Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 08:37
Nous roulions à vive allure et j'avais du mal à ne pas "valdinguer" d'un coté à l'autre du coffre. J'entendais les filles rires en échafaudant des scénarios les plus divers pour finir la soirée.
Lorsque le véhicule stoppa et que je fus descendu du coffre par les quatre filles qui me portaient comme un vulgaire sac de patates; je sentais leurs mains fraîches sur mon corps et je n'osais faire le moindre mouvement de peur de tomber lourdement sur le sol.

Lorsque je fus mis à terre le contact du sol me fit penser à un carrelage. Assis les fesses nues sur le sol et les bras dans le dos, je serais les jambes pour essayer de leur dissimuler ce qu'elles avaient déjà pu regarder en détail. Mais ma pudeur maladive avait repris le dessus.

Sans m'enlever le bâillon, l'une d'entre elles me remis en place la cagoule et avant de bien la serrer sur ma tête, elle fit glisser le tissu qui m'empêchait de voir.
Je n'avais même pas eu une seconde pour voir ou j'e me trouvais. Réalisant soudain que j'étais livré au bon vouloir de quatre excitées sexistes de surcroît, je me mis à trembler sans pouvoir me contrôler.

- les filles, vous avez vu les cloques qu'il a sur tout le corps, dis l'une d'entre elles.
- Mais ou t'as trainé pour ramasser ça ?

Le bruit d'un jet de douche se fit entendre et je compris que j'étais bien dans une salle de bain. mes pieds furent détachés et l'on me fit enjamber une baignoire qui semblait être de grand volume.

- On va d'abord te nettoyer en profondeur, tu es aussi sale qu'un cochon, dit une voie. Puis on va te soigner.
Un grand éclat de rire collectif m'emplis les oreilles.

Je sentais sur moi au moins deux paires de mains qui s'activaient avec des gants et du savon pour me récurer de fond en comble. Le jet d'eau chaude sur ma peau atténuais les brûlures d'orties. La toilette se fit plus intime et j'eus du mal à rester stoïque lorsque l'une d'elles me frotta avec application le sexe et les bourses pour finir par la raie de fesses.

- Il faudrait le vider complètement.
- T'as raison profitons qu'il est encore dan la baignoire.

- Passe le tuyau de la douche.

Le bruit de l'eau cessa remplacé par celui de quelque chose que l'on devise. Une main s'appuya sur ma tête me forçant à me courber vers l'avant. Presque en même temps je sentis l'embout du tuyau de la douche se plaquer contre mon anus. L'une des filles rouvrit le robinet et l'eau froide cette fois ci se mit à forcer le passage.
Au bout de quelques minutes j'avais du absorber au moins deux litres d'eau dans mon ventre et j'avais beaucoup de mal à me retenir. Malgré un ultime effort pour ne pas me relâcher, je dus capituler et un flot ininterrompu s'expulsa avec violence de mes fesses. pour cacher mon dé"shonneur je m'accroupis pensant naïvement que cela allait calmer les filles.

Pour nettoyer complètement mes saletés je fus passé à nouveau au jet d'eau mais cette fois d'eau glacée. Cela dura le temps pour les filles de trouver ma nouvelle punition.

- Les enfant pas propres on leur donne une grosse fessée.

Le temps pour moi de réaliser ce qui allait m'arriver, et je fus extirpé de la baignoire pour me retrouver allongé sur les genoux d'une des filles les trois autres maintenant mes pieds au sol et mes bras dans le haut de mon dos pour faciliter le travail de la "fesseuse".

Mais cette fessée ne fut pas donnée avec la main. Dés le premier coup et son claquement sec je compris que la raquette de ping pong allait réveiller à nouveau mes douleurs aux fesses.

A chaque coup, je tressautais, mais une main sur mon dos me plaquait inexorablement sur les genoux de la fille.

- Compte me dit l'une d'entre elles. Mais je ne pouvais pas émettre un son audible à cause du bâillon. Les nombres que j'essayais tant bien que mal de prononcer étaient totalement inaudibles.

Je m'exécutais pourtant ,sous peine d'autres représailles. La boule qui m'obstruait la bouche avait beau atténuer mes protestations, je faisais en sorte de vociférer pour que cesse les claques. A quarante coups, la fessée s'arrêta enfin, au moment même ou j'allais défaillir de douleur.

- Bon maintenant que tu es calmé on va te faire un peu travailler.

Je dus monter puis m'allonger sur grande une plate forme qui devait être soit une immense table de salle à manger ou bien un billard. Il m'était impossible de le savoir, mais cela ne changeait pas grand chose pour moi. Après m'avoir attaché les jambes le plus écarté possible, mes bras furent eux aussi mis en croix et tirés vers le haut, écartelés comme au moyen âge.

Une main passa sous ma tête pour défaire la cagoule, m'enlever le bâillon boule et bien évidement, remettre en place le foulard noir sur mes yeux. les filles ne voulant manifestement pas être reconnues.

Il faisait suffisamment chaud dans la pièce pour supporter ma nudité. Une main commença doucement à me caresser pour provoquer une érection qui je dois l'avouer avait bien du mal à venir tant j'étais paralysé de peur et de honte de devoir subir une telle humiliation. Voyant que son travail n'était pas couronné de succès, elle décida de se venger en demandant à l'une de ses copines d'apporter la boite de pinces à linges.

J'essayais bien de resserrer les cuisses pour retarder la mise en place des pinces, mais je dus bien vite capituler et ce n'est pas moins d'une bonne dizaine de pinces qui prirent place sur ma verge et sur la peau de mes testicules. Plus question d'une quelconque érection tellement j'avais le sexe en feu.

- Puisque en bas tu n'es bon à rien on va voir comment tu te comporte en haut.

Comme l'avait déjà expérimenté N...y, une fille monta sur la table, du se mettre à genoux entre mes jambes, car je fus recouvert intégralement par son fessier. Pour mieux m'humilier devant ses copines, elle se trémoussait pour bien faire pénétrer mon nez entre ses fesses.

- Lèche moi dit-elle sur un ton agressif, sinon je te brûle les couilles.

Ce langage cru, ne m'étais pas habituel et je compris que la fille devait être un garçon manqué et qu'il valait mieux lui obéir, car je n'avais aucun moyen possible de me soustraire à son traitement.

Comme pou m'encourager à commencer, elle prit dans une de ses mains ma verge et commença à pincer de toute ses forces la peau du prépuce. Ce fut tellement douloureux que je ne pus retenir un cri de douleur étouffé en partie par les fesses de la fille.

Par petits coups de langues je commençais à lécher l'intérieur des cuisses qui sentaient franchement l'urine. Surmontant mon dégoût et l'envie de vomir, je me forçais à penser à autre chose et repris mon travail de lavage.

- Le trou du cul, ordonna t-elle. Lèche bien, il en a besoin. Un goût acre m'emplis la bouche et je sentis venir un "haut le coeur". La fille devait être extrêmement poilue car à chaque mouvement, je ramassais des poils sur ma langue. Le contact et le goût des poils mouillés par ma salive devenait de plus en plus insupportable.
Mais je devais trouver le courage de continuer.

Une autre fille prit la place de la première et je dus continuer la même opération. Mais cette fois ce fut plutôt agréable car la fille avait une odeur très agréable et la douceur de sa peau imberbe était pour ma langue fatiguée un véritable encouragement. Au bout d'une dizaine de minutes, je sentis couler son plaisir sur ma bouche et elle déversa en moi une liqueur aux saveurs de miel qui me firent un effet immédiat au niveau du pénis.

- Pas mal, pas mal du tout, dit la fille.  Il est plus doué avec sa langue qu'avec son petit pinceau riquiqui.

Une troisième fille prit place sur moi mais cette fois elle mit son ventre face à moi. Écartant de ses longs doigts ses grandes lèvres, elle plaqua sa vulve sur ma bouche, et mon nez rencontra un pubis poilu qui ne tarda pas à me faire découvrir un parfum lui aussi très particulier.
C'était la première fois que j'avais l'occasion de mettre mon nez et ma bouche dans différents sexes féminins à la suite les uns des autres et je devais bien reconnaître que chaque sexe était différent et que leurs odeurs elles aussi étaient propres à chacune.

J'avais la bouche sèche, la mâchoire en compote à force de tenir la bouche ouverte et lorsque la dernière fille prit place sur mon visage, je ne pus m'empêcher de tourner la tête pour reprendre mon souffle. Instantanément je ressentis une violente brûlure, d'un revers de main elle venait de secouer le hérisson de pinces à linges qui me recouvrait le sexe. La douleur était si insupportable que je décidais de ne plus bouger et exécuter les demandes de la fille.

- Tu vas me faire jouir comme Nicole ou je te massacre les fesses dans cinq minutes.

Je repris mon travail de fouille. La fille transpirait des fesses et son odeur forte avait calmé en moi toute pensée érective. Elle me demanda d'enfoncer ma langue dans sa vulve, puis sentant qu'elle allait jouir elle se déplaça pour m'offrir en dessert son anus. Heureusement cette fois ci la fille était rasée et le contact de sa petite rosette m'était moins insupportable sans pilosité. Je dus introduire ma langue du mieux possible, mais cela m'étais difficile car elle devait être vierge de ce coté là. Étroite et extrêmement serrée, ma langue ne pouvait aller bien loin. Elle finit par jouir dans ma bouche et je dus avaler de force cette liqueur écoeurante qui coulait sur ma langue.

Rassasiées pour le moment les filles m'accordèrent un long moment de repos. Peut-être devaient-elles être en train de se laver. J'aurais bien aimé moi aussi pouvoir me laver le visage, mais je devais rester là dans le noir, la verge en feu, à attendre que les filles reviennent pour un nouvel assaut.

Lorsque les quatre filles revinrent dans la pièce se fut pour me libérer de cette inconfortable position.

Une fois debout on me remis les bras derrière le dos et la paire de menottes se remis une fois de plus à m'entraver les poignets. Une à une les pinces à linges furent enlevées et ce fut pour moi comme une récompense.

Comme pour prendre soin de moi, on me fit asseoir sur une chaise puis je fus nourri à la cuillère, comme un bébé. J'avalais avec plaisir ce qui me sembla être une délicieuse compote de fruits et je pus boire également un grand verre de coca frais.

- Il est grand temps de te ramener au bercail, dit une fille.

Cette fois ci on me remis dans la voiture sans me remettre la cagoule. ne voulant pas prendre le risque de faire tomber le bandeau, j'évitais tout mouvement pour le faire glisser. le trajet me parut plus court qu'à l'aller et lorsque le 4X4 s'immobilisa sur le parking je fus cette fois saisi par le froid lorsque la porte du coffre s'ouvrit.

Les files me reconduisirent ver l'arbre qui m'avait valu d'être exposé à leur vue. Les bras à nouveau derrière le tronc j'entendis le cliquetis de la fermeture des menottes qui me signifiait que je devrait passer le reste de la nuit dans cette position. Deux filles m'écartèrent les jambes pour les attacher avec les cordes de chaque coté du tronc d'arbre. je me retrouvais exactement dans la même position qu'en fin de journée, la cagoule en moins.

- Comme ta N...y nous l'a demandé,  on t'a remis dans la même position et avant de te laisser passer une bonne nuit, on va t'offrir un petit souvenir de la part de nous toutes. Comme ça tu penseras à nous pendant quelques temps.

Je ne compris pas tout de suite le sens de ces paroles, mais lorsque je reconnu l'odeur si particulière du cirage je compris ou elles voulaient en venir.

Comme au temps des plus beaux bizutages scolaires, elles entreprirent de me faire une bite au cirage. la brosse allait et venait sur mon sexe, entre mes cuisses, s'attardait sur la peau de mes bourses et pour compléter le tableau elle se mis à passer et repasser sur mon pubis, sur le hautde mes jambes et sur mes fesses.
Les filles passèrent à n'en pas douter les deux tubes sur mon corps. C'était affreux car une fois séché j'aurais les pires difficultés à faire partir la teinture du cirage sur ma peau. J'avais déjà vu une fois en colonie de vacances les ravages du cirage. Le garçon qui avait été bizuté avait passé presqu'une heure dns les douches pour faire partir le cirage. Je savais que j'allais en baver pour me nettoyer.

L'une des filles s'approcha de moi et avec se qui devait être un rouge à lèvres, elle se mit à écrire quelque chose sur mon front. J'en été quitte pour me torturer un peu plus l'esprit,  ne connaissant pas le contenu du message.

Avant de me quitter les filles décidèrent de m'ôter le bandeau et à nouveau aveuglé par les projecteurs du "lesbar" je pus les voir se diriger vers l'entrée du club privé. j'espérais au plus profond de moi qu'elles n'allaient pas alerter ou raconter à toutes les clientes qu'à seulement quelques mètres de là, un homme à poil, attaché à un arbre et couvert de cirage, attendait patiemment que sa maîtresse vienne le délivrer...................



Par gigipanpan
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