Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 14:58
Au bout de quelques minutes, elle m'intima l'ordre de venir m'allonger sur ses genoux, et de croiser mes bras dans mon dos.

Je me relevais, et sans opposer de résistance, je plaçais mon corps endolori et mon ventre sur les plis de sa jupe.
Elle me fit avancer, afin que mes fesses soient à la hauteur de sa main gauche.
Pour conserver l'équilibre, je dus écarter légèrement mes pied, qui reposaient tout juste sur le sol.

Une fois bien calé sur ses jambes, l'inconnue passa autour de mes poignets, une fine cordelette qu'elle finie par nouer avec précision, non sans avoir effectué plusieurs passages autour de mes poignets. Mes bras bien immobilisés au milieu du dos, ne pouvaient plus bouger et je compris qu'il me serait impossible de me protéger.

Alors que j'envisageais déjà recevoir les premières claques sur le postérieur,je sentis une main, puis une deuxième, s'insinuer entre mes jambes. Ses doigts, écartèrent sans ménagement la raie de mes fesses, et je sentis des ongles racler comme un rasoir, ma tendre peau.

- Je vérifie qu'il ne reste plus aucun poil, me dit-elle d'une voix ferme mais incroyablement calme.

Une fois cette vérification effectuée, elle écarta encore un peu plus mon sillon et m'aspergea l'anus de son parfum préféré. La brûlure me fit tressauter, mais d'une main ferme, elle me plaqua sur ses genoux, pour bien me faire comprendre que je devais rester dans cette position et ne plus bouger.

Pour m'humilier un peu plus, son pouce pressa l'étroit bouton et força le passage jusqu'à la première phalange. Une fois en moi, le pouce se mit à tourner comme si elle voulait distendre mes sphincters. Je n'arrivais plus à me contracter naturellement et bien vite ce massage rectal m'obligea à me relâcher complètement.

Après plusieurs minutes de va et vient, elle ressortit son pouce et entreprit d'introduire cette fois en moi son index et son majeur. Le passage fut plus difficile et je dus serrer les dents pour ne pas crier sous l'effet de cette distension que je ne pouvais empêcher. Elle reprit son lent mouvement circulaire et je sentis soudain, le passage des deuxièmes phalanges, qui écartèrent un peu plus mon anus. J'avais honte, mais surtout j'avais très peur de ne pouvoir retenir une envie de me soulager qui finirait par arriver naturellement, si elle continuait à me travailler le rectum.

Je vis soudain sa main droite prendre le petit sac à main qui était posé au pieds du fauteuil.
Que pouvait-il contenir ?

Elle l'ouvrit d'une main et plongeant à l'intérieur.
Je la vit en ressortir une énorme poignée de baguettes chinoises en plastic, identiques à celles que l'on trouve sur les tables des restaurants asiatiques.
Elle déposa les baguettes sur mon dos, comme un mikado pour adultes. Ne pouvant voir ce qu'elle préparait, j'en été réduit à écouter les bruits de batons de plastics entrechoqués, qui me parvenaient aux oreilles.

Je compris soudain ce qu'elle préparait, lorsque je sentis ses doigts s'écarter un peu plus pour faciliter le passage des baguettes dans mon anus. Elle retira ses doigts et lorsque mes sphincters essayèrent de reprendre leur place,je sentis que plusieurs baguettes avaient pris leurs places.

Comme si elle avait devinée mes pensées et mes craintes, l'inconnue s'adressa à moi avec calme, sans élever la voix, comme pour me rassurer.

- Tu vas voir, c'est une version intéressante du supplice du pal. Il s'agit d'introduire au fur et à mesure et une à une dans tes fesses, des baguettes qui vont petit à petit te distendre les sphincters. Comme cela tu pourras plus facilement recevoir bientôt, des plugs de bons calibres.

Elle continuait à commenter son travail.

- Tu as déjà presque dix baguettes dans le derrière et maintenant,  je vais introduire en introduire d'autres par le centre du cercle formé, et elles vont écarter les autres pour  te distendre sans que tu t'en rende vraiment compte.
On va voir jusqu'à combien de baguettes je vais pouvoir t'enfiler dans le cul pour cette première fois.

Toutes les trente secondes environ je sentais la poussée d'une nouvelle baguette, et même si la douleur n'était pas encore importante (car chaque nouvelle baguette pénétrait au centre des autres) je sus bien vite que mes sphincters étaient déjà distendus comme jamais ils ne l'avaient été auparavant

Au bout de plusieurs minutes, elle me dit en riant:

- C'est bien, tu as pour le moment quinze baguettes dans les fesses. Pour que tu puisses te faire une idée plus précise de l'élasticité de ton anus, cela correspond au diamètre de ton petit sexe en érection. Il va donc falloir continuer....

Chaque nouvelle introduction me faisait maintenant sentir les premières brûlures au niveau de mes sphincters.
L'inconnue se mit à compter au fur et à mesure que mon anus faisait place à une nouvelle baguette.

A vingt cinq, j'eus l'impression que mes fesses allaient exploser et je ne pus retenir un timide:

- Stop, arrêtez, je vais exploser.

- Encore cinq et cela suffira pour le premier exercice. des larmes commençaient à couler le long de mes joues.
Comme pour me calmer et me faire accepter les derniers passages, elle passa sa main droite sous mon ventre et commençât à me caresser la verge, puis bien vite à me masturber de sa main chaude et souple.

L'excitation m'avait fait provisoirement disparaître la douleur au niveau de l'anus et je priais le ciel de ne pas éjaculer trop vite, tant cette sensation de plaisir et de douleur mélangée était agréable.

Elle se mit à accélérer son mouvement, et je réalisais soudain qu'elle en profitais de l'autre main pour continuer à me distendre l'anus.

Au moment ou je ne pu retenir mon éjaculation dans ses mains, elle me dit:

Et de trente !!!  Tu as le cul bien distendu maintenant. Il va te falloir rester en place un bon moment pour que le supplice soit complet.

Sa main droite finissait de recueillir les dernières gouttes de sperme et lorsque je fus complètement vidé, elle remonta sa main sur ma bouche et essuya la paume de sa main sur mes lèvres.

- Lèche et avale, me dit-elle, tu n'imagines pas que tu as me souiller de ta semence ?

Par petits coups de langue, je dus vaincre mon appréhension  pour nettoyer sa main et avaler mon propre sperme.
Lorsqu'elle jugea sa main complètement propre, elle replongea celle-ci dans son sac pour en sortir quelque chose.
J'aperçus en une fraction de seconde, un très gros rouleau de Scotch qui venait de passer sous mon nez.

- Ne bouge pas me dit-elle, nous allons consolider mon travail.

Elle déplaçât sa jambe gauche pour dégager le passage. Elle commençât par passer le rouleau autour de ma taille, puis elle "scotcha" ensemble les trente baguettes en faisant passer le rouleau entre mes jambes et autour de mes cuisses.
Petit à petit, elle réalisait sur moi,une véritable culotte en adhésif. Elle en profitât même pour emprisonner dans les rubans de colles ma verge et mes testicules.
Le rouleau n'en finissait pas de passer et repasser entre mes fesses, entre mes jambes et autour de mes hanches. Je devais maintenant avoir plusieurs centaines de mètres d'adhésif sur la peau.
La raie de mes fesses et mon sexe était maintenant complètement emprisonnés dans cette gangue collante. Seule mes fesses avaient été laissée découvertes. Je portais un drôle de string autocollant, et je devais être vraiment ridicule à voir.

Une fois son travail fini, elle me tira lentement les cheveux en arrière pour me faire comprendre qu'il me fallait me remettre debout.

Ne pouvant me servir de mes mains attachées derrière le dos, elle m'aida à me redresser et je dus immédiatement écarter les jambes à cause du paquet de baguettes qui me remplissait les fesses.
Rempli par cet énorme "pal asiatique", je ne pouvais me redresser complètement et je dus rester debout le buste en avant, incapable de me mettre droit à cause de la douleur que je ressentais dés que je voulais me tenir au "garde à vous".

Je la vis disparaître quelques secondes, et lorsque je sentis à nouveau ses mains sur moi, ce fut pour voir une dernière fois la lumière de la pièce. En une seconde, elle venait de me passer un bandeau en tissu sur les yeux, bandeau qu'elle serra avec vigueur derrière mon cou.

J'étais dans le noir absolu et pour clore le tout, elle me fit tournoyer sur place pour m"enlever définitivement tout repère. Les mains dans le dos, je ne pouvais me protéger et j'étais incapable de me situer dans l'espace de la pièce.

Au bout de quelques secondes, je sentis ses doigts enfoncer avec précision dans mes oreilles, des bouchons auditifs, afin de me priver de tout sens auditif.
Dans le noir et incapable de me diriger, dans un silence forcé qui me faisait bourdonner les oreilles, les mains liées dans le dos pour me priver de tout contact tactile, et pire encore: l'entre jambe écartelé par une trentaine de petits "supplices chinois" qui me forçait à me tenir dans une position grotesque, j'allais devoir subir l'inconnu.....

Ne sachant ou aller et surtout ayant peur de trébucher sur un obstacle, je décidais de rester sur place en attendant je ne sais quoi.

La réponse à mes questions intérieures ne tarda pas à arriver sous la forme une terrible claque sur la fesse droite.
Le claquement mat du bois sur la peau me fit reconnaître l'usage d'une raquette de ping pong ou d'une planchette  à découper. La brûlure sur la tendre peau de mon fessier fut immédiate. La seconde claque me brûla la fesse gauche. Puis les coups se firent réguliers, un coup à gauche , un coup à droite. Puis deux coups à gauche, deux coups à droite.

J'essayais de tourner sur moi même pour me protéger, mais la "fesseuse", se replaçait certainement très vite derrière moi pour continuer à me rougir la peau. En quelques minutes, je venais de recevoir une bonne quarantaine de coups et mes fesses me brûlaient à la limite du supportable.

Lorsque la fessée s'arrêta, je dus me mettre à genoux, tiré en avant par une main inconnue qui me tenait par les cheveux. Une fois à genoux, il me fallut écarter les jambes afin de supporter le paquet de baguettes qui continuaient à me distendre l'anus et que je ne pouvait expulser.

Ma tête fut prise à deux mains par l'inconnu et l'odeur si particulière de la peau féminine me parvint aux narines lorsque projeté vers l'avant ma bouche entra en contact avec un sexe féminin.

- Lèche et donne moi du plaisir si tu veux gagner ta liberté.

L'inconnue devait être assise sur un tabouret car je devinais ses jambes écartées au maximum et mon menton entra en contact avec ce qui devait être le siège du tabouret.
Les mains, qui n'avaient pas lâché ma tête, me guidaient vers le sexe humide. Les poils pubiens étaient nombreux et mon nez pouvait sentir leur odeur forte, odeur d'une femme d'âge mur. J'enfonçais ma langue dans cette humidité aux goûts salés et sucrés et les premiers signes du plaisir se collèrent sur ma bouche. La liqueur vaginale de l'inconnue m'emplissait la bouche, et persuadé d'être sur la bonne voie pour obtenir une récompense ou un sursit, je continuais à la fouiller avec ma langue.
Malgré les crampes qui commençaient à menacer de s'installer sur mes mâchoires, je continuais à planter ma langue dans cet univers chaux et humide.

L'odeur caractéristique de l'orgasme féminin m'emplit les narines et je reçus pour toute récompense un flot de liqueur chaude et salée sur le visage et dans la bouche. je n'avais jamais connu une telle abondance de liqueur vaginale lors d'un orgasme féminin et j'avais la bouche aussi pleine que si j'avais bu un verre de 25 centilitres. Pour ne pas risquer des représailles, je me hâtais d'avaler le liquide pour continuer à la satisfaire.
Les ongles plantés dans mes cheveux, m'intimaient l'ordre de continuer à lui donner du plaisir.

Elle changea de position et me dirigea la bouche vers sa rosette, que je reconnu à cause de l'odeur aigre et acide qui s'en dégageait. Le nez enfoncé maintenant dans son sexe, je devais lui lécher l'anus sous peine de voir tout mon travail être anéanti. Je surmontais ma nausée et mon dégoût et commençait à enfoncer ma langue dans son anus. Les mains appuyèrent bien fort sur ma tête pour bien me faire comprendre qu'il me fallait continuer dans cette voie. Les jambes se serraient autour de mon visage comme pour mieux faire venir le plaisir et la jouissance. Ma langue continuait son travail et je me forçais à ne plus penser à mon anus et à mes fesses qui me brûlaient terriblement.
Lorsque les tremblements de jouissances secouèrent ma tête, je compris que j'avais gagné et avait réussi à lui donné ce plaisir qu'elle m'avait forcé à lui donner.

Son orgasme venu, elle me repoussa en arrière, sans pour autant enlever ses ongles plantés dans mon crane.
Pris d'un spasme incontrôlable, elle me plaqua à nouveau le visage sur son sexe et secoua ma tête dans tous les sens, plantant mon nez au beau milieu de son vagin, et serrant de toutes ses forces ses cuisses autour de mon visage. Je dus rester de longues minutes dans cette position ou j'arrivais à peine à respirer tant son étreinte était forte. Lorsqu'elle fut déinitivement satisfaite, elle écarta les cuisses pour me libérer.

Je pus péniblement me remettre debout.................

Suite à venir prochainement.


Par gigipanpan
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