Je dormais d'un profond sommeil réparateur, lorsque je sentis mes chevilles devenir, dans un même claquement métallique, prisonnières d'une paire de menottes. Mes jambes furent tirées sans
ménagement vers le haut et je me retrouvais dans les secondes qui suivaient seulement en appui sur le lit par mes épaules et dans la position d'une grenouille les jambes et les genoux écartés, mais
les pieds presque les uns contres les autres.
C'est dans cette position qui libérait parfaitement le bas de mon corps que N...y termina mon immobilisation en reliant la chaîne des menottes à une corde fixée à la tête de lit.
Dans cette position, je ne pouvais à nouveau plus bouger et j'exposais également les parties les plus secrètes de mon corps.
J'entendais vaguement des cliquetis. N...y devait à n'en pas douter préparer une nouvelle épreuve. Je sentis passer ses mains sous me fesses, dans mon dos et lorsqu'elle referma sur ma taille
ce qui me semblait être une ceinture, je commençais à angoisser de nouveau sur ce qui allait m'arriver dans les prochaines minutes. je compris qu'elle serrait la boucle et j'entendis un petit
cliquetis semblable à celui d'un cadenas que l'on referme.
Une fois la ceinture en place, les mains de N...y se dirigèrent vers mon anus et elle m'enduit de lubrifiant avant de forcer le passage en m'introduisant un plug de diamètre acceptable qui rentra
en moi avec une facilité étonnante. Il est vrai que N...y prenait soin de ne pas me blesser en n'utilisant pas un plug de trop grosse taille. Le plug devait être relié à deux lanières car je sentis
de part et d'autre de mon sexe le contact à la fois rugueux et souple du cuir et les lanières furent elles aussi attachée à la ceinture. Deux nouveaux cliquetis me firent comprendre que le piège
venait de se refermer sur moi et j'étais maintenant prisonnier d'une véritable ceinture de chasteté qui condamnait mon petit orifice. Impossible d'expulser hors de moi ce pal qui me distendait
l'anus.
N...y détacha le lien qui retenait mes jambes en l'air. Elle m'enleva également la paire de menottes qui entravait mes pieds.
D'une voix qui ne souffrait pas la discussion, elle me demanda de me lever et elle me conduisit en me guidant par le bras, dans un pièce qui devait être celle ou je m'étais déshabillé. j'étais
toujours aveuglé et bâillonné. Elle me détacha les bras et je pus enfin avoir une liberté totale de mes membres.
N...y: me dit de sa voix calme:
- Lorsque je serais sorti de la pièce tu enlèveras ton bandeau, ton bâillon, tu t'habilleras avec les vêtement posés sur la chaise et tu lira la lettre posée sur la table. Tu devras te conformer à
la requête écrite sous peine de grosses représailles.
J'entendis la porte claquer et je ne fis pas prier pour ôter en vitesse bâillon et bandeau. J'étais effectivement dans le même pièce qu'au début de la matinée.
Je pris la lettre en main et je pus lire:
- Met les habits posés à coté, prends le billet de 5 euros qui sont sur la table et part m'acheter deux pots de moutarde de Dijon au super marché Shopi qui se trouve au bout de la rue. Tu
devras me rapporter le ticket de caisse pour que je puisses vérifier.
Devant moi était posé un short de sport qui devait être celui d'un adolescent, mes chaussures de ville, mes chaussettes et un haut de jogging bien trop court qui couvrait à peine ma taille. Pas de
slip, pas de manteau pour me dissimuler, j'allais devoir sortir en essayant de cacher du mieux possible le harnachement qui m'emprisonnait la taille et l'entre jambes.
Je pris mon courage à deux mains et j'enfilais le short qui me serrait et descendait tout juste au dessous de mes fesses. Le tissu du short était très fin et il laissait entrevoir que je portais
pas de slip. Pire les lanières de chaque coté étaient parfaitement visibles et si une personne regardais avec attention elle ne manquerais pas de comprendre de quel type de harnachement j'étais
affublé. Il n'échapperais à personne que je ne portais pas de slip. Mon sexe collé contre le tissu presque transparent ne pourrait pas plus se dissimuler à la vue des personnes que j'allais
croiser et cela même si l'absence de poils sur mon pubis, depuis que j'avais été rasé, atténuait un peu le contraste avec le tissu blanc.
J'enfilais maintenant le haut de jogging en tirant de toute mes forces vers le bas pour le faire descendre le plus possible. Dans le meilleur des cas il cachait mon ventre et l'élastique du
short.
N'ayant pas d'autre solution que de m'exécuter, je sortais de l'appartement, dévalais l'escalier espérant ne rencontrer personne, et rouge de honte et de peur panique, je me mis à partir à la
recherche du fameux magasin.
ne sachant pas si je devais partir à gauche ou à droite, je dus me résigner à demander à une passante qui me renseignât en me regardant longuement de la tête au pieds d'un air amusé. Je baissais la
tête pour ne plus croiser son regard.
J'étais gêné dans ma marche par le plug qui bougeait en moi. Je ressentais une drôle d'impression à marcher ainsi, avec un intrus au milieu des fesses. C'était difficile de rester naturel, car
l'envie d'écarter les jambes pour avancer et avoir un peu plus d'aisance était dure à maîtriser.
Je partis dans la bonne direction, mais au bout de quelques centaines de mètres je sentis en moi le plug commencer à faire son oeuvre destructrice. Il me fouillait les entrailles et je sentais que
j'allais pas tarder à avoir des difficultés à le conserver en moi et surtout à ne pas être obliger de me soulager en pleine rue. Mes joues me brûlaient plus par la montée de panique que par le
trajet que j'effectuais presque en courant. Je serrais au maximum es dents et aussi mes sphincters pour ne pas céder à la panique et ne pas me laisser aller.
J'entrais dans le magasin au bout d'une course d'une bonne dizaine de minutes. Une rapide recherche et je trouvais les pots de moutarde demandés. Je me dirigeais à toute vitesse vers la caisse ou
je du patienter derrière une petite grand mère qui n'en finissait pas de discuter avec la caissière.
Une fois devant elle, je sortis mon billet pour payer et je sentis tout le temps qu'elle mit pour me rendre la monnaie, qu'elle détaillait mon short comme pour essayer de deviner ce que je
cachais.
Je pensais pouvoir m'en tirer par une simple honte passagère, mais quelle ne fut pas ma surprise quand je la vit prendre le téléphone pour appeler un vigile. Cette idiote devait imaginer que je
cachais dans mon short une ceinture volée ou autre chose.
Catastrophe, le vigile était déjà et il me demandait de le suivre. devant ma réticence, il me répondit que si je refusais de le suivre dans l'arrière boutique, il allait appeler la police. Piégé,
je ne pouvais que m'exécuter pour éviter une situation bien plus catastrophique.
Une fois dans la pièce, ou par la glace sans teint je pouvais voir cette idiote de caissière, il me demanda ce que j'avais volé. je lui répondis "rien".
- Je dois vous fouiller, me dit il d'une voix guère complaisante. Je devais me laisser faire. Ses mains passèrent rapidement sous mes aisselles, sur mon torse et lorsqu'il senti la ceinture sur mon
ventre, il s'écria:
- Vous avez volé une ceinture ?
- Au bord des larmes, ayant de plus en plus de mal à me contenir et à ne pas me relâcher devant lui, des gouttes de sueur perlaient sur mon front et cela ne faisait que conforter ma position de
voleur.
Je dus me résoudre à lui expliquer, grâce à la lettre que j'avais gardé dans ma poche, que je devais accomplir cette punition demandée par ma maîtresse et qu'elle m'avait harnaché de la sorte pour
me punir.
Il semblât me croire, mais me demanda de baisser mon short pour bien lui prouver que je disais la vérité.
Mort de honte je baissais lentement le short sur mes genoux et présentait à cet inconnu mon sexe rasé de frais et pris entre deux sangles de cuir. Lui aussi pétrifié de honte, mon pénis avait la
grosseur d'un minuscule radis et je n'osais même plus bouger les bras pour lui cacher ma nudité. Devant moi le vigile restait sans voix, la main sur le menton, incrédule devant un tel spectacle. Je
baissais la tête pour tenter de lui cacher ma honte.
J'allais remonter mon short, lorsque la porte s'ouvrit et je vis entrer dans la pièce une grande femme en blouse blanche qui avait l'allure de la gérante ou la directrice. Elle éclata de rire en me
voyant et pour mieux m'humilier elle dit au vigile:
- Avez vous bien fouillé partout ce monsieur ? Regarder s'il ne dissimule pas quelque chose entre ses jambes.
Forcé d'obéir à sa patronne, le vigile me fit écarter les jambes et je dus m'exhiber totalement nu devant cette inconnue qui prenait plaisir à m'humilier davantage.
Le vigile voyant que j'étais au bord du désespoir, lui dit que je cachais rien sous moi, et j'eus l' autorisation de remonter mon short et cacher enfin mon anatomie. J'avais du mal à remonter
correctement le short et je devais me déhancher pour faciliter la remontée. Une fois en place,sans demander mon reste, je sortais presque en courant de la pièce et du magasin sous le regard hilare
de la patronne et de son vigile.
Ils allaient avoir de quoi raconter pendant de nombreuses soirées. Par bonheur pour moi, ils n'avaient pas pensé à faire une photo, comme cela se pratique quelques fois pour éviter les
récidives.
Je courrais dans la rue, essayant de retenir en moi ce que je ne pouvais me résoudre à évacuer en pleine rue. J'essayais de serrer au maximum mes sphincters, je contractais mes muscles au maximum
et montait enfin quatre à quatre l'escalier qui me menait à la délivrance.
Surprise, la porte d'entrée était entre ouverte, le couloir allumé et par autre porte, qui devait être celle de la salle de bain, une lumière me faisait comprendre que je devais m'y rendre au plus
vite.
Effectivement, c'était bien la salle de bain.
Devant moi un tabouret sur lequel était posé trois clefs qui étaient sans aucun doute celles des cadenas.
J'enlevais le plus vite possible mon short sans même prendre le temps de refermer la porte de la salle de bain. A toute vitesse j'enlevais les trois cadenas qui me retenaient prisonnier et le temps
de m'asseoir sur le siège des toilettes, je retirais enfin le plug qui me torturais depuis trop longtemps.
Je restais longtemps dans la salle de bain pour me laver et me rendre enfin présentable. N...y avait pensé à tout car un grand drap de bain avait été posé à coté de l'immense douche de style
marocain, ainsi qu'une eau de toilette masculine, m'invitant sans aucun doute à les utiliser. ce que je fis avec le plus grand plaisir. Cette douche venait de me ramener à la vie. Peu à peu le
stress m'abandonnait et mes membres ne tremblaient plus comme lorsque j'étais en train de courir dans la rue pour ne pas me vider en public.
N...y savait parfaitement diriger les opérations et j'en venait même à me demander si elle n'était pas de mèche avec le vigile et la patronne de la supérette, car il faut bien l'avouer: Une
telle poisse était plus que suspecte.
Contre le miroir de la salle de bain était appuyée une lettre que je devais elle aussi lire:
- retourne maintenant dans la pièce remet simplement ton bandeau sur les yeux. Tu trouveras une corde munie de deux noeuds coulants. Passe l'un d'eux autour de ta cheville droite et passe tes
poignets dans le deuxième noeud coulant. Redresse toi pour tendre et resserrer les noeuds. Une fois immobilisé...... ATTENDS, JE VIENDRAIS QUAND JE L'AURAIS DECIDE !!!!!
La suite dans un prochain article...................
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