Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 15:40
Pour mon plus grand bonheur, le club ne semblait pas très fréquenté ce soir là. Les quelques voitures qui se garaient sur le parking me tournaient le dos et leurs occupants se dirigeaient vers l'entrée du club sans faire attention à moi.

Fatigué, par toutes ce qui m'était arrivé durant cette longue journée, j'espérais pouvoir m'assoupir un peu en attendant le retour de N...y. Mais le temps passait et toujours pas de N....y à l'horizon.

Le froid commençait à me faire grelotter, car l'excitation nerveuse et la sensation de chaleur extrême des piqûres d'orties avaient maintenant complètement disparues. Mais cloué contre l'arbre, je ne pouvais faire les mouvements qui m'auraient permis de me réchauffer un peu.

Lorsqu'une silhouette féminine arriva vers moi, je fus tout de suite certain que c'était bien N...y qui venait me chercher.
Elle se dirigea droit sur moi et même si la puissance des projecteurs à contre jour m'empêchaient de voir son visage, je fus immédiatement rassuré sur mon sort. J'allais enfin sortir de ce cauchemar.

A seulement quelques mètres de moi, je pu apercevoir le visage féminin. Il s'agissait d'une très jeune "black" drapée dans un boubou multicolores et qui me dévisageait de la tête au pied. Elle s'écarta un peu pour que les projecteurs puissent bien m'éclairer, et elle commença son inspection silencieuse de bas en haut.

- Eh bien dit-elle, on t'a transformé en africain on dirait ? Il va falloir nettoyer ça avant que je te ramène chez ta maîtresse.

Donc cette fille n'était pas N...y.  Ne souhaitant certainement pas se charger des bases besognes de transport, elle avait dépêché une autre personne et devait certainement m'attendre au chaud dans son appartement.

- Je m'appelle Gwen, me dit-elle. J'ai rapporté tes affaires, mais avant tu dois faire ta toilette.
Elle me détacha complètement, sachant que je ne pouvais partir et qu'elle était mon seul espoir.
- Je vais te conduire jusqu'au point d'eau qui est à coté du parking. Dans le sac il y a de quoi te laver et  te sécher. Suis moi.

Toujours nu, mais libre de tout mouvement je la suivi jusqu'au parking, regardant de tous les cotés pour vérifier que personne ne pouvait me surprendre dans cette tenue. Contre un mur se trouvait un jet d'eau qui devait servir au nettoyage du parking. je compris qu'il me fallait avoir maintenant le courage de me laver à l'eau froide, nu devant une inconnue qui ne perdrait rien du spectacle et avec toujours le risque d'être surpris par un passant ou une "fêtarde" sortant du club privé.

J'essayais de me concentrer sur ma besogne. Il me fallait à la fois frotter avec le savon, puis le rincer à l'eau, puis m'asperger à l'eau froide pour évacuer peu à peu cette pâte qui commençait à coller à ma peau. Le fait d'avoir été rasé par N...y était au final une bonne chose, car il est évident que je n'aurais pas pu me nettoyer aussi vite avec du cirage collé dans les poils.

Au bout d'une bonne demi-heure, les traces de cirage avaient disparu. J'avais tellement froid au ventre et surtout au bas ventre que mon sexe était complètement rabougri. Manifestement cela faisait rire l'africaine qui devait avoir l'habitude d'en  voir de beaucoup plus gros.

- C'est bon, tu peux enfiler le manteau, mais tu dois remettre la cagoule. Il me fallu accepter de porter à nouveau ce pénible accessoire qui m'aveuglait et me forçait à respirer le plus souvent par la bouche.
- Tu va mettre les mains dans le dos car je dois aussi te rattacher avant de monter en voiture.

Je dus une fois de plus m'allonger sur la banquette. Le trajet dura un très long moment et il me sembla que nous roulions plus à l'extérieur que dans la ville.

Une fois le véhicule stoppé, Gwen me conduisit en me tenant le bras. Mes doutes se vérifiaient, ce n'était pas le domicile de N...y que nous avions rejoint.

Je dus monter quelques marches. Nous devions être dans une villa et je marchais maintenant dans un environnement et une température des plus agréable.

Gwen, m'enleva le manteau, ôta mes chaussures et mes chaussettes afin que je me retrouve à nouveau entièrement nu et je sentis qu'elle s'affairait sur la fermeture de la cagoule. Un petit claquement aigu d'un cadenas que l'on referme me glaça d'effroi. Pourquoi donc avait-elle besoin de ferme la cagoule avec un cadenas si ne n'est pour ôter à toute personne la possibilité de l'enlever ?

Je fus libéré de mes liens par Gwen et j'entendis la porte claquer. Le silence qui régnait dans la pièce me permettait d'entendre les battements angoissés de mon coeur.

Mon premier réflexe fut de porte mes mains à mon visage pour vérifier et inspecter la fermeture de la cagoule.
Effectivement elle était bien fermée par un cadenas, et il m'était même impossible de distendre les lacets tant ils étaient serrés entre eux. Il allait donc me falloir accepter de rester encore "aveugle". Je tentais bien de la faire glisser par dessus ma tête, mais le laçage était vraiment trop serré.

A tâtons, je me mis à essayer d'explorer la pièce. Je devait progresser en aveugle me protégeant avec les bras en avant. Au bout de quelques secondes je butais sur un corps mou posé à même le sol. Je me mis à genoux sur le carrelage et j'identifiais un grand matelas. Le reste de la pièce quand à lui semblait totalement vide. Ayant fait le tour des murs de la pièce, je vérifias que la seule porte était fermée à clé et que je devais patienter une fois de plus sans avoir la moindre idée sur le lieux ou j'étais et sur ce qui m'attendait.
Je décidais d'attendre allongé sur le matelas. Malgré l'absence de vêtement, je n'avais pas froid car la température de la pièce devait facilement dépasser les 22 degrés.

Le bruit d'une clé qui tourne dans la serrure me fit lever. Par pudeur naturelle, je mettais mes deux mains devant mon sexe pour dissimuler ma nudité. le bruit des pas me fit comprendre que plusieurs personnes avaient pénétré dans la pièce. Petit à petit des paroles furent échangées, des rires, tous féminins et je finit par identifier pas moins de huit voix différentes.

- Vous pouvez commencer les filles, il est à vous. Faites en ce que bon vous semble. Je repasse le prendre le prendre dans une heure. C'était la voix de Gwen que je venais d'entendre.

Je sentis presque immédiatement au moins quatre paires de mains me prendre par les bras et me les tirer vers le haut. On me lia les poignets ensemble avec une corde qui devaient certainement passer dans un anneau ou une poulie fixée au plafond, car une tension très forte m'obligea bien vite à me mettre sur la pointe des pieds.
Mes bras étaient tendus vers le haut et il m'était impossible d'espérer pouvoir reposer mes talons au sol.
Une fois attachée comme je l'étais et ne pouvant que bouger par petits pas les jambes, l'une des filles commença à défaire la cagoule pour libérer mon visage.

Le spectacle qui s'offrait à moi me laissa sans voix !!!! 
Devant moi se trouvaient dix filles en tenue "musulmane" (le Hijab si je ne me trompe pas), drapées de noir de la tête au pieds et dont je ne pouvais apercevoir que les yeux maquillées.

Elles me détaillaient de la tête au pied, faisant des remarques en arabe que je comprenais pas mais qui avaient au moins l'avantage de détendre l'atmosphère, car les filles riaient de bons coeurs à chaque nouvelle phrase.

L'une d'elle s'avança vers moi et me dit dans un français tout à fait correct:
- Dans notre pays ce son les hommes qui battent les femmes, ce soir nous allons inverser la tradition.


Saisissant d'une main mes testicules, elle commença à me faire tourner sur moi même. Obligé de suivre son mouvement sous peine de souffrances insupportables, j'essayais de bien rester à chaque pas sur la pointe des pieds. Au bout de quelques tours, elle lâcha prise et lança une phrase en arabe qui déclencha chez les filles une véritable frénésie.

Tour à tour chacune passait derrière mois et me donnait au minimum quatre à six claques sur les fesses. Obligé de rester sur la pointe des pieds, je tentais de pivoter sur moi même pour esquiver quelques coups. Mais les filles semblaient ne pas s'en préoccuper et chacune d'entre elles continuait à me fesser méthodiquement. J'avais de nouveau les fesses en feu.

Au bout d'une bonne dizaine de minutes la fessée cessa et l'une de filles me passa un bandeau sur les yeux. Pour bien le maintenir en place, je compris qu'elle passait autour de ma tête de nombreux tours de rouleau de scotch. Il m'était impossible de voir maintenant quoi que ce soit.
La tension de la corde se relâcha et je compris que la séance fessée était terminée. Mes bars étaient toujours liés entre eux au niveau de mes poignets.

Les filles me conduire jusqu'au matelas qui trônait au milieu de la pièce. Je dus m'allonger sur le dos et la tension de la corde repris. Elle devaient l'avoir attaché au tuyaux de chauffages que j'avais vu tout à l'heure et qui faisaient le tour de la pièce.

Mes chevilles furent enserrées par des cordes, et je me trouvait très vite écartelé, jambes et bras tendus au maximum du supportable.

Nu et immobilisé par les liens, à nouveau "aveugle" j'essayais de deviner ce qu'avaient décidé ces inconnues.
Je n'eus pas le temps d'y réfléchir longtemps. L'une d'elle s'assit sur mon visage. Le long vêtement au coton épais, recouvrait complètement mon visage. N'ayant certainement pas voulue se déshabiller, elle avait choisi de me chevaucher toute habillée. Mais il me fallait bien constater qu'elle ne portait aucune culotte et que son sexe était fraîchement rasée. Une odeur de parfum d'orient m'emplissait les narines. Je compris à la manière dont elle guida ma bouche qu'il me fallait la satisfaire avec ma langue.

Une main venait de s'emparer de mon sexe et le branlait avec vigueur pour le faire durcir. La main avait du employer un onguent, car il me semblait que sa main coulissait avec beaucoup de facilité sur la hampe de ma verge. Une fois tendue et excitée au maximum, elle se retrouva dans la seconde enfouie au plus profond du ventre de l'une d'entre elles. Un sexe chaud et humide allait et venait pour profiter de mon érection passagère.

J'avais du mal à concilier, le travail de ma langue qui me provoquait un terrible mal aux mâchoires à force de tenir la bouche grande ouverte, et la nécessité de conserver mon érection afin de ne pas provoquer d'inévitables représailles.

Mes doigts furent eux aussi guidés par des mains bien décidées à ne pas me laisser un instant de repos.

L'une des filles me prit l'index de ma main droite entre ses doigts et elle le guida directement vers ce que je reconnu tout de suite être son anus. le message était clair, il me fallait forcer à sa demande l'étroit passage.

Une autre fille en fit de même avec l' index de ma main gauche. Son sexe et la raie de ses fesses étaient extrêmement poilues et l'humidité de son entre jambes facilita grandement le passage de mon doigt. Ce ne devait pas être la première fois que son anus était visité car il me semblait très distendu par rapport à celui de l'autre fille.

L'une devait être  aussi poilue qu'une portugaise, l'autre était soit très jeune soit complètement imberbe ou rasée du matin.

Je compris que je ne pourrais me retenir bien longtemps. J'essayais de faire comprendre à la fille qui me chevauchait ,par de petits mouvements de hanches, que j'allais jouir en elle. Elle du le comprendre et s'extirpa de moi pour recueillir ma semence dans la paume de sa main.De l'autre main elle continuait de me vider en pressant sur ma verge pour en extraire les dernières gouttes.

La fille assise sur ma bouche se leva lorsqu'une courte phrase en arabe me parvint aux oreilles. En appuyant ses deux pouces sur mes dents, elle me forçant à ouvrir la bouche. L'autre fille en profita pour essuyer sa main sur mes lèvres et tirant ma lèvre inférieure vers l'avant elle passa dessus la paume de sa main couverte de mon sperme.
Je fus obligé de reprendre ce que j'avais donné.

Toujours attaché, on m'apporta de l'eau que je pus boire à volonté et après un bon quart d'heure d'entre acte, quatre nouvelles filles prirent la place des premières.

J'avais du mal à retrouver une érection compatible avec le désir de la fille qui me frottait le sexe contre le sien pour réanimer mon désir. Peine perdue, je restais désespérément mou. Voyant qu'elle aurait du mal à obtenir ce qu'elle désirait elle se mit à parler à l'une des autres filles qui assistait en spectatrice au viol dont j'étais l'objet.

Un liquide coula bientôt sur mon sexe et sur mes bourses. Finissant même dans la raie de mes fesses pour finir par mouiller mon anus, tellement la rasade était conséquente. La brûlure fut immédiate et violente. De l'alcool à 90 degré ou quelque chose de très ressemblant me mit la verge en feu et comme par enchantement une érection durable permit à la fille de me chevaucher à nouveau par de courtes et vives saccades.

Je dois avouer que mon supplice n'était pas si désagréable que cela. Et au final je pris beaucoup de plaisir à être ainsi le jouet de ces belles inconnues que je ne pouvais voir en chair et en os.
Par gigipanpan
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