LE PAYS DES BIZOUNOURS
LE PAYS DES BIZOUNOURS
Ma vie à St Joseph (1ère partie : première rentrée)
Je me prénomme Antoine, j'ai été pensionnaire dans une institution très sévère de la 6° à la T°L. Je vous propose de vous narrer ma vie dans ce pensionnat.
Nous somme en septembre 1989. J'entre en 6°. Mes parents, des bourgeois de la région bordelaise, ont décidé de me mettre en pension. Ils disent qu'au vu de mes résultats scolaires en primaire, et de mon manque de motivation, c'est la meilleur des solutions. Au mois de mai, nous avons eu rendez-vous avec le directeur de l'établissement. C'est une école privé catholique. Un petit séminaire. Le directeur, le père Kirchen, nous a reçus. Il a expliqué à mes parents que pour une instruction, un enfant avait besoin d'une discipline stricte avec des sanctions adéquates. Que les châtiments corporels et que les punitions sévères sont la meilleure façon d'éduquer un jeune et de lui inculquer la notion du travail. Mes parents ont approuvé et moi j'ai passé mes vacances à penser à l'horreur qui aller m'attendre à la rentrée. Nous avons reçu le courrier de rentrée. Je fus surpris car il était précisé que nous ne devions pas apporter d'affaire personnel, que tout était fourni par l'institution.
Le jour de la rentrée, une fois que tous les élèves furent arrivés, le directeur nous accueille. Il nous rappelle le règlement puis on nous réunit par division. Il y a trois divisions. La communauté des petits (6°/5°), la communauté des moyens (4°/3°) et la communauté des grands (lycée). Là, notre préfet de discipline, le père Désbien, se présente à nous. Il est assisté de deux surveillants. Un pour les 5° Monsieur Perry et un pour nous les 6° Monsieur Wendling. Le préfet, nous rappelle les règles, nous présente son martinet et son paddle, et nous indique que les surveillants ont aussi le droit de correction. Nous somme ensuite appelé par ordre alphabétique chaque niveau (6° et 5°) d'un coté. On nous coupe les cheveux bien courts, bien dégagé derrière les oreilles, puis on nous remet notre trousseau. Il se compose d'abord de nos uniformes. Le premier pour certaines occasions culotte anglaise classique en flanelle grise, chemise blanche, blazer bleu marine. L'uniforme classique de tous les jours. 2 Culottes anglaises classiques en velours côtelé bleu marine, 2 chemises blanches. 2 pulls en V couleur bleu marine. 7 slips blancs marqués pour chaque jour. 7 tricots de corps marcel blanc marqué aussi pour chaque jour. 7 paires de chaussettes noires. 7 gants de toilette 1 par jour.1 blouse bleu boutonnage sur le coté. 1 paire de chaussure basses noires et 1 paire de chaussure noires montantes. 1 paire de chausson. 1 Duffle-coat bleu marine. 2 serviettes de toilettes. Une trousse de toilette composée d'un savon, 1 flacon de shampoing, 1 tube de dentifrice, une brosse à dent, 1 coupe ongles. Nos affaires scolaires. Un micelle, et une bible. On prend notre valise, et on se met en rang. Direction les dortoirs. Celui des 5° et au second, le notre au 3°. Dés que l'on rentre, on arrive dans la salle d'eau. Une soixantaine de lavabos et d'armoires alignés sur 6 rangées. Sur chaque armoire notre nom et notre classe est indiqué. Dans l'armoire on y trouve une paire de drap blanc que l'on doit sortir. On doit ensuite ranger nos affaires dans cette armoire et mettre notre 1er uniforme. Nous arrivons ensuite dans le dortoir. 65 lits sont alignés en 2 rangée face à face. En face de chaque lit un bureau ou nous devons ranger nos affaires scolaires. Ensuite on doit mettre les vêtements dans lesquels on est venu dans un sac qui est placé dans un cagibi, puis nous retournons dans la cours en rang pour une inspection du directeur.
A notre arrivée, la division des petits s'installe à droite alignée. A notre gauche aligné de profil a par rapport à nous les moyens dans la même tenue que nous et en face les lycéens avec a peu prés la même tenue. Mais sont en pantalons.
Nous nous rendons ensuite au réfectoire. Le préfet nous a prévenus que nous devons garder notre uniforme propre car il ne sera pas laver maintenant. On nous sert une salade de tomates en entrée. Ca ne loupe pas. Pierre, mon voisin d'en face, renverse une tomate sur sa culotte. Le préfet le remarque, il l'attrape par l'oreille, le traine au milieu de la pièce. Il lui baisse sa culotte et son slip. Il prend une chaise, s'assoit dessus, il le couche sur ses genoux, relève son blazer et commence à le fessé. Pan, pan, pan, Pierre tente de se protéger le postérieur avec ses mains. Le père Desbiens lui ordonne de mettre les mains sur la tête. Il s'exécute et l'homme en soutane reprend le châtiment. Après une dizaine de claques bien sonnantes, mon ami se protège à nouveau. L'abbé le relevé alors et se dirige vers la porte. Il prend alors sur une étagère de la ficèle.
Il se dirige ensuite vers Pierre et lui noue les poignets solidement. Il le recouche ensuite sur ses genoux et lui assène une nouvelle série de coup. Clak, clak clak ! Son cul rougi à vue d'œil.
Le préfet est expert. Il va de fesse en fesses avec une régularité de métronome et une force ardente. Mon camarade, a les larmes qui lui perlent aux yeux. Nous assistons à la scène et nous comprenons vite que ce qui nous a été expliqué s'applique à la moindre occasion. Je me dis que je vais tout faire pour me montrer très obéissant et je plains le pauvre Pierre que je trouve très sympathique. Au bout de 5 minutes environ, le supplice s'arrête. Il lui signifie qu'il devra copier 3 pages de la sainte bible le soir même et qu'il doit rester les mains sur la tête au centre du réfectoire. Nous poursuivons le repas avec comme vue le cul tout rouge de notre camarde. Le repas se poursuit ainsi et au moment du plat principal, une élève de 5°, qui se prénomme François affirme qu'il déteste les choux Bruxelles et refuse don de manger ceux qui nous sont servis. Le préfet l'oblige à les mangé jusqu'au dernier, puis il le conduit par l'oreille au centre du réfectoire lui baisse culotte et slip, le courbe sur la chaise et lui donne le martinet. Les coups pleuvent à toute volée. Il encaisse les coups stoïquement dans un premier temps.
Mais la rage avec laquelle ils sont donnés le fait vite pleurer et crier. Il a les fesses striées et le préfet ne ménage pas sa peine dans la correction. Nous somme tremblants en assistant à cette démonstration. Il sait parfaitement manier cet instrument de torture. Il le lève bien haut et le fait retomber avec force sur les fesses du pauvre François. A la fin de la sanction, François rejoint Pierre au centre les mains sur la tête. Le repas se termine tranquillement. A la fin, nous devons rester debout silencieusement. Pauvre de moi, j'oublie vite cette consigne et demande je ne sais quelle bêtise à mon voisin. Vu et pris et pan, c'est à moi de tâter du martinet. L'abée Desbiens me baisse à mon tour ma culotte et mon petit slip blanc, me courbe sur la table et vlan me donne un premier coup de martinet. Moi qui n'est reçu qu'une raclée dans ma vie, et encore à la main, j'hurle immédiatement. Schlack, AAAAAAAAAIeeeeeeeeee. Ca me brule. Schlack, Schlack, Schlack, les coups s'enchainent avec force. Je pleure. Après une bonne vingtaine de coups, j'ai le cul en feu. Je suis enfin autorisé à me rhabiller. Ouf j'ai évité l'humiliation d'être exposé comme mes camarades. Les autres vont en récréation. Nous, nous devons nettoyer la cantine. Une fois terminé la récré et terminée. Nous nous rangeons avec les autres.
Le préfet nous informe, Pierre, François et moi que nous ferons notre punition après les douches. Qu'en attendant, nous suivons les autres. Arrivé au dortoir, nous devons tous nous mettre en slip et torse nu. Trousse de toilette, pyjama et serviette à la main, nous devons nous mettre en rang et attendre l'arrivée du préfet. Il commence les douches par nous les 6°. A son arrivée, nous descendons en silence. Le seul bruit autorisé et le glissement des chaussons sur le marbre. Les douches sont au rez de chaussé. Dés que nous y somme parvenu, nous sommes dans l'obligation de nous asseoir sur des bancs, placés dans le centre de la pièce. Il y a 12 douches. 6 de chaque cotés. Elles sont individuelles, séparées par un mur mais sans porte ni rideau. Si bien que le préfet peut nous observer et voir si nous nous lavons correctement. La douche se déroule ainsi. On se met nu. On dépose serviette et trousse de toilette sur le crochet prévu à cet effet. On range le slip salle dans la trousse de toilette. On se met sous la pomme de douche. Le préfet allume l'eau. Elle plus froide que tiède. Puis il coupe l'eau. On doit se laver les cheveux avec le shampoing. Il remet l'eau. On se rince. Puis on doit se savonner tous le corps avec le savon et le gant de toilette. On doit se frotter parfaitement sans oublier de décalotter notre sexe.
Ensuite le préfet, remet l'eau. On se rince. On s'essuie et après avoir enfilé notre pyjama, nous retournons nous asseoir. Cela dure environ 10 minutes. Quand tous le monde est passé, nous remontons en silence. Mais pour cette fois, Pierre et moi sommes invités à attendre mains sur la tête au coin. Il redescend 5 minutes plus tard avec les 5° et renouvelle l'opération.
Une fois les douches des 5° terminées. Nous montons à son bureau. Il nous indique les pages de la bible à copier. Nous montons la chercher ainsi que des feuilles et un stylo. Puis nous rejoignons la salle de punition située prés de son bureau. A 20h30, il nous dit de monter pour la prière au dortoir. Nous sommes tous agenouillé prés de notre lit. Nous sommes sous la surveillance de monsieur Wendling.
Après la démonstration du repas, personne n'ose faire le pitre et tout ce passe pour le mieux. A la fin de la prière nous retournons finir nos lignes. Nous terminons à 22h. Nous allons nous coucher en silence. Les autres dorment depuis une heure. Nous devons dormir sur le dos les mains sur les couvertures.
Le lendemain matin réveil à 6H. Nous devons faire notre toilette, nous habiller et nous coiffer. On descend à la messe puis petit déjeuner retour au dortoir, brossage des dents, réfection des lits au carré. On se range et on va en cours. On découvre l'ensemble de nos professeurs. Tous nous disent que si le besoin s'en fait sentir, ils n'hésiteront pas à utilisé les châtiments corporels. On est fixé. Cette première journée se passe tout de même sans embuche.
C'était ma première rentrée, dans les prochains épisodes je vous raconterai la suite.
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Ma vie à St Joseph (2ème partie : La 6°)
Outre la correction que j'ai reçue le jour de mon entrée en sixième, j'en ai reçue 5 autres durant cette année scolaire.
La première a lieu peu avant les vacances de toussaint. Donc peu avant mon retour à la maison puisse qui nous ne rentrons qu'aux vacances. C'est samedi. Une semaine avant de rentrer. Nous sommes en promenades avec l'ensemble de la division. Les 6° et les 5° réuni donc. Sauf les collés bien-sur ! Nous sommes avec notre préfet, le père Desbien et Monsieur Perry le surveillant des 5°. Monsieur Wendling notre surveillant est resté au collège avec les punis. Nous marchons en rang par deux. Nous somme avec nos uniformes de « tous les jours ». Culotte anglaise classique en velours côtelé bleu marine, chemise blanche, pull en V couleur bleu marine en dessous marcel du samedi et slip du samedi. Nous avons aussi nos Duffle-coat bleu marine car il fait déjà froid.
Arrivé dans une clairière ou nous avons l'habitude de nous rendre, nous somme libre de nous amusé un peu. Une demi-heure en fait. Après ce petit temps de récréation nous devons de nouveau non mettre en rang et l'appel et fait par le préfet. Mais ce jour là mon ami Lucas et moi somme absents. Nous avons disparu. On s'est t un peu trop éloigné dans le bois qui entoure la clairière. On n'a pas vu l'heure. Monsieur Perry et le père Desbien nous appelle. On les entend mais on ne trouve pas la sortie du bois. On s'est tout bonnement perdu. On crie, à notre tour mais visiblement personne ne nous entend. On bout d'un petit moment, le surveillant nous retrouve, nous sort du bois en nous tirant par l'oreille et on se retrouve devant l'abbé furibard. 3 claques sur les cuisses à chacun et la confirmation de la certitude que nous serions corrigés sévèrement à notre retour à l'école et le groupe et nous pouvons reprendre le chemin du retour.
Arrivé à St Joseph, tandis que l'ensemble de nos camarades se dirigent vers le réfectoire pour prendre leur goûter, Lucas et moi devons nous rendre au bureau du père Desbien. Il est toujours dans une immense colère. Il nous reproche le fait que l'on est fait perdre du temps au groupe. Il nous soupçonne de l'avoir fait exprès. Nous dit que cela va nous couter cher. Il se saisi de son paddle et nous ordonne ne baisser notre culotte et notre slip. Il ordonne ensuite à Lucas de se tenir a genoux les mains sur la tête prés de son bureau. Quand à moi, je dois prendre appui sur les accoudoirs d'un des fauteuils, monter mes fesses et écarter les cuisses légèrement. Il me remonta ma chemise aux hanches pour bien dégager mes fesses.
« Tu compte chaque coups. Tu vas en recevoir 30. Si tu te redresse, que tu bouge ou si tu cherche à te protéger, je recommence à zéro. C'est bien compris mon garçon. »
« Oui Monsieur. » Je me tiens prés. Je ne sais pas ce qui m'attend, mais je doute que cela va être douloureux.
Il se place à ma gauche, Lucas observe la situation. Le préfet lève son bras bien haut. Je me crispe un peu. Clac. Je pousse un cri et tiens fermement les accoudoirs pour ne pas me redresser. « Un » le deuxième coup tombe. La douleur est vive déjà. Lucas qui observe la situation à l'air de compatir. Il faut dire que son tour viendra ensuite. « Deux ». Le troisième coup me fait horriblement souffrir en atterrissant sur mes cuisses. Je me demande comment je vais tenir les 27 coups suivants. « Trois ». J'ai des sanglots dans la voix. Je pleure déjà à chaudes larmes. Le 4° coup s'abat au même endroit. Ca me lance énormément. « Quatre » j'ai du mal a articulé, je m'affaisse. Il me dit de me redresser. J'obéis avec bien du mal. Les coups s'enchainent et la douleur est toujours aussi drue. 5,6, 7, 8, 9,10.... Mes fesses sont brulantes et cramoisie. 11, 12, 13, 14, 15,16.... Je compte toujours mes j'ai de plus en plus de mal à cause de la douleur et des larmes. Finalement je réussi à encaissé les derniers coups. Mais je fini en fort sanglot. Mes fesses et mes cuisses me font horriblement souffrir. Je dois encore prendre la place de Lucas qui prend la mienne. J'assiste à mon tour à sa raclée. Il à l'air de souffrir autant que moi mais résiste également. Pendant que nos camarades profitent de la récréation, nous restons au piquet dans le bureau du préfet. A 17h10, nous regagnons l'étude avec les autres. Mais ce soir après la douche nous devrons encore copier 3 pages de la bible et demain dimanche nous serons consigné. Nous serons de corvées pour cirer les parquets de l'institution.
La suivante eu lieu peu de temps après. Juste après les congés de toussaint. Pendant le cours de mathématiques de Monsieur Lambercier. Au lieu d'écouter et de reprendre sagement la leçon, je préfère m'intéresser à la bande dessinée que mon parrain m'a offert pendant les vacances. Mais bon voilà, je ne suis pas très discret, le professeur me remarque et sans que je ne le voie venir m'assène une violente claque derrière la tête. Il me prend mon livre, m'en donne un coup sur la tête et me tire par l'oreille sur l'estrade.
« Monsieur si mon cours vous dérange je vais vous l'inculquer autrement. » Il me baisse culotte et slip. Prend sa baguette qu'il laisse toujours bien en vue sur le bureau. Pose son pied sur sa chaise. Me courbe par-dessus sa jambe et me fouette le cul avec fureur et rapidité. Je reçois en vingtaine de coups en moins de deux minutes. Je me relève avec les fesses striées et une douleur vive mais bien plus supportable qu'après le paddle du préfet. Je finis au piquet avec la consigne de rattraper le cours pour le lendemain. Bref du travail en plus mais je m'en sors bien car il n'en parlera pas au père Desbien.
La troisième je l'ai reçue au moi de février. J'étais bien calmé après les 2 corrections reçues en peu de temps. Mais ce jour là j'étais très excité. Je me suis déjà pris deux claques sur les cuisses et une sur le derrière de la tête par notre surveillant Monsieur Wendling, accompagnées par 2 pages à copier, mais je ne me calme pas. Je ne fais que rigoler, faire le pitre. Si bien que le surveillant en a marre et m'envoie chez le préfet.
Je n'en mène pas large en frappant à la porte du bureau. Je prends mon courage à deux mains. Toc, Toc, Toc. Personne. Il est encore aux douches avec les 5°. Ouf. Je remonte au dortoir. Wendling toujours énervé me renvois et me dit de l'attendre. Et mince je ne peux pas y échapper. Toc, toc, toc. Toujours pas là. Je patiente. Au bout d'un petit moment, il fait son apparition.
Que fais tu là Antoine ?
Ben heu...
Allez répond !
Ben voila mon père, c'est Monsieur Wendling qui m'envoie
Il ne me répond pas. Il ouvre sa porte, va s'assoir à son bureau. Je n'ose pas entrer et patiente prés de la porte. Il se met à consulter des documents et ne prête pas attention à moi. Puis au bout de cinq minutes, il le relève la tête, me fixe, puis me dit d'entrée.
Et pourquoi t'envois t'il ici ?
« Ben heu... Voilà. Je ne suis pas très obéissant mon père. » je préfère être franc, j'ose espérer ainsi sa clémence.
Il ne me répond rien. Il allume une cigarette. Et reprend la consultation de ses documents. Je reste devant son bureau, penaud, tête baissée et je me demande ce qui va me tomber dessus. Cinq minutes s'écoulent encore.
Alors, explique toi me dit il
Je fais des bêtises, je n'écoute pas malgré les punitions mon père
Alors c'est que ce n'est pas suffisant. Répondit-il en éteignant son mégot.
Je suis calmé maintenant mon père.
Je vais m'en assurer.
Il se lève, martinet en main, et Schlack, Schlack, Schlack me donne trois coups sur les mollets avant de me baisser le pantalon de pyjama. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me retrouve couché sur l'accoudoir d'un des fauteuils. Et Schlack la raclée commence. Mes fesses, mes cuisses, mes jambes, mon petit corps est meurtri par les lanières de ce satané martinet qui s'abattent violement sur moi. Il frappe comme toujours avec intensité. Comme à chaque fois je ne peux retenir mes larmes. Je le supplie d'arrêter, lui promet d'être sage, mais cela ne change rien, il continu de me punir. La sanction finie quand même au bout de 10 minutes. J'ai les fesses en feu, j'ai mal, je pleure et baisse la tête. Il me remonte au dortoir. Me fait prendre ma bible et m'installe dans la salle des punis avec 3 pages à copier.
Je suis calme, jusqu'au moi de mai. Début mai. J'ai ramené du chocolat de la maison. Au lieu de le mettre dans mon tiroir, au réfectoire, je l'ai caché dans mon armoire au dortoir. Ce qui est interdit. Il nous a été clairement signifié au début de l'année que la nourriture devait rester au réfectoire. Tous ceux qui se sont fait attraper ont été punis. Moi, cela fait une semaine que je berne tous le monde. Tous les soirs je mange mes deux carrés de chocolat après l'extinction des feux. Aujourd'hui pas de chance, Monsieur Wendling viens de trouver ma dernière plaque dans l'armoire. Il m'appelle. Il me gronde et m'envois copier 200 fois je respecte le règlement. Il a été cool. Il ne m'a pas frappé. Mais par malchance, le préfet passe par là et il me voit entrain de gratter. Il me demande ce que je fais là. Je lui réponds. Il me dit de me lever. Il prend ma place sur la chaise. Me baisse ma culotte de pyjama, me couche sur ses genoux. Il relève la veste du pyjama. Pan, Pan, Pan il me fesse sans ménageant. Il ma bien caler, je ne peux pas bouger. Je dois subir le châtiment, je n'ai pas le choix. C'est la première fois que le père Desbien me donne la fessée à la main. C'est seulement ma Deuxième fessée à la main, après celle une fois de mon père. Cela fait nettement moins mal que celle au martinet ou au paddle, mais c'est tout de même bien douloureux. Je reçois une vingtaine de claque sur les fesses et le haut des cuisses. Il double ma punition. J'en ai jusqu'à 23H.
La dernière enfin a lieu début juin. Pendant le cours de mademoiselle Boisseau notre professeur de musique. Il fait très chaud, les fenêtres sont ouvertes. Dehors les 5°1 sont en sport. Je vois mon ami Pierre. Et comme je m'ennui à mourir pendant cette dictée musicale, je l'appelle et je lui fais de grands signes. ANTOINE APPROCHE me crie mon professeur. Je m'exécute. Je m'avance tout penaud, la tête baissée. Schlack, Schlack. Une paire de gifle bien sonnante me tombe sur les deux joues. Je dois allez au coin. A la fin de l'heure, Mademoiselle Boisseau me demande de rester. Elle m'ordonne de baisser ma culotte et mon slip. Je le fais. Elle me courbe contre le bureau et me donne 5 coups de paddle. Elle les a donnés gentiment. Je n'ai pas trop mal. Je me rhabille, la remercie et pars rejoindre mes camarades. Cette dernière fessée ne me laisse pas trop de marque si ce n'est le fait que ma prof est vue mon petit oiseau.
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Ma vie à St Joseph (3ème partie : La 5°)
Cette année là j'ai reçu 5 corrections...
Rien n'a vraiment changé depuis l'an dernier si ce n'est que Monsieur Wendling notre surveillant de 6° à été remplacé par Monsieur Héder. Mais bon ca je m'en moque je suis passé en 5°. Le préfet et toujours le père Desbien, et le surveillant des 5°, donc mon surveillant et toujours Monsieur Perry. J'ai de nouveau profs, des anciens, enfin comme tous les collégiens. Enfin les règles n'on pas du tout changée.
Je suis resté un élève sage et brillant, toutefois, après deux semaines, Grégory un nouveau qui ne pense qu'à embêter les autres m'a cherché pendant la récré du soir. Si bien que je n'ai pu m'empêcher de lui mettre un coup de poing dans les dents. Il a les lèvres en sang. Il a le toupet de se plaindre à un surveillant, qui m'envoie immédiatement chez le préfet. Je tente de m'expliquer, mais il ne veut rien savoir. « On ne frappe pas les autres ». Mais lui il va me frapper. Je prends position sur les accoudoirs d'un des fauteuils du bureau. Il prend le martinet et s'approche de moi. Il me baisse ma culotte, puis mon slip. Je sais que vais morfler. Je n'ai pas oublié la douleur que cela procure.
Schlack ! Aouh. Schlack ! Schlack ! Schlack ! AIEEEEE ! Les larmes commencent à couler et je sais très bien qu'il ne sert à rien de demander pitié. Schlack ! Schlack ! Schlack ! AAAAHH ! Mes fesses ! Le haut de mes cuisses ! Tout y passe. Il me fouette vite et fort. Je hurle et me tient solidement aux accoudoirs pour ne pas me redresser et recevoir encore plus. Schlack ! Schlack ! Schlack ! Je pleurs et je cris. J'ai mal ! Ca me brûles, j'ai l'impression que fesses sont complètement en feu ! Après une trentaine de cinglés, le père Desbien m'ordonne de me rhabiller et m'annonce que je serai en retenue samedi. Je sais que c'est la faute de ce Grégory que tous le monde déteste au pensionnat et me promet de me venger.
La suivante à eu lieu en novembre. Depuis un certain temps mon camarade Victor et moi avons pris l'habitude d'arriver en retard en cours d'histoire géographie. Cela nous amuse car monsieur Triballait notre enseignant, ne nous punis pas pour cela mais ralle après pendant une bonne dizaine de minutes. On ne comprend rien, il marmonne. Après on s'amuse à l'imitait en récréation. Mais là on du dépasser les bornes. Et on comprend très bien que nous irons chez le directeur à la fin du cours avec lui.
J'ai le cœur qui bat à 200 km/heure et le ventre noué quand on arrive devant la porte du père Kirchen, le directeur. Notre professeur explique la situation. Le Directeur nous fixe Victor et moi. Il nous demande des explications que nous sommes bien incapables de lui donner. Monsieur Triballait quitte la pièce sachant très bien ce qu'il va nous arriver. Le père Kirchen nous fait mettre complètement nu dans son bureau et replié parfaitement nos vêtement. Nous devons les poser sur une chaise. Puis il nous indique un coin à chacun, ou nous devons nous tenir droit les mains sur la tête. Après avoir vérifié notre emploi du temps, il nous demande de confirmer que nous avons bien permanence. Nous lui confirmons et il nous indique que nous allons passez cette heure dans ce bureau. Il appel ensuite Victor. Il le couche sur ses genoux. Le maintien parfaitement pour qu'il ne puisse plus bouger et lui donne une fessée monumentale. Il le renvois au coin et c'est à mon tour. Il me prend par la main, me courbe et m'allonge sur ses genoux.
Il se met alors à me claquer les fesses avec vigueur. Les premières claques tombe et je sens direct la douleur. Sa main rebondit sur ma chair, y laissant à chaque coup une brûlure. Après une cinquantaine de coups il me renvois au coin et rappel Victor. Il le fait se courber sur une des chaises qui accueille habituellement ses visiteurs. Il a pris dans son armoire un martinet de grande taille. Il le corrige sèchement puis il retourne au piquet et c'est à moi de déguster. Il commence par me fouetter sèchement mes fesses. La droite, puis la gauche, puis les deux en même temps. Je souffre terriblement ! La sensation, comme des griffures cuisantes, m'oblige à serrer les dents pour ne pas pousser une plainte. Je sais que je ne tiendrais pas longtemps. Il frappe fort et régulièrement. Après un coup particulièrement douloureux, je bouge, mais la Il me promet 10 coups supplémentaire. Je suis résigné à subir la punition tranquillement. Mes fesses me brûlent et chaque nouveau claquement du martinet me fait souffrir encore plus que le précédent. Il fait en sorte que les lanières de cuir me frappent sur l'ensemble du postérieur. Je résiste je ne sais comment. Quand la punition s'achève je suis en larme.
Victor est rappelé et moi je retourne dans mon coin. Il a pris cette fois une canne dans son armoire. Victor reprend la position et prend 20 coups de canne qui le font crier et pleurer à chaude larme. C'est de nouveau à mon tour. Je vais recevoir mes 20 coups aussi. Dés le 1er coup j'hurle. La douleur est intense. Je sens bien la marque strie rouge qui viens décorer mes fesses. La douleur est insupportable pour le 2ème coup. Et de trois c'est horrible. J'ai mal. Quatre, je pleure. Cinq je suis en sanglot et les coups continus de tomber. Six, j'ai l'impression d'être brulé au 3° degré. Sept je me dis que je n'arriverais pas au bout. Huit je chiale comme jamais. Neuf, je soufre le martyr. Dix c'est la moitié de la punition. Je n'en peux plus. Mais il me reste autant à recevoir. Le dirlo ne faibli pas lui. Onze c'est insoutenable. Douze j'hurle de plus belle. Treize je supplie d'arrêter mais rien n'y fait. 14, 15, 16, 17, 18,19 les coups s'enchainent et la douleur est vive et intense je n'en peux plus. Vingt c'est le dernier coup qui rajoute une énième marque a mon derrière brulé. On fini l'heure au piquet avec une lettre d'excuse pour notre professeur à lui remettre pour le lendemain. Pendant trois jours je ne peux dormir que sur le ventre et assis en classe je souffre comme si je recevais encore cette maudite canne en rotin.
La troisième correction à lieu la veille des vacances de noël. Elle m'est donnée par notre prof de sport. Pendant le cours de gymnastique. Je monte à la corde sans que ce soit mon tour puis je fais des galipettes sur le matelas de saut en hauteur. Monsieur Péricard en a marre et devant toute la classe il me baisse mon short et mon slip et il courbe contre lui. Devant toutes la classe je reçois une vingtaine de claque sur le cul. Je ne sais pas si la douleur intense ou la honte me fait le plus mal. Je reçois en prime 2 heures de colles.
En avril la quatrième correction tombe pendant l'étude du soir. Nous sommes un peu après le retour des vacances de pâques. J'ai profité des congés pour ramener des boules puantes que j'ai fait exploser dans les couloirs. Le préfet à mener son enquête. Il a découvert le poteau rose. Il rentre dans le dortoir alors que nous faisons notre travail. Il me fait venir au milieu du couloir. Il a son martinet en main. Il annonce à tous le monde que c'est moi qui ai pété les bombes puantes. Il me dit de baisser ma culotte courte et mon slip. J'obtempère. Il m'annonce ainsi qu'à mes camarades que je vais recevoir maintenant 80 coups de martinet, puis 80 coups au réfectoire ce soir et enfin 80 coups ce soir à son bureau après la prière. Je me mange aussi 4 heures de retenues et 400 lignes à faire ce soir après la correction.
Il me dit de compter et me fait prendre appui sur une des palissades du dortoir. J'écarte les jambes. Les premiers coups tombent et me font déjà souffrir. Il enchaine. Les fesses, les cuisses, les mollets. Les cinglées sont fortes et données sans retenue. Je crie, je pleure, je transpire, renifle. A la fin je suis soulagé que cela se termine mais je sais que je vais de nouveau subir au repas.
Arrivé au réfectoire le préfet me fait mettre à genoux sur une règle en fer au milieu de la pièce. Les mains sur la tête. Pendant que mes camarades mangent, je reste ainsi. Quand ils ont finis je prends position appuyé, courbé sur une chaise. L'abbé Desbiens à pris son martinet. L'ouragan se déchaine, des allers et retours de folie me cingle les côtés, les fesses, le bas du dos. Je sursaute, à chaque coup imbriqué et les coups pleuvent encore sur mes cuisses et mes jambes et mes fesses. Je suis en larme, mes lèvres tremblent, je renifle comme un bambin mal mouché. Cette correction à bien réveillé les morsures de la précédente correction, mes cuisses et mon cul sont en feu, comme broyés par une meule de clous.
A la douche je vois biens les morsures et les marques. Le savon me brule quand je frotte. Après la prière je me retrouve au bureau. Appuyé sur le bureau je reçois 80 coups de nouveau qui me mon hurler et pleurer de nouveau. Je me couche avec les fesses, les cuisses et les mollets cramoisis. J'ai les marques et j'ai mal pendant plusieurs jours après.
La dernière à lieu en mai. Après avoir crié en étude, le surveillant décide de m'envoyer chez le préfet ne voulant pas s'énervé et faire un exemple car nous nous somme excités par la chaleur. Fort heureusement le préfet et dans un bon jour. Il ne me punit que par une fessée à la main. Il se lève de son bureau, prend une chaise et vient s'asseoir devant moi et je dois me coucher sur ses cuisses. Il me dit de garder mes mains sur la tête. Je suis prêt à encaisser ma première claque. Et elle ne se fait pas attendre. Fesse gauche, fesse droite. 1, 2. Je suis surpris mais je n'ai pas vraiment mal. Puis assez rapidement suivent la 3, la 4 et la 5. Elles sont plus fortes mais je tiens très bien le coup. La 6ème me tombe sur le haut de la cuisse gauche, suivie directement par la 7ème sur l'autre cuisse,. Elles sont plus fortes, la douleur persiste cette fois.. 8, 9, 10 et 11 sur mes fesses. Ca chauffe, j'ai mal maintenant. Les coups sont si rapprochés que je ne sais plus digérer la douleur entre les fessées. 12, 13, 14 et 15 sont pour mes cuisses,. J'ai très mal maintenant, j'ai les larmes aux yeux. Et puis la 16ème est terrible. Je crie de douleur, je me débats, je gigote, je veux me protéger de la suivante. Le père Desbiens m'ordonne de reprendre la position. Je sanglote, je demande pardon. Mais rien n'y fait. Il me dit simplement que j'en recevrai 5 de plus parce que je me suis protégé. Et puis il accélère le rythme 17, 18, 19, 20, 21, 22. Six claques d'affilée.
Je pleure, je renifle. J'ai mal. Je demande pardon. Mes fesses sont chaudes et sûrement rouge. Il recommence et frappe encore plus fort et si vite que je n'ai pas le temps de cabrer mes muscles des fesses. Les 8 dernières sont données à toute volée. Je crie, je pleure,. La punition est terminée. J'ai très mal. Je suis très humilié.
Je demande pardon et monte me coucher.
C’est une jolie fille, Ingrid avec ses longs cheveux châtains, pas très grande, mais sur ses talons hauts cela ne se voyait pas, Jérémie avait mis du temps à la remarquer, ou plutôt il ne s’était mis à s’intéresser à elle que par défaut, après avoir découragé les autres filles avec qui il était sorti.
Depuis le temps qu’il cherchait quelqu’un pour le ligoter, il n’avait jamais trouvé une fille que cela tentait vraiment, en fait c’était plutôt elles qui demandaient à l’être.
Ingrid avait un air sérieux, un peu revêche, qui l’avait rebuté au départ, et il ne devait pas être le seul : elle n’avait pas de copine, encore moins de petit ami. Après quelques approches elle s’était montrée plutôt d’un abord facile, et ce soir, il était content d’être chez elle à ses cotés, plus ou moins à écouter de la musique sur le canapé.
Elle resta de marbre quand il commença à lui passer la main sur les cuisses, puis quand il l’enlaça, elle lui lança un petit sourire, qui sans le décourager ne l’incita pas à aller beaucoup plus loin. Il se dit que finalement, il valait mieux tenter le tout pour le tout et lui avouer son désir :
Le samedi à 14 heures, Jeremy se présenta au domicile d’Ingrid, avec, à la main, la petite mallette dans laquelle il enfermait à clef tous ses accessoires.
Ingrid lui ouvrit rapidement la porte et, après lui avoir distraitement dit bonjour l’entraîna vers le salon.
Un peu gêné par cette attitude, Jeremy ouvrit sa mallette et en sortit son petit matériel qu’il étala sur la table basse du salon : d’abord ses cordes blanches, de plusieurs longueurs, un bâillon boule, quelques foulards, un large collier rouge et la laisse assortie.
Ingrid prit le collier et la laisse dans ses mains et se mit réfléchir, elle les reposa puis se saisit ensuite du ceinturon, des bracelets, d’une corde, les reposa sur la table d’un air songeur.
Retournant derrière lui, elle lui saisit les poignets et, les soulevant légèrement d’une main, plaça dans les maillons des menottes un cadenas qu’elle referma sur un anneau du ceinturon. Elle retourna vers la table basse et Jeremy la vit fouiller dans les cordes.
A la fois excité et inquiet, Jeremy obéit servilement et pliant les genoux il se laissa tomber à terre aux pieds d’Ingrid. Celle ci repassa derrière lui, il l’entendit fouiller sur la table et sentit bientôt les bracelets de cuir se refermer sur ses chevilles. Il sentit qu’Ingrid restait derrière lui et comprit au bout d’un moment qu’elle lui passait une corde prise dans les bracelets. Elle glissa rapidement la corde entre ses jambes et la repoussa devant lui. Il l’entendit enfin se relever. Il allait parler quand il sentit quelque chose passer sur son cou et baissant la tète, il vit les mains d’Ingrid lui passer le collier autour du cou et le refermer devant lui. Elle le contourna et vint se poster devant lui, se baissant légèrement elle attrapa la corde de ses chevilles et, tirant légèrement dessus, la fit passer dans un anneau du collier qui se trouvait juste sous son menton.
Ingrid se redressa et s’éloignant un peu contempla son travail avec un air à la fois sévère et distant. Jeremy voulu se relever mais la corde à son cou se tendit aussitôt, l’obligeant à rester assis sur ses talons
Elle se mit devant lui, la laisse à la main et Jeremy vit un sourire moqueur apparaître sur ses lèvres
Elle se mit à tirer sur la laisse et Jeremy dut la suivre, se traînant par terre, à la fois excité et gêné de sa situation. Elle lui fit faire le tour de la table en tirant régulièrement sur sa laisse, se moquant de lui parce qu’il n’avançait pas
Au lieu de le faire revenir vers le canapé, elle le dirigea vers la cuisine. Contournant la table, elle l’entraîna dans un coin de la pièce et fixa sa laisse au radiateur à l’aide du mousqueton.
Jeremy la vit se diriger vers le placard de la cuisine et en sortir d’abord un saladier puis une boite de céréale
Ingrid, versa d’abord les céréales, puis se dirigea vers le réfrigérateur, y prit une bouteille de lait qu’elle versa à son tour dans le saladier. Se dirigeant vers Jeremy, elle déposa sous son nez le saladier plein
Jeremy baissa la tète vers le saladier, jeta un coup d’œil à la jeun fille qui le regardait de loin en souriant.
Ne sachant trop quoi faire mais excité quand même, il baissa la tète dans le saladier et se mit à avaler comme il put les céréales gorgées de lait, il avait du mal à manger, le lait lui coulait sur le menton.
Pendant qu’il mangeait Jeremy la vit s’éloigner vers le salon et il resta seul dans la cuisine. Un peu indécis face à l’attitude ambiguë d’Ingrid, il continuait à avaler sa nourriture quand il entendit tout à coup, un bruit de voiture, juste devant la maison, suivi de celui d’une portière qu’on claque. Terrifié, il releva la tète et appela Ingrid :
Celle ci ne répondit pas. Il tira de toutes ses forces sur sa laisse mais elle ne bougea pas, fixée qu’elle était au radiateur. Il entendit bientôt la porte d’entrée s’ouvrir et quelques instant plus tard, la mère d’Ingrid entrait dans la cuisine, deux sacs de courses à la main.
Elle resta interdite devant le spectacle de Jeremy, attaché à son radiateur, à genoux devant son plat de céréales.
Jeremy l’entendit claquer à nouveau les portières et elle revint quelques instants plus tard, deux autres sacs à la main
Sans prêter aucune attention à Jeremy, elle se mit à ranger les courses sans les placards de la cuisine, celui ci, paniqué et rouge de honte ne savait quoi faire.
Jeremy n’osa la regarder tellement il avait honte et baissa la tète dans le saladier qu’il finit sous le regard insistant de la mère d’Ingrid
Sans répondre, sa mère détacha la laisse de Jeremy et tirant dessus sans ménagement, le fit sortir de la cuisine. Il avança ainsi péniblement jusqu’au canapé ou Ingrid feuilletait une revue. Elle tourna à peine la tète quand ils arrivèrent à coté d’elle.
Celle ci ne se fit pas prier et accrocha la laisse à l’accoudoir. Laissant là, Jeremy elle vint s’asseoir à coté de sa fille et elles se mirent à discuter sans plus s’occuper de lui. Son excitation commença à baisser pendant qu’elles papotaient et au bout d’un moment, il lui parut opportun de leur rappeler sa présence
Ingrid resta songeuse quelques instants, puis se leva et se mit à faire le tour du salon. elle resta accoudée un moment au rebord de la cheminée, baissa tout à coup la tète, regarda fixement le foyer pendant un bon moment, puis d’un seul coup releva la tète vers sa mère
- mais, fit il, vous ne pouvez pas faire ca…
Sans lui répondre, la mère de Jeremy s’éloigna. Il la vit chercher un numéro dans l’annuaire et quelques instants plus tard, elle téléphonait chez lui pour prévenir qu’il resterait chez elle pour la nuit. pendant ce temps, Ingrid était allée chercher un appareil photo.
Ingrid avait immédiatement commencé à m'attacher à la barre d'écartement. Me passant les chevilles dans les deux colliers de cuir noir pour maintenir mes jambes en position décartement maximal.
Elle avait récupéré la fine corde et après l'avoir doublée pour plus de sécurité, elle commençat à faire un noeud autour de ma verge. Puis elle passa la corde autour de mes bourses. Elle régla la tension pour que mes jambes soient bien repliées afin d'éviter que je puisses me relever ou même essayer de me retourner, puis elle attacha la corde à l'anneau central qui était soudé au milieu de la barre. Ainsi attaché, je ne pouvais plus allonger les jambes, sous peine de me cisailler les testicules.
Enfin pour finir son oeuvre, elle reliât l'autre bout de la corde à l'anneau du collier de mon coup. Une fois ce coté tendu, il m'était impossible de me détendre complètement. Si je devais conserver toute la nuit cette position, je pouvais m'attendre au pire !!!!
Une fois mon ligotage terminé, je vis la mère d'Ingrid, me prendre en photo sous tous les angles, faisant même des gros plans entre mes cuisses écartelées. Elle photographiait comme une professionnelle les parties les plus secrètes de mon corps, s'attardant sur ma verge et sur mon anuscomplètement dégagé par l'écartèlement de mes jambes.
Certaines que je ne bougerais pas d'un millimètre, les deux dominatrices me laissèrent ainsi en prenant bien soin d'éteindre la pièce.
Nu devant l'insert de la cheminée, je ne risquais pas d'avoir froid.je savais maintenant que j'allais devoir passer toute la nuit dans cette position. Heureusement, Ingrid avait eu la bonne idée de m'attacher les mains non pas dans le dos, mais sur le devant en reliant mes poignets à l'anneau de mon collier. J'avais au moins l'avantage d'avoir le dos qui reposait intégralement sur le sol. Mais je devais m'attendre à passer la nuit sur le dos, car si par miracle j'arrivais à me retourner, j'allais me retrouver à plat ventre dans une position bien plus inconfortable, sans avoir la certitude de ne pas m'arracher les testicules en essayant de me retourner.
Mieux valait prendre mon mal en patience, la nuit serait longue.
Les premières heures, j'essayais de m'endormir, mais bien sur impossible d'y arriver à cause de mes jambes repliées et écartelées, et de ma verge en tension permanente. Chaque fois que par inadvertance, mes jambes cherchaient à se déplier, la corde me rappelait à l'ordre en me tirant sur les testicules.
Au beau milieu de la nuit, fuspris d'une irrésistible envie de faire pipi. je serrais les dents pendant de longues minutes, mais au bout d'un moment, il me fut impossible de me retenir plus longtemps.
Vaincu par le liquide qui comprimait ma vessie, je fus capituler et ne pouvant plus me controler, je me mis à me pisser dessus comme un nouveau né. Incapable de diriger ma verge vers le bas, celle-ci ressemblait à un tuyau d'arrosage livré à lui même. Je m'aspergeais bien involontairement tout le corps et pire encore, le flot continu de mon urine coulait et arrosait le sol de la pièce.
Je devais m'attendre à de dures représailles.
Lorsque la mère d'Ingrid vint au petit matin me détacher, elle vit immédiatement que je m'étais pissé dessus.
- Vas te laver tout de suite petit cochon. Et lorsque tu auras fini, tu viendras à la cuisine récupérer de quoi nettoyer tes cochonneries.
Sans demander mon reste, une fois détaché, je filais encore tout nu et couvert d'urine, à la salle de bain.
Jeremy passa toute la semaine dans un état d'esprit qu'il n'avait jamais connu jusqu'à présent, lui qui d'habitude se sentait tellement sur de lui face aux filles, se découvrait tout à coup
timoré à l'idée de les aborder. Le comportement d'Ingrid l'avait troublé plus qu'il n'osait se l'avouer, d'ailleurs quand il la croisait et qu'elle jetait sur lui son regard sévère, il n'osait
lui sourire et baissait la tète. Les filles lui apparaissaient maintenant comme insaisissables, mystérieuses, leur sourires en coin, leur cachotteries ne lui étaient plus des faiblesses mas
plutôt des armes qu'elles préparaient contre les garçons.
Le week end arriva et Jeremy, après en avoir parlé à sa mère, reçut de celle -ci l'autorisation de le passer avec Ingrid, à condition dit elle, que la mère d'Ingrid reste avec
eux et qu'elle même aille le déposer
La perspective de passer le week end chez Ingrid était loin de plaire à Jeremy, la jeune fille ne réagissait pas du tout comme il l'avait espéré et il craignait trop qu'elle
aille raconter ce qu'elle avait fait de lui.
Le samedi matin, ils partirent donc en voiture chez Ingrid . Ce fut sa mère qui leur ouvrit la porte. Après quelques mots de bienvenue, les deux femmes allèrent s'installer au
salon sur le canapé, Jeremy se mit en face d'elles dans un fauteuil. Les deux femmes sympathisèrent rapidement et se mirent à bavarder, serrées l'une contre. Jeremy voyait leur jambes gainées de
nylon se frotter l'une contre l'autre.
Ingrid arriva, et sans leur adresser la parole, vint s'asseoir sur l'accoudoir du fauteuil ou se tenait Jeremy. La jupe serrée qu'elle portait se releva légèrement, son collant
brilla dans la lumière, Elles bavardèrent un moment toutes les trois, de vêtement qu'elles aimeraient porter, Ingrid décrit la jolie jupe longue qu'elle aimait bien mais trouvait trop grande pour
elle, puis d'un seul coup , Jeremy la vit disparaître derrière son fauteuil.
Quelques instants plus tard , il sentit le coussin de son fauteuil se soulever dans son dos, il frémit quand il sentit les mains d'Ingrid attraper les siennes et les tirer dans
son dos, il n'osa pas trop résister et se rendit compte trop tard, en entendit le cliquetis des menottes, qu'elle lui passait les bracelets aux poignets. D'un coup il voulut se dégager mais il
était deja trop tard, il avait les poignets menottés dans le dos.
Ingrid revint s'asseoir sur l'accoudoir, lissant son collant du bout des doigts, elle se proposa bientôt pour offrir le café à tout le monde. Se tournant vers Jeremy elle lui
demanda
- et toi que veux tu boire ?
- euh rien merci, murmura Jeremy
- mais si ,insista Ingrid, j'y tiens , fit elle avec une voix plus ferme.
- c'est que...enfin , balbutia t il
- Sois gentil avec ta copine, enfin ! intervient sa mère , tu vois bien qu'elle veut te faire plaisir
Jeremy gigota sur son fauteuil, mal à l'aise.
- un jus de fruit, s'il te plaît, finit il par dire timidement.
Ingrid s'éloigna vers la cuisine. Jeremy se retourna vers les deux mamans qui discutaient toujours , un catalogue de vêtements à la main
- Ca t'irait bien cette jupe, Sylvie, disais sa mère.
- oh non à toi surtout , Muriel, tu as de si jolies jambes, et Jeremy , étonné de tant de familiarité, vit la mère d'Ingrid caresser les jambes de sa mère, sans que
celle ci s'en offusque, au contraire , elle souriait...
Ingrid revint les servir quelques instants plus tard et les deux femmes la complimentèrent d'être aussi serviable. Elle se retourna vers Jeremy et lui tendit le plateau avec
son jus de fruit dessus
- Tiens , sers toi, lui fit elle.
Jeremy la regarda, effaré, il en avait presque les larmes aux yeux.
- et bien, sers toi! Insista Ingrid
- oh non, s'il te plaît ,fit tout doucement Jeremy
-quoi, tu veux me vexer? Lui répondit Ingrid, puis se rapprochant de son oreille elle lui chuchota :
- tu veux quoi ? que je te fasse boire comme un bébé devant ta mère ?
-oh non, pas ca , s'il te plaît , fit lentement Jeremy
- bon alors, ce sera dans ton écuelle !
Ingrid se releva et , avec un joli sourire déposa le verre sur la table basse du salon
Quand il vit sa mère se lever et se preparer à partir, il eut un pincement au coeur : il allait rester seul avec une fille et il ne savait pas trop de quoi elle était
capable.
-Tu ne viens pas dire au revoir à ta mère ? lui lança Ingrid alors qu'elles se trouvaient à la porte de la maison.
Les trois femmes se retournèrent vers lui
- si si bien sur, fit il et voulût se relever, mais enfoncé dans son fauteuil, sans l'aide de ses mains il n'y arrivait pas.
Il se sentit rougir, tout le monde le regardait.
Enfin, il vit Ingrid se diriger vers lui.
- et bien que t'arrives t il ? une crampe ?
- oui fit il en laissant échapper un soupir de soulagement, grâce à cette excuse inattendue
-cela se payera, fit elle à son oreille, alors qu'elle l'aidait à se relever
Elle se plaqua contre lui et lui passa un bras derrière le dos alors qu'ils s'avançaient vers la porte
- qu'ils sont mignons tous les deux , fit sa mère en souriant, les voyant s'approcher
- oh oui, renchérit Sylvie mais ne t'inquiète pas , je veillerai à ce qu'ils restent sages, surtout Jeremy.
- c'est très gentil , merci, assura Muriel et elle sortit , monta rapidement en voiture et partit en leur faisant un petit signe de la main
Ingrid referma la porte et s'éloigna vers sa chambre. Sylvie rentra dans la cuisine , laissant Jeremy seul au milieu du couloir, il tourna sur lui même, ne sachant ou
aller.
Sylvie le bouscula presque au moment ou elle sortit de la cuisine.
- et bien , Ingrid lança t elle à sa fille , tu ne vas pas le laisser traîner comme ca , au milieu du couloir, occupes toi en un peu !
- bon d'accord , entendit il en réponse, et il vit bientôt Ingrid revenir , un carton entre les mains
La jeune fille posa son carton sur une tablette dans l'entrée.
- et souviens toi que j'ai promis à sa mère qu'il serait sage, insista Sylvie
- pas de problème, assura Ingrid, j'ai acheté deux ou trois bricoles, tu vas voir comme il va être sage
Ingrid retourna dans sa chambre , laissant Jeremy désemparé. Il regarda autour de lui sans savoir ou aller, il allait se diriger vers le salon, quand Ingrid revint . Elle le
prit par le bras et l'amena vers la rampe de l'escalier qui conduit à l'étage
-reste là, fit elle sans même le regarder. Jeremy la vit s'éloigner et revenir quelques instants plus tard , son carton à la main. Elle le posa sur les marches à coté d'elle et
fit face à Jeremy, les mains sur les hanches
- bon, j'en fait quoi maman, fit elle à l'adresse de sa mère
- tu te débrouilles, entendirent ils depuis la cuisine, rappelle toi que j'ai promis à sa mère qu'il ne ferait pas de bêtises
- bon, on va faire simple, conclut Ingrid
Elle se retourna vers son carton et en sortit une curieuse plaque de métal laqué à laquelle une chaîne était fixée. Avant qu'il ait pu bouger, elle lui passa la plaque de
métal qui se révéla être très souple autour du cou, Jeremy la sentit se resserrer contre sa peau puis un cliquetis de métal se fit entendre et Ingrid se recula; elle saisit le bout de la
chaîne qui partait du collier et alla le fixer à la rampe de l'escalier .Elle s'assura de la solidité de la fixation et , sans un mot, alla rejoindre sa mère.
Jeremy commença par tirer sur la chaîne pour tenter de se dégager mais il se rendit compte très vite qu'il n'avait aucun moyen de se détacher. Les minutes passèrent, il
attendait qu'Ingrid revienne s'occuper de lui , mais elle restait avec sa mère.
Las d'attendre, il voulut s'asseoir sur une marche de l'escalier mais se rendit compte que la chaîne était trop courte pour qu'il puisse s'asseoir, il était contraint de rester
debout .
-Ingrid, lança t il timidement a bout d'un moment j'ai mal aux pieds, je voudrais m'asseoir
Ingrid ne répondit pas mais il l'entendit bientôt venir, elle le regarda longuement , froncent les sourcils . Sa mère passa à coté d'eux et monta l'escalier
- Si c'est pour entendre ca que tu l'as amenée, c'était pas pas la peine, lança t elle en haut des marches , d'une voix contrariée.
- attends , tu vas voir , répliqua Ingrid, visiblement vexée
Elle se retourna vers son carton et en ressortit, un harnais de cuir noir. Elle alla se placer derrière Jeremy, celui ci tourna la tète à droite puis à gauche mais ne vit pas
ce qu'elle faisait . Il vit sans pouvoir réagir les bras d'Ingrid passer au dessus de sa tète, tenant le harnais entre ses doigts , Elle le lui plaqua sur la bouche et tirant d'un coup sec ,
enclencha les deux boucles de métal qui lui comprimèrent la bouche
- voilà tu l'entendras plus , comme ca , fit elle à l'adresse de sa mère qui redescendait l'escalier
- tu vois, quand tu veux... fit celle ci pour toute réponse
Elle s'éloigna vers la cuisine, puis se retournant vers sa fille :
- il ne faut pas lui faire faire une promenade, avant la nuit, au fait ?
- Bon , mais cinq minutes , alors , j'ai pas que ca à faire , fit Ingrid
Ingrid avait à nouveau disparue et Jeremy commencait à avoir mal aux pieds à rester debout attaché à la rampe d'escalier, il se mit a se balancer d'un pied sur l'autre, puis au
bout d'un moment à soulever ses pieds, comme s'il marchait sur place. Il essaya de râler pour signaler sa présence, mai sans succès .
Ingrid repassa finalement devant lui et le regarda avec surprise se dandiner d'un pied sur l'autre.
- et bien a quoi joues tu la ? fit elle comme intriguée
- il a peu être mal aux pied, dit Sylvie depuis le couloir
- mal aux pieds, tu veux rire, répondit Ingrid, il aurait des talons hauts toute une soirée , il saurait ce que ca veut dire d'avoir mal aux pieds.
- ca, tu as raison ,enchaîna Sylvie, ils ne savent pas la chance qu'ils ont
- oui tu t'en rend compte , toi ? lança t elle sèchement à Jeremy. Il lui jeta un regard malheureux
- oh non , tu sais , les garçons , il ne se rendent compte de rien
Ingrid réfléchit un instant
- tiens, ca me fait penser à quelque chose.
- quoi donc , questionna sa mère
- on parlait de jupe tout à l'heure, avec sa mère, tu crois qu'il se rend compte aussi, de ce que c'est, que de porter une jupe?
- ca sûrement non , il n'y a que pour les mater qu'ils sont forts
- tu vas apprendre quelque chose aujourd'hui, fit Ingrid à l'adresse de Jeremy et elle disparut dans l'escalier
Elle redescendit quelques instant plus tard, les bras charges de vêtements
- tu sais ce que c'est de porter des dessous, des collants, une jupe? lança t elle a jeremy
Il râla sous son bâillon
- ah non , tu ne sais pas et bien tu vas savoir
Elle s'approcha de Jeremy et défit la ceinturon de son jeans, le laissant tomber à terre. Elle commença à essayer de dégrafer les boutons mais , le jean le moulant bien, elle
n'arrivait pas a les défaire .
- on voit bien que tu n'as pas l'habitude, ricana sa mère
- tu vas voir si je n'y arrive pas ! fit elle vexée
Elle disparut rapidement dans la cuisine et Jeremy l'entendit ouvrir et fermer violemment des tiroirs, avant de revenir vers lui, un cutter à la main
Elle attrapa un des passant de la ceinture du jean sur sa hanche, et d'un geste sec, plongea le cutter dans le tissus
Effrayé, Jeremy eut un mouvement de recul, mais la jeune fille le tenait fermement et il vit le cutter descendre le long de sa jambe ,découpant le tissus.
Quand elle eut fini, Ingrid alla prendre l'autre cote du jean et, tirant à nouveau , trancha le jean qui finit à terre aux pieds de Jeremy.
Elle regarda avec dédain le jean déchiré, et le repoussa d'un coup de pied. Elle se retourna vers Jeremy, et d'un mouvement sec, attrapa le tee shirt par le cou, y planta le
cutter et le déchira jusqu'à la ceinture. Quand il tomba , elle re repoussa avec le jean.
Jeremy la regarda implorant , il se rendit compte qu'il n'aurait plus rien à se mettre pour rentre chez lui.
- bon et bien maintenant, on peut l'habiller , conclut Ingrid.
Elle se pencha vers la pile de vêtement , fouilla un instant, en retirant un collant noir qu'elle se mit a rouler entre ses doigts.
S'approchant de Jeremy, elle se pencha a ses pieds , lui enleva ses chaussures et chaussettes, dun air dégoûté et les jeta avec les restes du jean et du tee shirt. Elle
commença à remonter le collant sur les jambes puis sur les cuisses.
Elle se redressa vers la visage de jeremy, sembla réfléchir un instant
- ton slip, il ne fait pas très féminin, tu ne trouves pas ?
Sans attendre de réponse et malgré le râle de Jeremy, elle reprit le cutter et découpa rapidement le slip avant de le jeter avec le reste de ses habits. elle finit de remonter
le collant et l'ajusta précisément sur sa peau
-ah ,ma jolie jupe noire, fit elle en se retournant vers ses habits, tu sais que tu en a de la chance de la porter ! toute neuve jamais servie ou presque !
Elle leva la jupe noir devant lui et défit les boutons elle la lui plaqua ensuite sur la taille avant de la resserrer et de la reboutonner.
Elle se recula , un instant , le regardant de la tète aux pieds
- pour le haut tu as une idée ,toi? lança t elle
Jeremy secoua la tète, la regardant d'un air suppliant
- mon pull violet à paillettes ,tiens, j'y pense , je ne le mets plus non plus celui la, il ira très bien avec !
Ingrid remonta rapidement à l'étage et revint tentant ç la main , un pull violet parsemé de paillettes multicolores
Elle défit la laisse de la rampe d 'escalier, juste le temps d'y passer le pull, le passa ensuite sur la tète de Jeremy. Aveuglé, il la sentit défaire ses menottes et lui
attraper les bras pour les faire glisser dans les manches. Il voulut se débattre, mais ses membres trop engourdis restaient sans force. une fois le pull enfilé, elle lui remit rapidement les
menottes aux poignets.
- bon et bien c'est pas trop mal , tout ca ! fit elle en se reculant, un petit coup de maquillage avant les talons hauts d'accord ?
Sans attendre de réponse, elle s'éloigna hors de la vue de Jeremy.
Elle revint bientôt une trousse de maquillage à la main. Elle entrepris de maquiller jeremy, quand celui ci recula. D'un geste sec , elle saisît la laisse pour le rapprocher
d'elle et se mit à le pouponner longuement, lui passant fond de teint, ombre à paupières, mascara...
Elle se recula , admira son travail.
- pas mal fit Sylve qui venait la voir
- oui, et encore tu l'as pas vue en talons hauts
Joignant le geste à la parole elle prit une paire d'escarpins noirs et les enfila aux pieds de Jeremy qui se retrouva aussitôt a trébucher sur des talons de 10 cm
- tu nous diras ce que tu en pense maintenant, des tenues de fille, tu sauras de quoi tu parles, fit Ingrid en s'eloignant
Ingrid partit rejoindre sa mère, laissant Jeremy trébucher sur ses talons hauts. Il remua dans tous les sens, tirant sur ses liens, il commençait déjà à avoir terriblement mal
aux pieds.
Ingrid repassa devant lui et jeta un regard dédaigneux dans sa direction
- ah c'est vrai que c'est l'heure de ta promenade, au fait !
Elle s'approcha de la rampe d'escalier et détacha Jeremy
- maman, lanca t elle, j'emmène Jeremy faire sa promenade !
-d'accord répondit celle ci, mais ne traîne pas
-t'inquiète pas, assura t’elle
Ingrid prit la laisse dans sa main et tira fermement. Jeremy fit un faux pas en avant et faillit tomber
- alors, ironisa Ingrid, les talons c'est plus joli à voir qu'à porter, on dirait !
Elle tira à nouveau sur la laisse et entraîna Jeremy hors de la maison, ils franchirent la porte fenêtre et se retrouvèrent sur une grande terrasse ombragée. Un salon de jardin
en occupait une grande partie. Contre le mur, des étagères et de petits meubles en rotin ou en osier supportaient de belles plantes vertes.
Jeremy eut à peine le temps de se dire que tout cela était bien joli que déjà Ingrid l'entraînait vers le jardin. Celui ci était fleuri et boisé d'arbres de toutes sortes, il
eut le temps de se dire qu'elles avaient de la chance d'habiter la.
Ils marchèrent un moment sur le gazon avant de s'arrêter sous un tilleul
- bon, maman m'a dit de ne pas traîner
Jeremy pensa qu'ils allaient repartir mais au lieu de cela, Ingrid se mit à l'attacher par le cou au tronc de l'arbre
A peine eut elle disparu que Jeremy se mit à tirer sur sa laisse pour se détacher. Mais celle ci trop bien serrée et refermée par une boucle ne se défit pas.
Il regarda la laisse partir de son cou avec un regard malheureux.
Tout à coup un bruit de voix retentit derrière lui, il sursauta et poussa un cri faible sous son bâillon. IL regarda partout autour de lui, guettant l’endroit par ou pouvait venir quelqu’un, il se rapprocha la plus possible de l’arbre, comme si celui ci pouvait le cacher.
Il entendit à nouveau des éclats de voix, une femme qui répliquait à un homme, puis les deux se mirent à rire
Jeremy se sentit perdu, il se dit qu’il avait été vu. Sa honte était à son comble. Pourtant rien ne se passa, les voix s’éloignèrent légèrement. Il contourna l’arbre ou il était attaché et s’aperçut bientôt qu’un mur assez haut clôturait la propriété non loin de lui et que ces voix venaient en fait de l’autre coté du mur.
Il entendit à nouveau des rires s’élever, peu être avait il été vu, peu être riait on de lui. Il maudit la laisse qui le retenait prisonnier a cet arbre.
Ingrid arriva à sa hauteur et le regarda longuement
- bon, tu vas pas rester la toute l'après midi, quand même !
Elle défit rapidement la laisse de l'arbre et, le tirant par le cou, ramena Jeremy jusqu'à la terrasse.
Sylvie les y attendait, un annuaire à la main
- que cherches tu ? demanda Ingrid
- le numéro de téléphone de Muriel
Jeremy sursauta
- j'ai retrouve un trousseau de clefs sur le canapé, expliqua Sylvie en le montrant à sa fille, il doit être à elle, je lui dis de revenir le chercher
Après avoir tourne les pages un moment et trouvé le numéro, elle le composa sur son téléphone et disparut à l'intérieur de la maison.
Ingrid tira d'un seul coup sur la laisse de Jeremy
- j'espère qu'elle va te trouver joli comme ça, ta mère, fit elle avec un sourire féroce
Jeremy grommela sous son bâillon
- tu ne veux pas la voir, s'étonna Ingrid
Jeremy fit un signe de négation de la tête
- bon, comme tu veux, de toute façon je n'ai franchement pas envie de te voir en ce moment !
Elle se retournant, cherchant visiblement quelque chose
- oh ! Mais tu seras très bien la, fit Ingrid et elle l'attira vers un coffre en rotin plaqué contre le mur. Elle repoussa les deux coussins posés dessus et souleva le
couvercle du coffre.
- Allez, en place fit elle sèchement
Jeremy la regarda indécis. Il n 'avait guerre envie de se retrouver enfermé dans un coffre, mais la perspective de voir sa mère arriver fut la plus forte et il se dit qu'il
valait quand même mieux se cacher. Il enjamba donc le coffre, et s'accroupit à l'intérieur
- non fit Ingrid, comment veux tu que je referme le couvercle !
Elle le saisit par les épaules et le fit basculer sur le coté, elle replia ensuite ses jambes en travers du coffre. Jetant un dernier regard à sa victime elle bascula le
couvercle, qui tomba sur l'épaule de Jeremy.
- zut ça ferme pas, fit elle voyant que Jeremy dépassait du coffre
- alors ça rentre pas ? questionna ironiquement Sylvie qui revenait sur la terrasse a cet instant, a mon avis c'est pas la bonne taille !
- tu vas voir si c'est pas la bonne taille, répondit Ingrid, à nouveau vexée. Et elle se laissa choir lourdement sur le couvercle. Celui ci s'enfonça contraignant Jeremy à être
complètement compressé au fond du coffre. Elle passe la boucle du couvercle dans la fermeture et se releva
Jeremy se mit aussitôt a remuer au fond du coffre, trop mal à l'aise pour rester installé comme ça, mais le coffre était vraiment petit et il ne pouvait même pas bouger les
jambes.
A travers les fils du rotin, il vit Ingrid rejoindre Sylvie et elles regardèrent toutes deux dans sa direction. Ingrid allait s'asseoir quand le carillon de la
porte d'entrée retentit
- ah, ça doit être Muriel, fit Sylvie en s'éloignant.
Elle revint quelques instants plus tard, Muriel a ses cotés
- oh ! Mais c'est ravissant cette terrasse, s'exclama t'elle
Elle tourna sur elle même plusieurs fois, et détailla le mobilier
- vous avez fait ça ave beaucoup de goût, assura t elle
- ça va fit modestement Sylvie, j'ai essayé de faire quelque chose de léger. Viens voir le jardin aussi !
Les deux femmes se dirigèrent vers le jardin et Jeremy soupira, il gigota un moment dans son coffre, incapable de trouver une position supportable, il entendit le rotin grincer
à chaque mouvement.
- c'est fini ce bruit oui ? Fit la voix sèche d'Ingrid qui revenait sur la terrasse, elle s'assit, un magazine a la main et posa les pieds sur une chaise en lui tournant le
dos.
Peu de temps après, il entendit deux voix de femmes, et vit bientôt Sylvie et Muriel revenir du jardin en discutant abondamment.
- viens donc t'asseoir et boire un verre avant de repartir, disait Sylvie
Elles se dirigèrent d'abord vers la table, mais Ingrid s'y était installée de tout son long et ne semblait pas vouloir bouger
- tu as un joli coffre la, fit tout a coup Muriel en regardant vers le coffre ou se trouvait Jeremy
Celui ci tressaillit et resta paralysé de peur
- oui regarde, fit Sylvie en s'approchant, un joli rotin finement tresse, et solide en plus... Tiens viens, on va s'asseoir dessus, Ingrid n'a pas trop l'air de vouloir nous
faire de la place à table
Celle ci ne releva même pas la tête et continua sa lecture.
Sylvie prit Muriel par la main et toutes deux vinrent se mettre devant le coffre
- je mets des coussins dessus en principe ou un plaid, expliqua Sylvie, tu le vois pas la, Ingrid ?
Elle fit non de la tête sans même regarder dans leur direction
- ah, ça n'est pas grave, assura Muriel, asseyons-nous comme ça
Et elle s'assit la première, aussitôt imitée par Sylvie, qui vint se blottir contre elle
Sous leur poids, le coffre se tassa légèrement, comprimant encore un peu plus Jeremy qui retint un gémissement. Les deux femmes se mirent à discuter nonchalamment, Ingrid
levant le nez de sa lecture vint leur porter un verre de jus de fruit à chacune, avant de se faire une petite place a leur coté, compressant encore un peu plus le coffre sur Jeremy
- tu as changé de jupe, fit Sylvie à Muriel, elle est très jolie celle ci.
A travers le rotin, Jeremy la vit alors caresser la cuisse de sa mère, glissant ses mains sur le collant
- merci, répondit Muriel, oui je l'aime bien celle ci, elle est toute douce
- oui le tissus est très fin, enchaîna Sylvie tout en caressant la cuisse de Muriel
Jeremy voyait sa main caresser le collant depuis le genoux, puis remonter sur la cuisse, elle rencontra le tissus de la jupe et continua a remonter vers le haut de la cuisse
sans que Muriel fasse un geste pour l'en empêcher. Au bout d'un moment, elle croisa les jambes et Jeremy crut voir la main de Sylvie s'aventurer jusqu'à sa hanche.
Incapable de bouger, Jeremy souffrait en silence pendant que les femmes bavardaient au-dessus de lui. Il les vit finalement se lever, en envisageant des projets de visites, de sorties
ensemble. Seul Ingrid resta assise sur le coffre, plongée dans sa lecture.
Jeremy commença à remuer pour signaler sa présence.
-qu'est ce que tu as encore, ronchonna Ingrid, t'es pas capable de rester sage, toi ! Il va falloir en discuter !
Sur ces mots, elle se leva et disparut dans la maison.
Jeremy en profita pour gigoter encore plus a la recherche d'une position supportable. Il entendit bientôt de bruits de pas qui se rapprochaient de la terrasse.
- je reconnais que c'est agaçant, disais Sylvie, en arrivant à la hauteur du coffre.
Jeremy essayait de les voir à travers le rotin, il ne distinguait que leurs jambes, immobiles l'une à coté de l'autre
- a ton avis, ou est ce qu'il dérangerait le moins, demanda Ingrid
- de toute façon, je sens bien qu'il te dérange, ou qu'il soit... tu aurais du y réfléchir avant
- mais non, c'est pas ça, Ingrid était à nouveau vexée, du moment qu'il se tient tranquille ! C’est pas trop demander quand même !
- oui tu as raison, admit Sylvie, mais si tu t'en occupe bien ça devrait venir assez vite...
Les deux femmes restèrent pensives un long moment, Jeremy osait à peine remuer
- j'ai bien pense à une petite chose tout à l’heure dans la cuisine, lança Ingrid
- ah oui dis moi, répondit Sylvie en se tournant vers elle
-et bien voilà, commença Ingrid et elle entraîna sa mère dans la maison, Jeremy ne put entendre la suite
Les deux femmes revinrent au bout de quelques minutes, un carton à la main
- allez détache le, fit Sylvie.
La jeun fille ouvrit le coffre et détacha rapidement les mains de Jeremy
- allez debout fit elle en se relevant.
Jeremy se déplia douloureusement, encore engourdi. Il sortit péniblement du coffre sous le regard de Sylvie et Ingrid. Celle ci se rapprocha de lui et se mit à lui
tourner autour
- je ne sais pas si tu te rends compte à quel point tu es penibe a gigoter dans tous les sens, même quand ta mère est la ! Ca n'est franchement pas convenable. Puisque tu ne
sais pas te tenir, Il va falloir t'apprendre.
Jeremy voulut répliquer mais son bâillon l'en empêcha et il n'osait l'enlever
- On mange dehors ce soir, maman demanda t elle tout à coup
- oui répondit celle ci, ici sur la terrasse, si tu veux bien
- oui, avec plaisir
Elle se retourna vers Jeremy
- tu veux nous tenir compagnie, proposa t'elle ?
Jeremy, agréablement surpris de cette proposition, fit oui de la tête
-bon d'accord, fit Ingrid mais il faudra être sage et ne pas bouger
Jeremy acquiesça à nouveau.
-suis moi, indiqua Ingrid.
Elle contourna la table de la terrasse et se dirigea vers un des poteaux en bois qui soutenaient la toiture
- tiens mets-toi contre le poteau, fit elle
Jeremy obéit docilement et se plaqua contre le poteau, ce qui lui permit de se détendre un peu.
- Ah, juste un petit détail, fit Ingrid, pour être sur que tu tiennes en place.
Elle plongea la main dans le carton et en sortit un rouleau de film plastique alimentaire, elle commenca a le dérouler en s'approchant de Jeremy
- c'est juste une précaution, ne t'inquiète pas, expliqua t elle
Jeremy la laissa venir, intrigué.
Il ne reagit pas quand elle plaqua le bout du rouleau contre le poteau derrière lui ? Ce fut lorsqu'elle commença à tourner autour de lui, lui emprisonnant le corps dans le
film plastique qu'il comprit qu'elle était en train de l'emballer contre le poteau.
Ingrid se mit à tirer sur le film pour le tendre sur le corps de Jeremy, elle recouvra d'abord ses bras pour le priver de mouvements, puis descendit en tournant autour de lui
jusqu'a ses chevilles, quand elle les eut atteintes, elle se releva et remonta sur ses jambes.
Le rouleau se termina alors qu'elle était sur ses cuisses, elle lissa le bout du rouleau et, se retournant, elle en reprit un autre dans le carton, elle le plaqua par dessus
l'autre et remonta lentement couvrant de plusieurs épaisseurs le corps de Jeremy.
Arrivée au niveau du cou, elle fit quelques tours moins tendus puis remonta le plastique sur sa bouche, elle laissa un espace autour de son nez puis lui couvrit complètement le
visage, avant de redescendre le rouleau et de l'enrouler autour de Jeremy jusqu'a ce qu'il soit complètement dévidé.
Elle se recula, contempla son travail, fit une moue dubitative et plongeant sa main dans le carton en ressortit un rouleau su ruban adhésif noir. Elle le plaqua sur les
chevilles de Jeremy et lentement recouvrit Jeremy de ruban adhésif, jusqu'a ce qu'il soit complètement scotché de noir.
Elle se recula à nouveau et chercha autour d'elle, elle rentra dans la maison, et en ressortit bientôt avec une petite lampe de salon qu'elle posa sur la tête de
Jeremy. Attrapant le ruban adhésif d'une main, elle entreprit de scotcher la lampe sur sa tête.
Quand le résultat lui parut suffisamment stable, elle attrapa le fil de la lampe et partit le brancher à une prise de courant avant de retourner s'asseoir non loin de Jeremy,
sa revue éclairée par la lampe.
Sylvie arriva quelques instants plus tard, poussant une desserte pour le repas du soir.
- oh mais c'est original cette lampe, fit elle , tu as raison Ingrid, le soir on ne voit pas très bien a table d'habitude !
Elles se mirent à table et dînèrent tranquillement, sans evoquer Jeremy, impuissant à se manifester, complètement plaqué au mur. Elles parlaient de choses et d'autres et seuls
quelques échos de leur voix lui parvenaient.
Enfin après dîner, elles debarasserent la table et Ingrid vint se placer face à Jeremy.
- ah la la, pour une fois que tu es sage ! fit elle
Elle leva le cutter qu'elle tenait à la main et d'un geste sec et précis découpa de haut en bas l'adhésif et le film plastique qui emballait Jeremy. Elle le piétina sous ses
pieds pendant qu’elle reprenait une corde et attrapant les main de Jeremy les lui ligota rapidement , puis elle prit la laisse et tira Jeremy derrière elle.
- on va se coucher maintenant, fit elle à sa mère
- oui répondit celle ci, mais il ne faudrait pas que Jeremy nous dérange..
- non ne t'inquiète pas, n'est ce pas que tu vas être sage ?
Jeremy baissa la tête sous le regard féroce d'Ingrid.
- il va falloir trouver une place ou tu ne dérangeras pas, tu as entendu maman, non ?
Jeremy leva vers Ingrid un regard suppliant mais celle ci n'y prêta aucune attention.
- tu ne peux pas dormir avec moi dans la chambre, tu le comprends bien, ça ne serait pas convenable, par contre, ici au salon, nous avons un beau canapé, la ça ira, n'est ce
pas ?
Jeremy acquiesça. Ils se dirigèrent vers le canapé.
-assied toi sur le bord, fit Ingrid en le poussant vers le canapé.
Jeremy s'assit prudemment, gêné par ses talons. Il vit Ingrid s'éloigner et revenir quelques instants plus tard avec des cordes à la main
- tu ne crois quand même pas que je vais te laisser dormir comme ça, juste avec les mains attachées dans le dos !
Jeremy baissa la tête, résigné. Il laissa Ingrid lui attraper les jambes et lui passer une corde aux chevilles, tournant plusieurs fois autour avant de resserrer un nœud, elle
fit de même autour des genoux relevant légèrement la jupe de Jeremy découvrant ses cuisses gainées de nylon.
Sylvie passa dans le salon alors qu'Ingrid finissait de lui passer une corde a la taille.
- ah non ! Je ne veux pas le voir sur le canapé tout habillé, et avec des talons ! Il va froisser le tissus !
Ingrid releva la tête vers sa mère
- mais ? J’en fais quoi alors, fit elle mécontente
- je n'en sais rien, tu te débrouilles, répondit vertement Sylvie
Ingrid regarda longuement Jeremy.
- ah elle ne veut pas te voir ! Et bien elle ne te verra pas !
Elle se releva rapidement
- remarque, elle a raison, on aurait un invité, ou le ferait on asseoir ?
Elle se retourna vers une tablette dans le coin du salon et y prit une clé dans une petite boite. Revenue vers le canapé, elle se pencha et engagea la clé dans une serrure que
Jeremy avait à peine remarqué dans la partie en bois située sous le coussin, attrapant deux poignets, situées à chaque extrémité, elle tira vers elle, dégageant un tiroir de la longueur du
canapé, elle en sortit des couvertures et des coussins qu'elle jeta sur un fauteuil.
Se rapprochant de Jeremy, elle le saisit d'un seul coup par les chevilles et le fit glisser dans le tiroir du canapé. Celui ci ne comprenant pas ce qui se passait, se
laissa docilement glisser.
- et bien puisque maman ne veut plus te voir, bonne nuit !
Elle se pencha une nouvelle fois vers les poignets du tiroir et d'un geste ferme repoussa le tiroir sous le coussin et referma la serrure d'un tour de clé. Jeremy se
retrouva plongé dans le noir.
Il entendit les pas d'Ingrid s'éloigner puis le bruit de ses talons dans l'escalier. Puis plus rien
Jeremy se rendit vite compte qu'il avait très peu de place pour bouger, il lui était impossible de se soulever sans toucher l'assise du canapé, il n'arrivait pas non plus à se
retourner que le coté.
Ses mains ligotées dans son dos le firent rapidement souffrir, il essaya tant bien que mal de les mettre sur le coté sans trop y parvenir.
Il dut finir par s'endormir car ce furent des bruits d'aller et venues dans la maison qui le tirèrent de sa torpeur. Il n'osa pas trop bouger de peur de se faire encore
réprimander.
Il entendit finalement la clé tourner dans la serrure et, quand elle tira le tiroir du canapé, il vit le visage sévère d'Ingrid dirigé sur lui. Elle le regarda longuement avant
de le détacher.
- tu as vu dans quel état tu es, lit elle sèchement, tu as vu ta jupe ?
Jeremy baissa la tête, et ne pu que constater comment ses habits s'étaient plissés durant sa nuit passée a s'agiter.
- va à la salle de bain, et vite ! Et elle le poussa par une tape dans le dos.
Il se dirigea rapidement vers la salle de bain et Ingrid referma la porte sur eux
- déshabille toi fit elle d'un ton sec.
Elle ressortit et laissa Jeremy, embarrassé, enlever un a un ses vêtements. Ne la voyant pas revenir, il se mit à espérer qu'elle allait lui ramener des habits masculins
Elle avait en effet plusieurs vêtements dans les bras quand elle revint. Elle lui jeta à peine un regard
- prend un collant blanc dans le tiroir sous le lavabo, lâcha t elle
Jeremy la regarda, implorant, il aurait voulu lui dire à quel point il n'avait plus envie de s'habiller en fille, de redevenir un homme, mais elle lui tournait le dos, et en
fait, l'intimidait trop pour qu'il ose lui parler si directement
- alors ce collant ça vient fit elle tout à coup en se retournant
Jeremy rougit, puis docilement ouvrit le tiroir et en sortit un collant voila blanc. Gêné, la tête baissée sous le regard hautain d'Ingrid, il enfila le
collant.
- mets ça maintenant, et elle lui tendit une longue jupe blanche à volants.
Il l'enfila sans réagir, toujours sous le regard inquisiteur d'Ingrid, il ne réagit pas d'avantage quand elle lui tendit un soutien gorge qu'il rembourra avec des collants
roulés en boule. Elle lui présenta enfin un chemisier fleuri bleu et blanc qu'il attrapa et passa sur ses épaules.
Une fois qu'il fut habillé, elle laissa tomber à terre une paire d'escarpins blancs a hauts talons. Résigné, Jeremy les enfila sans dire un mot.
Elle le prit par les épaules et lui fit faire un tour sur lui-même l'observant sous toutes les coutures.
- ça ira comme ca, conclut elle, une petite touche de maquillage et tu seras parfaite !
Joignant le geste à la parole, elle attrapa sa boite de maquillage et se mit à le maquiller longuement.
Quand ils sortirent de la salle de bain, Jeremy se laissa docilement diriger vers le salon ou Sylvie feuilletait une revue.
- oh mais elle est très jolie comme ça ! lanca t elle en dévisageant Jeremy.
- tu vois que je sais y faire en maquillage, ajouta Ingrid.
Gêné devant elle, Jeremy courbait le dos et regardait par terre
- mais quelle allure elle a, ça par contre ça ne me plait pas, fit Sylvie
- attends, je connais un moyen d'arranger ça, répondit Ingrid, elle s'éloigna et revint quelques instants plus tard une corde a la main.
Elle alla se placer derrière Jeremy et, d'une main ferme lui attrapa les bras, le croisa dans son dos et se mit à lui ligoter les poignets.
Sylvie les regardait quand le telephone sonna. Elle alla décrocher le combiné et revint se rasseoir face à eux
- ah c'est Muriel ! Comment vas tu ma chérie !
Elle se mit à discuter au téléphone tout en les regardant
- Jeremy ? disait elle on, ça se passe très bien avec Ingrid, figure-toi qu'ils sont en train de s'amuser ensemble, tu ne devineras jamais à quoi !
Apres un temps de silence, elle ajouta
- tu as perdu, ils sont en train de déguiser Jeremy, figure toi qu'il est très bien, habillé en fille !
Jeremy sursauta et pâlit d'un seul coup, il se tourna vers Sylvie mais Ingrid le maintint fermement par les poignets
- oui, continuait Sylvie, tu vas le voir tout à l'heure avec sa jolie robe et son chemisier, il est craquant, ah et il aime bien avoir les mains attachées dans le dos aussi, tu
vas voir !
Jeremy lui lanca un regard implorant mais Sylvie se leva et disparut hors de sa vue, Ingrid le laissa à son tour et il se retrouva seul au salon.
Il tenta de se détacher et tira sur ses liens autant qu'il put, bien décidé a ne pas être vu dans cette situation. Mais les liens d'Ingrid étaient bien serrés, au bout d"un
moment mal à l'aise sur ses talons, il se laissa tomber sur le canapé.
Il en était encore à chercher à se détacher quand la porte du salon s'ouvrit d'un coup.
- tiens regarde le , il n'est pas mignon comme ça ! Et Sylvie, tout en riant faisant entrer Muriel
Celle ci pouffa de rire en le voyant, bientôt suivie par Sylvie et Ingrid
- oh non, il est trop drôle comme ça, fit elle entre deux éclats de rire.
- remarque ça lui va bien non ? lanca Sylvie
- oui, admit Muriel, c'est vrai qu'Ingrid a bon goût !
Et elles se remirent à rire encore un moment.
Elles vinrent finalement s'asseoir toutes les trois, entourant Jeremy, se serrant contre lui. Il n'osait les regarder, il se sentait rouge de honte
- je le ramène comme ça, a la maison ? fit Muriel en riant
- de toute façon tu 'as pas de choix, il a déchire son jean hier soir!
- oh le vilain, ça lui apprendra !
- je crois qu'il va venir souvent nous voir le week end, n'est ce pas, fit Sylvie en regardant Muriel droit dans les yeux. Et toi aussi, j'en suis sure...
Muriel la fixa à son tour, elle vit Sylvie poser la main sur sa cuisse et la caresser.
- oui, moi aussi je vais venir souvent, répondit elle songeuse, en se laissant glisser contre le dossier du canapé .
Jeremy reprit ses cours le lundi matin, soulagé de retrouver un cours normal à sa vie et savourant le plaisir de porter ses habits masculins. Il évitait cependant de se trouver
en présence d'Ingrid, comme il l'avait fait la semaine précédente.
Muriel, de son coté , se montrait particulièrement enjouée et ne semblait pas remarquer la morosité de Jeremy.
Vendredi soir, pendant qu'il regardait la télévision , le téléphone retentit. Muriel alla décrocher.
- oh , Sylvie, comment vas tu ? fit elle gaiement . Jeremy lui lança un regard noir.
Elle discuta longuement avec son amie et Jeremy n'avait plus envie de continuer son film, inquiet de les entendre papoter . Il remonta dans sa chambre et se coucha.
Le lendemain matin, il descendit déjeuner en pyjama , comme d'habitude, et retrouva se mère a la cuisine. Ils déjeunèrent tranquillement .
- au fait , fit sa mère en débarrassant la table, Sylvie m'a dit qu'elle avait reprisé ton jean qu'on pouvait venir le récupérer chez elle.
- vas y donc, répondit il vaguement inquiet.
- oui, bien sur, mais tu viens avec moi ! C'est a moindre des choses pour la remercier... Et lui rendre les habits de fille qu'Ingrid t'a laissé.
Jeremy rougit a l'évocation de son retour en tenue de fille.
- remarque, continua Muriel , le plus simple ,ce serai que tu ailles chez elle en fille pour repartir avec la tenue que tu avais en arrivant !
Jeremy blêmit.
- Moi... retourner la bas...en fille ?
- bien sur , tu était mignonne tu sais avec ta jupe ! Muriel riait a moitié, et puis ca a l'air de tellement vous amuser ,cette façon de te déguiser !
- oh non , c'est juste que...
- allons, allons , fit sa mère en fronçant les sourcils, et puis je préfère que vous voir jouer à ca plutôt qu'à autre chose , si tu vois ce que je veux dire...
Jeremy baissa la tète , ne sachant plus quoi dire.
- tu prends ta douche et tu t'habilles ! je t'ai mis tes habits sur une étagère.
Elle ajouta avec un sourire aux coins des lèvres :
- je viendrai te maquiller si tu n'y arrives pas .
Dépité, Jeremy s'en alla à la salle de bain et se doucha longuement. Il regarda ensuite les habits de fille soigneusement pliés avec les dessous et les escarpins à talons juste
a coté. Il aurait bien voulu éviter de s'habiller ainsi, mais connaissait trop sa mère pour savoir que, quand elle avait une idée en tète, il était difficile de la faire changer d'avis.
Il enfila lentement le collant voile en prenant bien soin de le glisser le long de ses jambes, le contact du nylon le fit frissonner tout le temps qu'il le remontait sur
lui.
Il passa le soutien gorge rembourré, le chemisier, puis la jupe en soupirant.
En se regardant dans le miroir, de coté , il s'étonna un instant de voir le reflet d'une fille. Il se fit la réflexion que bien maquillé son apparence devait être
trompeuse.
Une fois habillé et juché sur ses talons hauts, il appela sa mère, celle ci arriva bientôt et le complimenta sur sa tenue:
- mais c'est vrai que ca te va très bien tout ca ! Ta copine a décidément bon goût.
Elle se saisit de sa trousse à maquillage et se mit à le maquiller lentement, d'abord un fond de teint puis du mascara, contour des yeux, ombre a paupières avant de lui
passer un rouge à lèvres léger .
Satisfaite du résultat obtenu , elle se recula :
-c'est vrai que tu aurais fait une jolie fille !
Jeremy se sentit rougir et baissa la tète
- un peu d'allure , voyons ! Il ne te manque que ca pour être parfaite !
Mais Jeremy, tout a sa honte, n'osait même pas lever le visage vers elle. Le rouge à lèvres sur sa peau lui faisait un effet étrange, il leva la main à sa bouche et la
frotta sans s'en rendre compte.
- mais que fais tu enfin ! Lui lança sa mère mécontente ! tu as abîmé ton rouge a lèvres !
Jeremy s'excusa mollement.
- on ne peut pas te laisser trente seconde sans que tu fasse une bêtise , c'est incroyable !
Le téléphone sonna à ce moment la et Muriel alla répondre. Jeremy essaya de rectifier comme il put son rouge à lèvres et la rejoignit au salon.
Au ton de la voix de sa mère il comprit qu'elle parlait avec Sylvie.
- tu as une course à faire avant ? Parfait on ira ensemble alors.
Elle leva la tète quand Jeremy arriva
- je vais te laisser , merci pour l'idée d'Ingrid, je ne vais pas lui refaire son maquillage toutes les cinq minutes !
Elle leva les yeux vers lui sitôt après avoir raccroché.
- Ah tu tombes bien toi, Ingrid m'a dit ce qu'il fallait faire pour toi !
Il leva un regard interrogateur mais elle passa a cote de lui et disparu dans la cuisine. Il allait s'asseoir sur le canapé quand il l'entendit revenir et s'adresser a lui d'un
vois sèche.
- donne moi tes mains ! lança t elle quand elle fut derrière lui.
Machinalement il tendit ses mains dans son dos et sentit tout a coup sa mère les serrer l'un contre l'autre Avant qu'il ai pu bouger, il sentit une corde venir faire le
tour de ses poignets. Il voulu se débattre.
-ah ne bouge pas toi ! lança à nouveau sa mère
la corde vint lui enserrer les poignets l'un face à l'autre Il sentit, aussitôt après, la corde remonter le long de ses avants bras et venir se placer dans le creux de
ses bras juste au dessus des coudes. Muriel serra la corde, l'obligeant a se redresser complètement.
Quand les noeuds furent bien serrés, Muriel s'éloigna pour contempler son travail:
- Sylvie a raison , tu as bien plus d'allure comme ca !
Et elle ajouta , en retournant à la cuisine :
- tu nous feras honneur comme ca , tout a l'heure, quand nous irons faire les courses !
Jeremy tenta de se dégager de la corde qui lui enserrait les bras mais ne parvint qu'à remuer légèrement ses poignets, la corde serrée au dessus de ses coudes était
inaccessible.
- je ne peux pas y aller comme ca , enfin ! osa t il dire.
Muriel passa devant lui sans lui porter la moindre attention, elle revint quelques instant plus tard avec un tissus entre les mains
- mais si , tu vas voir expliqua t'elle , avec ce joli châle sur les épaules , tu vas être ravissante !
Elle déplia le châle et le fit passer délicatement autour des épaules de Jeremy. il était assez long et lui arrivait juste dans le creux des poignets,
masquant juste les cordes.
- tu feras attention à rester bien droite et à ne pas remuer dans tous les sens , n'est ce pas ? sinon il risque de tomber ...
Muriel s'éloigna après un petit regard ironique vers son fils.
Les cordes étaient vraiment serrées et Jeremy se sentit rapidement mal à l'aise, il se retourna et alla s'asseoir sur une chaise dans la salle a manger. Il ne savait comment
convaincre sa mère de changer d'avis.
Perdu dans ses réflexions, il entendit à peine la porte d'entrée s'ouvrir, mais les éclats de voix dans le couloir le ramenèrent à la réalité: Sylvie et Ingrid étaient
arrivées.
Il fit la grimace en entendant la voix d'Ingrid, il espérait que seule sa mère viendrait et qu'elle serait tant occupée avec Muriel qu'elles l'oublieraient un peu. Ingrid,
pensa t il, était la pour lui. Et pas forcement pour lui faire plaisir.
Les trois femmes restèrent dans le couloir un petit moment avant de passer au salon, oubliant Jérémy. Celui ci continuait à tenter de se libérer les poignets mais
sans succès.
Quand il les vit sortir du salon et se preparer à sortir , il eut un instant l'espoir qu'on l'oublierait là , mais Ingrid s'approcha de lui , ruinant ses espoirs. Il
tenta de lui faire entendre raison.
- mais je ne peux pas sortir comme ca, enfin ! Lança t il d'une voix hésitante.
Ingrid le regarda en fronçant les sourcils.
- Muriel, j'ai besoin du rouge à lèvres, fit elle en tournant la tète vers les deux femmes.
- va dans la salle de bain , répondit celle ci, il doit y être encore .
Ingrid s'éloigna et revint quelque instants plus tard avec un tube de rouge à lèvres et un petit tube que Jeremy n'eut pas le temps d'identifier.
- ah oui, c'est vrai , tu as raison, fit Muriel il a touche à son maquillage tout à l'heure, je n'ai pas pense à le rectifier.
- je m'en occupe, assura Ingrid.
Elle approcha le rouge à lèvres de Jeremy et d'un geste précis le lui passa sur les lèvres.
- ouvre la bouche !
Jeremy obéit aussitôt et ouvrit la bouche, Ingrid prit le tube de son autre main et le lui passa à son tour sur ses lèvres, un peu plus vers l'intérieur de la bouche.
Jeremy trouva ca plus froid.
- referme !
Le ton autoritaire et le regard sévère d'Ingrid le firent obéir tout de suite et il ferma la bouche aussitôt. Ingrid lui passa encore une fois le rouge à lèvres avant de
retourner le déposer à la salle de bain.
Jeremy sentit quelque chose de bizarre sur sa bouche mais mit cela sur le compte du rouge à lèvres.
Ingrid retourna directement voir Muriel et Sylvie , il les entendit pouffer de rire plusieurs fois et au bout d'un moment elles se préparèrent a sortir.
- Jeremy, lança Muriel , si vraiment tu ne veux pas venir, dis le maintenant !
Trop heureux de saisir l'occasion de rester à la maison , Jeremy voulu ouvrir la bouche mais sans y arriver.Ses levres etaient soudées l'une à l'autre. Il se rendit compte, à
cet instant là, qu'Ingrid lui avait collé les lèvres avec de la colle forte.
Il ne put que proférer des sons étouffés.
- bon, tu es d'accord pour venir alors! Fit Muriel en venant le prendre par le bras.
Il la regarda avec un regard désespéré, mais elle n'avait d'yeux que pour Sylvie
- En voiture ! lança t elle.
Ingrid et Sylvie sortirent les premières et Muriel referma la porte d'entrée, tenant Jeremy par le bras, elle l'emmena avec elle jusqu'à la voiture de Sylvie et le fit asseoir
à l'arrière, à cote d'Ingrid.
Personne ne faisait attention à lui pendant que la voiture se dirigeait vers le centre ville. Sylvie se gara au bout d'une rue commerçante et , quand tout le monde descendit,
Jeremy s'extirpa avec difficulté du siège arrière, prenant garde à ne pas faire glisser son châle.
Sur le trottoir, ce fut Ingrid qui le prit par le bras tandis que Sylvie et Muriel partaient devant. Passant devant un magasin de vêtements , Ingrid s'arrêta tout à coup :
- je fais faire un tour ici ! lança elle aux deux femmes, vous nous rejoindrez !
- d'accord fit Sylvie en se retournant , on vous reprend au passage.
Ingrid ouvrir la porte du magasin et y fit entrer Jeremy , presque de force.
Celui ci regarda autour de lui et se rendit compte que c'était un magasin de vêtements uniquement féminins, il frémit quand il vit une vendeuse s'approcher de lui, alors
qu'Ingrid furetait deja dans les rayons.
- je peux vous aider ? fit la vendeuse en s'approchant de lui.
Terrifié , Jeremy recula de quelques pas et chercha du regard Ingrid qui avait disparu. Il crut la voir dans un rayon et se pencha légèrement
- vous voulez une jupe courte ? La vendeuse suivait son regard perdu au milieu des jupes .
- quelle taille faites vous ? demanda t'elle en lui montrant une petite jupe noire.
Jeremy lui lança un regard désespéré .
- le mieux c'est que je la mesure moi même, admit la vendeuse.
Elle sortit un mètre en ruban d'une de ses poches et vint se placer face à Jeremy . il sursauta quand il sentît les mains de la jeune femme se poser sur ses hanches.
Elle déroula le mètre dans son dos et effleura ses mains ligotées, Jeremy était mort de honte, avait elle vu les cordes ?
- quarante ! conclut la vendeuse en pressant légèrement le ventre de Jeremy.
Elle se retourna et sortit du rayon deux jupes à sa tailles, une rouge et une noire:
- voulez vous essayer les deux ? proposa t elle.
Sans même attendre la réponse de Jeremy elle lui indiqua les cabines d'essayage au fond du magasin et le précéda jusqu'à une cabine qu'elle ouvrit pour lui.
- je reviens, prenez votre temps, fit elle en s'éloignant avec un beau sourire.
Jeremy tourna plusieurs fois sur lui même , tenta encore fort de se détacher mais sans plus y arriver . Il avait très chaud maintenant et ses mains étaient moites.
Alors qu'il se débattait avec ses cordes , Ingrid entra soudain dans la cabine. Elle jeta un regard dédaigneux sur les deux jupes.
- qu'est ce que tu vas faire avec ca! Nul ! fit elle en haussant les épaules . Elle attrapa les jupes et sortit de la cabine lassant Jeremy, plus inquiet que jamais.
- ca va les jupes mademoiselle ? La vendeuse était revenue.
Terrifié , Jeremy n'osa faire un mouvement.
Ingrid arriva tout à coup et s'engouffra dans la cabine
- non ca va pas répondit elle sèchement , essaye ca plutôt !
Elle était revenue avec une longue jupe noire qu' elle accrocha au porte manteau .
- alors il faut te la faire essayer ?
Sans attendre la réponse elle défit l'agrafe de la jupe dans son dos et Jeremy la sentit tomber a ses pieds, dévoilant ses jambes gainées de nylon. Ingrid ramassa la jupe
et lui passa rapidement celle qu'elle venait d'amener. Elle repassa ses mains dans son dos pour la refermer et se recula. Jeremy fit un pas de cote, mal à l'aise.
-tu n'as aucune allure vraiment , on n'écarte pas les jambes comme ca, enfin ! Attend un peu !
Elle sortit à nouveau de la cabine et en revint quelques instants après , avec deux collants dans les mains. Elle déchira sèchement le premier emballage et prit le collant par
le milieu. D'une main elle défit le jupe et celle ci tomba à ses pieds. Se penchant vers les jambes de Jeremy, elle lui plaque le collant sur le haut des cuisses et serra jusqu'à faire crisser le
tissus, elle fît deux tours autour des cuisses avant de repasser devant et de faire un noeud qu' elle serra plusieurs fois. Elle prit l'autre paire et la plaça juste au dessus des genoux,
les attachant à leur tour. Remontant enfin la jupe, elle la referma dans son dos.
- avance ! ordonna t elle.
Jeremy la regarda, suppliant du regard, il eut toutes les peines du monde à faire un pas tellement les collants étaient serres. Ingrid eut l'air satisfaite et d'un mouvement
sec ouvrit la cabine.
- venez voir ! celle ci lui va bien mieux ! fit elle et il entendit la voix de la vendeuse lui répondre:
- j'arrive tout de suite !
Jeremy sursauta en entendant la voix de la vendeuse aussi proche. Il se raidit quand elle lui fit face à l'entrée de la cabine . Elle le regarda des pieds à la tête et Jeremy
ne put que baiser les yeux tant il était gêné de ce regard inquisiteur.
- pas mal , en effet admit elle.
- viens faire quelques pas dehors, fit Ingrid .
Jeremy lui lança un regard implorant , les deux jeunes filles attendaient devant l'entrée, les bras croisés.
- alors dépêche , soupira Ingrid
Retenant son souffle , Jeremy fit un effort pour tourner sur le coté , ses cuisses et genoux ligotés ne lui permettaient de faire que de tous petits pas et avec difficulté.
- on la lui laisse alors, la jupe ? proposa Ingrid
- que faites vous de celle qu'elle avait en arrivant ? s'étonna la vendeuse
- je vous la donne, fit Ingrid, à moins que tu veuilles la remettre ? continua t elle en se retournant vers Jeremy, elle commença à s'approcher et il fit non de la tête
plusieurs fois.
- bon alors , elle est à vous, tenez ! Elle se baissa rapidement et tendit la jupe à la vendeuse qui la prit aussitôt et disparut.
- allez on y va , poursuivit Ingrid , on va nous attendre .
Jeremy avança en traînant ses talons par terre, incapable de soulever les pieds. Hors de la cabine , il vit Sylvie et Muriel accoudées à l'accueil du magasin, Ingrid alla les
rejoindre rapidement.
Il n'osa pas aller plus loin, de peur d'être vu, en train de traîner les pieds, par tous les gens du magasin mais Ingrid s'impatienta bientôt:
- tu viens ou on te laisse la ?
Sa voix percante avait attiré l'attention de deux vendeuses qui se mirent à regarder Jeremy avec suspicion. Il se mit à avancer le plus rapidement qu'il put sous le regard
intrigué des vendeuses. A peine arrivé à l'accueil, les deux femmes et Ingrid quittèrent le magasin et il dut encore se trainer à la vue de tous jusqu'à la porte.
Il les suivit sur le trottoir, traînait toujours les pieds, ses genoux lui faisaient mal , il sentait les collants lui rentrer dans la peau à chaque pas. Ingrid monta en
voiture et lui laissa la porte ouverte, il se laissa tomber sur la banquette arrière juste au moment ou Sylvie refermait la porte.
personne ne s'inquiéta de lui pendant le trajet et ils gagnèrent rapidement la maison de Sylvie. Les trois femmes descendirent , lui laissant la porte ouverte. Il serait bien
resté dans la voiture mais pensa bientôt qu'on ne manquerait pas de le lui reprocher. Il s'extirpa avec difficulté de la banquette , s'y reprenant à plusieurs fois pour parvenir à se mettre
debout.
Il se traîna jusqu'à la porte d'entrée qu'il poussa d'un coup d'épaule et entra lentement dans la maison. Il n'entendit que Muriel et Sylvie discuter dans la cuisine. Arrivé à
la porte , il vit que sa mère avait deja mis le couvert.
Celle ci, l'apercevant, lui lança :
- viens donc t'asseoir ,ca va être prêt.
Jeremy ne se fit pas prier , pensant qu'on allait enfin le détacher pour le repas de midi. Il alla s'asseoir vers la chaise la plus proche de lui et s'y laissa tomber
lourdement.
Il resta immobile tandis que les deux femmes préparaient le repas sans lui prêter attention. Quand tout fut prêt, Sylvie appela sa fille et celle ci apparut bientot.
Sylvie fit le service et remplit les assiettes, Jeremy regarda son repas fumant devant lui, attendant qu'on le détache, mais personne ne fit un mouvement dans sa direction. Il
râla entre ses lèvres collées et seule Ingrid parut le remarquer.
- comment ca tu n'aimes pas ca ? fit elle d'un ton mécontent.
Jeremy lui adressa un regard implorant.
- je te préviens, continua Ingrid, tu resteras à table jusqu'à ce que tu ai fini de manger.
Muriel et Sylvie la regardèrent en souriant
- c'est vrai que c'est comme ca que j'aurais du faire avec toi ! commenta Sylvie.
Elles partirent toutes les trois dans une discussion animée pendant que Jeremy gardait la tête baissée sur son assiette.
- alors , toujours pas décidé à manger ? Reprit Ingrid au bout d'un moment. Très bien ! Tu l'auras cherché !
Elle se leva de table et disparut dans sa chambre , elle revint quelques instants plus tard , un rouleau de cordes à la main.
Elle s'accroupit à coté de Jeremy et prit une corde avec laquelle elle enserra ses chevilles, elle fit plusieurs tours avant de faire un noeud puis reprenant chaque bout de la
corde , elle les passa dans les pieds avants de la chaise et les serra contre le montant. Elle prit une autre corde qu'elle passa à ses genoux par dessus la jupe, y fit plusieurs tours et un
nœud puis resserra à nouveau la corde contre les montants de la chaise.
Sylvie et Muriel lui jetaient des regards reguliers tout en continuant à manger.
Elle se releva et se saisit des mains ligotées de Jeremy l'obligeant à les passer par dessus le dossier. Elle attrapa une longue corde et en fit deux fois le tour de sa taille
avant de la passer dans les montants du dossier , elle fit un nœud de chaque coté et reprenant les bouts de corde qui pendaient , elle les serra contre les poignets et y fit un
dernier nœud.
Elle se redressa et le toisa froidement.
- et maintenant tu ne bougeras pas d'ici avant d'avoir fini ton assiette !
Jeremy leva vers elle des yeux suppliants , mais elle s'était deja rassise et ne le regardait plus
- ah , ta fille sait se faire entendre , complimenta Muriel, tu vois, Sylvie , poursuivit elle, elle est exactement le genre de femme qui conviendrait a mon fils !
Une leçon... brûlante !
Pendant les vacances, j'aime bien prendre mon apéritif tranquillement. Surtout lorsque mon collègue Victor vient me voir. Je l'aime bien, Victor. C'est d'ailleurs le seul collègue de travail avec lequel j'ai des relations vraiment personnelles.
Comme moi, c'est un gars calme, simple, direct.
Chaque année je loue une bicoque dans un village de Lozère, trois semaines de vacances d'été pour ma petite famille : Cathy, mon épouse, Marie, ma fille aînée et mes deux garçons, Michel et Éric.
Toujours, nous recevons la visite de la famille de Victor : son épouse, Monique et son fils Rémy.
Ce jour là... C'est quand ? En 1971 ?.. Enfin, on est en juillet 1970, 1971 ou1972...Je sais plus...
Bref, Victor et moi nous prenons tranquillement notre apéritif anisé, lorsque nous sommes dérangés par les beuglements d'Éric, le plus jeune de mes fils, 11 ans à l'époque...
Le voici qui arrive à la maison, courant comme un fou, en larmes, hurlant qu'on l'a fait tomber dans les orties ! Et c'est vrai que ses cuisses, ses mollets, présentent des traces bien rouges.
Faut dire que le gamin porte un des ces shorts légers et très courts, à la mode à l'époque, alors, vous imaginez !
Il se rue dans la maison, dans les bras de sa mère et, pendant cinq minutes, les trois femmes s'affolent autour de lui, lui font des compresses froides, enfin, un cinéma pas possible, bien fatigant pour les pauvres marris!
C'est pourtant pas cela qui va le tuer, mon gamin... Il en verra d'autres.. Mais bon, ça doit vraiment faire mal...
Alors, je dis à Victor :
« Je crois que j'ai bien fait, comme chaque année, d'amener le martinet et je connais deux gaillards qui ne perdent rien pour attendre ! »
« Un peu, oui ! » rigole Victor « Bon, moi, le martinet, c'est pas mon truc. Tu sais que je corrige à la ceinture mais tu sais aussi que je suis un farouche républicain...Et même un démocrate !.. Alors, si tu tiens absolument au martinet, je suis ton homme ! »
De toute façon, je ne suis pas du genre à amener le martinet en vacances pour ne pas m'en servir du tout... Ça, ce n'est pas la peine que je l'explique Victor : il s'en doute !
Ce qu'il y a de bien, avec Victor, c'est que, lui aussi, sait très sévèrement corriger son fils lorsqu'il le faut. Nous deux, on est des pères comme on en fait plus aujourd'hui : très sévères, soucieux d'éduquer nos fils dans le respect de l'ordre, de la discipline, du travail bien fait. Avec nous, pas de mollesse ! Comme on en fait plus, j'vous dis... Pardi, c'est pour ça qu'il y tant de bordel de nos jours ! Les écoles ?.. De vraies pétaudières ! Et je parle d'il y a plus de trente-cinq ans ! Depuis...Enfin, vous savez bien...
Je pose encore la question que j'aime bien poser à Victor :
« Tu le corriges souvent, ton gosse ? »
« Oh... une fois par mois... un peu plus, même... »
Je ne réponds rien. Même pour mon aîné, je suis encore loin d'une telle sévérité. Mais je sens que ça viendra... Le gamin grandit, il est de plus en plus dur à tenir...
Mais chaque chose en son temps : la sentence, on l'a prononcée tout de suite ! De toutes façons, on sait bien qu'ils ont poussé Éric dans les orties.
Rémy, s'est pas trop son genre, il est plutôt prudent, voire timoré. Mais mon Michel, je le connais par coeur, il est bien capable de flanquer une roustre à son petit frère ! Bien entendu, ça ne changera rien pour Rémy : il était avec Michel donc, il sera puni comme lui !
Une bonne correction, de toute façon, ne fait pas de mal à des gosses de 14 ans...
Je calcule d'ailleurs qu'il y a bien deux bon mois que je n'ais pas corrigé Michel... Il est grand temps !
Non seulement nous avons prononcé la sentence mais nous nous sommes mis d'accord sur le détail de la punition...Il y a plus qu'à exécuter !
Alors, on continue tranquillement l'apéritif. C'est pas la peine de se presser : les deux lascars ne tarderont pas à rentrer à la maison. Ils ne peuvent tout de même pas rester toute la journée dehors... Et même s'ils attendaient jusqu'au soir, nous, on n'est pas pressés, simplement leur punition sera encore plus sévère. Et ça, ils le savent bien, les bougres !
Finalement, les voila qui arrivent, ces deux adorables délinquants, tout penauds.
Ce qu'ils sont drôles !
Pour 14 ans, c'est des mômes solides... J'avoue que je suis fier de mon petit Michel.
D'abord, je sais que j'en ferai quelque chose, en tout cas, qu'il aura un jour une situation meilleure que le mienne. Une vie plus riche, plus intéressante et je parle pas seulement d'argent.
Et puis, c'est déjà un beau garçon...Bon, un peu comme moi, pas très grand, mais musclé, costaud, on voit que ce sera un gars solide. Il est sportif et ça me plait. Je me suis toujours promis que, dès qu'il aura passé le bac, je l'expédierai faire son service militaire dans une de ces unités de combat, parachutistes, troupes de marine, enfin, un truc de ce genre, où il en bavera un maximum ! Pas de problème, j'ais les relations qu'il faut.
Rémy, par comparaison, est moins mignon. Comme son père, c'est un blondinet un peu grassouillet. Plus gamin, moins réservé que Michou, plus remuant, plus amusant, aussi... Moins batailleur, toutefois...Mais on voit que, lui aussi, fera un gars solide.
Les deux morveux se tiennent devant la table, mal à l'aise, les yeux baissés, en se dandinant, balbutiant des explications et, déjà, les larmes aux yeux. Pardi, il y a de la fessée dans l'air!.. Si ils savaient ce qu'on leur réserve, ah, mes amis, on les entendrait déjà pleurnicher, ils se dépêcheraient de prendre de l'avance !
Nous, on s'amuse bien de les voir essayer de nous convaincre, tenter vainement – sans trop y croire– d'échapper à la punition. Tu parles, avec nous, pas moyen !
Non, on l'a pas poussé...Il est tombé tout seul !.. Il arrête pas de nous embêter !.. On l'a pas fait exprès !.. C'est pas nous, c'est lui !.. On voulait pas ! Non, c'est pas juste ! On voulait pas ! C'est pas moi, c'est Michel ! Putain ! Salaud ! Toi aussi ! C'est pas juste ! Oh, noooon, Papaaaaa !...
Et de pleurnicher et de se contredire, de se perdre et de s'enfoncer chaque fois un peu plus !
Je sais bien qu'Éric est une petite peste. A 11 ans, c'est normal. Lui aussi, je le corrige chaque fois que j'en ai l'occasion. Mais Michel est l'aîné c'est à lui de supporter son petit frère et de veiller à ce qu'il ne lui arrive rien de mal.
Alors, le coup des orties, pas question de le laisser passer !
Quand j'en ai eu assez de ces pleurnicheries je suis allé chercher le martinet.
Quand Éric a vu ça, il a été comme guéri instantanément ! Il a séché ses larmes comme par miracle!
Ce petit salaud, il n'a pas osé se montrer pendant le procès, de peur d'être accusé à son tour, je connais la musique ! Maintenant, le voilà qui se précipite dehors pour assister au spectacle !
Comme prévu, Victor a été chercher des gants dans sa voiture. Des gros gants de mécanicien avec lesquels il va cueillir deux beaux bouquets d'orties dans le sentier.
Ce coup-ci, les deux coupables commencent à chialer et à supplier pour de bon. Ils ont bien raison. C'est pour eux, les orties !
Ils vont recevoir une bonne leçon !
Et, bon Dieu ! ça sera pas volé !
En attendant, je jette un coup d'oeil du côté de nos femmes qui sont sur le pas de la porte.
Pour Marie, mon aînée, elle a l'habitude que je la corrige. Enfin, de temps en temps... Le minimum : c'est une fille et elle a déjà 17 ans. Bonne élève, sage, obéissante et tout... Alors, je m'en tiens à trois ou quatre corrections par an, pas plus. Le minimum, vraiment...Depuis qu'elle a passé 15 ans, je la corrige pour ainsi dire plus, mais enfin, faut ce qu'il faut...Des coups de martinet sur la plante des pieds. Ça fait mal, ça ! J'en donne aussi à mes garçons, de temps en temps, mais toujours en complément d'une bonne fessée !
Ils détestent !
Mais j'aime pas que les femmes regardent quand je corrige les garçons :
« Rentrez dans la maison ! C'est pas un spectacle pour les dames ! »
Vous l'avez compris, je suis un père de famille de la vieille école et je me fais obéir, non seulement de ma progéniture, mais aussi de ma femme et, pendant que j'y suis, des femmes de mes copains !
Je dois ajouter que j'ai toujours eu le soutien de Cathy, ma tendre moitié, pour ce qui est de mes méthodes d'éducation. C'est une bonne fille.
Enfin, j'ordonne aux deux loustics de se déshabiller et, comme j'en ai l'habitude, je décroche sans attendre une paire de gifle à chacun. J'aime bien les paires de gifles, les calottes. Pas trop fort, bien sûr, mais bien claquantes, bien cuisantes, ça oui ! Ça met tout de suite les choses en place et les gosses savent qui est puni et qui va punir. Ça permet de couper court à toutes ces manifestations de résistance, à toute tentative de se débattre. Avec des gamins de 14 ans, déjà bien costauds, il faut s'imposer tout de suite, sinon, c'est foutu !
Et comme j'ai le martinet à la main, je ne résiste pas au plaisir de leur flanquer alternativement quelques bons coups sur les cuisses et les mollets pendant qu'ils se déshabillent, rapport à les motiver un peu!
Ah, ils ont pas mis longtemps enlever les chaussures, le short, la chemisette, les chaussettes... Pour le slip, il a fallu insister un peu mais après sept ou huit bons coups de martinet à droite et à gauche, s'est fait ! Fallait les voir comme ils ont sauté sur place !
Sournoisement, Eric est resté pour jouir du spectacle mais il est un peu en retrait, tentant de se faire oublier...Toujours prudent, ce môme...
Toi aussi, tu perds rien pour apprendre, je t'ai à l'œil ! A la première occasion, je te flanquerai une bonne correction, histoire de montrer à ton grand frère et à toi aussi, que je suis juste avec les deux! Juste et sévère...
Victor a posé les bouquets d'orties et les gants sur la table. On était d'accord comme ça. Chacun tiendra son propre fils, pendant que l'autre le corrigera... Histoire de changer un peu !
D'abord, on attache les mains des deux gamins, sur le devant, grâce à de petites cordes que j'avais, heureusement, dans la maison. C'est pour éviter qu'ils se grattent derrière, après la punition, pour éviter que cela aggrave les démangeaisons...Quand même !
Ils se laissent faire sans difficultés mais non sans pleurnicheries. C'est comique de voir ces deux gamins, complètement à poil, les poignets attachés, on dirait qu'on va les vendre comme esclaves sur le marché du patelin !
Je suis sûr que si on le faisait, on en aurait un bon prix...
J'ai planté une chaise au milieu de la terrasse me suis assis, attrapant Michel par le bras, le tirant vers moi...
J'écarte les cuisses, je courbe Michel en avant, place sa tête entre mes cuisses que je referme, lui serrant le cou, pas trop... Juste ce qu'il faut... Puis, mes deux bras nus passent autour de sa taille, serrant assez fort... Le gamin, le cul en l'air, sur la pointe des pieds, ne peut plus bouger... Voila qu'il commence à chialer pour de bon, sachant ce qui l'attend, son cul bien ouvert, bien exposé à la punition... Et, bon Dieu, c'est pas volé !
Rémy, les mains attachées, regarde de ses yeux bleus exorbités, de grosses larmes coulent sur six jours... Te fais pas de soucis, vaurien ! Ton tour va venir !
Victor a pas traîné : le gant, un bouquet d'orties fraîches et paf !
Directement dans le trou du cul de cette petite crapule de Michel !
Le gamin pousse un hurlement terrible, il saute en l'air et se serait envolé jusqu'à Marseille si je ne l'avais pas fermement tenu ! C'est sûr que ça doit faire mal. Pardi, c'est fait pour...
Pendant deux bonnes minutes, Victor lui essuie proprement le derrière, les fesses, la raie des fesses, les cuisses, l'entre cuisses, avec ses bonnes orties bien piquantes, jusqu'à ce que les feuilles soient arrachées !
Je dis pas les cris, les supplications, les pleurs...
Puis, il jette les orties dans la pelouse, enlève le gant et s'empare du martinet.
On s'était mis d'accord : quarante coups chacun. Quarante coups bien sérieux, bien cinglants !
Avec Victor, pas la peine de le dire deux fois ! Pour être cinglant, c'est cinglant !
Michel pousse des hurlements sauvages... Chaque coup de martinet fait éclater les grosses cloques blanches qui se sont formées sur ses fesses toutes rouges, bientôt il a le cul tout trié de raies violettes, gonflées, pendant que d'autres cloques blanches apparaissent. Il se débat tellement que j'ai de la peine à le retenir, il bondit sur place, impuissant à se libérer, il laboure rageusement le sol de coups de pieds et de talon, hurle des supplications, des promesses, beugle qu'il a mal, trop mal... Qu'il le fera plus !
Pardi, j'y compte bien !
Oh, ça ne m'émeut pas ! J'ai l'habitude, c'est normal. Au contraire, cela montre que la punition est bonne. C'est excellent.
Après quarante coups, je le relâche. Pendant une bonne minute il trépigne sur place, son sexe en érection, agité de soubresauts, le visage ruisselant de chaudes larmes...
Mais quand il voit que Victor s'assoit dans la chaise et met en position son copain qui hurle de peur, quand il me voit enfiler le gant et prendre l'autre bouquet d'orties, il se calme comme par miracle pour pouvoir mieux profiter du spectacle... C'est la vie, c'est comme ça. Je sais qu'il aime bien Rémy, qui est un bon copain, mais ça lui fait plaisir de savoir qu'il est puni, lui aussi. C'est humain !
Armé du bouquet d'orties je me suis approché des bonnes fesses toutes blanches du gros Rémy.
Ah, mon gaillard, à nous deux !
Blanches, elles vont pas le rester longtemps, tes fesses ! Je vais m'en occuper, de tes fesses !
Un derrière parfaitement imberbe, un vrai derrière de gros bébé bien rose. On voit son petit trou du cul, tout tendre, sans un poil. C'est trop mignon, trop tentant, pour que je ne m'y attaque pas tout de suite ! Après tout, Victor ne s'est pas gêné avec Michel, alors : direct dans l'anus !
Je vous dis pas le hurlement strident du gamin !
Je frictionne bien consciencieusement ses deux grosses paires de fesses, je n'oublie pas de punir l'entrejambe, les couilles, de revenir à la raie des fesses, de la frictionner bien comme il faut !
Puis, retour sur le rond des fesses, retour sur les couilles, sur le haut des cuisses...
Quand tout cela est bien rouge, que mille petites cloques sont apparues partout... Alors, je passe au martinet, mon instrument préféré !
Quarante coups. Pas un de plus, pas un de moins, quarante... Quarante bons coups, à toute volée, et je vous jure bien que je n'ai ménagé ni le haut des cuisses, ni la raie des fesses, ni le trou du cul...enfin, rien ! Le gosse hurle comme un dément...
Quand tout est terminé, on a fait rentrer les deux punis dans la maison, on les allonge sur le ventre, l'un à côté de l'autre, sur le lit de Michel et on leur attache les poignets au bord du lit pour qu'ils ne puissent pas se gratter...
Leurs mères ont préparé des compresses froides pour les soulager un peu...
Nous, on termine notre apéritif en attendant le déjeuner.
Les deux chenapans n'ont pas déjeuné avec nous. Je comprends bien qu'ils n'ont pas trop faim !
En fait, ils sont restés allongés sur le lit toute la journée, à pleurnicher doucement...
Le soir, on a pris une petite collation. Alors, ils sont venus à table pour se restaurer un peu. J'aime autant vous dire qu'ils ne se sont pas assis et même, qu'ils sont restés culs nus ! Ça leur cuisait trop et ils pouvaient même pas supporter de porter un slip ! Ce qu'ils étaient drôles ainsi !
Quand ils se sont levés, j'ai inspecté les draps du lit et j'ai constaté qu'ils étaient souillés... La nature avait fait son oeuvre et, décidément, ces deux petits gredins devenaient grands... J'avoue que cela m'a fait quelque chose de penser que Michel allait devenir un homme...
On a décidé que Rémy passerait la nuit avec nous, dans le lit Michel. On pouvait quand même pas lui imposer le voyage en voiture et son père est revenu le chercher le lendemain soir...
Demain, j'emmènerai ces trois vauriens se baigner au lac, histoire de les réconcilier un peu et de passer l'éponge...
Ce jour-là, mon ami Victor et moi, nous n'étions pas mécontents de leur avoir donné une bonne leçon...
Une leçon...brûlante !
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