Lundi 19 janvier 1 19 /01 /Jan 16:48
Le temps me semblait ne pas vouloir s'écouler. Par bonheur le matelas était confortable et même si ma position commençait à devenir pénible, c'était quand même plus supportable que de me retrouver allongé sur le sol.

Le claquement sec de la porte me fit immédiatement comprendre que N...y  était revenue dans la pièce. Les yeux bandés je ne pouvais voir si elle était seule ou si une autre inconnue était aussi présente.

L'agréable parfum me fit penser que N...y était cette fois seule dans la chambre. Je sentis ses mains s'approcher de mes chevilles et défaire lentement les liens qui m'immobilisaient.
Quelques minutes plus tard, je pus enfin détendre mes jambes qui s'étaient légèrement engourdies. Comprenant que mes mouvements étaient destinés à faire partir les fourmillements, N...y entrepris de me masser énergiquement cuisses, mollets et chevilles.
Le contact de ses mains était très agréable et je priais dans ma tête que cet intermède se poursuive le plus longtemps possible.
Jugeant qu'il était temps de passer à autre chose, l'agréable massage prit fin et N...y  me fit redresser le buste pour m'asseoir au bord du lit. Elle me fit écarter les jambes en me faisant comprendre que je devais rester assis sur le bord du lit et attendre patiemment la suite des évènements. Mon sexe rasé  ainsi exposé me procurait une sensation totalement inconnue. Un air frais semblait passer entre mes cuisses. Cette sensation de fraîcheur n'était pas désagréable au demeurant.

N...y  commençât à défaire les liens qui emprisonnaient mes poignets sur ma poitrine.Une fois libéré elle me laissa libre de tout mouvement, certainement pour voir ma réaction. Au bout de quelques minutes, machinalement je portais l'une de mes mains à mon sexe.
Immédiatement une claque sur le visage me ramena à la raison, je fus repoussé en arrière sur le lit et N...y  me retourna sur le ventre. Elle me replia sans ménagement les bras dans le dos, passant rapidement le rouleau de scotch autour de mes avant bras. Une dizaine de tours et elle m'immobilisa à nouveau, les bras bien remontés dans le milieu du dos.
Presque immédiatement une cinglante fessée me fut administrée. Frappant alternativement la partie la plus charnue de mes fesses, N...y avait entrepris de me faire payer ma désinvolture.

Cette fessée n'en finissait plus. Les fesses en feu je sentis soudain que je n'allait plus pouvoir rester en place sans bouger. J'allais craquer et devoir me redresser pour essayer de fuir cette punition qui me brûlait de plus en plus "l'arrière train". N...y  du le comprendre car elle s'installa à califourchon sur mon dos afin de continuer sa punition pendant un trop long moment...........

La fessée avait maintenant cessé, me laissant croire à une fin définitive. N....y se remis debout et me laissa ainsi, affalé sur le lit, les fesses exposées à bonne hauteur et à bonne température. Les bras bloqués dans le dos, il m'était difficile de bouger et je préférais rester en place pour ne pas provoquer un nouveau déluge.
Mes pieds reposaient sur le sol lorsque N....y  passa sous mon ventre un énorme coussin. Elle me prit le sexe et tira sans ménagement vers le haut afin que je me redresse. Sans quelle ait eu besoin de parler, j'avais immédiatement compris le message et faisait en sorte de libérer le passage sous mon ventre.N...y passa rapidement sous mon ventre un énorme coussin. Elle tira à nouveau mon sexe vers le haut. Un deuxième coussin fut aussitôt placé sous mon ventre et lorsqu'elle jugea que la hauteur était bonne elle relâcha sa prise pour que je puisses à nouveau m'allonger sur le lit.

J'étais maintenant à plat ventre sur le lit, les fesses relevées, bien plus hautes que mes épaules. Je me demandais pour quelles raisons N...y avait décidé de me positionner ainsi. Je n'allais pas tarder à le découvrir.
Pour m'enlever toute idée de mouvement, N...y me replaça la barre d'écartement aux chevilles et quelques instants plus tard j'étais de nouveau contraint à exhiber la partie la plus secrète de mon anatomie. je compris également que mes chevilles avaient été reliées au pieds du lit, et ceci afin d'empêcher toute tentative pour relever ou bouger les jambes.

Dans cette position relativement confortable je percevais des préparatifs qui faisaient monter mon angoisse. Que me réservaient les bruits qui me parvenaient aux oreilles.

Je bruit caractéristique d'une allumette et du souffre qui s'enflamme fit monter un peu plus mon taux d'adrénaline. Je compris soudain qu'elle venait d'allumer une bougie. Un nouveau supplice allait commencer.

Une à une, les gouttes de cire chaude tombait sur mes fesses me provoquant à chaque impact une vive douleur passagère.




La bougie devait être de grosse taille car le rythme des gouttes tombant sur ma peau devenait de plus en plus rapide et au bout d'une bonne dizaine de minutes, mes fesses devaient être complètement recouvertes de cire.
Je commençais à m' habituer  à la chaleur, lorsque N...y   décida de s'aventurer vers une région à la peau plus tendre.
Les premières gouttes qui atterrirent entre mes fesses et sur mon anus me firent sursauter de surprise mais aussi de douleur.
N...y,  bien décidée à continuer son oeuvre, ne prêta absolument pas cas à mes soubresauts. La cire coulait de plus belle entre mes fesses et peu à peu même la peau de mes testicules fut recouverte. Une culotte de cire cachait maintenant ma nudité. La bougie devait être intégralement fondue car le rythme des impacts venait de ralentir puis pour mon plus grand soulagement, prît fin.

Une voie à la fois douce et ferme me dit:
- Il va falloir maintenant nettoyer tout cela.
Je sentis le premier coup de baguette sur la croûte de cire. Sous l'impact, la cire se craquelait avec un bruit mat et me dénudait au fur et à mesure que N...y  me fouettait sans violence les fesses. Après une bonne vingtaine de coup de baguettes, je sentis les mains de N...y   s'insinuer entre mes jambes et par gestes vifs et précis elle commença à arracher sur ma peau les restes de cire. Une fois complètement débarrassé de cette couverture douloureuse, elle entreprit de caresser comme si elle voulait me récompenser d'avoir endurer sans bouger cette terrible épreuve.

D'une main experte elle prit mon sexe, le tira vers l'arrière et comme ma position facilitait grandement l'exposition et le passage, elle commença à me traire comme le font les femmes d'éleveurs avec le pis des vaches, par coups de poignets vigoureux et endurants.
Elle accélérait son rythme pour en finir au plus tôt. Je ne voulait pas lutter et bien vite je sentis monter en moi un flot que je ne put retenir.
Elle continuait de me traire comme pour me vider complètement et c'est seulement lorsque mon sexe se recroquevilla définitivement qu'elle stoppa ses "vas et  viens",devenus réellement insupportables.

Aprés quelques minutes de repos et je sentis une pression nouvelle contre mon anus. N...y  était entrain de passer son doigt qu'elle avait enduit d'une substance que je devinais être un lubrifiant quelconque. Du bout du doigt elle jouait avec mon anus et lorsque celui ci se détendit un peu, elle en profita pour forcer le passage et introduire en seulement cinq poussées ( le lubrifiant faisant son effet) un plug plus gros que le premier auquel j'avais eu droit en début de journée.

Sans me faire réellement mal, ni me blesser, je devais bien reconnaître que j'avais du mal à le supporter et mes sphincters faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour essayer d'expulser ce squatter indésirable. N...y s'en aperçu bien vite car je sentis très vite que plusieurs tours de rouleau de scotch dans la raie des fesses et autour de mes hanches empêcheraient désormais le plug de ressortir. Je devais donc accepter en moi cet encombrant "locataire". Une fois bien en place et certaine que je ne pourrais me défaire de ce pal inquisiteur, N....y entrepris de réactiver mon érection.
Vidé il y a seulement quelques minutes, elle eu du mal à obtenir une érection digne de ce nom.
Mais pas un seul instant décidée à abandonner, elle s'enduit les mains de lubrifiant pour pratiquer avec la constance d'une marathonienne, une masturbation à deux mains alternées qui, même si mon sexe avait tendance à vouloir cesser le combat, réussit au bout de quelques minutes à me faire éjaculer faiblement une deuxième fois.
Pour me punir de cette érection bien "pâlichonne" elle décida que le tarif serait de 30 coups sur les fesses. Abandonnant pour une fois la paume de la main, je reçus ses 30 claques par l'intermédiaire d'un objet que je devinais être une raquette de ping pong ou une planche à découper. Le bruit mat du bois sur mes fesses claquait et contrastait avec la douceur feutrée du bruit de la main de N....y.

J'avais du mal à ne pas sauter à chaque coup tant cette punition me devenait insupportable. Je me mis à crier pour exprimer ma douleur, mais le bâillon bien en place retenait mes décibels et ce n'est qu'un bredouillement inaudible qui se fit entendre. Vaincu je m'allongeais de tout mon poids sur le lit, faisant par là même comprendre à N...y que j'abdiquais et cessais la résistance. Il me semble même que fourbu jusqu'au plus profond de moi, je sombrais dans un sommeil profond, comme doivent en connaître ceux dont l'effort à poussé la résistance dans ses derniers retranchements.

Je fus à nouveau réveillé par une main qui entrepris de me masturber une troisième fois. Vidé dans tous les sens du terme N...y du s'employer de longues minutes pour réactiver une érection capable d'engendrer une nouvelle éjaculation.
De l'autre main, elle arrachait le scotch qui remplissait mes fesses. Une fois libre de mouvement le plug trouva naturellement sa place dans la paume de sa main. En même temps j'étais "branlé par devant et par derrière. Pour augmenter la cadence, N...y remis du lubrifiant à la fois sur le plug, mais aussi dans sa main. Elle repris avec l'énergie des maîtresses femmes, son travail de sape et je dus m'avouer vaincu au bout de longues minutes de souffrance. Mon éjaculation devait être ridicule car je sentis à peine sortir de moi quelques gouttes de jouissance savamment extirpées.
Pendant de longues minutes je restais l'esprit ailleurs, vidé, vaincu, fourbu, alors même que je n'avais pas fait l'ombre d'un mouvement depuis le début de la journée.
Le plug me fut retiré et je sentis mon anus se refermer et mes sphincters se contracter naturellement.

J'avais mérité un nouveau repos, N....y me libéra les jambes et m'allongea sur le lit en me faisant comprendre qu'il était maintenant temps de faire une sieste. Les bras liés derrière le dos je me mis sur le coté et ne tardais pas à sombrer dans les bras de Morphée.






Par gigipanpan
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