Cela faisait presque deux semaines que N...y ne m'avais pas rappelé. Lorsqu'un vendredi soir, vers 22 heures, le téléphone sonna avec insistance, je sus tout de suite qui était de l'autre côté du
combiné. Je décrochais et sans attendre de savoir si j'étais le bon interlocuteur, la voix ferme mais chaleureuse de N...y me délivra en une seule tirade ininterrompue le message suivant:
- Je vous attends demain à dix heures précise à l'adresse que vous connaissez déjà. Vous devrez apporter avec vous, vos chaussures de ski ainsi qu'une paire de gants de boxe. Allez acheter un
grand rouleau de film plastic étirable, nous en aurons besoin. Ne soyer pas en retard.
J'espère que votre femme a apprécié de se retrouver dans le lit avec un homme aussi poilu qu'un nouveau né.
Le message venait de prendre fin sur cette phrase humoristique. N....y ne pouvait ignorer qu'il m'avait fallu trouver une excuse des plus difficile à croire, pour justifier mon rasage intime. Je ne
sais pas si l'idée de prétexter un nouveau concept de raffermissement de la peau avait été cru, mais tant pis, c'est la seule idée qui m'étais venu à l'esprit.
Samedi, 10 heures précise, j étais devant l'appartement qui quelques jours auparavant m'avais fait découvrir à la fois l'enfer et le paradis.
Même porte ouverte. Je pénétrais dans la pièce de "rendez vous". La lettre était bien là, posée comme la dernière fois, bien en évidence, pour éviter toute perte de temps.
Je déposais à coté de la table le sac que j'avais apporté et qui contenais mes chaussures de ski, le rouleau de film étirable et les gants de boxe que j'avais du aller acheter dans un magasin
spécialisé. Magasin ou j'avais eu beaucoup de mal à justifier mon intention d'achat à un vendeur incrédule.
L'enveloppe n'étais pas cachetée. J'en extirpais son contenu qui se limitais à ces quelques et simples lignes:
- Ôtez vos vêtement à l'exception de vos chaussettes et chaussures. Mettez les lunettes de soleil qui se trouvent sur le fauteuil.
Passez (bras dans le dos) la paire de menottes qui sont elles aussi posées sur le fauteuil. Asseyez vous et attendez.....
Bien décidé à respecter à la lettre les consignes dictées, je me déshabillais entièrement, enfilais sur mon nez la paire de lunettes d'alpiniste aux verres aussi fumés que le plus carbonisé des
saumons de Norvège.
La protection solaire en cuir sur le coté empêchait un regard périphérique. Les verres étaient tellement sombres qu'il m'étais très difficile de voir distinctement dans cet environnement peu
éclairé.
Je récupérais la paire de menottes et après avoir passé mes mains dans le dos,les refermais sur mes poignets, comme me l'avais demandé N...y.
A tâtons, je pris place dans le fauteuil, ne sachant si je devais croiser les jambes pour cacher ma nudité ou bien adopter une position plus classique et conforme à celle d'une personne normalement
vêtue. Je restais finalement les jambes serrées, mais non croisées.
Les minutes d'attente semblaient durer une éternité, lorsque j'entendis des bruits de talons dans le couloir. La porte de la pièce venait de se refermer aussi vite qu'elle s'était ouverte.
Sans un mot, la personne que je devinais être N...y me prit sous le bras pour me faire lever et une fois debout me mis sur les épaules un lourd vêtement que j'identifiais comme un imperméable ou un
grand manteau. C'est vrai que nous étions en hiver et qu'un tel vêtement n'avait rien d'anormal en cette saison.
Un à un les boutons se refermaient sur moi et je fus bientôt complètement enfermé dans cet imposant et lourd "par-dessus". Je sentis aux contacts du tissu sur mes mollets, qu'il descendait presque
sur mes chevilles. Les lunettes m'empêchaient de voir et je compris tout à coup que N...y allait me faire sortir dans cette tenue qui pourrait facilement me faire passer pour un mal voyant.
Me tirant par la manche vide du manteau, elle m'entraînât vers la sortie. Une fois dans la rue je dus suivre son pas alerte. Collée à moi comme un assistant, elle me guidait sur le trottoir et
qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque me fit pénétrer dans la petite supérette ou quelques jours plus tôt j'avais cru mourir de honte.
Là je du la suivre à travers les rayons, n'arrivant même pas à distinguer la teneur de ses achats.
Nous repassâmes devant (il me semblait) la même caissière qui paru ne pas me reconnaître, mais au moment de sortir du magasin, une personne que j'identifiais à la voix comme la directrice du
magasin nous fit face. Saluant avec beaucoup de chaleur mon accompagnatrice, je venais de comprendre que j'étais tombé l'autre jour dans un véritable traquenard.
- Ton esclave est de retour ? J'espère que tu vas bien le punir aujourd'hui. Cette phrase confirmait à elle seule mes doutes.
Après quelques minutes de marche, l'entrée d'un parking me fit comprendre que nous allions voyager en voiture.
Effectivement, N...y me fit asseoir à l'arrière du véhicule dont les glaces fumées rendaient mon observation difficile.
Au bout de quelques minutes, N...y me demanda de m'allonger complètement sur la banquette et de conserver cette position jusqu'à l'arrêt complet du véhicule.
La succession d'arrêts, de redémarrages, de virages m'avaient perdre toute notion de temps et de lieu.
Lorsque le véhicule s'immobilisa, N...y me fit sortir du véhicule et m'intima l'ordre de fermer les yeux jusqu'à nouvel ordre. Elle remplaça bien vite la paire de lunettes par une cagoule de cuir
qui me recouvrait entièrement le visage. Les seuls orifices dégagés étaient ceux de la bouche et du nez. Un minimum indispensable pour pouvoir respirer correctement.
Elle serra la cagoule par l'arrière et je compris quelle venait de nouer le lacet qui en réglait la tension.
Une fois cette mise en place effectuée, N...y s'attaqua à mes chaussures et je dus forcer sur mes talons pour enfiler à sa demande mes énormes chaussures de ski. Je ne comprenais absolument pas ou
elle voulait en venir et à quoi allait servir une telle tenue. Nous n'étions pas au sport d'hiver, ni à la montagne !!!!
Elle referma chaque crochet pour être bien sure que je pourrais les enlever et je l'entendis fouiller dans mon sac pour en sortir autre chose.
Lorsque je sentis le contact du cuir sur le bout de mes doigts, j'identifiais immédiatement les gants de boxe. Je dus ouvrir les mains et faciliter le passage pour la mise en place.
N...y faisait maintenant des tours de lacets autour du cuir après avoir prit la peine de bien serrer les gants. J'éprouvais une drôle de sensation à chaque extrémité:
- Aux pieds, prisonniers de lourdes chaussures qui à n'en pas douter m'empêcheraient de marcher normalement.
- Aux mains, des gants qui m'interdisaient de tenir en main quoi que ce soit.
Lorsque N...y se mit à défaire les boutons du manteau, il ne fallu que quelques secondes pour que je me retrouve entièrement nu, saisi par la fraîcheur de la température extérieure.
Ma dernière extrémité libre, venait de se recroqueviller comme un Bernard l'ermite qui cherche à se protéger. Le froid faisait son oeuvre et mon sexe devait ressembler à celui d'un puceau de dix
ans. je ne cherchais même pas à me protéger ni me cacher à l'aide de mes mains. Je savais bien que N...y connaissait maintenant le moindre recoin de mon corps et de mon intimité, alors à quoi bon
chercher à lui dissimuler ma nudité ?
Je dus suivre péniblement N...y qui me fit marcher devant elle en me tenant par la taille. Au bout de quelques dizaines de mètres, à vue de nez, elle commença à me faire tourner sur place comme
pour me faire perdre le sens de l'orientation. Quelle drôle d'idée puisque je ne savait absolument pas ou me je me trouvais.
J'entendis des pas s'éloigner et quelques secondes plus tard, le bruit du moteur de la voiture me fit monter une violente bouffée d'angoisse. Je suais déjà à grosses gouttes réalisant soudain que
je me retrouvait tout nu en pleine nature sans savoir ce qui m'entourait, dans l'incapacité de voir, dans l'incapacité d'enlever cette cagoule et encore moins les chaussures de ski qui entravaient
ma marche.
Pour me guider et me protéger, j'en serais réduit à marcher en avancant les bras comme le fait un véritable aveugle ou bien je devais choisir de rester sur place en attendant la délivrance: de qui
? par qui et quand ? ...... impossible à savoir.
Pourquoi donc N...y m'avait-elle conduit ici et pourquoi était elle partie en me laissant seul à la merci du moindre danger, de la moindre chute ou accident. Je n'allais pas tarder à en avoir la
réponse.
Tentant stupidement d'avancer vers je ne sais ou vers je ne sais quoi je sentis que je pénétrais dans un champ dont les herbes hautes commençaient à me gratter les jambes et bientôt jusqu'à la
hauteur des fesses. J'avais du mal à identifier la nature de ces herbes. ne pouvant rester planté là, j'essayais tant bien que mal d'avancer en me protégeant de mes mains. Un cailloux me fit
trébucher et je me retrouvais à terre. heureusement je pouvais me protéger avec les bras et les mains, même si les gants de boxe m'empêchaient de saisir ou identifier quoi que ce soit.
Les brulures que je ressentis une fois à terre, faillirent m'arracher un cri de douleur et seule la peur d'alerter du monde me fit taire. Les picotements de venaient de plus en plus douloureux. Mes
jambes mes fesses, mon dos, mon ventre mais aussi mon sexe avaient été mis en contact avec ce drôle de feuillage.
Quel idiot j'étais....
Il m'avait fallu tout ce temps pour identifier mon nouvel agresseur. je me trouvais au beau milieu d'un champs d'orties et il me fallait vite en trouver la sortie sous peine de terribles brûlure.
Mais par ou me diriger pour sortir de cet enfer. Pour me protéger d'un arbre ou d'un autre obstacle, j'étais forcé de marcher en tenant les mains à hauteur de mes épaules et donc chaque fois que
mes jambes rencontraient de nouvelles branches d'orties mon sexe était immédiatement pris pour cible et la répétitions de ces contacts urticants me donnaient une furieuse envie de me gratter, mais
avec ces maudits gants cela m'était totalement impossible.
Obligé de marcher les jambes écartées, quelques hautes branches d'orties se collaient entre mes cuisses brûlantes et ruisselantes de sueur. Chaque piqûre sur la peau de mes testicules devenait de
plus en plus difficile à supporter, et lorsque j'essayais de me retourner pour chercher un autre chemin, c'était mes fesses qui se faisaient attaquer par le venin des orties.
Des chevilles aux hanches j'avais l'impression d'être littéralement trempé dans un bain d'orties et les clauques devaient recouvrir la totalité de la surface ainsi exposée.
Il me fallu prendre mon courage à deux mains pour commencer à courir dans le noir, pour essayer d'échapper à ce terrible piège. J'en fus heureusement récompensé lorsque je sentis sous mes pieds un
sol bien moins meuble et rocailleux. Le bruit de gravier me fit penser que je devais me trouver sur un chemin.
Pour atténuer la douleur des brûlures j'entrepris de me masses les fesses, les jambes et le sexe avec les gants, mais je ne réussi qu'à accentuer la douleur.
Je réalisais à nouveau que j'étais certainement sur un chemin de randonnée et qu'à tout moment je pouvais être découvert dans cette tenue. Je ne survivrais pas à la honte d'être délivré par des
inconnus et je réfléchissait à toute vitesse à l'attitude qu'il me fallait adopter pour tenter de trouver une parade.
Je comptais dans ma tête la largeur du chemin et décidais de m'en éloigner d'une bonne trentaine de pas. Je prenais la décision de m'asseoir et d'attendre. Heureusement j'avais par hasard trouvé un
coin d'herbe ou je pus poser mes fesses en feu pour attendre que la douleur se calme un peu.
Il m'étais absolument impossible de savoir si du chemin ou pouvait ou non m'apercevoir. Je me dit cependant que N...y ne pouvait m'abandonner ainsi et que de toute manière elle saurait me retrouver
tôt ou tard. Il me suffisait de prendre mon mal en patience. Mais comme nous étions venus ici en début de matinée, mon supplice pouvait durer jusqu'au soir et cela selon le bon vouloir de
N...y.
Le soleil chauffait maintenant un peu ma peau et le froid ressentis à la sortie de la voiture était maintenant un vieux souvenir. Il devait être environ midi selon mes calculs. J'essayais en vain
de me délivrer de ma cagoule ou de faire glisser les gants mais au bouts d'une bonne heure je dus me rendre à l'évidence, il me serait impossible d'enlever quoi que ce soit de mes entraves.
Je commençais à trouver le temps long assis sur ce petit coussin d'herbe, lorsqu'un bruit reconnaissable entre mille me parvint aux oreilles. Un puis deux puis trois bruits différents de moteurs de
voitures. J'entendis les véhicules stopper à proximité, à une distance que j'évaluais à quelques centaines de mètres. Des portières claquèrent et des cris et rires d'enfants me firent immédiatement
comprendre que trois familles avaient décidé de venir se promener dans ce coin.
Une nouvelle montée d'adrénaline me mit à nouveau en sueur et j'étais au bord des larmes, affolé à l'avance d'être ainsi découvert, nu, "encagoulé", les mains et les pieds enfermés dans des
ustensiles inappropriés et couvert de cloques. Partagé à l'idée d'abréger mon calvaire mais synonyme de devoir appeler à l'aide et devoir affronter le regard d'inconnus et leur jugement.
Je pris le parti de ne pas appeler et pour ne pas être découvert je décidais de m'allonger à plat ventre sur le sol pour ne pas me faire remarquer. Plaqué au sol du mieux possible je ne pouvais
savoir si quelque feuillage ou arbuste me cachait ou non et si l'on pouvait ou non m'apercevoir du chemin.
Les rires et les bruits de pas se rapprochaient et je priais de tout mon être pour que ces randonneurs passent leur chemin sans me voir.
Les bruits semblaient peu à peu s'éloigner lorsque je sentis des feuillages bouger autour de moi. Mais aucune voix ne trahissait une présence humaine. Je restais tapis sur le sol essayant
d'identifier ces bruits inconnus.
Je ne pus retenir un cri de frayeur et de surprise lorsque je sentis quelque chose de froid et d'humide me fouiller la raie des fesses et y chercher je ne sait quoi.
Allongé sur le sol, j'avais sans m'en rendre compte laissé mes jambes complètement écartées et l'intrus avait immédiatement choisi d'explorer mon entre jambes. C'était un chien qui avait décidé de
venir me renifler les fesses.
Avec mes mains j'essayais tant bien que mal d'en évaluer la grosseur, mais certainement aussi effrayé que moi, il choisit de ne pas insister. Lorsque son maître se décida à l'appeler je compris que
le plus difficile était passé, les enfants n'avaient pas décidé de s'aventure hors du chemin, le chien avait décidé de retrouver son maître et le bruit des randonneurs devenait maintenant
inaudible.
Le silence pesant et angoissant reprenait le dessus. Les brûlures commençaient à être moins douloureuses et pour me décontracter je m'allongeais sur le dos les bras le long du corps, espérant
et attendant le retour de N...y.
Le temps passait et toujours rien, je recommençais à m'angoisser et je me mis à envisager l'hypothèse que N...y ne revienne pas. Que faire ? Il devait être selon mon estimation maintenant
presque cinq ou six heures du soir et la nuit n'allait pas tarder à tomber. Je n'imaginais pas un seul instant devoir passer la nuit nu dans cet endroit ou je ne pouvais me déplacer sans
risque.
Pour me dégourdir un peu les jambes, je me mis debout et j'entrepris de me masser un peu le corps pour essayer de faire partir les derniers restes de piqûres.
Le bruit déjà entendu d'un moteur de voiture me procura un immense sentiment de délivrance. A n'en pas douter c'était N...y qui revenait me délivrer. Pour qu'elle puisse me voir, je pris la
décision de retourner vers le chemin et au bout de quelques pas hésitants, je reconnus le bruissement des graviers. J'attendis patiemment que l'on vienne à ma rencontre.
C'est bien N...y qui me prit par le bras et me guida jusqu'à son véhicule. Elle m'enleva les chaussures de ski et remis en place mes chaussures de ville. Je pensait qu'elle allait me libérer de mes
autres entraves, mais à ma grande surprise elle m'éloigna de la voiture et je dus marcher avec elle pendant plusieurs minutes pour qu'elle décide enfin de s'arrêter.
Je fus plaqué sans ménagement contre un corps dur et lisse qui était très certainement un arbre.
N...y m'intimas l'ordre de lever les bras en l'air et de ne plus bouger. Je n'avais aucune intention de ne pas obéir de peur d'augmenter le degré de punition, je levais les bras au dessus de ma
tête et j attendais sans dire un mot la suite des évènements.
Je sentis la pression du film plastic sur mon ventre et N...y devait tourner autour de cet arbre car à intervalles réguliers, un tour de plastic me plaquait et m'immobilisait contre l'arbre. N...y
avait décidé de recouvrir mon corps du dessous des épaules au ventre. Un nombre incroyable de tour de film plastic me transforma bien vite en une momie transparente. Mais ne pouvant voir mon état,
je ne pouvais que le deviner.
Mes bras furent tirés en arrière et faisant presque le tour de l'arbre, N...y m'attacha mes poignets à l'aide d'une corde. Une fois bien attaché, elle ôta les gants pour libérer mes mains et elle
repris le rouleau de film étirable pour me solidariser les mains entre elles. Le rouleau passait autour de mes poignets et de mes mains. Bientôt le contact du cuir fit place à la froideur du
plastic. Il m'était impossible de bouger mes mains qui étaient maintenant collées les unes aux autres. Certaine de son travail elle retira la corde de mes poignets. je n'étais plus retenu que par
la force incroyable de ce film étirable.
N...y écarta mes jambes et une fois qu'elle jugea avoir défini le bon écartement, elle commença ses tours de films au niveau de mes mollets. Une bonne vingtaine de tours et je me retrouvais
littéralement soudé à l'arbre.
Curieusement, elle avait décidé de ne pas me recouvrir de plastic de la taille aux genoux. Le pubis encore rasé de frais (les poils n'avaient pas encore eu le temps de repousser ) et le sexe ainsi
exposé un courant d'air me passait sur cette partie du corps et au moment ou je m'y attendais le moins, ne sachant pour quelle raison logique, je fus prit d'une érection incontrôlable.
N...y du s'en apercevoir instantanément et à ma plus grande surprise et ma plus grande joie, elle commença à me masturber à toute vitesse pour me faire jouir le plus vie possible. ce que je pensais
être une sorte de récompense tourna vite à la catastrophe lorsque ne pouvant me retenir je me mis à jouir dans ces mains.
Sans un mot ses mains quittèrent ma verge maintenant dégonflée et l'une de ses mains me pinça le nez jusqu'à ce que j'ouvre la bouche pour respirer. Elle en profita pour introduire les doigts de
son autre main dans ma bouche.
-Lèche me dit-elle, d'un ton qui ne souffrait aucune discussion. Reprends ce que tu as osé déposer sur ma main.
Je fus contraint de m'exécuter et pour la première fois de ma vie je goûtais ma propre semence. Je ne pouvais faire autrement que de sucer ses doigts et avaler sans broncher ce liquide au goût
nouveau et légèrement écoeurant, qui collait sur sa peau. Elle mit sur ma bouche la paume de sa main et je dus avec la langue récupérer l'intégralité de ma jouissance. Il m'était difficile de lui
montrer que j'avais beaucoup de mal à avaler ma propre semence. J'étais certain de m'attirer les foudres si je montrais à une femme que j'avais du mal à faire ce des millions d'hommes leur
imposent.
Une fois aussi mon repas du soir avalé, N...y me fit comprendre par des mots simples mais sans ambiguïté que j'allais devoir passer la nuit ici et que si j'étais bien sage je serais délivré en tout
début de matinée.
J'entendis le bruit d'un sac que l'on ouvre et au bout de quelques instants N...y passa derrière moi pour m'ôter la cagoule qui m'emprisonnait depuis la matinée. En même temps qu'elle la passait
par devant elle mit l'une de ses mains sur mes yeux pour m'empêcher de voir quoi que ce soit. de l'autre main elle commença à enrouler autour de ma tête t devant les yeux, un rouleau de papier
hygiénique. Elle fit plusieurs tours et me dit.
- Finira bien par tomber tout seul au bout de quelques temps et tu auras tout ton temps pour contempler la beauté du paysage.
Elle finit ses tours de papier en passant le bout coupé entre mes cheveux et le bandeau ainsi formé. Elle vérifia qu'il restait bien en place et avant de partir elle passa entre mes jambes
une petite cordelette qu'elle
entoura au dessus de ma verge et sous la peau de mes testicules. Elle fit plusieurs tours pour être sure que la corde resterait bien en place et lorsqu'elle relâcha sa pression aprés l'avoir nouée,
je sentis un poids tirer mon sexe vers le bas. en guise de nouvelle vérification elle prit la corde dans ses mains et lui fit faire un mouvement de balancier.
Plus aucun doute quelque chose pendait bien au bout de cette corde. Mais pour le moment il m'était imposible de savoir quoi.
J'entendis les pas s'éloigner sans un mot, ni un au revoir. Le moteur de la voiture fut le dernier son important qui me parvint aux oreilles.
Je me retrouvais à nouveau attaché, complètement nu, livré à je ne sais quel tourment. Il allait me falloir réagir si je ne voulais pas être obligé de passer la nuit dans cette position.
Je décidais de commencer par essayer me libérer des rouleaux de papiers qui m'obstruaient la vue. Pour cela il me suffisait de frotter ma tête contre l'arbre. Mais ce n'étais pas aussi simple
que je l'avais imaginé. Les tours de papiers passant au bas de ma tête, il me fallait pencher ma tête le plus en avant possible pour escompter pouvoir frotter le papier sur l'écorce lisse du
bois.
Cette manoeuvre me demanda de longue minutes mais au bout d'efforts renouvelés, je sentis soudain le papier céder et glisser sur mon nez, puis sur ma bouche, pour finir par reposer sur mon cou.
Contrairement à ce que je pensais il faisait encore jour et devant moi à quelques centaines de mètres un grand bâtiment me faisait face.
Je pouvais lire à l'envers les lettres lumineuses qui étaient fixées sur la toiture. J'eus un peu de mal, mais je finis par être certain de lire: "Lesbar" . Le bâtiment avait l'air fermé et je ne
comprenais pas pourquoi N...y avait choisi de m'attacher en face de ce gros bloc de béton aux néons agressifs. Autour de moi se trouvait sur ma gauche à quelques centaines de mètres, un parking
vide pouvant accueillir une bonne trentaine de voitures. Sur ma droite commençait un chemin qui se prolongeait vers une garrigue ou à n'en pas douter j'avais passé une bonne partie de la journée.
Dans mon dos autant que je puisse en juger, la garrigue elle aussi veillait sur moi.
J'essayais de voir ce qui avait été attaché entre mes jambes, mais je ne pu que distinguer un petit panneau de bois faisant penser à une pancarte de la taille d'une feuille A4.
Peu à peu le soleil commençait à disparaître derrière les arbres et l'obscurité avait plutôt tendance à calmer mon angoisse d'être ainsi découvert avant le retour de N...y.
J'avais beau essayer de bouger, il m'étais impossible de faire le moindre mouvement de nature à relâcher la pression du film plastic sur mon corps. Pire, chaque mouvement déclenchait un balancement
entre mes jambes qui tirait sur mon pénis et mes bourses, il fallait faire doucement sous peine d'accentuer la pression sur ce que j'avais du mal à cacher ans cette position. Il fallait se résoudre
à attendre et espérer que personne n'ai l'idée de venir se promener à la nuit tombante ou même venir épancher un besoin naturel.
Pendant presque une heure je guettait un ennemi qui ne venait pas pour mon plus grand soulagement. Mais en parlant d'ennemi, c'est de l'intérieur qu'il se manifesta.
Je ne sais pas si c'était du au fait d'être resté longtemps le ventre et les fesses à l'air mais je sentis monter en moi une difficile envie de me soulager. Mais plaqué comme je l'étais contre
l'arbre il m'étais bien évidement impossible, même si mes jambes étaient écartées, de me laisser aller et je n'osait pas envisager une seule seconde devoir me résoudre à déféquer sur place et
conserver entre mes jambes le résultat de ce soulagement pourtant si naturel. Comble d'infortune voila aussi que ma vessie demandait comme mon rectum à être soulagée.
Pour la vessie se fut plus facile. ne pouvant plus me retenir et sacant à l'avance que ce combat été perdu d'avance, je me laisait aller en essayant de contracter au maximum mon pénis pour
redresser le plus possible le jet que le poids de la pancarte dirigeait inexorablement à mes pieds. par bonheur à mes pieds la terre était meuble et la petite flaque ne tarda pas à disparaître dans
la terre.
Ma vessie vidée, l'envie coté face s'atténua et je pensais pouvoir me retenir quelques temps. c'était mal connaître la nature. Quelques minutes plus tard, un nouvelle agression dans mon ventre me
forçat à me contracter au maximum pour ne pas expulser d'un seul trait ce qui ne demandait qu'à sortir. Je pouvais me résoudre à accepter l'humiliation suprême de faire pratiquement sur soi. je
serrais mes sphincters en fermant les yeux pour mieux faire me concentrer et mieux me retenir.
Mais au bout de quelques temps alors même que les derniers rayons du soleil éclairant les lettres de ce que je savais par simple déduction logique être un lieu de rencontre un peu spécial, je
sentis couler le long mes cuisses les premières attaques de ce qu'il me serrait totalement impossible de contrôler dans les prochaines secondes.
Las de combattre, je m'abandonnais en pleurant toutes les larmes de mon corps. Un long jet ,violent et malodorant, éclaboussât mes pieds, souillât mes cuisses et le bas de mes fesses. Au bout de
très longues secondes les dernières gouttes annoncèrent la fin du supplice. Un horrible sentiment d'être sale jusqu'au plus profond de moi, m'envahit et je continuais à pleurer, certainement les
nerfs qui eux aussi avaient lâché.
Peu à peu l'odeur nauséabonde disparu et les restes de cette purge en plein air finirent par sécher sur ma peau.
La nuit fit place à l'obscurité et je compris un peu tardivement que j'allais devoir me résoudre à rester collé à mon arbre.
Ce devait être au jugé plus de onze heures du soir lorsque je fus réveillé par une lumière aveuglante. je m'étais assoupi et je dus fermer partiellement les yeux pour essayer de distinguer d'où
venait cette lumière qui illuminait maintenant toute la garrigue et moi en particulier.
C'était des projecteurs installés sur le toit du "Lesbar qui illuminaient à la fois le parking et les environs arborés.
Horreur j'étais maintenant la cible d'un des trois projecteurs dont le faisceau éclairait dans ma direction. Impossible de ne pas me voir si l'on se garait sur le parking. je venais en même
temps de réaliser que nous étions Vendredi et qu'il serait fort possible que le "Lesbar" ouvre ses portes à sa clientèle.
Les premières voitures arrivèrent un peu plus tard. Les premières filles qui en descendirent ne firent absolument pas attention à moi, ne regardant absolument pas dans ma direction. Il faut dire
que les premières voitures ne se garaient pas avec l'avant du véhicule dans ma direction. pour le moment j'étais sauvé.
Un 4X4 venait de stopper au bout du parking et me faisait face. Quatre filles en descendirent en riant et en parlant fort. De toute évidence elles devaient être déjà passablement imbibées d'alcool.
L'une d'elles au lieu de suivre les trois autres se dirigeât dans ma direction.
Marchant le nez sur les talons, elle ne fit pas attention à moi. Elle s'accroupi à quelques mètres de moi, baissa son pantalon, sa culotte, m'exposant son superbe derrière de jeune fille et comme
je l'avais fait quelques heures avant elle, elle commençât à vider sa vessie sur la terre en prenant soin de bien écarter les jambes pour ne pas se salir. Je ne pouvais rêver meilleur spectacle que
de voir ce superbe fessier relâcher en son milieu un jet aussi long que puissant.
Elle continuait à se vider lorsque je ne pu retenir un éternuement et ce fut là ma plus grosse erreur de la journée.
Ainsi découverte dans cette position honteuse elle cru d'abord avoir à faire à un voyeur lubrique. Voyant que l'intrus restait là à la regarder elle se mit à hurler et à alerter ses copines qui,
croyant certainement à une agression arrivaient en courant.
La fille ne pouvait se relever car la peur devait lui procurer une descente d'urine encore plus importante que ce qu'elle aurait souhaité en pareille circonstance. Elle continuait à se vider
lorsque les trois filles arrivèrent prés d'elles.
- Il y un conard contre l'arbre qui me matte depuis cinq minutes. Elle se redressa enfin et remonta sa culotte et son pantalon en me faisant face.
- Putain tu vas me le payer, s'écria telle.
Les quatre filles avançaient vers et lorsqu'elles s'aperçurent en même temps du spectacle qui leur était offert. Elles éclatèrent de rire dans un parfait ensemble. incrédule devant la vision d'un
home nu attaché à un arbre la bite rasé et une pancarte pendant entre ses jambes, elles restaient là à me contempler sans arriver à dire un mot. Même dans leur plus grand phantasme je suis persuadé
qu'aucune d'entre elles aurait imaginé un jour être le témoin privilégié d'une tel scénario.
Celle que j'avais vu nu s'avança vers moi et voyant que je ne pouvais esquisser le moindre geste de défense elle décidât de passer à l'attaquer.
- Pitié, m'entendis je prononcer faiblement, détachez moi, ca fait trop longtemps que je suis attaché à cet arbre.
Les quatre filles se remirent à s'esclaffer de rire, et je compris que cela n'était absloument pas leur intention. Vaincu je choisi de baisser la tête pour ne pas croiser leur regards moqueurs.
Je sentis la main de la pisseuse me saisir les testicules, les serrer fortement d'une main et de l'autre remonter devant son visage le peit écriteau. Arrivant à peine à parler tellement elle riait,
elle se décida à lire le texte à ses copines.
- Amis lesbiennes, je suis persuadé que vous trouverez mon cadeau de bon gout.
Je l'ai déjà puni aujourd'hui, mais je compte sur votre imagination pour lui faire endurer jusqu'à demain matin tout ce qui vous passera par la tête. Punissez le, il semble adorer cela.
N'ayez aucune crainte, il n'osera raconter sa soirée à personne et je me porte garante de son silence et de sa condition d'esclave servile et corvéable.
Pour vous aider j'ai même laissé dans un sac derrière lui de quoi assouvir vos phantasmes.
Signé: N....y
- Super s'écria l'une des filles. c'est mieux que le lesbar. ce soir on va enfin se marrer pour pas cher. Merci N...y !!!
Pendant ce temps une autre fille avait été récupérer le sac laissé par N...y. Elle commençait à sortir devant moi tout ce que N....y avait préparé, sachant à l'avance quel type de personne allait
s'en servir.
- Inventaire, continua la grande brune qui fouillait le sac.
- Une paire de menottes, Un bandeau noir, Un bâillon boule, Trois grandes cordes, Une poire à lavement, Deux bouteilles d'eau, Une barre d'écartement, Une raquette de ping pong, Un gros rouleau de
film plastic, une paire de ciseaux et pour finir une brosse et deux gros tubes de cirage noir.
- si avec ça on n'arrive pas à s'éclater les filles, c'est vraiment qu'on est des nullardes.
Une petite blonde qui n'avais pas encore ouvert la bouche, fit une remarque judicieuse:
- Si on reste là on va se faire repérer et nous devrons abandonner notre superbe jouet.
- Tu as raison répondis la dernière emmenons le chez toi, c'est grand, isolé et il pourra gueuler sans que cela réveille les voisins. On le ramènera ici quand on en aura fini.
Immédiatement, l'une d'elle se chargea de me mettre le bandeau sur les yeux pour ne pas risquer que je puisse les reconnaître. Une autre se chargea de mettre en place le bâillon boule tandis que
les deux autres après avoir découpé le film plastic autour de mes bras et de mes jambes me passèrent immédiatement les menottes autour des poignets.
L'une d'entre elle s'aperçut que j'avais fait sur moi et elle se mit à me hurler à l'oreille:
- gros dégoûtant on va t'apprendre les bonnes manières.
Toujours nu, les bras repliés dans le dos et menotté, je dus suivre les quatre filles qui m'aidèrent à monter dans le coffre du 4X4. Allongé à même la moquette. Pour mieux m'immobiliser avant de
démarrer, l'une d'elles me lia les chevilles ensemble.
Dans le coffre d'un véhicule, nu et attaché comme un vulgaire saucisson, aux mains que quatre furies inconnues je roulais vers une nuit qui a n'en pas douter allait me réserver des surprises.
Suite.............. à venir.
Comme je cherche une nouvelle maîtresse, je te recontacte bientôt.