Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 14:50
Lorsque la porte claqua de nouveau, j'espérais de tout mon être que ma punition allait prendre fin. J'allais pouvoir être débarrassé de ce carcan qui me "chauffait" au plus profond de mes chairs les plus intimes. La brûlure était telle que je ne sentais même plus mon sexe entre mes jambes.

Lorsque N....y commença à défaire la couverture de plastic, le contact de l'air frais raviva encore un peu plus la brûlure sur la peau.
Mes jambes et mes furent déliées afin que je puise me rendre à nouveau à la salle de bain, guidée par le bras et la main de N....y.
Les yeux toujours bandés, elle m'installa au milieu de l'immense bac à douche et me rattacha les bras dans le dos afin d'être libre de gérer comme l'entendait cette toilette intime. Elle me fit écarter les jambes et referma sur mes chevilles les sangles de la barre d'écartement. Je devais donc rester bien en place afin de ne pas perdre l'équilibre. Le jet d'eau me surprit par sa violence.

Elle avait réglé le pommeau de la douche sur la plus forte pression. De bas en haut l'eau chaude sous pression me débarrassait enfin peu à peu de l'urticante moutarde et estompait la sensation de brûlure.

 Après avoir enduré tant de souffrances et d'humiliations, j'avais enfin droit à un moment de décontraction et cette eau qui coulait sur mon corps me faisait l'effet d'une suprême récompense. Le jet de la douche passait sur tout mon corps, entre mes jambes, dans la raie de mes fesses, s'attardant même au plus profond de moi afin de bien rincer et enlever toute trace de cette foutu moutarde qui m'avait mis le feu au derrière.

N....y avait plus d'un tour dans son sac. C'est au moment ou je m'y attendais le moins, qu'elle inversa le thermostat pour transformer cette douche bien agréable en un cauchemar glacé.
Je comprenais maintenant pour quelle raison elle avait prit soin de m'attacher les bras dans le dos et m'immobiliser les jambes écartés.

Dans le noir et ne pouvant me protéger avec les bras, ni me déplacer avec les jambes, je devais subir maintenant cette douche dont la température ne devait pas dépasser les quinze degrés.
Les premières morsures de ce que je devinais être un gant de crin ou de gommage, me firent crier autant de surprise que de couleur. Une cinglante gifle m'intima le silence. Mais pour être bien sure de ne plus m'entendre me plaindre; N....y décidé de parfaire le travail.

Abandonnant quelques minutes, mon "nettoyage",elle me pinçât le nez pour m'obliger à ouvrir la bouche pour respirer.Dés que j'ouvris en grand la bouche pour reprendre ma respiration elle en profita pour m'insérer dans la bouche un morceau de caoutchouc et je sentis qu'elle refermait derrière ma nuque se nouvel appareil qui m'était inconnu.
J'entendis un bruit d'air comprimé et presque immédiatement le morceau de caoutchouc qui m'empêchait de refermer ma bouche, se mit à grossier sous l'effet de l'air qui le remplissait. je venais de faire la connaissance avec un bâillon gonflage qui semblai encore plus efficace que le rouleau d'adhésif.
Au bout de quelques pression, j'avais les mâchoires écartées au maximum et ce ballon gonflé à blog étouffait toute tentative pour prononcer le moindre son.

Le gant de crin reprit son travail de ponçage et je me tortillais dans tous les sens pour essayer tant bien que mal d'éviter ses morsures sur ma peau. A chaque passage entre mes fesses, N...y faisait en sorte de bien insister, comme pour vouloir un peu plus épiler cette zone ou pourtant plus auquel poil n'avait survécu.

Lorsque le "gommage" à l'eau froide fut terminé, N...y me séchât et me raccompagna à la chambre.
Ces seules et dernières paroles furent:

- Une fois détaché, tu compteras jusqu'à cent avant d'enlever ton bandeau et tes entraves. Tu pourras récupérer tes affaires, sortir de l'appartement et attendre sagement ton prochain rendez vous.

Pour lui signifiait que j'avais bien compris le message je lui fit un simple signe de tête.

Lorsque mes bras furent détachés et que j'eus patiemment compté dans ma tête, j'ôtais en premier le bandeau, puis le bâillon de caoutchouc. Je m'accroupis pour défaire les boucles autour de mes chevilles, libérant mes jambes de cet écartement qui m'avait obligé à marcher comme un zombie pour aller de la salle de bain à la pièce ou je me retrouvais maintenant.

Tous mes vêtements étaient bien là. Je m'habillais promptement et comme N...y me l'avait imposé, je sortais de la pièce puis de l'appartement. Quelques instant après, je me retrouvais dans la rue ou quelques heures avant j'avais vécu un véritable calvaire..............

Suite à un prochain rendez vous.........................



Par gigipanpan - Communauté : Fessé et attaché
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 23 janvier 5 23 /01 /Jan 19:08
Effectivement dans la pièce m'attendait bien une superbe foulard noir et une corde épaisse dont les deux noeuds coulants rappelaient étrangement ceux des pendus à l'époque du far-west. C'était évident qu'une fois resserrés, ils me seraient impossible de les défaire.

Comme il me l'était demandé, je mettais le foulard sur mes yeux et après avoir fait deux tours je le fixais solidement sur mon visage. Impossible maintenant de voir quoi que ce soit. Ayant par avance repéré la corde posée à coté, je la pris en main et serrais le premier noeud autour de ma cheville.

La corde était volontairement courte et je du plier les jambes pour pouvoir passer mes poignets dans le deuxième noeud coulant. Une fois mes bras en croix dans le dos et mes poignets en place, je me redressais pour tendre la corde et refermer définitivement le noeud sur mes poignets.

La longueur de la corde avait soigneusement calibrée par N...y,  car je pouvais tout juste me tenir droit, jambes droites, les poignets tendus au maximum vers le bas. Dans cette position moyennement confortable je fus contraint d'attendre, nu au beau milieu de cette pièce, le bon vouloir de ma maîtresse.

Les minutes passaient lentement, et lorsque j'entendis la porte s'ouvrir, je sus immédiatement que j'allais à nouveau souffrir.

N...y prit ma cheville et me fit replier le pied vers le haut. Une fois la corde détendue, elle défit le noeud qui enserrait ma cheville et je me retrouvais ainsi libéré partiellement.
Mes mais furent également détachées, mais alors que je croyais avoir un peu de répit, N...y prit à nouveau mes poignets pour les lier à nouveau, cette fois ci par devant. Une fois les mains attachées je dus la suivre dans le noir, tiré par la corde quelle tenait dans ses mains.

Lorsqu'elle me fit basculer sur le lit ,le contact du plastic froid me fit tressaillir de surprise.  D'après ce que je pouvais deviner, une grande bâche ou un grand morceau de plastic avait été déposé sur le lit et une fois allongé dessus, je compris que N...y  tirais sur les bords pour remettre bien en place cette couverture au contact assez désagréable.

Mes bras furent tirés en arrière au dessus de ma tête et la corde fut fixée à la tête de lit. Une fois les noeuds faits, impossible pour moi de bouger les bras. Une à une mes jambes furent écartées et attachées au pied du lit.
N...y avait délibérément choisie un écartement maximum de mes jambes et cette position me faisait craindre la possible venue de crampes si cette position devait perdurer.

Les jambes écartelées, immobilisées par des liens solides, impossible faire le moindre mouvement.
N...y s'approcha de moi et elle entreprit de me bâillonner à nouveau. Cette fois se ne fut pas moins de 10 tours de rouleau de scotch autour de ma tête qui furent effectués et lorsqu'elle décida d'arrêter de momifier ma bouche, je ne pouvais émettre le moindre son. J'en étais réduit à respirer par le nez.

Une odeur piquante me montât aux narines et je devinais immédiatement qu'il s'agissait de la moutarde que je venais d'acheter. Quel supplice N...y  avait-elle  encore décidé de m'infliger.

Je sentis la première brûlure lorsque N...y m'enduisit à grands coups de cuillères le sexe, les bourses et pire l'entre jambes. La cuillère fouillait la raie de mes fesses et la moutarde la remplissait en me provoquant presque instantanément les premières bouffées de chaleur. Je fus enduit de moutarde sur toute la surface possible de mon corps.

Jambes, ventre, poitrine furent bientôt recouverts et lorsque le "tapissage" fut terminé, N...y rabattit sur moi la bâche de plastic une fois collée à mon corps, elle scotcha le tout à l'aide de l'adhésif et ainsi momifié dans la moutarde dijonnaise, je dus endurer un supplice inconnu. Mes fesses me brûlaient, ma verge était en feu et mes petites bourses devaient ressembler à de petites tomates rouges. Je voulais crier de douleur mais aucun son ne sortait de ma bouche.

Je dus rester ainsi pendant de très longues minutes,en nage dans ce carcan de plastic le corps littéralement en ébullition.

Lorsque N...y  rentra à nouveau dans la pièce, elle sinstalla directement à califourchon sur mon ventre et entreprit de défaire mon bâillon à l'aide d'une paire de ciseaux.
Une fois ma bouche libérée, elle se redressa et pensant qu'elle allait repartir quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'elle venait de s'asseoir sur mon visage.
Tenant mon visage entre la paume de ses mains, elle avait fait en sorte de bien plaquer ses fesses sur moi, car mon nez était maintenant plongé dans la raie de ses fesses, en contact direct avec ce que je reconnu être sa petite rosette. Une odeur féminine mélangée à celle d'un savon aux senteurs délicates m' emplissait mes narines.

 N....y eut un mouvement de bascule vers l'avant et ma bouche entra en contact avec la douceur de son sexe. Intégralement rasée elle aussi, le contact direct de sa peau à la douceur juvénile était très agréable. je n'osais pas prendre l'initiative de peur de déclencher à nouveau les foudres de N...y.

Elle commença à bouger d'avant en arrière, se frottant sur ma bouche et s'appuyant sur le bout de mon nez. Je sentis peu à peu un liquide chaud au goût de miel couler le long de mes lèvres. Sans un mot, par un simple déhanchement, N....y prenait du plaisir et la frustration de ma position était atténuée par la sensation de participer directement à sa jouissance.
Au bout de quelques minutes manifestement satisfaite, elle se releva et quitta la pièce sans un mot.

A nouveau seul, attaché dans le noir, le corps encore brûlé par la violence des paquets de moutarde qui me recouvraient, j'essayais de ne plus penser à la brûlure de mon entre cuisses. Ma peau devait être aussi rouge qu'une fraise trop mure.
Ma bouche était encore recouverte des liqueurs de N...y, mais je ne pouvais m'essuyer. Je dus les laisser sécher et attendre dans l'obscurité, une nouvelle arrivée de ma maîtresse.

Suite à venir.................



Par gigipanpan
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 23 janvier 5 23 /01 /Jan 14:51
Je dormais d'un profond sommeil réparateur, lorsque je sentis mes chevilles devenir, dans un même claquement métallique, prisonnières d'une paire de menottes. Mes jambes furent tirées sans ménagement vers le haut et je me retrouvais dans les secondes qui suivaient seulement en appui sur le lit par mes épaules et dans la position d'une grenouille les jambes et les genoux écartés, mais les pieds presque les uns contres les autres.

C'est dans cette position qui libérait parfaitement le bas de mon corps que N...y  termina mon immobilisation en reliant la chaîne des menottes à une corde fixée à la tête de lit.
Dans cette position, je ne pouvais à nouveau plus bouger et j'exposais également les parties les plus secrètes de mon corps.

J'entendais vaguement des cliquetis. N...y  devait à n'en pas douter préparer une nouvelle épreuve. Je sentis passer ses mains sous me fesses, dans mon dos et lorsqu'elle referma sur ma taille ce qui me semblait être une ceinture, je commençais à angoisser de nouveau sur ce qui allait m'arriver dans les prochaines minutes. je compris qu'elle serrait la boucle et j'entendis un petit cliquetis semblable à celui d'un cadenas que l'on referme.

Une fois la ceinture en place, les mains de N...y se dirigèrent vers mon anus et elle m'enduit de lubrifiant avant de forcer le passage en m'introduisant un plug de diamètre acceptable qui rentra en moi avec une facilité étonnante. Il est vrai que N...y prenait soin de ne pas me blesser en n'utilisant pas un plug de trop grosse taille. Le plug devait être relié à deux lanières car je sentis de part et d'autre de mon sexe le contact à la fois rugueux et souple du cuir et les lanières furent elles aussi attachée à la ceinture. Deux nouveaux cliquetis me firent comprendre que le piège venait de se refermer sur moi et j'étais maintenant prisonnier d'une véritable ceinture de chasteté qui condamnait mon petit orifice. Impossible d'expulser hors de moi ce pal qui me distendait l'anus.

N...y détacha le lien qui retenait mes jambes en l'air. Elle m'enleva également la paire de menottes qui entravait mes pieds.
D'une voix qui ne souffrait pas la discussion, elle me demanda de me lever et elle me conduisit en me guidant par le bras, dans un pièce qui devait être celle ou je m'étais déshabillé. j'étais toujours aveuglé et bâillonné. Elle me détacha les bras et je pus enfin avoir une liberté totale de mes membres.

N...y: me dit de sa voix calme:
- Lorsque je serais sorti de la pièce tu enlèveras ton bandeau, ton bâillon, tu t'habilleras avec les vêtement posés sur la chaise et tu lira la lettre posée sur la table. Tu devras te conformer à la requête écrite sous peine de grosses représailles.
J'entendis la porte claquer et je ne fis pas prier pour ôter en vitesse bâillon et bandeau. J'étais effectivement dans le même pièce qu'au début de la matinée.

Je pris la lettre en main et je pus lire:

- Met les habits posés à coté,  prends le billet de 5 euros qui sont sur la table et part m'acheter deux pots de moutarde de Dijon au super marché Shopi qui se trouve au bout de la rue. Tu devras me rapporter le ticket de caisse pour que je puisses vérifier.

Devant moi était posé un short de sport qui devait être celui d'un adolescent, mes chaussures de ville, mes chaussettes et un haut de jogging bien trop court qui couvrait à peine ma taille. Pas de slip, pas de manteau pour me dissimuler, j'allais devoir sortir en essayant de cacher du mieux possible le harnachement qui m'emprisonnait la taille et l'entre jambes.

Je pris mon courage à deux mains et j'enfilais le short qui me serrait et descendait tout juste au dessous de mes fesses. Le tissu du short était très fin et il laissait entrevoir que je portais pas de slip. Pire les lanières de chaque coté étaient parfaitement visibles et si une personne regardais avec attention elle ne manquerais pas de comprendre de quel type de harnachement j'étais affublé. Il n'échapperais à personne que je ne portais pas de slip.  Mon sexe collé contre le tissu presque transparent ne pourrait pas plus se dissimuler à la vue des personnes que j'allais croiser et cela  même si l'absence de poils sur mon pubis, depuis que j'avais été rasé, atténuait un peu le contraste avec le tissu blanc.
J'enfilais maintenant le haut de jogging en tirant de toute mes forces vers le bas pour le faire descendre le plus possible. Dans le meilleur des cas il cachait mon ventre et l'élastique du short.

N'ayant pas d'autre solution que de m'exécuter, je sortais de l'appartement, dévalais l'escalier espérant ne rencontrer personne, et rouge de honte et de peur panique, je me mis à partir à la recherche du fameux magasin.
ne sachant pas si je devais partir à gauche ou à droite, je dus me résigner à demander à une passante qui me renseignât en me regardant longuement de la tête au pieds d'un air amusé. Je baissais la tête pour ne plus croiser son regard.

J'étais gêné dans ma marche par le plug qui bougeait en moi. Je ressentais une drôle d'impression à marcher ainsi, avec un intrus au milieu des fesses. C'était difficile de rester naturel, car l'envie d'écarter les jambes pour avancer et avoir un peu plus d'aisance était dure à maîtriser.

Je partis dans la bonne direction, mais au bout de quelques centaines de mètres je sentis en moi le plug commencer à faire son oeuvre destructrice. Il me fouillait les entrailles et je sentais que j'allais pas tarder à avoir des difficultés à le conserver en moi et surtout à ne pas être obliger de me soulager en pleine rue. Mes joues me brûlaient plus par la montée de panique que par le trajet que j'effectuais presque en courant. Je serrais au maximum es dents et aussi mes sphincters pour ne pas céder à la panique et ne pas me laisser aller.

J'entrais dans le magasin au bout d'une course d'une bonne dizaine de minutes. Une rapide recherche et je trouvais les pots de moutarde demandés. Je me dirigeais à toute vitesse vers la caisse ou je du patienter derrière une petite grand mère qui n'en finissait pas de discuter avec la caissière.

Une fois devant elle, je sortis mon billet pour payer et je sentis tout le temps qu'elle mit pour me rendre la monnaie, qu'elle détaillait mon short comme pour essayer de deviner ce que je cachais.
Je pensais pouvoir m'en tirer par une simple honte passagère, mais quelle ne fut pas ma surprise quand je la vit prendre le téléphone pour appeler un vigile. Cette idiote devait imaginer que je cachais dans mon short une ceinture volée ou autre chose.

Catastrophe, le vigile était déjà et il me demandait de le suivre. devant ma réticence, il me répondit que si je refusais de le suivre dans l'arrière boutique, il allait appeler la police. Piégé, je ne pouvais que m'exécuter pour éviter une situation bien plus catastrophique.

Une fois dans la pièce, ou par la glace sans teint je pouvais voir cette idiote de caissière, il me demanda ce que j'avais volé. je lui répondis "rien".
- Je dois vous fouiller, me dit il d'une voix guère complaisante. Je devais me laisser faire. Ses mains passèrent rapidement sous mes aisselles, sur mon torse et lorsqu'il senti la ceinture sur mon ventre, il s'écria:
- Vous avez volé une ceinture ?
- Au bord des larmes, ayant de plus en plus de mal à me contenir et à ne pas me relâcher devant lui, des gouttes de sueur perlaient sur mon front et cela ne faisait que conforter ma position de voleur.

Je dus me résoudre à lui expliquer, grâce à la lettre que j'avais gardé dans ma poche, que je devais accomplir cette punition demandée par ma maîtresse et qu'elle m'avait harnaché de la sorte pour me punir.

Il semblât me croire, mais me demanda de baisser mon short pour bien lui prouver que je disais la vérité.
Mort de honte je baissais lentement le short sur mes genoux et présentait à cet inconnu mon sexe rasé de frais et pris entre deux sangles de cuir. Lui aussi pétrifié de honte, mon pénis avait la grosseur d'un minuscule radis et je n'osais même plus bouger les bras pour lui cacher ma nudité. Devant moi le vigile restait sans voix, la main sur le menton, incrédule devant un tel spectacle. Je baissais la tête pour tenter de lui cacher ma honte.

J'allais remonter mon short, lorsque la porte s'ouvrit et je vis entrer dans la pièce une grande femme en blouse blanche qui avait l'allure de la gérante ou la directrice. Elle éclata de rire en me voyant et pour mieux m'humilier elle dit au vigile:
- Avez vous bien fouillé partout ce monsieur ? Regarder s'il ne dissimule pas quelque chose entre ses jambes.
Forcé d'obéir à sa patronne, le vigile me fit écarter les jambes et je dus m'exhiber totalement nu devant cette inconnue qui prenait plaisir à m'humilier davantage.

Le vigile voyant que j'étais au bord du désespoir, lui dit que je cachais rien sous moi, et j'eus l' autorisation de remonter mon short et cacher enfin mon anatomie. J'avais du mal à remonter correctement le short et je devais me déhancher pour faciliter la remontée. Une fois en place,sans demander mon reste, je sortais presque en courant de la pièce et du magasin sous le regard hilare de la patronne et de son vigile.
Ils allaient avoir de quoi raconter pendant de nombreuses soirées. Par bonheur pour moi, ils n'avaient pas pensé à faire une photo, comme cela se pratique quelques fois pour éviter les récidives.

Je courrais dans la rue, essayant de retenir en moi ce que je ne pouvais me résoudre à évacuer en pleine rue. J'essayais de serrer au maximum mes sphincters, je contractais mes muscles au maximum et montait enfin quatre à quatre l'escalier qui me menait à la délivrance.

Surprise, la porte d'entrée était entre ouverte, le couloir allumé et par autre porte, qui devait être celle de la salle de bain, une lumière me faisait comprendre que je devais m'y rendre au plus vite.
Effectivement, c'était bien la salle de bain.
Devant moi un tabouret sur lequel était posé trois clefs qui étaient sans aucun doute celles des cadenas.

J'enlevais le plus vite possible mon short sans même prendre le temps de refermer la porte de la salle de bain. A toute vitesse j'enlevais les trois cadenas qui me retenaient prisonnier et le temps de m'asseoir sur le siège des toilettes, je retirais enfin le plug qui me torturais depuis trop longtemps.

Je restais longtemps dans la salle de bain pour me laver et me rendre enfin présentable. N...y avait pensé à tout car un grand drap de bain avait été posé à coté de l'immense douche de style marocain, ainsi qu'une eau de toilette masculine, m'invitant sans aucun doute à les utiliser. ce que je fis avec le plus grand plaisir. Cette douche venait de me ramener à la vie. Peu à peu le stress m'abandonnait et mes membres ne tremblaient plus comme lorsque j'étais en train de courir dans la rue pour ne pas me vider en public.

N...y savait parfaitement diriger les opérations et j'en venait même à me demander si elle n'était pas de mèche avec le vigile et la patronne de la supérette, car il faut bien l'avouer:  Une telle poisse était plus que suspecte.

Contre le miroir de la salle de bain était appuyée une lettre que je devais elle aussi lire:
- retourne maintenant dans la pièce remet simplement ton bandeau sur les yeux. Tu trouveras une corde munie de deux noeuds coulants. Passe l'un d'eux autour de ta cheville droite et passe tes poignets dans le deuxième noeud coulant. Redresse toi pour tendre et resserrer les noeuds. Une fois immobilisé...... ATTENDS, JE VIENDRAIS QUAND JE L'AURAIS DECIDE  !!!!!


La suite dans un prochain article...................







Par gigipanpan - Communauté : Fessé et attaché
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 janvier 1 19 /01 /Jan 16:48
Le temps me semblait ne pas vouloir s'écouler. Par bonheur le matelas était confortable et même si ma position commençait à devenir pénible, c'était quand même plus supportable que de me retrouver allongé sur le sol.

Le claquement sec de la porte me fit immédiatement comprendre que N...y  était revenue dans la pièce. Les yeux bandés je ne pouvais voir si elle était seule ou si une autre inconnue était aussi présente.

L'agréable parfum me fit penser que N...y était cette fois seule dans la chambre. Je sentis ses mains s'approcher de mes chevilles et défaire lentement les liens qui m'immobilisaient.
Quelques minutes plus tard, je pus enfin détendre mes jambes qui s'étaient légèrement engourdies. Comprenant que mes mouvements étaient destinés à faire partir les fourmillements, N...y entrepris de me masser énergiquement cuisses, mollets et chevilles.
Le contact de ses mains était très agréable et je priais dans ma tête que cet intermède se poursuive le plus longtemps possible.
Jugeant qu'il était temps de passer à autre chose, l'agréable massage prit fin et N...y  me fit redresser le buste pour m'asseoir au bord du lit. Elle me fit écarter les jambes en me faisant comprendre que je devais rester assis sur le bord du lit et attendre patiemment la suite des évènements. Mon sexe rasé  ainsi exposé me procurait une sensation totalement inconnue. Un air frais semblait passer entre mes cuisses. Cette sensation de fraîcheur n'était pas désagréable au demeurant.

N...y  commençât à défaire les liens qui emprisonnaient mes poignets sur ma poitrine.Une fois libéré elle me laissa libre de tout mouvement, certainement pour voir ma réaction. Au bout de quelques minutes, machinalement je portais l'une de mes mains à mon sexe.
Immédiatement une claque sur le visage me ramena à la raison, je fus repoussé en arrière sur le lit et N...y  me retourna sur le ventre. Elle me replia sans ménagement les bras dans le dos, passant rapidement le rouleau de scotch autour de mes avant bras. Une dizaine de tours et elle m'immobilisa à nouveau, les bras bien remontés dans le milieu du dos.
Presque immédiatement une cinglante fessée me fut administrée. Frappant alternativement la partie la plus charnue de mes fesses, N...y avait entrepris de me faire payer ma désinvolture.

Cette fessée n'en finissait plus. Les fesses en feu je sentis soudain que je n'allait plus pouvoir rester en place sans bouger. J'allais craquer et devoir me redresser pour essayer de fuir cette punition qui me brûlait de plus en plus "l'arrière train". N...y  du le comprendre car elle s'installa à califourchon sur mon dos afin de continuer sa punition pendant un trop long moment...........

La fessée avait maintenant cessé, me laissant croire à une fin définitive. N....y se remis debout et me laissa ainsi, affalé sur le lit, les fesses exposées à bonne hauteur et à bonne température. Les bras bloqués dans le dos, il m'était difficile de bouger et je préférais rester en place pour ne pas provoquer un nouveau déluge.
Mes pieds reposaient sur le sol lorsque N....y  passa sous mon ventre un énorme coussin. Elle me prit le sexe et tira sans ménagement vers le haut afin que je me redresse. Sans quelle ait eu besoin de parler, j'avais immédiatement compris le message et faisait en sorte de libérer le passage sous mon ventre.N...y passa rapidement sous mon ventre un énorme coussin. Elle tira à nouveau mon sexe vers le haut. Un deuxième coussin fut aussitôt placé sous mon ventre et lorsqu'elle jugea que la hauteur était bonne elle relâcha sa prise pour que je puisses à nouveau m'allonger sur le lit.

J'étais maintenant à plat ventre sur le lit, les fesses relevées, bien plus hautes que mes épaules. Je me demandais pour quelles raisons N...y avait décidé de me positionner ainsi. Je n'allais pas tarder à le découvrir.
Pour m'enlever toute idée de mouvement, N...y me replaça la barre d'écartement aux chevilles et quelques instants plus tard j'étais de nouveau contraint à exhiber la partie la plus secrète de mon anatomie. je compris également que mes chevilles avaient été reliées au pieds du lit, et ceci afin d'empêcher toute tentative pour relever ou bouger les jambes.

Dans cette position relativement confortable je percevais des préparatifs qui faisaient monter mon angoisse. Que me réservaient les bruits qui me parvenaient aux oreilles.

Je bruit caractéristique d'une allumette et du souffre qui s'enflamme fit monter un peu plus mon taux d'adrénaline. Je compris soudain qu'elle venait d'allumer une bougie. Un nouveau supplice allait commencer.

Une à une, les gouttes de cire chaude tombait sur mes fesses me provoquant à chaque impact une vive douleur passagère.




La bougie devait être de grosse taille car le rythme des gouttes tombant sur ma peau devenait de plus en plus rapide et au bout d'une bonne dizaine de minutes, mes fesses devaient être complètement recouvertes de cire.
Je commençais à m' habituer  à la chaleur, lorsque N...y   décida de s'aventurer vers une région à la peau plus tendre.
Les premières gouttes qui atterrirent entre mes fesses et sur mon anus me firent sursauter de surprise mais aussi de douleur.
N...y,  bien décidée à continuer son oeuvre, ne prêta absolument pas cas à mes soubresauts. La cire coulait de plus belle entre mes fesses et peu à peu même la peau de mes testicules fut recouverte. Une culotte de cire cachait maintenant ma nudité. La bougie devait être intégralement fondue car le rythme des impacts venait de ralentir puis pour mon plus grand soulagement, prît fin.

Une voie à la fois douce et ferme me dit:
- Il va falloir maintenant nettoyer tout cela.
Je sentis le premier coup de baguette sur la croûte de cire. Sous l'impact, la cire se craquelait avec un bruit mat et me dénudait au fur et à mesure que N...y  me fouettait sans violence les fesses. Après une bonne vingtaine de coup de baguettes, je sentis les mains de N...y   s'insinuer entre mes jambes et par gestes vifs et précis elle commença à arracher sur ma peau les restes de cire. Une fois complètement débarrassé de cette couverture douloureuse, elle entreprit de caresser comme si elle voulait me récompenser d'avoir endurer sans bouger cette terrible épreuve.

D'une main experte elle prit mon sexe, le tira vers l'arrière et comme ma position facilitait grandement l'exposition et le passage, elle commença à me traire comme le font les femmes d'éleveurs avec le pis des vaches, par coups de poignets vigoureux et endurants.
Elle accélérait son rythme pour en finir au plus tôt. Je ne voulait pas lutter et bien vite je sentis monter en moi un flot que je ne put retenir.
Elle continuait de me traire comme pour me vider complètement et c'est seulement lorsque mon sexe se recroquevilla définitivement qu'elle stoppa ses "vas et  viens",devenus réellement insupportables.

Aprés quelques minutes de repos et je sentis une pression nouvelle contre mon anus. N...y  était entrain de passer son doigt qu'elle avait enduit d'une substance que je devinais être un lubrifiant quelconque. Du bout du doigt elle jouait avec mon anus et lorsque celui ci se détendit un peu, elle en profita pour forcer le passage et introduire en seulement cinq poussées ( le lubrifiant faisant son effet) un plug plus gros que le premier auquel j'avais eu droit en début de journée.

Sans me faire réellement mal, ni me blesser, je devais bien reconnaître que j'avais du mal à le supporter et mes sphincters faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour essayer d'expulser ce squatter indésirable. N...y s'en aperçu bien vite car je sentis très vite que plusieurs tours de rouleau de scotch dans la raie des fesses et autour de mes hanches empêcheraient désormais le plug de ressortir. Je devais donc accepter en moi cet encombrant "locataire". Une fois bien en place et certaine que je ne pourrais me défaire de ce pal inquisiteur, N....y entrepris de réactiver mon érection.
Vidé il y a seulement quelques minutes, elle eu du mal à obtenir une érection digne de ce nom.
Mais pas un seul instant décidée à abandonner, elle s'enduit les mains de lubrifiant pour pratiquer avec la constance d'une marathonienne, une masturbation à deux mains alternées qui, même si mon sexe avait tendance à vouloir cesser le combat, réussit au bout de quelques minutes à me faire éjaculer faiblement une deuxième fois.
Pour me punir de cette érection bien "pâlichonne" elle décida que le tarif serait de 30 coups sur les fesses. Abandonnant pour une fois la paume de la main, je reçus ses 30 claques par l'intermédiaire d'un objet que je devinais être une raquette de ping pong ou une planche à découper. Le bruit mat du bois sur mes fesses claquait et contrastait avec la douceur feutrée du bruit de la main de N....y.

J'avais du mal à ne pas sauter à chaque coup tant cette punition me devenait insupportable. Je me mis à crier pour exprimer ma douleur, mais le bâillon bien en place retenait mes décibels et ce n'est qu'un bredouillement inaudible qui se fit entendre. Vaincu je m'allongeais de tout mon poids sur le lit, faisant par là même comprendre à N...y que j'abdiquais et cessais la résistance. Il me semble même que fourbu jusqu'au plus profond de moi, je sombrais dans un sommeil profond, comme doivent en connaître ceux dont l'effort à poussé la résistance dans ses derniers retranchements.

Je fus à nouveau réveillé par une main qui entrepris de me masturber une troisième fois. Vidé dans tous les sens du terme N...y du s'employer de longues minutes pour réactiver une érection capable d'engendrer une nouvelle éjaculation.
De l'autre main, elle arrachait le scotch qui remplissait mes fesses. Une fois libre de mouvement le plug trouva naturellement sa place dans la paume de sa main. En même temps j'étais "branlé par devant et par derrière. Pour augmenter la cadence, N...y remis du lubrifiant à la fois sur le plug, mais aussi dans sa main. Elle repris avec l'énergie des maîtresses femmes, son travail de sape et je dus m'avouer vaincu au bout de longues minutes de souffrance. Mon éjaculation devait être ridicule car je sentis à peine sortir de moi quelques gouttes de jouissance savamment extirpées.
Pendant de longues minutes je restais l'esprit ailleurs, vidé, vaincu, fourbu, alors même que je n'avais pas fait l'ombre d'un mouvement depuis le début de la journée.
Le plug me fut retiré et je sentis mon anus se refermer et mes sphincters se contracter naturellement.

J'avais mérité un nouveau repos, N....y me libéra les jambes et m'allongea sur le lit en me faisant comprendre qu'il était maintenant temps de faire une sieste. Les bras liés derrière le dos je me mis sur le coté et ne tardais pas à sombrer dans les bras de Morphée.






Par gigipanpan
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 8 janvier 4 08 /01 /Jan 09:13

Il est presque midi et j'ai rendez vous avec Madame "N",  ma mystérieuse dominatrice, à une adresse qui m'est elle aussi totalement inconnue.
De nature timide j'ai une très grande appréhension pour ce premier rendez vous. Pourtant depuis longtemps j'en ai révé et m'en suis fait de nombreux scénarios. A qui vais je confier mon corps et mes phantasmes ? Madame "N" saura t-elle trouver ce qui me motive réellement dans cette première démarche, ne vais je pas regretter d'avoir voulu passer du rêve à la réalité ? Il est presque trop tard pour faire marche arrière.

Je monte les escaliers d'un immeuble bourgeois et prend mon courage à deux main pour enfoncer avec angoisse le bouton de la sonnette. Le mécanisme automatique libère la porte qui s'ouvre quelques secondes plus tard et abandonnant sur place mes dernières hésitations, je pénètre dans le petit hall ou une table basse ancienne trône en plein centre. Une enveloppe blanche est posée bien en évidence et je peux y voir écrit mon pseudo: gigi

Seul dans la pièce, je comprends qu'il me faut ouvrir l'enveloppe pour en lire le contenu.
D'une écriture manuscrite fine et soignée, sont écrits les premières recommandations de N...y.

- Gigi, entrez dans la pièce située à votre gauche, enlevez votre chemise pour vous mettre torse nu. Vous vous banderez les yeux à l'aide du foulard noir que vous trouverez sur la chaise. Une boite de boule "quies" se trouve également sur la chaise: mettez les bouchons dans vos oreilles. A coté se trouvera un harnais qu'il vous faudra enfiler avant de finir l'opération. Vérifiez bien que le bandeau est bien en place et que vous êtes complètement aveugle.
Une fois le bandeau en place, passez vos deux poignets dans la paire de menottes qui se trouve dans votre dos. Refermez les afin de vous retrouver les bras en croix dans le dos. La suite n'est plus de votre ressort.

Un peu effrayé par une telle entrée en matière, j'hésite à passer à l'acte mais le désir est le plus fort et je m'exécute.
Une fois torse nu, j'enfile le harnais de cuir dont la boucle de fermeture se situe sur mon torse, je serre suffisamment pour sentir les sangles se tendre sur mes épaules et dans mon dos. Un paire de menotte est fixée à un anneau central dans le dos et je comprends vite qu'il me sera par la suite impossible de bouger les bras et de me protéger d'une quelconque agression.

Comme N...y me l'a demandé, je positionne les boules "Quiés" dans mes oreilles. La sensation est très surprenante, je n'entend plus rien si ce n'est un léger bourdonnement dans mes oreilles. Je devine un peu le sens de cette demande, mais ne l'avais en aucun cas envisagé. Que me réserve la suite ?

Je prends sur la chaise le foulard qui est assez long pour pouvoir faire deux tours avant de le nouer. J'ai beau essayer de regarder par dessous, c'est maintenant le noir absolu, et il ne me reste plus qu'à passer à la dernière demande: passer mes poignets dans la paire de menottes et refermer.

Je sais par avance qu'une fois le cliquetis des menottes entendu, je ne pourrais plus revenir en arrière. Je suis dans l'inconnu total. A demi nu chez une inconnue, incapable de voir et d'entendre celle ou ceux qui vont venir, les bras repliés dans le dos dans l'incapacité de me protéger et de me guider dans le noir.
Une poussée d'angoisse et d'excitation me pousse à ne pas attendre plus longtemps. Je referme promptement la paire de bracelets et me retrouve soudain dans une position ou je commence à envisager le pire et le meilleur.

Debout au milieu cette pièce qui m'est totalement inconnue et ou je n'ai nul repère,je n'ose plus bouger de peur de me cogner ou pire de tomber sans pouvoir me protéger avec les mains.

Combien de minutes suis je resté là dans le noir à attendre un son un contact et je ne sais quoi d'autre ? Je ne saurais le dire, car le noir et le silence vous font vite perdre vos repères.

Soudain je perçois un léger bruit prés de moi. Plus aucun doute je suis observé, je peux sentir sur mon torse le léger souffle d'une respiration. Un parfum féminin subtil me confirme une présence féminine.

Deux mains je posent délicatement sur mes épaules et me font tourner lentement sur place pendant quelques secondes. J'ai maintenant perdu les quelques  repères que j'avais pu mémoriser avant de mettre en place le bandeau.

Une fois désorienté, je me retrouve planté là, certainement au beau milieu de la pièce et incapable de bouger et m'orienter.
Des doigts agiles s'attaquent maintenant à ma boucle de ceinture et quelques secondes plus tard, je sens mon pantalon glisser le long de mes jambes et atterrir sur mes chevilles. Je dois rester immobile sous peine de trébucher.

Une main délicate passe sur mon slip et s'attarde sur mes fesses. Plus aucun doute, ma dominatrice est en train de jauger et expertiser mes parties les plus intimes.
Une autre main passe sur le coton de mon slip et s'insinue entre mes jambes pour explorer le coté pile.
Je n'ose bouger ni même remuer.

Soudain, la paire de mains me pousse en avant et je comprends vite que je suis couché sur les genoux de N...y qui a du s'assoir sur la chaise ou j'avais déposé mes affaires..
Mes cotes et mon ventre sont en contact direct avec un tissu soyeux et malgré le fait que je me retrouve la tête vers le bas, je peux sentir encore l'envoûtant parfum féminin. C'est incroyable ce que la perte de la vue et de tout repère vous fait bien vite retrouver une autre partie de vos sens.

Je n'ose plus bouger, ainsi exposé je dois m'attendre à  recevoir bientôt ma première fessée. Mais N...y semble prendre son temps et mon humiliation va se poursuivre plus longtemps que je ne  l'imaginais.

Une main se plaque sur mon dos pour bien me faire comprendre que je dois rester en place. L'autre main se pose sur le coton de mon slip et recommence à nouveau à se promener sur mes fesses. Les premières claques sur mon postérieur commencent à tomber avec un rythme régulier, méthodique et savamment calculé. Je compte dans ma tête.
Une série de cinq sur la fesse gauche puis une série de cinq sur la fesse droite pour alterner. Je commence à sentir les premières brûlures et je ne peux retenir un premier mouvement aussitôt réprimé par la main qui me plaque un peu plus fort sur les genoux de ma "fesseuse".

Deux paires de doigts passent de chaque coté de mes hanches et mon slip commence maintenant à glisser le long de mes cuisses. Quelques secondes plus tard, je me retrouve les fesses à l'air, le slip descendu sur mes chevilles.

La série de claques reprend son rythme et le contact de cette main inconnue qui me rougie les fesses avec tant de savoir faire, provoque en moi un curieux mélange de douleur et de plaisir. Je sens monter le désir en moi et essaye de ne pas y penser trop gêné par la honte de cette excitation provoquée par cette fessée. La main passe d'une fesse à l'autre comme pour mieux m'aider à supporter cette première fessée.



Mes fesses sont en feu et n'ayant pas l'habitude d'un tel traitement je ne peux m'empêcher au bout de quelques minutes, de crier de douleur et de gesticuler pour éviter la correction. N...y stoppe immédiatement sa fessée et me redresse, je me retrouve à nouveau debout , nu devant elle, mais cette fois je ne peux rien cacher de mon anatomie. Mes fesses sont brûlantes, j'ai à la fois mal, mais je dois bien reconnaître que cette chaleur intime me procure une réelle excitation intérieure.

Quelques minutes plus tard, j'entends prés de mes oreilles, le bruit caractéristique du Scotch que l'on déchire. les mains inconnues ont décidé de me bâillonner. De larges bandes d' adhésifs viennent rapidement me réduire au silence. Me voila dans l'incapacité de sortir de ma bouche le moindre son. Sourd, muet, aveugle.......... Une drôle de sensation. Cela me rappelle l'école primaire lorsque Mme Durant collait une étiquette sur la bouche des plus bavards.

N...y a entrepris d'enlever mon pantalon, mon slip et également mes chaussures. je dois lever chaque jambe pour faciliter ma complète mise à nu. Une fois débarrassé de tous mes vêtements, je suis guidé vers le sol et me  retrouve à plat ventre sur la moquette de son appartement. Mes bras emprisonnés dans le dos m'empêchent de me stabiliser.
Une de mes chevilles se retrouve très vite emprisonnée dans une sangle et soudain mes jambes sont écartées sans ménagement.
L'autre cheville se retrouve elle aussi enfermée dans une deuxième sangle. N...y vient de mette une barre d'écartement à mes pieds et me voila maintenant cloué au sol les jambes écartées dans l'incapacité de lui cacher mon intimité la plus secrète.

Pour accentuer un peu plus mon humiliation, elle remonte mes chevilles dans mon dos et fixe la barre métallique à l'anneau du harnais. Sur le ventre les jambes écartées et repliées,les genoux écartés au maximum,  j'ai honte à en pleurer car c'est la première fois que je me retrouve dans cette position devant une inconnue. Même si j'avais quelques fois essayé cette position à l'occasion de jeux de self-bondage seul dans ma chambre, je n'avais imaginé à quel point je serais mal à l'aise de devoir exhiber ainsi mon anatomie. Il m'est impossible de bouger et encore moins de pouvoir serrer les jambes pour cacher ma nudité. J'imagine avec angoisse la suite de la journée.

Je reste apparemment seul dans cette position pendant un temps qui me parait durer des heures. L'angoisse de devoir rester là sans pouvoir esquisser le moindre geste me fait transpirer à grosses gouttes.
Mes genoux écartés m'empêchent de pouvoir me retourner et j'en suis réduit à attendre la délivrance.........

Des vibrations sur le sol, des pas se rapprochent de moi. Une corde est passée autour de mon sexe et N...y l'attache à la barre métallique: Une façon radicale d'éviter un peu plus toute tentative de mouvement.
Une fois cette opération effectuée et certaine que je ne chercherais pas à bouger d'un centimètre. Je sens ses doigts écarter encore un peu plus mes fesses et le contact froid d'une pommade ou d'un lubrifiant me fait frémir de surprise.

Je viens de réaliser que ma dominatrice a décidé de jouer avec ma partie du corps la plus intime et maintenant la plus exposée. Je comprends soudain qu'elle cherche à me placer un plug.J'ai beau essayer de résister en me contractant, je ne peux empêcher la lente progression de l'intrus qui rentre inéluctablement en moi.
Heureusement N..y ne cherche pas à me faire mal, ni à me blesser. La taille de l'objet qui me progresse lentement mais sûrement reste à la limite du supportable, ce doit être un objet de petite taille car il ne me fait pas souffrir et sa mise en place est rapide. Une fois bien enfoncé au fond de moi, je comprends qu'elle a décidé de le maintenir en place avec du scotch et elle fait plusieurs tour de rouleau adhésif entre mes fesses pour bien maintenir en place le plug.  Je vais devoir à nouveau rester dans cette position pendant de longues minutes et je pense que N..y a du s'absenter à nouveau car je n'entend ni ne ressent plus aucune présence autour de moi....................

Je commençais à avoir mal aux jambes et aux cotes à force de rester ainsi cloué au sol. N'ayant plus aucun repère visuel et auditif je ne pourrais dire combien de temps je suis resté ainsi offert et impuissant.

Puis le subtil parfum si féminin m'empli les narines et je devinais que N...y était revenu dans la pièce.
Je sentis ses mains aux doigts particulièrement doux passer entre mes jambes pour me libérer du carcan. N...y avait décidé de maintenir le petit plug en place, mais par des gestes rappelant ceux de l'épilation féminine , elle arracha une à une et sans ménagement les bandes de scotch qui remplissaient mon entre jambes et la raie de mes fesses.

Une fois mes jambes déliées elle entrepris de les masser pour réactiver la circulation sanguine mise à mal pendant ces longues minutes d'immobilisation. Elle me fit mettre debout et entrepris d'ôter mon bâillon afin que je puisse reprendre mon souffle plus facilement.

Elle me fit remettre à genoux et toujours dans le noir les bras liés dans le dos, je sentis devant ma bouche l'odeur si particulière de la peau. A n'en pas douter je devais avoir la bouche à seulement quelques centimètres d'un sexe féminin. Et-es ce celui de N...y ? Impossible de le dire. Je ne savais quelle attitude adopter. En fait N....y attendais de voir ma réaction. Ce fut là ou je commis l'erreur qu'elle attendait pour me punir.

Avançant timidement la bouche pour provoquer un contact avec ce corps qui me faisait face, je sentis une reculade et je restais planté là, à genoux, nu, la tête penché vers l'avant pour saisir ce fruit qui m'était défendu.

Une série de claque sur les fesses me surpris et je roulais sur le coté pour me protéger de cette fessée magistrale.

N...y me fit remettre debout et me guida vers un lieu inconnu. Après avoir marché quelques secondes, je la sentis me passer une corde sous les aisselles, corde quelles devait accrocher en hauteur car je dus me mettre sur la pointe des pieds pour soulager la tension.
Mes jambes furent cette fois attachées bien serrées les unes contre les autres au niveau des chevilles et également au niveau des genoux par quelques tours de rouleaux d'adhésif. Ainsi suspendu sur la pointe des pieds, j'étais à nouveau vulnérable et dans l'incapacité de me soustraire au traitement que N...y me réservait.

Je n'allais pas tarder à faire connaissance avec le mariage du chaud et du froid.
Je sentis soudain mon sexe tout entier devenir le prisonnier d'une poche de claçons que N...y ficela bien vite autour de ma virilité pour que cette poche glacée reste en place. Mon pénis devait avoir l'air ridicule à "intérieur de cette "capote glacée". Pour ce qui est du froid j'étais servi du coté "pile".

Puis vint presque immédiatement le coté chaud sur le coté "face". La fessée repris avec son rythme savamment orchestrée par cette main experte qui savait s'arrêter avant l'insupportable pour mieux reprendre sa cadence et ses variations.

Incroyable sensation que celle d'avoir la peau des fesses brûlantes et de sentir son sexe emprisonné dans ce carcan de glace.
Après de longues minutes, N...y consentie à laisser prendre un peu de repos à mes rondeurs rougies par sa science.

Sans m'enlever le bandeau des yeux, elle consentie à m'enlever les bouchons dans les oreilles et cette nouvelle sensation de liberté relative me procura un énorme soulagement intérieur. La poche de glace fut elle aussi enlevée.

Une fois débarrassé de mes liens au niveau des jambes, N...y décida de délier mes bras afin qu'ils puissent eux aussi avoir un peu de liberté. Mais immédiatement pour éviter toute illusion, elle me lia les poignets sur le devant de mon corps, les bras croisés et le tout solidement collé sur ma poitrine par plusieurs tours de rouleaux d'adhésif. Je devais ressembler à la position de James Bond les bras croisés mais sans son pistolet et dans une position bien moins confortable.
N...y me guida vers je que je reconnu être un lit et elle m'intima l'ordre de m'allonger sur le dos. Pour la première fois j'entendais la voie de N...y. Une voie chaude et décideé qui laissait transparaître un caractère bien affirmé.

Une fois allongé sur le lit, j'attendis patiement que N...y décide de la suite des réjouissances. Elle avait décidé de m'accorder un peu de repos et elle se contenta de m'attacher les jambes en croix,le plus écarté possible, afin de pouvoir s'en aller certaine de mon immobilisation.

 

J'appréciais d'avoir les mains liées par un matériau moins dur à supporter que le métal des menottes.Mes chevilles avaient été reliées aux pieds du lit par je que je devinais être des sangles car leur contact sur la peau ne me procurait aucune douleur. Dernière faveur de sa part avant de s'en aller, elle m'ota le plug auquel je m'étais finalement habitué tant bien que mal.

Le temps s'écoulait lentement et je commencait à m'assoupir...............

Plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir et j'entendis non pas une seule voix mais au moins deux. Des rires féminins me firent vite comprendre que l'ont m'observait et que N...y n'était plus seule.

Le rire le plus aiguë se rapprocha de moi et  un corps s'agenouilla prés de moi sur le lit. Des mains commencèrent à jouer avec mon sexe et bien vite j'entendis  le bruit caractéristique d'une bombe de mousse que l'on déverse sur la peau. Une main experte étalait la mousse sur la totalité de mon sexe et de mes bourses. Horreur elles avaient décidé de me raser. Je n'eus même pas le temps de prononcer un mot pour signifier mon désacord que d'autres mains qui devait être celles de N...y  appliquèrent à nouveau sur sur ma bouche de larges bandes de scotch adhésif. En quelques secondes j'étais réduit au silence et j'avais beau essayer de me tortiller pour manifester ma désapprobation je dus bien vite me rendre à l'évidence, j'allais être tondu comme un poulet et ressembler dans quelques minutes à un enfant pubère. Qu'allait dire ma femme à mon retour, comment lui cacher mon sexe tondu, que lui dire et quoi trouver comme explication crédible ?
La mousse mentholée me chauffait les parties et me brulait légèrement la peau.

Pour m'immobiliser complètement la personne chargée de me "tondre" venait de s'assoir à califourchon sur mon ventre, m'empêchant par la même tout mouvement dangereux.

Les rires continuaient; lorsque je sentis le contact de la lame du rasoir s'attaquer aux poils de mon pubis. Aprés de nombreux aller-retour, celui devait être lisse comme un ventre de nouveau né car le rasoir prit une autre direction et on commença à me raser autour de la verge. Le bout de ma verge se retrouva pincée par deux doigts, tiré vers le haut pour dégager la zone de travail.
Je devais être ridicule à voir dans cette position. Le rasoir passait et repassait autour de mon sexe, puis il se dirigea sur le reste de ce qu'il fallait aussi rendre lisse. Je n'osais plus bouger de peur d'une coupure à un endroit bien délicat. La voix inconnue dit alors:
- Il faut ausi le raser entre les fesses pour dégager et rendre lisse ce "petit orifice". J'étais mort de honte !!!!
Ma jambe droite puis la gauche furent déliées, mais bien vite les sangles  repassaient sous mes genoux et je me retrouvais les jambes écartées, les genoux replié vers mes épaules. Les sangles avaient été de nouveau rattachées au lit et dans cette position plus aucune chance de cacher quoi que ce soit de mon intimité.

Je sentis à nouveau la mousse froide s'insinuer entre mes fesses et un doigt inquisiteur s'amusa pendant quelques minutes avec celui qui quelques temps avant avait été visité par le petit plug. Le rasage repris de plus belle et je sentais mes poils partir par petits paquets........ le dernier rempart venait de tomber.

Un linge chaud ou un gant de toilette termina cette toilette intime et je dus rester dans cette position de longues minutes.
- Ne te plaint pas, dit la voix inconnue, nous les femmes c'est à la cire chaude que l'on enlève nos poils !!!! la prochaine fois nous essayerons pouvoir si tu es plus courageux que nous !!!!
Je devais bien avouer quelle avait raison.

- Mais comme un rasage se termine toujours par la solution "d'après rasage", je vais finir le travail.

Une incroyable bouffée de chaleur me monta au visage lorsque ce qui devait être une bouteille d'alcool ou de parfum se déversa sur moi. Mon sexe, mes bourses, mais surtout ,mon entre jambes et mon anus étaient en feu. La brulure de l'alcool sur ma peau me faisait bizzarement un effet exitant et j'avais du mal à contenir un début d'érection..
Je ne pouvais cependant m'empécher de gesticuler pour essayer d'echapper à cette nouvelle punition.
Pour clore le tout et réchauffer aussi le coté face, une nouvelle fessée vint compléter la brulure de mon anatomie.
Les jambes relevées et les fesses bien à disposition, je recevais à nouveau les claques sur les fesses et les claquements sur ma peau semblaient ravir les deux expertes. Au bout de trop longues minutes, complètement exténuée par le traitement enduré, je me laissait aller et m'abandonnait sans chercher à me contracter ni à lutter.
Vint enfin le silence et la fin de la punition.

Les deux "maîtresses" avaient du quitter la pièce pour aller ranger les ustensiles utilisés.

Que me réservait la prochaine visite de N...y serait-elle seule ou avec une autre personne. Laissé seul à mes interrogations, je repassais dans ma tête toutes les éventualités possibles.

La suite dans un prochain article...........






Par gigipanpan
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Calendrier

Avril 2025
L M M J V S D
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30        
<< < > >>

Présentation

Derniers Commentaires

erog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés