Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 10:29
Il ne me fallut pas attendre bien long après mon coupe de sonnette pour entendre la porte s'ouvrir et une main ferme me saisir par le bras.

J'empruntais ce que je supposais être le couloir de l'appartement et le bruit d'une lourde porte qui se referme me fit comprendre que je me trouvais dans une pièce inconnue.

N...y décida de me déshabiller entièrement. Après avoir ôté, chaussures, chaussettes et descendu mon pantalon sur mes chevilles, elle fit glisser mon slip sur le long de mes jambes puis l'enleva en même temps que mon pantalon.

Fesses à l'air, je dus m'avancer, poussé dans le os par une main ferme. La main me plaqua contre une masse dure que je n'arrivais pas à identifier.
Mes jambes furent écartées d'environ un mètre et mes chevilles se retrouvèrent attachées par des colliers à ce que je devinais maintenant être une croix ou un chevalet. je devais mettre les pieds en canard pour ne pas buter contre cette masse rigide.

N...y délia mes bras un instant, mais mon répit fut de courte durée. Je dus tendre les bras vers le haut, eux aussi écarté de la même distance. Des bracelets furent passés autour de mes poignets et j'entendis le bruit de boucle que l'on referme.

Deux mains me plaquèrent le ventre contre la paroi de cet instrument et une fois que ma chemise fut remontée au milieu de mon dos, je sentis passer autour de moi le rouleau de plastic étirable qui au bout de quelques tours m'immobilisait complètement.

Bizarrement, ce qui pouvait être une croix en bois devait avoir une forme originale car seul le haut de mon ventre appuyait sur le bois. De la ceinture à mon entre jambe, je sentais que l'accès était totalement dégagé. La forme devait faire un arrondi pour permettre  de laisser le libre accès aux parties intimes.

Soudain, à ma plus grande surprise l'engin bascula vers l'avant. Je compris que les extrémités étaient reliées à un système de poulie au plafond car, lorsque ce fut mes pieds qui décollèrent du sol, le support tout entier se mit à balancer dans tous les sens. J'étais maintenant suspendu presque à l'horizontale, bercé par ce léger balancement qui mettait du temps à s'arrêter.

Une main ferme me saisi les testicules et les tira d'arrière en avant pour faire reprendre le balancement.

- Tu inaugures aujourd'hui mon nouveau jouet.  Je crois que nous allons bien nous amuser... Un rire glacial ponctua la phrase de N...y

La tête dans le vide j'avais du mal à la garder droite et bien vite je dus capituler et me laisser aller à ne plus lutter.
Les premières claques sur les fesses me sortirent de ma somnolence. Je reconnais la main ferme de N...y qui avait décidé de me chauffer le plus rapidement possible le postérieur.

A un rythme soutenu, elle frappait alternativement chaque fesse, prenant bien soin de couvrir de ses coups toutes les zones offertes. je comptais dans ma tête les séries, et à partir de trente, je ne pus retenir mes cris de douleur.

N...y, s'arrêta immédiatement et je compris ce qui allait m'arriver. Ce n'est pas moins de quinze tours de rouleau de Scotch qui furent passés sur ma bouche et derrière ma tête, tirant à chaque passage mes cheveux et me faisant craindre le pire lorsqu'il faudrait enlever l'adhésif.
N...y venait de me réduire à nouveau au silence. La fessée repris de plus belle comme pour me punir ne n'avoir pu garder le silence. J'avais envie de pleurer, de crier Stop, pitié c'est trop dur, je n'en peu plus, mais N...y savait parfaitement doser le supplice qu'elle m'infligeait et alternait savamment les moments de repos et les cuisantes séries.

Le total devait bien faire une centaine de claques lorsque la fessée s'arrêta définitivement. Mes fesses en feu devaient avoir la couleur des cerises bien mures.
J'entendis la porte claquer et compris que j'avais gagné un peu de repos. N...y devait certainement s'occuper maintenant des trois autres paires de fesses qui se trouvaient dans l'autre pièce.

J'attendis patiemment une bonne heure dans cette position relativement confortable à l'exception de ma tête que je devait bouger de temps en temps pour éviter l'engourdissement..............................

Les pas décidés de N...y se firent à nouveau entendre dans la pièce. Des bruits d'objets déplacés, posés, repris,puis un bruit de liquide que l'on verse, me laissaient perplexe car je n'arrivais pas à deviner ce qui se préparait.

Soudain, je sentis deux mains chaudes se poser sur mes fesses et les écarter doucement. Le sillon ainsi libéré découvrait entièrement mon anus, contracté au maximum par la crainte.

Une autre paire de main passa entre mes jambes par l'arrière. Il y avait donc au moins deux personnes dans la pièce. Qui était cet inconnu ?
Je sentis une pression sur mon anus et ne pouvant empêcher quelconque passage, je sentis entrer en moi un objet long et dur. La main continuait à pousser en moins ce que je venais d'identifier comme un tuyau et ce serpent de caoutchouc progressait maintenant en moi sans que je puisses m'y opposer.
Au bout de quelques minutes, je devis bien avoir trente centimètres de tuyau ans le rectum.
Je savais maintenant que j'allais devoir subir ce que je détestais: Un lavement donné en public.
J'avais honte de ma position, de m'exhiber ainsi et pire encore honte de ce que je savais devoir subir dans les prochaines minutes.

Lorsqu'un liquide chaud commença à me remplir le ventre, j'essayais vainement de resserrer mes sphincters pour retarder l'inéluctable, mais bien vite je dus renoncer à me contracter ainsi sans aucun résultat.
L'eau chaude continuait à couler en moi, lentement mais sûrement, et je sentais mon ventre grossir au fur et à mesure que se poursuivait ce viol liquide.
Les premiers gargouillements dans le ventre m' annonçaient de futures et proches contractions. J'étais incapable d'évaluer la quantité de liquide que l'on m'avait fait absorber par voie rectale.

Lorsque N...y décida de retirer le long tuyau de mes fesses, elle le fit en prenant son temps comme pour mieux m'humilier. Par petites saccades, elle sortait le tuyau, excitant à chaque fois un peu plus mes sphincters.

Une fois le tuyau sorti de mon ventre. Les deux mains inconnues écartèrent à nouveau mes fesses pour dégager le passage et je sentis les deux autres mains passer entre mes jambes.
L'une d'elle saisi mes bourses comme pour m'immobiliser et de l'autre elle appliqua sur ma "rosette" une matière visqueuse et froide qui devait être à n'en pas douter un lubrifiant ou une crème. Je compris qu'elle allait forcer à nouveau mon anus pour y introduire un plug. Celui-ci, d'un diamètre plus petit que le précédent, n'eut aucun mal à me pénétrer.

Je pensais m'en tirer à bon compte lorsque j'entendis le bruit d'une poire que l'on gonfle avec la main. Au même moment je sentis en moi grossir le plus qui a chaque pression prenait un peu plus de volume dans mon rectum.
Un plug gonflable. N...y venait de trouver le moyen infaillible de contenir en moi le liquide qui me tendait le ventre.

Le piège était parfait, je sentais en moi ce ballon d'air qui obstruait maintenant la sortie. J'allais devoir garder contre mon gré le liquide qui commençait à me brûler de l'intérieur.

- N'ai crainte, ce n'est que de l'eau chaude mélangée à du gros sel. Pour te laver le ventre, il n'y a rien de tel.
  Tu vas attendre sagement que l'on revienne, mais avant Marc va s'occuper de toi.....C'est lui que tu as malmené ce
  matin. Le rire de N..y ponctua une fois de plus son monologue.

La porte claqua derrière les pas féminins. Je savais que le dénommé Marc était resté dans la pièce.
Il ne fut pas bien long à passer à l'action.
Je sentis sous moi et entre mes jambes un souffle masculin.
 Une  de ses mains m'emprisonna les testicules, et se mit à les faire rouler entre ses doigts comme pour mieux les peser. J'avais du mal à accepter ses caresses masculines, mais je n'avais aucun moyen de m'y soustraire.
L'autre main entra en action et commença à me presser la verge pour provoquer un début d'érection. Autant vous dire que je n'étais pas excité le moins du monde et que mon pénis devait plus ressembler à un petit cornichon rabougri qu'à une courgette bien dure.

Bien décidé à obtenir ce qu'elle voulait, la main se mit à me masturber lentement, sans violence, certaine d'arriver à obtenir une érection convenable. La nature étant plus forte que les préjugés, je ne pus résister bien longtemps et plus cette main masculine me branlait comme je l'avais fait tant et tant de fois dans ma chambre ou ailleurs, plus je capitulais dans ma tête et acceptais cette relation nouvelle.

La main s'arrêta de coulisser sur ma verge, mais bien vite, une sensation de chaleur humide m'envahit et je réalisais qu'une bouche venait de prendre possession de mon sexe. C'était à la fois difficile à admettre, mais contre toute attente, cela décuplait mon érection. Je ne pus retenir bien longtemps une montée de jouissance. Comprenant que Marc ne se retirerais pas de ma bouche, je devais accepter de me vider en lui.

Lorsqu'il reçu dans la gorge le fruit de mon plaisir, il ne put s'empêcher de crier:
- Salopard, qui t'a autorisé à me souiller de la sorte.

Presque immédiatement, je reçu sur les fesses des coups de martinet ou d'un ustensile identique. Chaque fois que les lanières s'abattaient sur mes chairs, je me contractais et cela avait une influence immédiate sur le liquide qui emplissait toujours mon ventre. La fessée dura trop longtemps et malgré mon bâillon, je me mis à crier pour que la punition cesse.

Le dénommé Marc, compris mon message et arrêta de rougir un peu plus la peau de mes fesses.
Lorsque la main reprit ma verge ramollie et épuisée, je réalisais que ce matin je l'avais complètement vidé pour obéir aux ordre de N...y. Donc il ne faisait que m'administrer le même traitement que je lui avait fait subir involontairement.

Au bout de cinq minutes au moins, le rythme infernal de sa masturbation eut raison de moi, je me vidais sur ses mains une seconde fois. Mais alors que je pensais qu'il allait s'arrêter, il se mit à continuer à me traire comme à la ferme. Mon sexe était devenu mou, mais il semblait ne rien en avoir à faire, il continuait inlassablement à faire coulisser sa main autour de ma petite verge. Il la pressait pour mieux la refaire gonfler et je ne pus l'empêcher de me faire à nouveau jouir une troisième fois. Cette fois ce ne fut qu'une toute petite quantité de sperme qui lui coula sur les doigts. Il frotta ses mains sur mes fesses et les passa dans le sillon imberbe comme pour s'essuyer.

Puis certainement à la demande de N...y, il dégonfla le plug qui me forçait le ventre et entreprit de le retirer sans ménagement.

- Si tu relâches une seule goutte avant le retour de la maîtresse, tu devras nettoyer avec la bouche tes saletés. A toi de choisir. Sa voix calme venait de me glacer le dos. Comment allais je pouvoir faire pour retenir ce qui ne demandait qu'à s'expulser de mon corps.

La porte claqua de nouveau, annonçant le début d'une nouvelle épreuve..................






Par gigipanpan
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Vendredi 30 janvier 5 30 /01 /Jan 08:09
Cela faisait maintenant presque un mois que Gwen, m'avait raccompagné chez N...y. J'avais pu prendre une longue douche, me laver complètement avant de pouvoir regagner mon domicile.

Lorsque mon portable se mit à vibrer un Jeudi soir, je sus immédiatement qui m'appelait.
- Retrouve moi demain matin à 9 heures à l'appartement. Ne sois pas en retard car nous avons une longue journée qui t'attend.

Pendant une bonne parie de la nuit je m'interrogeais sur la nature de ce nouveau rendez vous. Qu'avait donc à nous inventé N...y pour me faire souffrir.

Lorsque j'arrivais à nouveau la porte de l'appartement que je commençais à bien connaître, je me décidais à entrer sans même sonner, sachant par avance que la porte n'était certainement pas fermée à clef.

Lorsque je pénétrais dans la pièce ou devait m'attendre mes ordres, quelle ne fut pas ma surprise de voir deux jeunes hommes assis attachés chacun sur une chaise.

Ils étaient nus et portaient un bandeau sur les yeux ainsi qu'un bâillon boule dans la bouche. Ils m'avaient entendu rentrer, mais ne pouvaient en aucun cas deviner à qui ils avaient à faire.

Sur la table l'enveloppe déposée par N...y contenait un nouveau message.

- Tu vas pour commencer t'occuper d'eux. A coté de toi tu trouveras de quoi les raser intégralement. Une fois débarrassé de leurs poils tu devras récupérer leur semence à trois reprise pour chacun d'eux. Tu dois remplir le petit flacon qui est sur la table intégralement. Si Tu n'arrive pas à le remplir, tu sera punir sévèrement et du devra en plus boire le contenu de flacon.
-Lorsque tu auras fini. Passe sur ta tête la cagoule posée par terre, prend dans ta main la clochette qui se trouve aussi par terre et attache tes bras dans le dos avec la paire de menottes. Une fois attaché, agite bien fort la clochette pour me prévenir.

Je regardais sur la table et par terre  pour m'assurer que tous les objets étaient bien là.

N...Y avait prit la peine d'attacher solidement chaque garçon sur la chaise avec de nombreuses cordes. Ils étaient tous les trois assis au bord de la chaise afin de bien libérer le passage entre leurs cuisses. Pour bien les maintenir en place, une corde passée autour de leur taille puis revenait entre leurs cuisses pour se fixer aux barreaux de la chaise.
Deux autres cordes liées à leurs genoux, les obligeaient à écarter les jambes au maximum. Les bras liés dans le dos qui était lui même solidement attaché au dossier de la chaise, ils n'avaient aucune possibilité de bouger. Le bondage était parfait.

Sachant que je devais faire vite pour ne pas mettre N....y en colère, je commençais à enduire chaque sexe de mousse à raser. Immédiatement des cris étouffés par les bâillons se firent entendre faiblement. Mais je devais continuer ma tache.

Prenant mon courage a deux mains, je décidais de m'attaquer au sexe du premier. Il était mince et très poilu. Son sexe fin et très long lui tombait sur les testicules. Je commençais à lui raser le pubis essayant avec du sopalin le rasoir à chaque passage. Une fois son ventre devenu lisse et imberbe, je fus obligé de prendre son sexe en main pour raser autour de la verge. J'avais peur de le couper et je tirais sa verge vers le haut pour bien dégager la zone à nettoyer. Cette main inconnue qui emprisonnait son pénis devait lui faire effet car il se mit à avoir une forte érection et je fus obligé de le lâcher car son sexe pointait maintenant vers le plafond et plus rien ne m'empêchait de lui raser les testicules.

La deuxième opération fut plus difficile car l'homme était de forte corpulence et son sexe vraiment petit, était de par la position, assise extrêmement rentrée. Il dépassait à peine des poils et je devais fouiller entre les poils pour le prendre dans mes doigts afin de ne pas le couper en commençant le rasage. Une fois son pubis rasé, il me fut beaucoup plus facile de raser le reste de son sexe, en tenant dans mes doigts ce tout petit appendice qui lui servait de pénis. Je n'avais jamais vu un sexe si petit et je demandais comment il arrivait à pénétrer des femmes avec un si petit pénis.
Ses bourses elles étaient énormes et je dus aussi les prendre en main pour effectuer un rasage complet de ses parties.

Le troisième homme était  un nord africain qui devait avoir à peine vingt ans tellement son corps était svelte et musclé. Un énorme sexe d'une largeur incroyable reposait sur ses testicules. Bizarrement il était très poilus sur le torse, mais un simple petit duvet châtain protégé son imposant service trois pièces.
Il ne me fallu que quelques minutes pour le rendre aussi imberbe que ces deux voisins. Pendant que je lui rasait les bourses, une érection avait prit le dessus sur son self contrôle et je pus me rendre compte de la taille de sa verge qui devait effrayer bien des filles.

Je nettoyais en vitesse leur sexe à l'aide du rouleau de sopalin et une fois cette première tache effectuée, je décidais, contraint et forcé, à m'occuper de remplir le petit flacon qui attendait sagement.

Je décidais de commencer par la plus grosse verge, me persuadant un peu naïvement que je pourrais peut-être remplir complètement le flacon. Je prit sa grosse verge dans ma main et commençais à le branler lentement pour le faire bander.
Une fois en érection, j'accélérais la cadence pour le faire jouir au plus vite. Dans l'autre main je gardais le flacon ouvert pour ne pas perdre une goutte de son sperme à la sortie. En moins de deux minutes j'obtenais une première éjaculation importante qui ne fit pourtant que couvrir simplement le fond du flacon. Je regardais très déçu la quantité recueillie et me demandais comment j'allais faire pour remplir complètement le flacon.

Je décidais de passer au "petit pénis" qui lui avaient d'énormes bourses. Peut-être aurais je plus de chance avec lui. Il me fallu le caresser plus longtemps pour obtenir une érection me permettant de passer ma main autour de son sexe. En érection il ne devait pas faire plus de 8 centimètres et j'avais du mal à le garder en main sans qu'il s'échappe. Comment pouvait-il pénétrer une femme avec une si petite verge.

Pour en finir avec lui, je le branlais à toute vitesse et lorsque je sentis monter son sperme le long de son petit pénis, il me fallu le plaquer contre le flacon pour bien récupérer le flot de sperme qui coulait abondamment.
A lui seul il venait de remplir un tiers du flacon. Presque immédiatement son sexe se recroquevilla et disparu presque dans les replis de sa peau. Il avait gagné un moment de répit.

La troisième verge me facilita la tache. A peine prise en main, elle se mit à durcir et j'avais en main un solide bâton de chair qu'il ne me restait plus qu'à traire pour en extraire le jus. Je me mis donc à le masturber à toute vitesse pour accélérer son éjaculation. En moins d'une minute, il déversa dans le flacon de quoi remplir la moitié du flacon. J'étais déçu de la quantité recueillie lors de cette première récolte.. Il allait me falloir recommencer l'opération au moins une fois pour chacun d'eux.

La deuxième phase fut pénible car  je décidais de m'attaquer au petit pénis sachant que la première fois c'est lui qui avait le mieux contribué à remplir le flacon. Il me fallu plusieurs minutes pour arriver à lui provoquer une érection et je devais surmonter ma gène car c'était la toute première fois que je masturbais un autre sexe que le mien. Heureusement, je n'avais pas à affronter cet homme du regard, car je pense qu'il serait lui aussi fort  gêné par cette situation.

Pour mon plus grand soulagement, il remplit à lui seul le reste du flacon et je ne fus pas obligé de continuer mon travail sur les deux autres garçons.

Je rebouchais le flacon et le déposais sur la table.
Une bonne heure avait du passé depuis mon arrivée et je fis en sorte de na pas retarder plus longtemps la venue de N...y.
J'enfilais comme demandé la cagoule, je prenais en main la petite clochette et aprés avoir passé mes mains derrière le dos, je refermais les menottes sur mes poignets.

Il ne me restais plus qu'à agiter la sonnette pour prévenir N...y de la fin de l'opération.




Par gigipanpan - Communauté : bondage et punitions
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Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 15:40
Pour mon plus grand bonheur, le club ne semblait pas très fréquenté ce soir là. Les quelques voitures qui se garaient sur le parking me tournaient le dos et leurs occupants se dirigeaient vers l'entrée du club sans faire attention à moi.

Fatigué, par toutes ce qui m'était arrivé durant cette longue journée, j'espérais pouvoir m'assoupir un peu en attendant le retour de N...y. Mais le temps passait et toujours pas de N....y à l'horizon.

Le froid commençait à me faire grelotter, car l'excitation nerveuse et la sensation de chaleur extrême des piqûres d'orties avaient maintenant complètement disparues. Mais cloué contre l'arbre, je ne pouvais faire les mouvements qui m'auraient permis de me réchauffer un peu.

Lorsqu'une silhouette féminine arriva vers moi, je fus tout de suite certain que c'était bien N...y qui venait me chercher.
Elle se dirigea droit sur moi et même si la puissance des projecteurs à contre jour m'empêchaient de voir son visage, je fus immédiatement rassuré sur mon sort. J'allais enfin sortir de ce cauchemar.

A seulement quelques mètres de moi, je pu apercevoir le visage féminin. Il s'agissait d'une très jeune "black" drapée dans un boubou multicolores et qui me dévisageait de la tête au pied. Elle s'écarta un peu pour que les projecteurs puissent bien m'éclairer, et elle commença son inspection silencieuse de bas en haut.

- Eh bien dit-elle, on t'a transformé en africain on dirait ? Il va falloir nettoyer ça avant que je te ramène chez ta maîtresse.

Donc cette fille n'était pas N...y.  Ne souhaitant certainement pas se charger des bases besognes de transport, elle avait dépêché une autre personne et devait certainement m'attendre au chaud dans son appartement.

- Je m'appelle Gwen, me dit-elle. J'ai rapporté tes affaires, mais avant tu dois faire ta toilette.
Elle me détacha complètement, sachant que je ne pouvais partir et qu'elle était mon seul espoir.
- Je vais te conduire jusqu'au point d'eau qui est à coté du parking. Dans le sac il y a de quoi te laver et  te sécher. Suis moi.

Toujours nu, mais libre de tout mouvement je la suivi jusqu'au parking, regardant de tous les cotés pour vérifier que personne ne pouvait me surprendre dans cette tenue. Contre un mur se trouvait un jet d'eau qui devait servir au nettoyage du parking. je compris qu'il me fallait avoir maintenant le courage de me laver à l'eau froide, nu devant une inconnue qui ne perdrait rien du spectacle et avec toujours le risque d'être surpris par un passant ou une "fêtarde" sortant du club privé.

J'essayais de me concentrer sur ma besogne. Il me fallait à la fois frotter avec le savon, puis le rincer à l'eau, puis m'asperger à l'eau froide pour évacuer peu à peu cette pâte qui commençait à coller à ma peau. Le fait d'avoir été rasé par N...y était au final une bonne chose, car il est évident que je n'aurais pas pu me nettoyer aussi vite avec du cirage collé dans les poils.

Au bout d'une bonne demi-heure, les traces de cirage avaient disparu. J'avais tellement froid au ventre et surtout au bas ventre que mon sexe était complètement rabougri. Manifestement cela faisait rire l'africaine qui devait avoir l'habitude d'en  voir de beaucoup plus gros.

- C'est bon, tu peux enfiler le manteau, mais tu dois remettre la cagoule. Il me fallu accepter de porter à nouveau ce pénible accessoire qui m'aveuglait et me forçait à respirer le plus souvent par la bouche.
- Tu va mettre les mains dans le dos car je dois aussi te rattacher avant de monter en voiture.

Je dus une fois de plus m'allonger sur la banquette. Le trajet dura un très long moment et il me sembla que nous roulions plus à l'extérieur que dans la ville.

Une fois le véhicule stoppé, Gwen me conduisit en me tenant le bras. Mes doutes se vérifiaient, ce n'était pas le domicile de N...y que nous avions rejoint.

Je dus monter quelques marches. Nous devions être dans une villa et je marchais maintenant dans un environnement et une température des plus agréable.

Gwen, m'enleva le manteau, ôta mes chaussures et mes chaussettes afin que je me retrouve à nouveau entièrement nu et je sentis qu'elle s'affairait sur la fermeture de la cagoule. Un petit claquement aigu d'un cadenas que l'on referme me glaça d'effroi. Pourquoi donc avait-elle besoin de ferme la cagoule avec un cadenas si ne n'est pour ôter à toute personne la possibilité de l'enlever ?

Je fus libéré de mes liens par Gwen et j'entendis la porte claquer. Le silence qui régnait dans la pièce me permettait d'entendre les battements angoissés de mon coeur.

Mon premier réflexe fut de porte mes mains à mon visage pour vérifier et inspecter la fermeture de la cagoule.
Effectivement elle était bien fermée par un cadenas, et il m'était même impossible de distendre les lacets tant ils étaient serrés entre eux. Il allait donc me falloir accepter de rester encore "aveugle". Je tentais bien de la faire glisser par dessus ma tête, mais le laçage était vraiment trop serré.

A tâtons, je me mis à essayer d'explorer la pièce. Je devait progresser en aveugle me protégeant avec les bras en avant. Au bout de quelques secondes je butais sur un corps mou posé à même le sol. Je me mis à genoux sur le carrelage et j'identifiais un grand matelas. Le reste de la pièce quand à lui semblait totalement vide. Ayant fait le tour des murs de la pièce, je vérifias que la seule porte était fermée à clé et que je devais patienter une fois de plus sans avoir la moindre idée sur le lieux ou j'étais et sur ce qui m'attendait.
Je décidais d'attendre allongé sur le matelas. Malgré l'absence de vêtement, je n'avais pas froid car la température de la pièce devait facilement dépasser les 22 degrés.

Le bruit d'une clé qui tourne dans la serrure me fit lever. Par pudeur naturelle, je mettais mes deux mains devant mon sexe pour dissimuler ma nudité. le bruit des pas me fit comprendre que plusieurs personnes avaient pénétré dans la pièce. Petit à petit des paroles furent échangées, des rires, tous féminins et je finit par identifier pas moins de huit voix différentes.

- Vous pouvez commencer les filles, il est à vous. Faites en ce que bon vous semble. Je repasse le prendre le prendre dans une heure. C'était la voix de Gwen que je venais d'entendre.

Je sentis presque immédiatement au moins quatre paires de mains me prendre par les bras et me les tirer vers le haut. On me lia les poignets ensemble avec une corde qui devaient certainement passer dans un anneau ou une poulie fixée au plafond, car une tension très forte m'obligea bien vite à me mettre sur la pointe des pieds.
Mes bras étaient tendus vers le haut et il m'était impossible d'espérer pouvoir reposer mes talons au sol.
Une fois attachée comme je l'étais et ne pouvant que bouger par petits pas les jambes, l'une des filles commença à défaire la cagoule pour libérer mon visage.

Le spectacle qui s'offrait à moi me laissa sans voix !!!! 
Devant moi se trouvaient dix filles en tenue "musulmane" (le Hijab si je ne me trompe pas), drapées de noir de la tête au pieds et dont je ne pouvais apercevoir que les yeux maquillées.

Elles me détaillaient de la tête au pied, faisant des remarques en arabe que je comprenais pas mais qui avaient au moins l'avantage de détendre l'atmosphère, car les filles riaient de bons coeurs à chaque nouvelle phrase.

L'une d'elle s'avança vers moi et me dit dans un français tout à fait correct:
- Dans notre pays ce son les hommes qui battent les femmes, ce soir nous allons inverser la tradition.


Saisissant d'une main mes testicules, elle commença à me faire tourner sur moi même. Obligé de suivre son mouvement sous peine de souffrances insupportables, j'essayais de bien rester à chaque pas sur la pointe des pieds. Au bout de quelques tours, elle lâcha prise et lança une phrase en arabe qui déclencha chez les filles une véritable frénésie.

Tour à tour chacune passait derrière mois et me donnait au minimum quatre à six claques sur les fesses. Obligé de rester sur la pointe des pieds, je tentais de pivoter sur moi même pour esquiver quelques coups. Mais les filles semblaient ne pas s'en préoccuper et chacune d'entre elles continuait à me fesser méthodiquement. J'avais de nouveau les fesses en feu.

Au bout d'une bonne dizaine de minutes la fessée cessa et l'une de filles me passa un bandeau sur les yeux. Pour bien le maintenir en place, je compris qu'elle passait autour de ma tête de nombreux tours de rouleau de scotch. Il m'était impossible de voir maintenant quoi que ce soit.
La tension de la corde se relâcha et je compris que la séance fessée était terminée. Mes bars étaient toujours liés entre eux au niveau de mes poignets.

Les filles me conduire jusqu'au matelas qui trônait au milieu de la pièce. Je dus m'allonger sur le dos et la tension de la corde repris. Elle devaient l'avoir attaché au tuyaux de chauffages que j'avais vu tout à l'heure et qui faisaient le tour de la pièce.

Mes chevilles furent enserrées par des cordes, et je me trouvait très vite écartelé, jambes et bras tendus au maximum du supportable.

Nu et immobilisé par les liens, à nouveau "aveugle" j'essayais de deviner ce qu'avaient décidé ces inconnues.
Je n'eus pas le temps d'y réfléchir longtemps. L'une d'elle s'assit sur mon visage. Le long vêtement au coton épais, recouvrait complètement mon visage. N'ayant certainement pas voulue se déshabiller, elle avait choisi de me chevaucher toute habillée. Mais il me fallait bien constater qu'elle ne portait aucune culotte et que son sexe était fraîchement rasée. Une odeur de parfum d'orient m'emplissait les narines. Je compris à la manière dont elle guida ma bouche qu'il me fallait la satisfaire avec ma langue.

Une main venait de s'emparer de mon sexe et le branlait avec vigueur pour le faire durcir. La main avait du employer un onguent, car il me semblait que sa main coulissait avec beaucoup de facilité sur la hampe de ma verge. Une fois tendue et excitée au maximum, elle se retrouva dans la seconde enfouie au plus profond du ventre de l'une d'entre elles. Un sexe chaud et humide allait et venait pour profiter de mon érection passagère.

J'avais du mal à concilier, le travail de ma langue qui me provoquait un terrible mal aux mâchoires à force de tenir la bouche grande ouverte, et la nécessité de conserver mon érection afin de ne pas provoquer d'inévitables représailles.

Mes doigts furent eux aussi guidés par des mains bien décidées à ne pas me laisser un instant de repos.

L'une des filles me prit l'index de ma main droite entre ses doigts et elle le guida directement vers ce que je reconnu tout de suite être son anus. le message était clair, il me fallait forcer à sa demande l'étroit passage.

Une autre fille en fit de même avec l' index de ma main gauche. Son sexe et la raie de ses fesses étaient extrêmement poilues et l'humidité de son entre jambes facilita grandement le passage de mon doigt. Ce ne devait pas être la première fois que son anus était visité car il me semblait très distendu par rapport à celui de l'autre fille.

L'une devait être  aussi poilue qu'une portugaise, l'autre était soit très jeune soit complètement imberbe ou rasée du matin.

Je compris que je ne pourrais me retenir bien longtemps. J'essayais de faire comprendre à la fille qui me chevauchait ,par de petits mouvements de hanches, que j'allais jouir en elle. Elle du le comprendre et s'extirpa de moi pour recueillir ma semence dans la paume de sa main.De l'autre main elle continuait de me vider en pressant sur ma verge pour en extraire les dernières gouttes.

La fille assise sur ma bouche se leva lorsqu'une courte phrase en arabe me parvint aux oreilles. En appuyant ses deux pouces sur mes dents, elle me forçant à ouvrir la bouche. L'autre fille en profita pour essuyer sa main sur mes lèvres et tirant ma lèvre inférieure vers l'avant elle passa dessus la paume de sa main couverte de mon sperme.
Je fus obligé de reprendre ce que j'avais donné.

Toujours attaché, on m'apporta de l'eau que je pus boire à volonté et après un bon quart d'heure d'entre acte, quatre nouvelles filles prirent la place des premières.

J'avais du mal à retrouver une érection compatible avec le désir de la fille qui me frottait le sexe contre le sien pour réanimer mon désir. Peine perdue, je restais désespérément mou. Voyant qu'elle aurait du mal à obtenir ce qu'elle désirait elle se mit à parler à l'une des autres filles qui assistait en spectatrice au viol dont j'étais l'objet.

Un liquide coula bientôt sur mon sexe et sur mes bourses. Finissant même dans la raie de mes fesses pour finir par mouiller mon anus, tellement la rasade était conséquente. La brûlure fut immédiate et violente. De l'alcool à 90 degré ou quelque chose de très ressemblant me mit la verge en feu et comme par enchantement une érection durable permit à la fille de me chevaucher à nouveau par de courtes et vives saccades.

Je dois avouer que mon supplice n'était pas si désagréable que cela. Et au final je pris beaucoup de plaisir à être ainsi le jouet de ces belles inconnues que je ne pouvais voir en chair et en os.
Par gigipanpan
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 08:37
Nous roulions à vive allure et j'avais du mal à ne pas "valdinguer" d'un coté à l'autre du coffre. J'entendais les filles rires en échafaudant des scénarios les plus divers pour finir la soirée.
Lorsque le véhicule stoppa et que je fus descendu du coffre par les quatre filles qui me portaient comme un vulgaire sac de patates; je sentais leurs mains fraîches sur mon corps et je n'osais faire le moindre mouvement de peur de tomber lourdement sur le sol.

Lorsque je fus mis à terre le contact du sol me fit penser à un carrelage. Assis les fesses nues sur le sol et les bras dans le dos, je serais les jambes pour essayer de leur dissimuler ce qu'elles avaient déjà pu regarder en détail. Mais ma pudeur maladive avait repris le dessus.

Sans m'enlever le bâillon, l'une d'entre elles me remis en place la cagoule et avant de bien la serrer sur ma tête, elle fit glisser le tissu qui m'empêchait de voir.
Je n'avais même pas eu une seconde pour voir ou j'e me trouvais. Réalisant soudain que j'étais livré au bon vouloir de quatre excitées sexistes de surcroît, je me mis à trembler sans pouvoir me contrôler.

- les filles, vous avez vu les cloques qu'il a sur tout le corps, dis l'une d'entre elles.
- Mais ou t'as trainé pour ramasser ça ?

Le bruit d'un jet de douche se fit entendre et je compris que j'étais bien dans une salle de bain. mes pieds furent détachés et l'on me fit enjamber une baignoire qui semblait être de grand volume.

- On va d'abord te nettoyer en profondeur, tu es aussi sale qu'un cochon, dit une voie. Puis on va te soigner.
Un grand éclat de rire collectif m'emplis les oreilles.

Je sentais sur moi au moins deux paires de mains qui s'activaient avec des gants et du savon pour me récurer de fond en comble. Le jet d'eau chaude sur ma peau atténuais les brûlures d'orties. La toilette se fit plus intime et j'eus du mal à rester stoïque lorsque l'une d'elles me frotta avec application le sexe et les bourses pour finir par la raie de fesses.

- Il faudrait le vider complètement.
- T'as raison profitons qu'il est encore dan la baignoire.

- Passe le tuyau de la douche.

Le bruit de l'eau cessa remplacé par celui de quelque chose que l'on devise. Une main s'appuya sur ma tête me forçant à me courber vers l'avant. Presque en même temps je sentis l'embout du tuyau de la douche se plaquer contre mon anus. L'une des filles rouvrit le robinet et l'eau froide cette fois ci se mit à forcer le passage.
Au bout de quelques minutes j'avais du absorber au moins deux litres d'eau dans mon ventre et j'avais beaucoup de mal à me retenir. Malgré un ultime effort pour ne pas me relâcher, je dus capituler et un flot ininterrompu s'expulsa avec violence de mes fesses. pour cacher mon dé"shonneur je m'accroupis pensant naïvement que cela allait calmer les filles.

Pour nettoyer complètement mes saletés je fus passé à nouveau au jet d'eau mais cette fois d'eau glacée. Cela dura le temps pour les filles de trouver ma nouvelle punition.

- Les enfant pas propres on leur donne une grosse fessée.

Le temps pour moi de réaliser ce qui allait m'arriver, et je fus extirpé de la baignoire pour me retrouver allongé sur les genoux d'une des filles les trois autres maintenant mes pieds au sol et mes bras dans le haut de mon dos pour faciliter le travail de la "fesseuse".

Mais cette fessée ne fut pas donnée avec la main. Dés le premier coup et son claquement sec je compris que la raquette de ping pong allait réveiller à nouveau mes douleurs aux fesses.

A chaque coup, je tressautais, mais une main sur mon dos me plaquait inexorablement sur les genoux de la fille.

- Compte me dit l'une d'entre elles. Mais je ne pouvais pas émettre un son audible à cause du bâillon. Les nombres que j'essayais tant bien que mal de prononcer étaient totalement inaudibles.

Je m'exécutais pourtant ,sous peine d'autres représailles. La boule qui m'obstruait la bouche avait beau atténuer mes protestations, je faisais en sorte de vociférer pour que cesse les claques. A quarante coups, la fessée s'arrêta enfin, au moment même ou j'allais défaillir de douleur.

- Bon maintenant que tu es calmé on va te faire un peu travailler.

Je dus monter puis m'allonger sur grande une plate forme qui devait être soit une immense table de salle à manger ou bien un billard. Il m'était impossible de le savoir, mais cela ne changeait pas grand chose pour moi. Après m'avoir attaché les jambes le plus écarté possible, mes bras furent eux aussi mis en croix et tirés vers le haut, écartelés comme au moyen âge.

Une main passa sous ma tête pour défaire la cagoule, m'enlever le bâillon boule et bien évidement, remettre en place le foulard noir sur mes yeux. les filles ne voulant manifestement pas être reconnues.

Il faisait suffisamment chaud dans la pièce pour supporter ma nudité. Une main commença doucement à me caresser pour provoquer une érection qui je dois l'avouer avait bien du mal à venir tant j'étais paralysé de peur et de honte de devoir subir une telle humiliation. Voyant que son travail n'était pas couronné de succès, elle décida de se venger en demandant à l'une de ses copines d'apporter la boite de pinces à linges.

J'essayais bien de resserrer les cuisses pour retarder la mise en place des pinces, mais je dus bien vite capituler et ce n'est pas moins d'une bonne dizaine de pinces qui prirent place sur ma verge et sur la peau de mes testicules. Plus question d'une quelconque érection tellement j'avais le sexe en feu.

- Puisque en bas tu n'es bon à rien on va voir comment tu te comporte en haut.

Comme l'avait déjà expérimenté N...y, une fille monta sur la table, du se mettre à genoux entre mes jambes, car je fus recouvert intégralement par son fessier. Pour mieux m'humilier devant ses copines, elle se trémoussait pour bien faire pénétrer mon nez entre ses fesses.

- Lèche moi dit-elle sur un ton agressif, sinon je te brûle les couilles.

Ce langage cru, ne m'étais pas habituel et je compris que la fille devait être un garçon manqué et qu'il valait mieux lui obéir, car je n'avais aucun moyen possible de me soustraire à son traitement.

Comme pou m'encourager à commencer, elle prit dans une de ses mains ma verge et commença à pincer de toute ses forces la peau du prépuce. Ce fut tellement douloureux que je ne pus retenir un cri de douleur étouffé en partie par les fesses de la fille.

Par petits coups de langues je commençais à lécher l'intérieur des cuisses qui sentaient franchement l'urine. Surmontant mon dégoût et l'envie de vomir, je me forçais à penser à autre chose et repris mon travail de lavage.

- Le trou du cul, ordonna t-elle. Lèche bien, il en a besoin. Un goût acre m'emplis la bouche et je sentis venir un "haut le coeur". La fille devait être extrêmement poilue car à chaque mouvement, je ramassais des poils sur ma langue. Le contact et le goût des poils mouillés par ma salive devenait de plus en plus insupportable.
Mais je devais trouver le courage de continuer.

Une autre fille prit la place de la première et je dus continuer la même opération. Mais cette fois ce fut plutôt agréable car la fille avait une odeur très agréable et la douceur de sa peau imberbe était pour ma langue fatiguée un véritable encouragement. Au bout d'une dizaine de minutes, je sentis couler son plaisir sur ma bouche et elle déversa en moi une liqueur aux saveurs de miel qui me firent un effet immédiat au niveau du pénis.

- Pas mal, pas mal du tout, dit la fille.  Il est plus doué avec sa langue qu'avec son petit pinceau riquiqui.

Une troisième fille prit place sur moi mais cette fois elle mit son ventre face à moi. Écartant de ses longs doigts ses grandes lèvres, elle plaqua sa vulve sur ma bouche, et mon nez rencontra un pubis poilu qui ne tarda pas à me faire découvrir un parfum lui aussi très particulier.
C'était la première fois que j'avais l'occasion de mettre mon nez et ma bouche dans différents sexes féminins à la suite les uns des autres et je devais bien reconnaître que chaque sexe était différent et que leurs odeurs elles aussi étaient propres à chacune.

J'avais la bouche sèche, la mâchoire en compote à force de tenir la bouche ouverte et lorsque la dernière fille prit place sur mon visage, je ne pus m'empêcher de tourner la tête pour reprendre mon souffle. Instantanément je ressentis une violente brûlure, d'un revers de main elle venait de secouer le hérisson de pinces à linges qui me recouvrait le sexe. La douleur était si insupportable que je décidais de ne plus bouger et exécuter les demandes de la fille.

- Tu vas me faire jouir comme Nicole ou je te massacre les fesses dans cinq minutes.

Je repris mon travail de fouille. La fille transpirait des fesses et son odeur forte avait calmé en moi toute pensée érective. Elle me demanda d'enfoncer ma langue dans sa vulve, puis sentant qu'elle allait jouir elle se déplaça pour m'offrir en dessert son anus. Heureusement cette fois ci la fille était rasée et le contact de sa petite rosette m'était moins insupportable sans pilosité. Je dus introduire ma langue du mieux possible, mais cela m'étais difficile car elle devait être vierge de ce coté là. Étroite et extrêmement serrée, ma langue ne pouvait aller bien loin. Elle finit par jouir dans ma bouche et je dus avaler de force cette liqueur écoeurante qui coulait sur ma langue.

Rassasiées pour le moment les filles m'accordèrent un long moment de repos. Peut-être devaient-elles être en train de se laver. J'aurais bien aimé moi aussi pouvoir me laver le visage, mais je devais rester là dans le noir, la verge en feu, à attendre que les filles reviennent pour un nouvel assaut.

Lorsque les quatre filles revinrent dans la pièce se fut pour me libérer de cette inconfortable position.

Une fois debout on me remis les bras derrière le dos et la paire de menottes se remis une fois de plus à m'entraver les poignets. Une à une les pinces à linges furent enlevées et ce fut pour moi comme une récompense.

Comme pour prendre soin de moi, on me fit asseoir sur une chaise puis je fus nourri à la cuillère, comme un bébé. J'avalais avec plaisir ce qui me sembla être une délicieuse compote de fruits et je pus boire également un grand verre de coca frais.

- Il est grand temps de te ramener au bercail, dit une fille.

Cette fois ci on me remis dans la voiture sans me remettre la cagoule. ne voulant pas prendre le risque de faire tomber le bandeau, j'évitais tout mouvement pour le faire glisser. le trajet me parut plus court qu'à l'aller et lorsque le 4X4 s'immobilisa sur le parking je fus cette fois saisi par le froid lorsque la porte du coffre s'ouvrit.

Les files me reconduisirent ver l'arbre qui m'avait valu d'être exposé à leur vue. Les bras à nouveau derrière le tronc j'entendis le cliquetis de la fermeture des menottes qui me signifiait que je devrait passer le reste de la nuit dans cette position. Deux filles m'écartèrent les jambes pour les attacher avec les cordes de chaque coté du tronc d'arbre. je me retrouvais exactement dans la même position qu'en fin de journée, la cagoule en moins.

- Comme ta N...y nous l'a demandé,  on t'a remis dans la même position et avant de te laisser passer une bonne nuit, on va t'offrir un petit souvenir de la part de nous toutes. Comme ça tu penseras à nous pendant quelques temps.

Je ne compris pas tout de suite le sens de ces paroles, mais lorsque je reconnu l'odeur si particulière du cirage je compris ou elles voulaient en venir.

Comme au temps des plus beaux bizutages scolaires, elles entreprirent de me faire une bite au cirage. la brosse allait et venait sur mon sexe, entre mes cuisses, s'attardait sur la peau de mes bourses et pour compléter le tableau elle se mis à passer et repasser sur mon pubis, sur le hautde mes jambes et sur mes fesses.
Les filles passèrent à n'en pas douter les deux tubes sur mon corps. C'était affreux car une fois séché j'aurais les pires difficultés à faire partir la teinture du cirage sur ma peau. J'avais déjà vu une fois en colonie de vacances les ravages du cirage. Le garçon qui avait été bizuté avait passé presqu'une heure dns les douches pour faire partir le cirage. Je savais que j'allais en baver pour me nettoyer.

L'une des filles s'approcha de moi et avec se qui devait être un rouge à lèvres, elle se mit à écrire quelque chose sur mon front. J'en été quitte pour me torturer un peu plus l'esprit,  ne connaissant pas le contenu du message.

Avant de me quitter les filles décidèrent de m'ôter le bandeau et à nouveau aveuglé par les projecteurs du "lesbar" je pus les voir se diriger vers l'entrée du club privé. j'espérais au plus profond de moi qu'elles n'allaient pas alerter ou raconter à toutes les clientes qu'à seulement quelques mètres de là, un homme à poil, attaché à un arbre et couvert de cirage, attendait patiemment que sa maîtresse vienne le délivrer...................



Par gigipanpan
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Dimanche 25 janvier 7 25 /01 /Jan 15:17
Cela faisait presque deux semaines que N...y ne m'avais pas rappelé. Lorsqu'un vendredi soir, vers 22 heures, le téléphone sonna avec insistance, je sus tout de suite qui était de l'autre côté du combiné. Je décrochais et sans attendre de savoir si j'étais le bon interlocuteur, la voix ferme mais chaleureuse de N...y me délivra en une seule tirade ininterrompue le message suivant:

- Je vous attends demain à dix heures précise à l'adresse que vous connaissez déjà. Vous devrez apporter avec vous, vos chaussures de ski  ainsi qu'une paire de gants de boxe. Allez acheter un grand rouleau de film plastic étirable, nous en aurons besoin. Ne soyer pas en retard.
J'espère que votre femme a apprécié de se retrouver dans le lit avec un homme aussi poilu qu'un nouveau né.

Le message venait de prendre fin sur cette phrase humoristique. N....y ne pouvait ignorer qu'il m'avait fallu trouver une excuse des plus difficile à croire, pour justifier mon rasage intime. Je ne sais pas si l'idée de prétexter un nouveau concept de raffermissement de la peau avait été cru, mais tant pis, c'est la seule idée qui m'étais venu à l'esprit.

Samedi, 10 heures précise, j étais devant l'appartement qui quelques jours auparavant m'avais fait découvrir à la fois l'enfer et le paradis.

Même porte ouverte. Je pénétrais dans la pièce de "rendez vous". La lettre était bien là, posée comme la dernière fois, bien en évidence, pour éviter toute perte de temps.
Je déposais à coté de la table le sac que j'avais apporté et qui contenais mes chaussures de ski, le rouleau de film étirable et les gants de boxe que j'avais du aller acheter dans un magasin spécialisé. Magasin ou j'avais eu beaucoup de mal à justifier mon intention d'achat à un vendeur incrédule.

L'enveloppe n'étais pas cachetée. J'en extirpais son contenu qui se limitais à ces quelques et simples lignes:

- Ôtez vos vêtement à l'exception de vos chaussettes et chaussures. Mettez les lunettes de soleil qui se trouvent sur le fauteuil.
  Passez  (bras dans le dos) la paire de menottes qui sont elles aussi posées sur le fauteuil. Asseyez vous et attendez.....

Bien décidé à respecter à la lettre les consignes dictées, je me déshabillais entièrement, enfilais sur mon nez la paire de lunettes d'alpiniste aux verres aussi fumés que le plus carbonisé des saumons de Norvège.
La protection solaire en cuir sur le coté empêchait un regard périphérique. Les verres étaient tellement sombres qu'il m'étais très difficile de voir distinctement dans cet environnement peu éclairé.

Je récupérais la paire de menottes et après avoir passé mes mains dans le dos,les refermais sur mes poignets,  comme me l'avais demandé N...y.


A tâtons, je pris place dans le fauteuil, ne sachant si je devais croiser les jambes pour cacher ma nudité ou bien adopter une position plus classique et conforme à celle d'une personne normalement vêtue. Je restais finalement les jambes serrées, mais non croisées.
Les minutes d'attente semblaient durer une éternité, lorsque j'entendis des bruits de talons dans le couloir. La porte de la pièce venait de se refermer aussi vite qu'elle s'était ouverte.

Sans un mot, la personne que je devinais être N...y me prit sous le bras pour me faire lever et une fois debout me mis sur les épaules un lourd vêtement que j'identifiais comme un imperméable ou un grand manteau. C'est vrai que nous étions en hiver et qu'un tel vêtement n'avait rien d'anormal en cette saison.

Un à un les boutons se refermaient sur moi et je fus bientôt complètement enfermé dans cet imposant et lourd "par-dessus". Je sentis aux contacts du tissu sur mes mollets, qu'il descendait presque sur mes chevilles. Les lunettes m'empêchaient de voir et je compris tout à coup que N...y allait me faire sortir dans cette tenue qui pourrait facilement me faire passer pour un mal voyant.

Me tirant par la manche vide du manteau, elle m'entraînât vers la sortie. Une fois dans la rue je dus suivre son pas alerte. Collée à moi comme un assistant, elle me guidait sur le trottoir et qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque me fit pénétrer dans la petite supérette ou quelques jours plus tôt j'avais cru mourir de honte.
Là je du la suivre à travers les rayons, n'arrivant même pas à distinguer la teneur de ses achats.
Nous repassâmes devant (il me semblait) la même caissière qui paru ne pas me reconnaître, mais au moment de sortir du magasin, une personne que j'identifiais à la voix comme la directrice du magasin nous fit face. Saluant avec beaucoup de chaleur mon accompagnatrice, je venais de comprendre que j'étais tombé l'autre jour dans un véritable traquenard.
- Ton esclave est de retour ? J'espère que tu vas bien le punir aujourd'hui. Cette phrase confirmait à elle seule mes doutes.

Après quelques minutes de marche, l'entrée d'un parking me fit comprendre que nous allions voyager en voiture.
Effectivement, N...y me fit asseoir à l'arrière du véhicule dont les glaces fumées rendaient mon observation difficile.
Au bout de quelques minutes, N...y me demanda de m'allonger complètement sur la banquette et de conserver cette position jusqu'à l'arrêt complet du véhicule.

La succession d'arrêts, de redémarrages, de virages m'avaient perdre toute notion de temps et de lieu.
Lorsque le véhicule s'immobilisa, N...y me fit sortir du véhicule et m'intima l'ordre de fermer les yeux jusqu'à nouvel ordre. Elle remplaça bien vite la paire de lunettes par une cagoule de cuir qui me recouvrait entièrement le visage. Les seuls orifices dégagés étaient ceux de la bouche et du nez. Un minimum indispensable pour pouvoir respirer correctement.
Elle serra la cagoule par l'arrière et je compris quelle venait de nouer le lacet qui en réglait la tension.

Une fois cette mise en place effectuée, N...y s'attaqua à mes chaussures et je dus forcer sur mes talons pour enfiler à sa demande mes énormes chaussures de ski. Je ne comprenais absolument pas ou elle voulait en venir et à quoi allait servir une telle tenue. Nous n'étions pas au sport d'hiver, ni à la montagne !!!!

Elle referma chaque crochet pour être bien sure que je pourrais les enlever et je l'entendis fouiller dans mon sac pour en sortir autre chose.

Lorsque je sentis le contact du cuir sur le bout de mes doigts, j'identifiais immédiatement les gants de boxe. Je dus ouvrir les mains et faciliter le passage pour la mise en place.
N...y faisait maintenant des tours de lacets autour du cuir après avoir prit la peine de bien serrer les gants. J'éprouvais une drôle de sensation à chaque extrémité:
- Aux pieds, prisonniers de lourdes chaussures qui à n'en pas douter m'empêcheraient de marcher normalement.
- Aux mains, des gants qui m'interdisaient de tenir en main quoi que ce soit.

Lorsque N...y se mit à défaire les boutons du manteau, il ne fallu que quelques secondes pour que je me retrouve entièrement nu, saisi par la fraîcheur de la température extérieure.
Ma dernière extrémité libre, venait de se recroqueviller comme un Bernard l'ermite qui cherche à se protéger. Le froid faisait son oeuvre et mon sexe devait ressembler à celui d'un puceau de dix ans. je ne cherchais même pas à me protéger ni me cacher à l'aide de mes mains. Je savais bien que N...y connaissait maintenant le moindre recoin de mon corps et de mon intimité, alors à quoi bon chercher à lui dissimuler ma nudité ?

Je dus suivre péniblement N...y qui me fit marcher devant elle en me tenant par la taille. Au bout de quelques dizaines de mètres, à vue de nez, elle commença à me faire tourner sur place comme pour me faire perdre le sens de l'orientation. Quelle drôle d'idée puisque je ne savait absolument pas ou me je me trouvais.

J'entendis des pas s'éloigner et quelques secondes plus tard, le bruit du moteur de la voiture me fit monter une violente bouffée d'angoisse. Je suais déjà à grosses gouttes réalisant soudain que je me retrouvait tout nu en pleine nature sans savoir ce qui m'entourait, dans l'incapacité de voir, dans l'incapacité d'enlever cette cagoule et encore moins les chaussures de ski qui entravaient ma marche.
Pour me guider et me protéger, j'en serais réduit à marcher en avancant les bras comme le fait un véritable aveugle ou bien je devais choisir de rester sur place en attendant la délivrance: de qui ? par qui et quand ? ...... impossible à savoir.

Pourquoi donc N...y m'avait-elle conduit ici et pourquoi était elle partie en me laissant seul à la merci du moindre danger, de la moindre chute ou accident. Je n'allais pas tarder à en avoir la réponse.

Tentant stupidement d'avancer vers je ne sais ou vers je ne sais quoi je sentis que je pénétrais dans un champ dont les herbes hautes commençaient à me gratter les jambes et bientôt jusqu'à la hauteur des fesses. J'avais du mal à identifier la nature de ces herbes. ne pouvant rester planté là, j'essayais tant bien que mal d'avancer en me protégeant de mes mains. Un cailloux me fit trébucher et je me retrouvais à terre. heureusement je pouvais me protéger avec les bras et les mains, même si les gants de boxe m'empêchaient de saisir ou identifier quoi que ce soit.

Les brulures que je ressentis une fois à terre, faillirent m'arracher un cri de douleur et seule la peur d'alerter du monde me fit taire. Les picotements de venaient de plus en plus douloureux. Mes jambes mes fesses, mon dos, mon ventre mais aussi mon sexe avaient été mis en contact avec ce drôle de feuillage.
Quel idiot j'étais....

Il m'avait fallu tout ce temps pour identifier mon nouvel agresseur. je me trouvais au beau milieu d'un champs d'orties et il me fallait vite en trouver la sortie sous peine de terribles brûlure. Mais par ou me diriger pour sortir de cet enfer. Pour me protéger d'un arbre ou d'un autre obstacle, j'étais forcé de marcher en tenant les mains à hauteur de mes épaules et donc chaque fois que mes jambes rencontraient de nouvelles branches d'orties mon sexe était immédiatement pris pour cible et la répétitions de ces contacts urticants me donnaient une furieuse envie de me gratter, mais avec ces maudits gants cela m'était totalement impossible.

Obligé de marcher les jambes écartées, quelques hautes branches d'orties se collaient entre mes cuisses brûlantes et ruisselantes de sueur. Chaque piqûre sur la peau de mes testicules devenait de plus en plus difficile à supporter, et lorsque j'essayais de me retourner pour chercher un autre chemin, c'était mes fesses qui se faisaient attaquer par le venin des orties.

Des chevilles aux hanches j'avais l'impression d'être littéralement trempé dans un bain d'orties et les clauques devaient recouvrir la totalité de la surface ainsi exposée.

Il me fallu prendre mon courage à deux mains pour commencer à courir dans le noir, pour essayer d'échapper à ce terrible piège. J'en fus heureusement récompensé lorsque je sentis sous mes pieds un sol bien moins meuble et rocailleux. Le bruit de gravier me fit penser que je devais me trouver sur un chemin.

Pour atténuer la douleur des brûlures j'entrepris de me masses les fesses, les jambes et le sexe avec les gants, mais je ne réussi qu'à accentuer la douleur.
Je réalisais à nouveau que j'étais certainement sur un chemin de randonnée et qu'à tout moment je pouvais être découvert dans cette tenue. Je ne survivrais pas à la honte d'être délivré par des inconnus et je réfléchissait à toute vitesse à l'attitude qu'il me fallait adopter pour tenter de trouver une parade.

Je comptais dans ma tête la largeur du chemin et décidais de m'en éloigner d'une bonne trentaine de pas. Je prenais la décision de m'asseoir et d'attendre. Heureusement j'avais par hasard trouvé un coin d'herbe ou je pus poser mes fesses en feu pour attendre que la douleur se calme un peu.
Il m'étais absolument impossible de savoir si du chemin ou pouvait ou non m'apercevoir. Je me dit cependant que N...y ne pouvait m'abandonner ainsi et que de toute manière elle saurait me retrouver tôt ou tard. Il me suffisait de prendre mon mal en patience. Mais comme nous étions venus ici en début de matinée, mon supplice pouvait durer jusqu'au soir et cela selon le bon vouloir de N...y.

Le soleil chauffait maintenant un peu ma peau et le froid ressentis à la sortie de la voiture était maintenant un vieux souvenir. Il devait être environ midi selon mes calculs. J'essayais en vain de me délivrer de ma cagoule ou de faire glisser les gants mais au bouts d'une bonne heure je dus me rendre à l'évidence, il me serait impossible d'enlever quoi que ce soit de mes entraves.

Je commençais à trouver le temps long assis sur ce petit coussin d'herbe, lorsqu'un bruit reconnaissable entre mille me parvint aux oreilles. Un puis deux puis trois bruits différents de moteurs de voitures. J'entendis les véhicules stopper à proximité, à une distance que j'évaluais à quelques centaines de mètres. Des portières claquèrent et des cris et rires d'enfants me firent immédiatement comprendre que trois familles avaient décidé de venir se promener dans ce coin.

Une nouvelle montée d'adrénaline me mit à nouveau en sueur et j'étais au bord des larmes, affolé à l'avance d'être ainsi découvert, nu, "encagoulé", les mains et les pieds enfermés dans des ustensiles inappropriés et couvert de cloques. Partagé à l'idée d'abréger mon calvaire mais synonyme de devoir appeler à l'aide et devoir affronter le regard d'inconnus et leur jugement.

Je pris le parti de ne pas appeler et pour ne pas être découvert je décidais de m'allonger à plat ventre sur le sol pour ne pas me faire remarquer. Plaqué au sol du mieux possible je ne pouvais savoir si quelque feuillage ou arbuste me cachait ou non et si l'on pouvait ou non m'apercevoir du chemin.

Les rires et les bruits de pas se rapprochaient et je priais de tout mon être pour que ces randonneurs passent leur chemin sans me voir.

Les bruits semblaient peu à peu s'éloigner lorsque je sentis des feuillages bouger autour de moi. Mais aucune voix ne trahissait une présence humaine. Je restais tapis sur le sol essayant d'identifier ces bruits inconnus.

Je ne pus retenir un cri de frayeur et de surprise lorsque je sentis quelque chose de froid et d'humide me fouiller la raie des fesses et y chercher je ne sait quoi.
Allongé sur le sol, j'avais sans m'en rendre compte laissé mes jambes complètement écartées et l'intrus avait immédiatement choisi d'explorer mon entre jambes. C'était un chien qui avait décidé de venir me renifler les fesses.
Avec mes mains j'essayais tant bien que mal d'en évaluer la grosseur, mais certainement aussi effrayé que moi, il choisit de ne pas insister. Lorsque son maître se décida à l'appeler je compris que le plus difficile était passé, les enfants n'avaient pas décidé de s'aventure hors du chemin, le chien avait décidé de retrouver son maître et le bruit des randonneurs devenait maintenant inaudible.

Le silence pesant et angoissant reprenait le dessus. Les brûlures commençaient à être moins douloureuses et pour me décontracter je m'allongeais sur le dos les bras le long du corps, espérant et  attendant le retour de N...y.

Le temps passait et toujours rien, je recommençais à m'angoisser et je me mis à envisager l'hypothèse que N...y ne revienne pas. Que faire ?  Il devait être selon mon estimation maintenant presque cinq ou six heures du soir et la nuit n'allait pas tarder à tomber. Je n'imaginais pas un seul instant devoir passer la nuit nu dans cet endroit ou je ne pouvais me déplacer sans risque.

Pour me dégourdir un peu les jambes, je me mis debout et j'entrepris de me masser un peu le corps pour essayer de faire partir les derniers restes de piqûres.

Le bruit déjà entendu d'un moteur de voiture me procura un immense sentiment de délivrance. A n'en pas douter c'était N...y qui revenait me délivrer. Pour qu'elle puisse me voir, je pris la décision de retourner vers le chemin et au bout de quelques pas hésitants, je reconnus le bruissement des graviers. J'attendis patiemment que l'on vienne à ma rencontre.

C'est bien N...y qui me prit par le bras et me guida jusqu'à son véhicule. Elle m'enleva les chaussures de ski et remis en place mes chaussures de ville. Je pensait qu'elle allait me libérer de mes autres entraves, mais à ma grande surprise elle m'éloigna de la voiture et je dus marcher avec elle pendant plusieurs minutes pour qu'elle décide enfin de s'arrêter.

Je fus plaqué sans ménagement contre un corps dur et lisse qui était très certainement un arbre.
N...y m'intimas l'ordre de lever les bras en l'air et de ne plus bouger. Je n'avais aucune intention de ne pas obéir de peur d'augmenter le degré de punition, je levais les bras au dessus de ma tête et j attendais sans dire un mot la suite des évènements.

Je sentis la pression du film plastic sur mon ventre et N...y devait tourner autour de cet arbre car à intervalles réguliers, un tour de plastic me plaquait et m'immobilisait contre l'arbre. N...y avait décidé de recouvrir mon corps du dessous des épaules au ventre. Un nombre incroyable de tour de film plastic me transforma bien vite en une momie transparente. Mais ne pouvant voir mon état, je ne pouvais que le deviner.

Mes bras furent tirés en arrière et faisant presque le tour de l'arbre, N...y m'attacha mes poignets à l'aide d'une corde. Une fois bien attaché, elle ôta les gants pour libérer mes mains et elle repris le rouleau de film étirable pour me solidariser les mains entre elles. Le rouleau passait autour de mes poignets et de mes mains. Bientôt le contact du cuir fit place à la froideur du plastic. Il m'était impossible de bouger mes mains qui étaient maintenant collées les unes aux autres. Certaine de son travail elle retira la corde de mes poignets. je n'étais plus retenu que par la force incroyable de ce film étirable.

N...y écarta mes jambes et une fois qu'elle jugea avoir défini le bon écartement, elle commença ses tours de films au niveau de mes mollets. Une bonne vingtaine de tours et je me retrouvais littéralement soudé à l'arbre.

Curieusement, elle avait décidé de ne pas me recouvrir de plastic de la taille aux genoux. Le pubis encore rasé de frais (les poils n'avaient pas encore eu le temps de repousser ) et le sexe ainsi exposé un courant d'air me passait sur cette partie du corps et au moment ou je m'y attendais le moins, ne sachant pour quelle raison logique, je fus prit d'une érection incontrôlable.

N...y du s'en apercevoir instantanément et à ma plus grande surprise et ma plus grande joie, elle commença à me masturber à toute vitesse pour me faire jouir le plus vie possible. ce que je pensais être une sorte de récompense tourna vite à la catastrophe lorsque ne pouvant me retenir je me mis à jouir dans ces mains.

Sans un mot ses mains quittèrent ma verge maintenant dégonflée et l'une de ses mains me pinça le nez jusqu'à ce que j'ouvre la bouche pour respirer. Elle en profita pour introduire les doigts de son autre main dans ma bouche.

-Lèche me dit-elle,  d'un ton qui ne souffrait aucune discussion. Reprends ce que tu as osé déposer sur ma main.

Je fus contraint de m'exécuter et pour la première fois de ma vie je goûtais ma propre semence. Je ne pouvais faire autrement que de sucer ses doigts et avaler sans broncher ce liquide au goût nouveau et légèrement écoeurant, qui collait sur sa peau. Elle mit sur ma bouche la paume de sa main et je dus avec la langue récupérer l'intégralité de ma jouissance. Il m'était difficile de lui montrer que j'avais beaucoup de mal à avaler ma propre semence. J'étais certain de m'attirer les foudres si je montrais à une femme que j'avais du mal à faire ce des millions d'hommes leur imposent.

Une fois aussi mon repas du soir avalé, N...y me fit comprendre par des mots simples mais sans ambiguïté que j'allais devoir passer la nuit ici et que si j'étais bien sage je serais délivré en tout début de matinée.

J'entendis le bruit d'un sac que l'on ouvre et au bout de quelques instants N...y passa derrière moi pour m'ôter la cagoule qui m'emprisonnait depuis la matinée. En même temps qu'elle la passait par devant elle mit l'une de ses mains sur mes yeux pour m'empêcher de voir quoi que ce soit. de l'autre main elle commença à enrouler autour de ma tête t devant les yeux, un rouleau de papier hygiénique. Elle fit plusieurs tours et me dit.

- Finira bien par tomber tout seul au bout de quelques temps et tu auras tout ton temps pour contempler la beauté du paysage.

Elle finit ses tours de papier en passant le bout coupé entre mes cheveux et le bandeau ainsi formé. Elle vérifia qu'il restait bien en place et avant  de partir elle passa entre mes jambes une petite cordelette qu'elle
entoura au dessus de ma verge et sous la peau de mes testicules. Elle fit plusieurs tours pour être sure que la corde resterait bien en place et lorsqu'elle relâcha sa pression aprés l'avoir nouée, je sentis un poids tirer mon sexe vers le bas. en guise de nouvelle vérification elle prit la corde dans ses mains et  lui fit faire un mouvement de balancier.
Plus aucun doute quelque chose pendait bien au bout de cette corde. Mais pour le moment il m'était imposible de savoir quoi.

J'entendis les pas s'éloigner sans un mot, ni un au revoir. Le moteur de la voiture fut le dernier son important qui me parvint aux oreilles.

Je me retrouvais à nouveau attaché, complètement nu, livré à je ne sais quel tourment. Il allait me falloir réagir si je ne voulais pas être obligé de passer la nuit dans cette position.

Je décidais de commencer par essayer  me libérer des rouleaux de papiers qui m'obstruaient la vue. Pour cela il me suffisait de frotter ma tête contre l'arbre. Mais ce n'étais pas aussi simple que je l'avais imaginé. Les tours de papiers passant au bas de ma tête, il me fallait pencher ma tête le plus en avant possible pour escompter pouvoir frotter le papier sur l'écorce lisse du bois.
Cette manoeuvre me demanda de longue minutes mais au bout d'efforts renouvelés, je sentis soudain le papier céder et glisser sur mon nez, puis sur ma bouche, pour finir par reposer sur mon cou. Contrairement à ce que je pensais il faisait encore jour et devant moi à quelques centaines de mètres un grand bâtiment me faisait face.

Je pouvais lire à l'envers les lettres lumineuses qui étaient fixées sur la toiture. J'eus un peu de mal, mais je finis par être certain de lire: "Lesbar" . Le bâtiment avait l'air fermé et je ne comprenais pas pourquoi N...y avait choisi de m'attacher en face de ce gros bloc de béton aux néons agressifs. Autour de moi se trouvait sur ma gauche à quelques centaines de mètres, un parking vide pouvant accueillir une bonne trentaine de voitures. Sur ma droite commençait un chemin qui se prolongeait vers une garrigue ou à n'en pas douter j'avais passé une bonne partie de la journée. Dans mon dos autant que je puisse en juger, la garrigue elle aussi veillait sur moi.

J'essayais de voir ce qui avait été attaché entre mes jambes, mais je ne pu que distinguer un petit panneau de bois faisant penser à une pancarte de la taille d'une feuille A4.

Peu à peu le soleil commençait à disparaître derrière les arbres et l'obscurité avait plutôt tendance à calmer mon angoisse d'être ainsi découvert avant le retour de N...y.

J'avais beau essayer de bouger, il m'étais impossible de faire le moindre mouvement de nature à relâcher la pression du film plastic sur mon corps. Pire, chaque mouvement déclenchait un balancement entre mes jambes qui tirait sur mon pénis et mes bourses, il fallait faire doucement sous peine d'accentuer la pression sur ce que j'avais du mal à cacher ans cette position. Il fallait se résoudre à attendre et espérer que personne n'ai l'idée de venir se promener à la nuit tombante ou même venir épancher un besoin naturel.

Pendant presque une heure je guettait un ennemi qui ne venait pas pour mon plus grand soulagement. Mais en parlant d'ennemi, c'est de l'intérieur qu'il se manifesta.

Je ne sais pas si c'était du au fait d'être resté longtemps le ventre et les fesses à l'air mais je sentis monter en moi une difficile envie de me soulager. Mais plaqué comme je l'étais contre l'arbre il m'étais bien évidement impossible, même si mes jambes étaient écartées, de me laisser aller et je n'osait pas envisager une seule seconde devoir me résoudre à déféquer sur place et conserver entre mes jambes le résultat de ce soulagement pourtant si naturel. Comble d'infortune voila aussi que ma vessie demandait comme mon rectum à être soulagée.

Pour la vessie se fut plus facile. ne pouvant plus me retenir et sacant à l'avance que ce combat été perdu d'avance, je me laisait aller en essayant de contracter au maximum mon pénis pour redresser le plus possible le jet que le poids de la pancarte dirigeait inexorablement à mes pieds. par bonheur à mes pieds la terre était meuble et la petite flaque ne tarda pas à disparaître dans la terre.

Ma vessie vidée, l'envie coté face s'atténua et je pensais pouvoir me retenir quelques temps. c'était mal connaître la nature. Quelques minutes plus tard, un nouvelle agression dans mon ventre me forçat à me contracter au maximum pour ne pas expulser d'un seul trait ce qui ne demandait qu'à sortir. Je pouvais me résoudre à accepter l'humiliation suprême de faire pratiquement sur soi. je serrais mes sphincters en fermant les yeux pour mieux faire me concentrer et mieux me retenir.

Mais au bout de quelques temps alors même que les derniers rayons du soleil éclairant les lettres de ce que je savais par simple déduction logique être un lieu de rencontre un peu spécial, je sentis couler le long mes cuisses les premières attaques de ce qu'il me serrait totalement impossible de contrôler dans les prochaines secondes.

Las de combattre, je m'abandonnais en pleurant toutes les larmes de mon corps. Un long jet ,violent et malodorant, éclaboussât mes pieds, souillât mes cuisses et le bas de mes fesses. Au bout de très longues secondes les dernières gouttes annoncèrent la fin du supplice. Un horrible sentiment d'être sale jusqu'au plus profond de moi, m'envahit et je continuais à pleurer, certainement les nerfs qui eux aussi avaient lâché.
Peu à peu l'odeur nauséabonde disparu et les restes de cette purge en plein air finirent par sécher sur ma peau.

La nuit fit place à l'obscurité et je compris un peu tardivement que j'allais devoir me résoudre à rester collé à mon arbre.

Ce devait être au jugé plus de onze heures du soir lorsque je fus réveillé par une lumière aveuglante. je m'étais assoupi et je dus fermer partiellement les yeux pour essayer de distinguer d'où venait cette lumière qui illuminait maintenant toute la garrigue et moi en particulier.

C'était des projecteurs installés sur le toit du "Lesbar qui illuminaient à la fois le parking et les environs arborés.
Horreur j'étais maintenant la cible d'un des trois projecteurs dont le faisceau éclairait dans ma direction. Impossible de ne pas me voir si l'on se garait sur le parking.  je venais en même temps de réaliser que nous étions Vendredi et qu'il serait fort possible que le "Lesbar" ouvre ses portes à sa clientèle.

Les premières voitures arrivèrent un peu plus tard. Les premières filles qui en descendirent ne firent absolument pas attention à moi, ne regardant absolument pas dans ma direction. Il faut dire que les premières voitures ne se garaient pas avec l'avant du véhicule dans ma direction. pour le moment j'étais sauvé.

Un 4X4 venait de stopper au bout du parking et me faisait face. Quatre filles en descendirent en riant et en parlant fort. De toute évidence elles devaient être déjà passablement imbibées d'alcool. L'une d'elles au lieu de suivre les trois autres se dirigeât dans ma direction.
Marchant le nez sur les talons, elle ne fit pas attention à moi. Elle s'accroupi à quelques mètres de moi, baissa son pantalon, sa culotte, m'exposant son superbe derrière de jeune fille et comme je l'avais fait quelques heures avant elle, elle commençât à vider sa vessie sur la terre en prenant soin de bien écarter les jambes pour ne pas se salir. Je ne pouvais rêver meilleur spectacle que de voir ce superbe fessier relâcher en son milieu un jet aussi long que puissant.
 Elle continuait à se vider lorsque je ne pu retenir un éternuement et ce fut là ma plus grosse erreur de la journée.

Ainsi découverte dans cette position honteuse elle cru d'abord avoir à faire à un voyeur lubrique. Voyant que l'intrus restait là à la regarder elle se mit à hurler et à alerter ses copines qui, croyant certainement à une agression arrivaient en courant.
La fille ne pouvait se relever car la peur devait lui procurer une descente d'urine encore plus importante que ce qu'elle aurait souhaité en pareille circonstance. Elle continuait à se vider lorsque les trois filles arrivèrent prés d'elles.

- Il y un conard contre l'arbre qui me matte depuis cinq minutes. Elle se redressa enfin et remonta sa culotte et son pantalon en me faisant face.
- Putain tu vas me le payer, s'écria telle.

Les quatre filles avançaient vers et lorsqu'elles s'aperçurent en même temps du spectacle qui leur était offert. Elles éclatèrent de rire dans un parfait ensemble. incrédule devant la vision d'un home nu attaché à un arbre la bite rasé et une pancarte pendant entre ses jambes, elles restaient là à me contempler sans arriver à dire un mot. Même dans leur plus grand phantasme je suis persuadé qu'aucune d'entre elles aurait imaginé un jour être le témoin privilégié d'une tel scénario.

Celle que j'avais vu nu s'avança vers moi et voyant que je ne pouvais esquisser le moindre geste de défense elle décidât de passer à l'attaquer.

- Pitié, m'entendis je prononcer faiblement, détachez moi, ca fait trop longtemps que je suis attaché à cet arbre.

Les quatre filles se remirent à s'esclaffer de rire, et je compris que cela n'était absloument pas leur intention. Vaincu je choisi de baisser la tête pour ne pas croiser leur regards moqueurs.
Je sentis la main de la pisseuse me saisir les testicules, les serrer fortement d'une main et de l'autre remonter devant son visage le peit écriteau. Arrivant à peine à parler tellement elle riait, elle se décida à lire le texte à ses copines.

- Amis lesbiennes, je suis persuadé que vous trouverez mon cadeau de bon gout.
Je l'ai déjà puni aujourd'hui, mais je compte sur votre imagination pour lui faire endurer jusqu'à demain matin tout ce qui vous passera par la tête. Punissez le, il semble adorer cela.
N'ayez aucune crainte, il n'osera raconter sa soirée  à personne et je me porte garante de son silence et de sa condition d'esclave servile et corvéable.
Pour vous aider j'ai même laissé dans un sac derrière lui de quoi assouvir vos phantasmes.
Signé: N....y

- Super  s'écria l'une des filles. c'est mieux que le lesbar. ce soir on va enfin se marrer pour pas cher. Merci N...y !!!

Pendant ce temps une autre fille avait été récupérer le sac laissé par N...y. Elle commençait à sortir devant moi tout ce que N....y avait préparé, sachant à l'avance quel type de personne allait s'en servir.
- Inventaire, continua la grande brune qui fouillait le sac.
- Une paire de menottes, Un bandeau noir, Un bâillon boule, Trois grandes cordes, Une poire à lavement, Deux bouteilles d'eau, Une barre d'écartement, Une raquette de ping pong, Un gros rouleau de film plastic, une paire de ciseaux et pour finir une brosse et deux gros tubes de cirage noir.

- si avec ça on n'arrive pas à s'éclater les filles, c'est vraiment qu'on est des nullardes.

Une petite blonde qui n'avais pas encore ouvert la bouche, fit une remarque judicieuse:
- Si on reste là on va se faire repérer et nous devrons abandonner notre superbe jouet.

- Tu as raison répondis la dernière emmenons le chez toi, c'est grand, isolé et il pourra gueuler sans que cela réveille les voisins. On le ramènera ici quand on en aura fini.

Immédiatement, l'une d'elle se chargea de me mettre le bandeau sur les yeux pour ne pas risquer que je puisse les reconnaître. Une autre se chargea de mettre en place le bâillon boule tandis que les deux autres après avoir découpé le film plastic autour de mes bras et de mes jambes me passèrent immédiatement les menottes autour des poignets.

L'une d'entre elle s'aperçut que j'avais fait sur moi et elle se mit à me hurler à l'oreille:
- gros dégoûtant on va t'apprendre les bonnes manières.

Toujours nu, les bras repliés dans le dos et menotté, je dus suivre les quatre filles qui m'aidèrent à monter dans le coffre du 4X4. Allongé à même la moquette. Pour mieux m'immobiliser avant de démarrer, l'une d'elles me lia les chevilles ensemble.

Dans le coffre d'un véhicule, nu et attaché comme un vulgaire saucisson, aux mains que quatre furies inconnues je roulais vers une nuit qui a n'en pas douter allait me réserver des surprises.

Suite.............. à venir.











Par gigipanpan - Communauté : bondage et punitions
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