qu'à pousser sur 'envoyer' et cette fois-ci tous tes contacts seront qui tu es réellement. C'est ce que tu veux ? » Vincent est devenu livide, il se sent mal, il s'assoit sur le lit d'Axel « Qu'est ce que tu veux de moi. Tu veux du fric, j'en ai. Je te donnerai 10000 Euro si tu veux et tu peux garder mes cartes de banque » Mais Axel sourit et dit tout simplement « Vincent, c'est toi que je veux » Mais celui-ci n'est pas sur la même longueur d'onde « Tu veux me baiser, c'est ça, hein ? » Et Axel de répondre « Non, je te veux entièrement ! Est-ce que tu comprends ce que je dis grand frère ? » Et Vincent, quasi en larme, fait affirmativement signe de la tête « Ecoute, » poursuit Axel « Je n'aime pas les palabres. Retourne dans ta chambre. Je te donne 15 minutes, pas une de plus, pour que tu viennes te soumettre à moi totalement. Passé ce délai, j'envoie le second courriel et aussi le second texto accompagné d'un mms. Et pour te soumettre à moi, tu apparaîtras complètement nu, tu te mettras à genoux à l'entrée de ma chambre et tu diras 'maître je me remets entièrement entre vos mains jusqu'à ce que bon vous semble. » Et aidant Vincent, qui est complètement effondré, à se relever il ajoute encore « cela te conviendra bien d'après moi.»
Tout ça a franchement fortement excité Axel. Sa queue en bande ferme et comme il a son 'petit frère' sous la main, il lui enlève le slip de la bouche qu'il remplace par sa bite gonflée et se laisse tailler une pipe pour se calmer. Une fois sa bite revenue à la normale et bien nettoyée par son frère il lui remet le slip en place et s'adressant à Alain « pendant que je m'occupais de Vincent, tu n'as pas arrêté de gigoter, je t'ai même surpris à 4 reprises à tourner la tête pour voir ce qui se passait. » Et prenant son oreiller, il en retire la taie et la fout sur la tête de son puni de frère et ajoute « ainsi tu ne seras plus tenté de désobéir et voici l'addition pour tes négligences » et Axel de se munir d'une palette de ping-pong et d'infliger à son frère une trentaine de coups le tout concentré sur une fesse. Alain après tout ce qu'il a déjà enduré, pleure et hurle mais grâce à la chaussette on n'entend quasi rien.
L'heure fatidique pour Vincent est bientôt arrivée mais Axel n'entend rien dans les couloirs. Serait-il assez fou ou ne prend-il pas Axel au sérieux. Il lui reste moins d'une minute pour se présenter et Axel tient réellement le doigt sur la souris au-dessus de 'envoyer'. Plus que 30 secondes et toujours pas de mouvement. Maintenant l'heure limite a sonné. Dans sa tête, Axel compte encore jusqu'à 30 mais Vincent n'apparaît pas et sans remords, Axel s'apprête à envoyer le second courriel quand Vincent apparaît dans l'encadrement de la porte. Il est toujours en short et reste debout. Axel ne réagit pas, il attend. « J'ai quelques questions à te poser » « J'écoute » dit calmement Axel et Vincent de poursuivre « Je suis d'accord pour autant que je puisse encore voir mes amis, que je puisse encore pratiquer mes hobbys, que je puisse m'habiller comme je l'entends, que je.... » Mais Axel l'interrompt sèchement « Je te veux complètement à moi et sans aucune conditions. C'est à prendre ou à laisser mais si tu laisses, je clique et c'est parti. Je te laisse une minute et elle commence maintenant.» Et après une trentaine de secondes, Vincent effondré commence par enlever son t-shirt, ses chaussettes, ses baskets, son short et son slip se met à genoux à l'entrée de la chambre d'Axel et murmure « maître je me remets entièrement entre vos mains jusqu'à ce que bon vous semble. » Axel jubile intérieurement. Il est parvenu rapidement à ses fins. Mais tout cela est peut être une tactique de Vincent pour gagner du temps. Il faut absolument que dans les prochaines heures il ait tous les éléments en main pour que Vincent soit réellement sa chose. Mais il veut d'abord s'occuper d'une certaine symbolique. Il s'approche donc de Vincent et l'oblige à lui baiser et lécher les pieds. Il le laisse dans la position du muezzin se munit de la palette de ping-pong et avant de lui porter la première claque lui dit « tu m'as franchement fait chier tes exigences et pour ta punition tu vas recevoir 50 coups de palette et tu es prier de compter les coups » Et Vincent de répondre « Oui, maître »
Dès le début, Axel frappe fort, très fort et au bout de la 10ème claque Vincent pleure déjà mais plus par désespoir que par la douleur mais après la 20ème il hurle, crie et pleure maintenant à chaudes larmes. Il transpire aussi fortement et quand après la dernière claque il peut se redresser pour aller prendre position aux côtés d'Alain pour son piquet, Axel constate avec étonnement mais surtout avec plaisir que son tout prochain esclave bande sous la douleur.
Et pendant le piquet, Axel interroge Vincent pour connaître tous les codes d'accès dont il a besoin pour le coincer complètement : Face book, adresses e-mail 'officielles', cartes de banque et de crédit. Vincent ne semble pas coopératif et malgré qu'il soit tout nu, le cul bien rouge, à genoux, les mains sur la tête et le nez au mur, il se rebelle une nouvelle fois « je veux bien être à toi mais j'ai quand même droit à une certaine vie privée, une certaine intimité et tu n'as donc pas le droit.... » Mais Axel s'est déjà approché de lui sa ceinture à la main et tout en le frappant sur le dos, sur les fesses et le haut des cuisses il hurle « mais tu n'as plus aucun droit, tu n'as plus d'intimité, tu n'as plus de vie privée. Tu as remis ta vie entre mes mains, tu m'appartiens à 200 % à partir de maintenant. » Puis, un peu calmé, il se dirige vers son bureau et en sort un appareil photo digital, s'approche de Vincent lui ordonne de lui faire face, lui demande de baisser son froc et lui fout sa queue en bouche et commence à faire des photos. Puis quand il en a suffisamment, il l'emmène dans la salle d'eau, le fait mettre à quatre pattes devant le grand miroir et l'encule sans ménagement et cette fois il utilise le flash (note du narrateur afin que le visage d'Axel n'apparaisse pas sur les pics) pour prendre une dizaine de pics. Ensuite il le ramène dans sa chambre et le remet au piquet. « Alors, maintenant tu me donnes les codes ou dans exactement 3 minutes j'envoies les pics à tous tes contacts. Cette fois tu ne seras plus vu en solo mais en enculé et bon suceur de bites. » Mais Axel ne devra pas envoyer les courriels et il obtient les codes demandés. Ils sont exactes car Axel découvre la page face book de Vincent qui ne compte que 15 'amis', tous des gars et sur son adresse e-mail Axel retrouve les mêmes contacts plus des contacts familiaux. « Tu n'es franchement pas très populaire ! 15 contacts » Alors sans mot dire, Axel copie sur face book les pics de son deuxième courriel non envoyé et ajoute
Que ceux qui veulent jouer avec moi, prennent contact avec mon maître et une fois tout placé et avant de quitter face book, il change le mot de passe afin que Vincent n'ait plus accès à sa propre page....
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