Mardi 31 août 2 31 /08 /Août 11:39

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Par PANPAN
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Lundi 30 août 1 30 /08 /Août 10:40

Laure m'aida à me mettre à genoux. Les mains liées derrière le dos et la jambes écartées au maximum, il m'était impossible d'y parvenir sans son aide, sous peine de chuter lourdement au sol sans pouvoir me protéger avec les mains.

Elle m'appuya la tête au sol après avoir été cherché un petit coussin dans sa chambre. Cela voulait-il signifier que j'allais devoir rester dans cette position pendant un certain temps ?

 

Une autre grande corde à la main, Laure fit passer la corde derrière mon cou et relia chaque bout de la corde à la barre d'écartement. Une fois tendues et attachées à la barre, il m'était impossible de m'allonger sur le ventre et je devais conserver cette position, jambes et genoux écartés au maximum, entre jambes largement offert aux envies et phantasmes de Laure.

 

Laure souleva un à un mes genoux et fit glisser sous chacun un coussin semblable à celui qui protégeait mon front de la rudesse du sol. J'étais maintenant dans une position un peu plus confortable si celle-ci devait durer dans le temps.

 

Fesses offertes, dans l'impossibilité de faire le moindre mouvement, j'en été réduit à imaginer la suite des évènements. La réponse ne se fit pas attendre bien longtemps.Je sentis le plug qui me remplissait le rectum, s'évaporer lentement de mes fesses. Laure le faisait tourner entre ses doigts, pour en ralentir au maximum la sortie de mon corps. La peur de ne pouvoir me retenir me fit resserrer au maximum mes sphincters au passage de la partie la plus fine du plug.

 

"Je vais te faire découvrir une nouvelle sensation, je reviens tout de suite"

 

Quelques minutes plus tard, j'entendis les pas de Laure qui s'agenouillait entre mes jambes.

"Pour commencer, on va un peu débroussailler le passage" dit-elle. je sentis le rasoir passer entre mes fesses et commencer son travail de tonte. Laure avait décidé de me raser "l'entre jambes"sans adoucir ma peau avec la mousse à raser. Il faut avouer que j'étais en nage et que le rasoir glissait sur ma peau avec facilité.

Une fois les derniers poils enlevés par les deux lames du rasoir, j'avais la sensation étrange d'être encore un peu plus nu.

Son visage à seulement quelques centimètres de mes fesses, Laure devait avoir une vue imprenable sur mes parties les plus intimes et sur mon anus en particulier. Je sursautais de surprise lorsque une sensation de froid sur celui-ci sonna le début de cet étrange sensation.

 

C'était de la glace... Laure avait, j'en étais certain maintenant, décidait de me "glacer les fesses". D'une main elle m'écartait les fesses et de l'autre elle poussait avec ses doigts le premier glaçon contre mon anus. Il devait avoir une forme allongée, un peu comme un suppositoire, car il fut rapidement avalé par mes sphincters qui se refermèrent immédiatement au contact de cet intrus glacé. Laure ne me laissait pas le temps de reprendre mes esprits. Un à un les glaçons étaient introduits dans mon rectum et en l'espace de quelques minutes je me retrouvait le ventre rempli d'une bonne dizaine de glaçons. Ce froid intérieur qui me congelais le rectum et contre lequel  je ne pouvais lutter, me procurait une incroyable sensation de gène, de douleur et de plaisir à la fois.

 

Je me contractais pour éviter tout rejet de cette glace qui prendrait un temps fou à fondre en moi.

Laure se mit à rire de bon coeur en voyant mes efforts pour me contracter au maximum. Comme pour me récompenser de ces efforts, elle insinua ses deux mains entre mes fesses et commença à me frotter les testicules comme pour me réchauffer, et à me titiller le bout du gland pour provoquer une érection malgré le froid intérieur qui avait pour effet de me "ratatiner" un peu plus le sexe. Elle réussit sa manoeuvre car au bout de quelques secondes, malgré le froid qui continuer de me brûler le ventre, ma verge était aussi dure que les glaçons qui eux fondaient en moi à petit feu. Elle commençait à me masturber lentement, tirant ma verge vers le bas pour la dégager de mon ventre. De sa deuxième main, Laure promenait maintenant un glaçon sur le bout de mon gland. Un étrange contraste entre le chaud et le froid.

Cette initiative eut pour effet de stopper presque immédiatement mon érection. Je devais maintenant faire pale figure et montrer à Laure les limites de mon érection.

- Et alors, me dit-elle en riant . Le petit oiseau s'est endormi ?

Comme pour me punir, une série de quatre glaçons qui me semblaient plus gros que les précédents rejoignit les précédents au fond de mon ventre. J'avais de plus en plus de mal à me retenir et à la seule idée d'affronter le honte insupportable de me vider devant elle, je redoublait d'efforts pour me contracter au maximum. Je transpirais abondamment, de légers soubresauts et tremblements parcouraient tout mon corps. laure était en train de m'infliger la même punition que celle que j'avais choisi comme premier témoignage de sa soumission.

 

Je pensais qu'elle aussi allait me détacher pour que je puisses aller aux toilettes, mais qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis passer autour de ma taille et entre mes jambes ce que j'identifiais immédiatement comme une couche pour adulte. Rapidement refermée sur moi à l'aide des élastiques et des adhésifs, elle semblait bien en place.Laure entrepris de finir le travail afin d'assurer l'étanchéité de son stratagème en se servant du rouleau de film étirable. De nombreux tours et allez retours, entre mes jambes et autour de ma taille, et quelques minutes plus tard l'étanchéité de cette couche anti fuite était totale. tel un gros bébé engoncé dans cette boule de coton et de film plastic, je devais attendre la suite des évènements.

 

Laure entrepris de me mettre sur le dos, me faisant rouler sur le coté en prenant soin de soulever mes jambes pour que la barre d'écartement puisse faire une rotation complète. Une fois sur le dos je devais me cambrer pour ne pas trop peser de tout mon poids sur me bras et mes coudes attachés dans mon dos. Voyant cela, Laure me mit sous les fesses deux des trois coussins déjà utilisés. Cela rendait la position plus confortable, car c'était maintenant mes épaules qui étaient en contact avec le sol.

 

Nuque contre le sol et les yeux toujours bandés, je ne tardais pas à connaître les envies de Laure. A califourchon sur mon visage, Laure venait de s'asseoir sur mon visage, ses cuisses et ses mollets de chaque coté de mon visage afin que je ne puisses tourner la tête et me soustraire à ses envies.

 

Ses fesses bien écartées mettaient mon nez était en contact direct avec son anus dont j'arrivais à toucher les replis. Laure avait du se passer une crème spéciale avant mon arrivée, car l'odeur et le goût de sa peau me rappelait celui d'une pêche.

Ma bouche en contact elle aussi direct avec son sexe, ne laissait aucune interrogation possible sur les envies de Laure.

- Quand tu m'auras fait jouir avec ta langue, je te détacherais pour que tu puisses aller aux toilettes. A toi d'y arriver le plus vite possible, si tu veux ne pas souiller ta couche.

 

Comprenant qu'il me fallait maintenant passer à l'action, je commençais à lécher doucement les grandes lèvres de Laure vierges de toute pilosité, ce qui facilitait grandement mon travail préparatoire. Le goût de pèche dans la bouche et sur la langue existait aussi mon envie de la faire jouir le plus vite possible.

Je poussais ma langue le plus profond possible entre ses petites lèvres et constatait qu'elle était plus d'humide. J'avais la certitude de pouvoir arriver à mes fins en quelques minutes. De rapides coups de langues d'avant en arrière dans ce fourreau chaud et déjà ruisselant de plaisir, une pression constante du bout de mon nez sur sa "petite porte" et en un temps record que j'aurais pu imaginer à l'avance, Laure, que je découvrais être une véritable femme fontaine, déversait sur moi les éclaboussures de sa jouissance.

 

Fidèle à sa parole, Laure me détacha les jambes, puis les mains, et sans m'enlever le bandeau, elle me conduisit elle même à la salle de bain. 

Avant de m'y laisser seul, elle me dit:

- quand tu auras fini de prendre ta douche, remet le foulard sur tes yeux et passe toi dans ton dos, la paire de menottes qui est posée à coté du lavabo. Je reviendrais te chercher dans un bon quart d'heure.

 

J'avais par bonheur réussi à me retenir et à ma plus grande satisfaction, ma couche était propre. je me déshabillais en hâte une fois seul dans la salle de bain, et lorsque je finis de déchirer le Scotch qui emprisonnait la couche, je constatais avec horreur que mon pubis, mon sexe et mes fesses étaient recouverts d'une couleur bleu que j'identifiais immédiatement comme du bleu de méthylène. Cette coquine de Laure m'avait piégé en remplissant la couche culotte de bleu de méthylène. 

Catastrophe, comme allais je pouvoir enlever ça. Pire encore, si les copains du club de judo me voyaient dans cet état, j'allais devoir affronter les pires moqueries. Et comme nous avions une compétition dans quelques jours, il allais falloir trouver très vite une solution. Une angoisse terrible devant le ridicule de la situation me tordait maintenant l'estomac.

J'en oubliais presque mon rectum qui demandait d'urgence à être libéré de toute l'eau qui le remplissait depuis maintenant trop longtemps.

 

Une fois complètement soulagé, je décidais de passer sous la douche pour essayer d'atténuer cette catastrophe qui allait faire de moi la risée de tout le club, lorsque j'allais devoir me déshabiller dans le vestiaire ou passer sous la douche après les combats.

J'entrouvrais la grande porte vitrée de la douche multi-jets et commençais à faire couler l'eau sur tout mon corps.

 

Qu'elle surprise, l'eau qui coulait le long de mes jambes était toute bleutée et au simple contact de l'eau chaude mon ventre, mon sexe et mes fesses retrouvaient comme par magie leur couleur d'origine.

Laure m'avait piégé sur toute la ligne. Soulagée d'avoir été le dindon d'une farce qui se finissait bien, je m'activais pour me livrer à nouveau à Laure qui n'allait pas tarder à revenir me chercher.

Une fois lavé, rincé et séché, je repérais la paire de menottes posée devant moi. Comme demandé, je remis le foulard sur mes yeux et après l'avoir noué bien serré par un double noeud, je passais mes mains derrière mon dos,et refermais sur mes poignets les crans de sûreté dont le triple clic me condamnais à l'immobilisation.

Ne pouvant me repérer dans l'espace, je décidais de rester debout en attendant sagement le retour de Laure.

 

Suite à venir...........

 

 

 

 

Par PANPAN
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Samedi 28 août 6 28 /08 /Août 00:00

 

 

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Par PANPAN
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Samedi 21 août 6 21 /08 /Août 23:52

J'ai rencontré Laure tout simplement sur un Forum bien connu puisqu'il traite autant le médical que tout ce qui a concerne la sexualité. Sa participation au forum nous a permis de parler succinctement de nos phantasmes réciproques; je ne sais pas pourquoi, mais j'ai tout de suite senti qu'il nous serait possible de nous rencontrer pour partager nos phantasmes. Éloignée de seulement 200 kilomètres de mon domicile, c'est après avec continué nos échanges sur internet puis au téléphone que nous avons convenu de nous rencontrer.

 

Célibataire convaincue et relativement libre dans ses horaires de travail, elle a préféré que je me rende chez elle pour le premier rendez vous. Nos dernières conversations téléphoniques nous ont rassuré sur nos envies communes et sur les limites à ne pas dépasser. Cette confiance mutuelle établie, c'est sans aucune appréhension que je me suis rendu dans son appartement située dans les beaux quartiers de Perpignan. De son coté, Laure avait tout de suite compris que je respecterais scrupuleusement ses demandes et ses ordres.Nous avions convenu de codes pour limiter et prévenir tout dépassement de nos envies et limites mutuelles.

 

Il était un peu plus de 14 heures, lorsque je pénétrais dans son appartement, meublé avec beaucoup de goût. Laure était une très belle femme, avec un type très scandinave. Grande, mince, une longue chevelure blonde qui lui tombait sur les reins, elle portait magnifiquement les quarante cinq ans qu'elle m'avait annoncé avoir fêté quelques semaines auparavant.Elle était Vêtue à ma demande d'un  tee shirt blanc  "made in china" acheté spécialement à bas prix pour la circonstance et d'une jupe en jeans mi longue.

 

Sur la table base de son salon une immense table, Laure avait disposé tout une batterie d'objets qui ne pouvait laisser planer aucun doute sur le type d'après midi que nous allions passer. Nous avions convenu de tirer au sort qui serait le maître ou la maîtresse. Un simple de jeu de pile ou face me permit de gagner le droit de diriger cette première rencontre pendant une durée limitée à 2h30.

 

Je demandais à Laure de me promettre d'obéir à mes ordres de se laisser faire et de ne pas avoir peur, son oui franc et direct me conforta dans ma détermination à lui procurer des sensations fortes.

 

Je demandais à Laure de se lever et de se mettre face à moi, de fermer les yeux et d'attendre que j'ai sélectionné parmi tout le matériel présent sur la table, les objets que j'allais utiliser.

Je passais derrière elle et me servait de son foulard Hermés pour lui bander les yeux et la priver de toute sensation visuelle. Pour lui éviter toute envie de rébellion, je lui liais rapidement les poignets dans le dos à l'aide d'une second foulard, sans serrer trop fort simplement pour lui signifier qu'elle ne devais plus bouger, ni chercher à se défendre. Malgré la présence de baillons sur la table, je décidais de laisser sa bouche libre.

 

Une fois les mains liées dans le dos, je finissais la première partie de mon travail en lui mettant dans les oreilles des bouchons auditifs afin de compléter un peu plus son isolement provisoire. Une fois les bouchons bien en place, elle ne pouvait plus rien entendre et je savais par expérience que c'était un accélérateur d'angoisse amis que la perte de l'ouïe décuplait également les sensations et le plaisir.

 

Je décidais maintenant de lui ôter son jeans. Je le déboutonnais  et le faisait glisser lentement, et le plus normalement du monde, le long de ses superbes jambes. Je débarrassais Laure de ses mocassins et de son jeans afin qu'elle n'ai plus sur elle que son slip de coton blanc "petit bateau" et son tee-shirt.

 

Une rapide inspection me permit de vérifier que Laure avait mis sous son tee shirt, un soutien gorge sans bretelle, ce qui me facilita grandement la tâche pour l'enlever. Une fois celui-ci enlevé je constatais avec plaisir que les petits seins de Laure pointaient fièrement contre le coton, trahissant par là même un début d'excitation.

Je continuais mon travail en faisant également glisser sur ses cuisses ce slip de petite fille qui lui cachait si bien sa toison de véritable blonde. Le poids du coton fit rapidement tomber sur ces chevilles le fin et dernier rempart de ce superbe spectacle.

Le pubis de Laure était d'une beauté incroyable pour une femme de cet âge. Un ventre lisse et plat dont les poils pubiens d'une blondeur presque irréelle cachaient les contours charnues de ses grandes lèvres.Sa toison aux reflets dorés remplissait intégralement le triangle formé par ses cuisses. J'étais étonné de voir une telle pilosité pour une blonde, elles qui d'habitudes ont tendance à se tailler le pubis, Laure elle avait choisi de laisser faire la nature et en cela elle ressemblai aux photos de nus des années soixante dix.

 

 

Je m'attardais un moment sur la beauté de ce spectacle, sachant que Laure ne pouvais deviner ma surprise et mon plaisir. D'un doigt inquisiteur, je testais doucement la réceptivité de Laure. La chaleur et l'humidité de son intimité, me rassura sur sa capacité à prendre du plaisir.Pour ne pas l'affoler et lui faire comprendre qu'il n'y aurait de a part aucune violence, je me mis à caresser lentement son pubis d'une main et ses fesses rondes de l'autre, comme pour lui faire comprendre qu'elle ne risquait rien à s'abandonner complètement.

 

Il me fallait maintenant faire un inventaire précis des objets que  Laure avait disposé sur la table du salon. J'étais certain que son choix allait me guider sur ses envies et ses phantasmes.

 

Une expertise précise me permit de lister: Une bonne dizaine de foulard en soie, 4 longues cordes ( bien pratique pour un bondage à la japonaise ) une paire de menottes, 2 barres d'écartements, une paire de ciseaux, différentes sortes de bâillons, un gros rouleau de film étirable, un rouleau de scotch large,un panier rempli de pinces à linge, un rasoir jetable et une bombe de mousse à raser, une poire à lavement, plusieurs plugs de tailles différentes, une raquette de ping pong et enfin une série de vibromasseurs de tailles et formes multiples.La parfaite batterie pour une journée SM réussie.

 

Je décidais de prendre en premier lieu la paire de ciseaux et, sachant que le tee shirt ne valait moins de 5 euros, je commençais à le découper un peu comme dans le film "orange mécanique". Je tirais donc le tissu devant chaque téton et découpais à l'aide des ciseaux le fragile coton afin d'obtenir un cercle presque parfait qui découvrait en intégralité chaque sein aux points dures et aux auréoles d'un rose laiteux du plus bel effet. Ces seins étaient incroyablement fermes pour une femme de son âge et la souplesse de la peau montrait bien qu'il n'avait jamais subi la moindre opération de chirurgie esthétique.

Voir cette paire de superbes seins sortir du tee shirt qui restaient bien en place malgré cette découpe, fit monter en moi une érection qui était de bonne augure.

Laure restait debout, silencieuse et déjà soumise. je lui liait les chevilles pour bien lui faire comprendre qu'elle devait rester en place pour le moment.

Un rapide tour de l'appartement me permit de repérer, la cuisine, la salle à manger, la salle de bain, les toilettes et la chambre à coucher. Sachant que Laure ne pouvait bouger, ni me voir, ni m'entendre, je commençais à récupérer dans chaque pièce les objets indispensables à la préparation de mon premier supplice.

 

Je récupérais des serviettes de bain, un gant de toilette , ainsi qu'un bol d'eau chaude dans la cuisine et une fois rendu dans la chambre, je recouvrais le dessus de lit avec les serviettes de bain. Je posais sur l'une des tables de nuit qui décoraient chaque coté du grand lit à barreaux de cuivres, le bol d'eau chaude et le gant de toilette.

 

Revenu prés de Laure, je lui déliais les cheville afin de la conduire dans la chambre. Au passage j'en profitais pour récupérer deux cordes posées sur la table et une poignet de foulards.

 

Prenant Laure par le poignet, je la conduisait jusqu'au lit et l'allongeais bien au milieu du lit, sur les serviettes. Une pression avec ma main sur son ventre pour lui signifier de ne pas bouger et je commençais par lui écarter les jambes afin de libérer au maximum son jardin secret. Un noeud pas trop serré à chaque cheville, quelques tours de cordes à chaque pied de lit et en quelques minutes l'immobilisation du bas de son corps était réalisé.

A l'aide des grands foulards de soie, j'attachais en croix ses poignets aux barreaux du lit en prenant bien soin de ne pas trop l'écarteler pour que la position puisse durer dans le temps sans qu'elle devienne insupportable.

 

Pour faciliter ma tache, je passais sous les reins de Laure, deux gros coussins qui eurent pour effet immédiat de soulever ses fesses d'une bonne dizaine de centimètres et de faciliter encore un peu plus le passage entre ses cuisses.

 

Je trempais le gant de toilette dans l'eau chaude et le posais sur le pubis de Laure qui au même instant venait de deviner qu'elle allait être la première épreuve qu'elle devrait subir. Ce contact chaud sur sa peau devait l'exciter, car un rapide passage entre ses cuisses me confirma qu'elle était déjà très humide.

Je retournais rapidement dans le salon pour y récupérer la mousse à raser et le rasoir jetable et une fois assis au bord du lit, je commençais par retirer le gant chaud du ventre de Laure.

 

Après avoir secoué la bombe de mousse, je recouvrais toute la toison de ma prisonnière. L'odeur mentholée était très agréable à sentir et devait déjà provoquer à Laure des sensations de fraîcheur particulières. Vu la quantité de poils qu'il allait falloir enlever, j'étais certain qu'elle ne s'était pas rasé ou coupé les poils pubiens depuis de nombreux mois. Si tel était son phantasme, elle avait donc su attendre patiemment l'occasion qui nous réunissait tous les deux aujourd'hui.

 

Les premiers sillons du rasoir crissaient sur sa peau avec un bruit soyeux, libérant à chaque passage une zone vierge de tout poil. Je me servais du gant de toilette pour ôter les poils qui se collaient aux lames du rasoir jetable. Lentement je passais et repassais sur cette magnifique peau aussi fine et lisse que celle d'une adolescente.

Laure restait en place dans une immobilité presque parfaite. Le fait d'avoir les yeux bandés devait décupler ses sensations. Le contact des lames sur sa peau fragile et le fait de s'exposer ainsi attachée entièrement nue devant un homme qu'elle ne connaissait absolument pas autrement que par contact téléphonique,devait lui provoquer des sensations nouvelles et intenses.

 

Pour ne pas risquer de la blesser en passant le rasoir entre ses cuisses, j'insinuais une main en appui sur la fente de son sexe gonflé à la fois par l'excitation et l'effet irradiant de la mousse mentholée. J'appuyais donc mes doigts sur ses petites lèvres et de l'autre main je passais le rasoir délicatement entre ses grandes lèvres et le creux de ses cuisses. Pour parfaire mon travail je profitais de sa position surélevée pour passer le rasoir entre ses fesses afin d'enlever également tous les poils qui protégeaient son anus dont la circonférence était aussi brune qu'elle était blonde.

Quelques "allez - retour" entre ses fesses et les dernières poils finissaient leur trajet sur le gant de toilette.

Je me levais pour aller le rincer à la salle de bain et revenais rapidement avec un gant vierge de tout poil et aussi chaud qu'au début de la tonte.

 

Afin d'enlever les dernières traces de mousse à raser, je passais le gant sur toute la surface de son pubis, entre ses cuisses, entre ses fesses et tout autour de son anneau intime, en prenant un malin plaisir à appuyer légèrement sur son anus à chaque passage.

 

Une serviette pour la sécher complètement et je pouvais admirer mon travail  de barbier. Le ventre de Laure était devenu semblable à celui d'une petite fille de dix ans. Lisse et brillant sa peau sentait bon la menthe fraîche. Un doigt explorateur me permit de vérifier que Laure était toujours dans un état d'excitation avancé.

Son sexe humide trahissait le plaisir qu'elle avait du éprouver à se faire raser les parties les plus intimes de son corps par un inconnu, lui offrant par la même occasion la vision d'une femme livrée entièrement à ses phantasmes.

 

Je décidais de laisser Laure dans cette position, temps pour moi de ranger une partie du matériel et de peaufiner la suite de la journée.

 

Maintenant que je l'avais transformé en petite fille, je me devais de passer la vitesse supérieur et essayer de deviner ses envies secrètes. La présences de plusieurs plugs laissait à penser qu'elle ne refuserait pas l'exploration de ses voies rectales.

 

Ne sachant pas encore son coefficient de résistance, je décidais de prendre un plug anal vibrant de petite taille afin de tester sans risque les réactions de Laure. La présence de la raquette de ping pong trahissait à n'en pas douter son amour de la fessée. Je devais donc en profiter car ce n'est pas tous les jours que l'on rencontre une femme adepte de cette pratique pourtant très existante.

 

Je retournais dans la chambre et décidais de changer laure de position avant toute chose. Après avoir libéré les noeuds fait aux pieds du lit, je déliais ses poignets et roulait d'un coup et et précis Laure sur le coté afin de la faire mettre à plat ventre. Elle compris rapidement mon intention et me facilita la tache en se repositionnant presque seule au milieu du lit en remettant bien docilement ses bras en croix et en écartant à nouveau ses grandes et belles jambes.

Une fois les liens remis en place, Laure se retrouvait immobilisée, le compas de ses jambes largement ouvert, prêt à recevoir de la visite.

 

Je repositionnais sous son ventre les deux gros coussins afin de surélever un peu plus ses fesses.

La position était parfait et le rasage intégral que j'avais effectué sur elle me permettait de voir sa petite rosette brune toute serrée de peur.Laure avait beau essayer de serrer ses fesses l'écartement de ses jambes était suffisamment grand pour l'empêcher de cacher la vue de son anus maintenant imberbe.

 

Pour faciliter l'introduction du plug et raviver en elle des sensations certainement inconnues, je déposait un peu de mousse mentholée entre la raie de ses fesses, en insistant bien avec mes doigts pour faire pénétrer la mousse dans son anus qu'elle essayait vainement de contracter. La sensation de la menthe fraîche sur sa peau rasée de frais lui provoqua un léger spasme qui devait être du autant au plaisir qu'à la surprise.

Je poussait avec mon index une légère exploration en forçant le passage de ses sphincters serrés au maximum. La résistance me persuadait que Laure n'avait pas beaucoup pratiqué la sodomie. Mais de toute évidence, mon insistance lui procurait un plaisir nouveau.

 

Au bout de quelques minutes de va et vient avec mon doigt, je décidais d'introduire maintenant dans son anus légèrement distendu. le plug que j'avais sélectionné. Sous ma poussée régulière mais ferme,il progressait lentement et s'enfonçait inexorablement en elle. Un râle de plaisir sorti de sa bouche restée muette jusque là.Laure s'abandonnait et c'est presque elle qui aspira comme par magie le reste du plug. Une fois bien en place,et ses sphincters resserrés sur la partie étroite du plug, il ne risquait plus de ressortir.

Je mis le vibreur sur la position minimale, déclenchant par là même les premiers cris de plaisir de laure.

Je passais ma main entre ses fesses pour vérifier avec mes doigts son niveau d'excitation. Elle était entrain de jouir, et la serviette qui se trouvait en contact avec son sexe était déjà trempée.

 

Me rappelant soudain que nous étions là pour mélanger plaisir et souffrance, je décidais de changer de tactique.

Je poussais la vitesse du vibreur au maximum et j'attendis sa réaction.

 

Celle-ci ne se fit pas attendre. A ma grande surprise laure me gratifia d'un incroyable:

 

"Putain d'enculé, que c'est bon.....  Défonce moi encore gros cochon"

 

Je ne pensais pas Laure capable d'utiliser un tel langage. J'étais littéralement décontenancé, mais ne tardais pas à réagir pour reprendre la main.

 

" Qu'est ce que c'est que ces gros mots vilaine.Tu as mérité une punition, je ne peux pas supporter de tels écarts de langage.

 

Je montais aussitôt sur le lit et m'asseyais sur son dos en disposant mes jambes de chaque coté de son corps en lui tournant le dos de façon à avoir sa croupe à ma disposition.

 

Ton tarif sera de quatre séries de vingt claques sur les fesses. Et si j'entends le moindre cri de ta part, on recommence à zéro. C'est bien compris ?

Elle me signe oui de la tête, déjà consentante.

 

Je commençais à la fesser de la même main alternant chaque coup sur une fesse différente afin de ne pas faire de jalouses. A la fin de la première série de vingt, ses fesses commençaient à rosir légèrement et j'étais surpris de voir que Laure endurait cette fessée sans avoir l'air d'éprouver la moindre douleur.

Voyant cela, je décidais de frapper un peu plus fort pour la deuxième série.

Le plat de ma main faisait un bruit sec sur ses fesses et à la fin de la deuxième série, j'avais ma main en feu. Je décidais de fesser des deux mains pour la troisième série.

Laure restait de marbre et je n'arrivais pas à savoir si elle souffrait ou si elle prenait un plaisir intérieur à recevoir mes claques sur son arrière train. On était arrivé sans que je m'en rende compte à soixante claques sur ses fesses à peine rougies, et toujours aucun témoignage de douleur de la part de Laure. Les vibrations du plug devait lui procurer un plaisir plus intense que la fessée que j'étais en train de lui administrer.

 

Pour les deux dernières séries, j'avais du faire appel à toute mes capacités de résistance pour ne pas aller chercher la raquette de ping pong. Mes mains étaient apparemment plus en feu que les fesses de Laure. Devant cette défaite incompréhensible, je lui administrais une fessée qui m'aurait arraché des cris de douleur. Elle se contentait de contracter ses fesses entre chaque claque, sans dire un mot, sans bouger. C'était à peine croyable, c'était moi le puni dans l'histoire, mais elle ne pouvait s'en rendre compte.

Je comptais à haute voix la dernière série de vingt et lorsque je prononçais le chiffre 79, elle se mit à parler pour me laisser bouche bée.

"putain que c'est bon......... j'en veux encore !!  Je restais sans voix devant une telle envie. Cela faisait maintenant plus d'une demie heure que je fessais son postérieur et elle en redemandait encore.

 

Ne sachant pas si elle supporterais une nouvelle punition intégrale, je décidais de repartir non pas à zéro,mais à cinquante. Je lui enlevais délicatement le plug de ses fesses, afin de voir si sans cet instrument de jouissance, elle supporterais aussi bien la fessée.

 

Je me remis à la fesser en comptant à haute voix, sans m'arrêter. Cette nouvelle série ininterrompue de 50 à 80, ne lui arracha même pas un petit cri de douleur, alors que pour ma part, j'avais les mains en feu. Ces fesses avaient pourtant viré au rouge pourpre et en principe elle aurait du demander "grâce" avant même la fin de la première série. Elle avait donc une endurance à la fessée tout à fait exceptionnelle et ses origines nordiques devaient avoir un rapport direct avec sa capacité à supporter la douleur.

 

Cela faisait maintenant presque deux heures que j'avais commencé à "punir" Laure et je sentais que je n'étais plus le maître du jeu; C'est elle qui à sa façon me dominait, car je n'arrivais pas à prendre le dessus sur sa capacité à résister et à endurer un tel traitement. A aucun moment je n'avais senti qu'elle allait employer les codes qui nous intimais l'ordre de stopper immédiatement la punition en cours.

 

Je décidais donc de consacrer la dernière demi heure à tester la résistance de laure pour supporter une position très contraignante.

 

Après l'avoir détaché, je la fit descendre du lit et je lui demandais de se mettre à genoux au sol, jambes écartées et tête appuyée contre le sol. Pendant qu'elle se mettait docilement en position j'allais chercher la barre d'écartèlement qui était posée sur la table.

Je fixais ses chevilles aux bracelets de cuirs qui garnissaient les extrémités de la barre. Je réglais l'écartement, de sorte à former un angle le plus ouvert possible pour libérer l'accès à son anus.

Je lui fit passer ses bras entre ses cuisses afin de les attacher ensemble à la barres qui reliait ses chevilles.

Cette position très contraignante car le sujet a les bras tirés en arrière, sa tête forme un appui naturel sur le sol et les jambes écartelées au maximum empêchent le moindre mouvement. De plus, l'écartement des cuisses libère entièrement le passage entre les jambes. Une position à la fois très inconfortable pour celui qui est attaché, et très pratique pour celui qui souhaite profiter de l'immobilisation parfaite du soumis ou de la soumise.

 

J'allais tester pendant plus d'une demi heure la résistance de Laure. Pour éviter de lui endommager les genoux, je passais sous chacun d'eux les deux coussins déjà utilisés.Une fois réduite à l'immobilité parfaite, je décidais de terminer cette séance en testant également la résistance des sphincters de Laure.

Je récupérais sur la table du salon, la poire à lavement et la replissait à la salle de bain d'eau chaude. Sa contenance devait être d'environ un demi litre.

 

Je m'agenouillais en faisant fasse au derrière de Laure ouvert et incapable de s'opposer à ce qui allait suivre.

Je poussais délicatement l'embout de la poire pour faire pénétrer la canule dans son rectum. Elle semblait ne pas se rendre compte de ce qui allait lui arriver. Toujours silencieuse et résignée. Une fois la canule bien logée au fond du sillon de ses fesses, je pressais avec force et détermination la poire pour en vider tout son contenu dans le fessier si bien exposé.

 

La dernière goutte ruissela sur l'anus de Laure plus glissa le long de la raie de ses fesses pour finir son chemin sur le carrelage de la pièce.

 

"Tu vas devoir te retenir pendant 30 minutes. Si par malheur tu venais à en lâcher une seule goutte, je te laisse imaginer qu'elle serait ta punition. Je reviendrais dans une demie heure pour te délivrer et te permettre d'aller aux toilettes. Soit courageuse !!!

Un "oui"  bref et déterminé fut le seul mot de Laure comme unique réponse.

 

Ne sachant trop que faire pendant ce temps, je décidais de jeter un coup d'oeil curieux dans son salon et  sa bibliothèque. un grand nombres d'ouvrages traitaient du SM et des techniques de bondage. Plusieurs livres de photographes spécialisés, confirmaient également les goûts de Laure.

Au moins je pouvais me rassurer, elle  était bien en phase avec mes propres phantasmes.

 

Pour passer le temps, je décidais de prendre un livre de photos sur le bondage japonais. Il était très détaillé et montrait de nombreuses positions d'immobilisation qui m'étaient totalement inconnues.

 

Lorsque le temps imposé à Laure me parut être terminé, je rejoignais la pièce ou elle se trouvait et constaté qu'elle était en nage. Transpirant abondamment et secouée de soubresauts, elle avait su se retenir et je devais bien avouer que j'étais impressionné par sa performance.

 

Pour la récompenser de tant de courage, je décidais de lui enlever son bâillon, ses bouchons auditifs et je faisais en sorte de la libérer au plus vite afin de ne pas réduire à néant un tel effort de plus de trente minutes. Une fois complètement détachée, elle fila à toute vitesse à la salle de bain ou elle resta de nombreuses minutes pour y faire une toilette complète.

 

Son tour venait de passer, elle avait été très courageuse et il me fallait maintenant lui annoncer que je me mettais entièrement à sa disposition.

 

Je m'approchait de la porte de la salle de bain.

 

" C'est à moi maintenant d'obéir. Je me prépare dans le salon et j'attends sagement que tu reviennes"

 

Pour mettre Laure en confiance, il me fallait lui montrer que j'allais parfaitement jouer le jeu.

Je décidais de me déshabille , ne conservant que mon slip de coton blanc.

Je liais mes chevilles avec une des cordes posée sur la table basse. Je me bandais les yeux à l'aide d'un foulard de  soie et après avoir mis mes mains dans le dos, je refermais sur mes poignets la paire de menottes récupérée quelques instants avant.

 

Ainsi immobilisé, je devais me tenir debout et sans bouger afin de ne pas risquer de perdre l'équilibre.

Le claquement de la porte, me fit comprendre que Laure pénétrait dans la pièce.

 

"Félicitations, tu as vraiment compris comment nous devions fonctionner".

" Tu as été très dur avec moi, et il va falloir que je te punisse pour cela".

"on va voir si tu es aussi résistant que je l'ai été et si tu vas être aussi obéissant".

 

"Pour commencer, je vais t'attacher correctement pour pouvoir te travailler plus facilement".

 

Elle libéra mes poignets, en me laissant pour le moment les pieds attachés.

Prenant la plus grande des cordes disponible, elle commença par me passer la corde derrière le coup, puis devant mes épaules en recroisant derrière le dos afin d'y créer une croix et un point de fixation. Plusieurs tours au niveau de ma taille, afin de ne pas encombrer l'entre jambes. Une fois ce harnais créé, elle me fit mettre les bras dans le dos, les avants bras reposant l'un sur l'autre. A l'aide du gros rouleau d'adhésif elle relia mes avant bras les uns aux autres, puis elle les fixa au croisement des cordes dans mon dos, en passant plusieurs fois derrière les cordes. Bras haut placé en plein milieu du dos,cette position de mes bras n'était pas trop inconfortable, mais elle avait le désavantage de dégager complètement le bas de mon dos et bien sur mes fesses, qu'il m'était maintenant impossible de protéger et de cacher.

 

Laure, prenait l'initiative de me  délier les chevilles. Elle me fit écarter les jambes afin de refermer sur chacune de mes chevilles les sangles de la barre d'écartement qu'elle venait de récupérer. Tapotant en silence mes mollets, elle me fit écarter un peu plus mes jambes afin de régler la barre sur son écartement maximal. Une fois le réglage effectué, je constatais que mon équilibre était maintenant très précaire. Si j'étais poussé en avant ou en arrière, j'allais "m'affaler" de toute ma hauteur sans pouvoir me protéger avec les mains. Rien qu'à cette idée, je fus pris d'un moment d'angoisse qui provoqua immédiatement une importante sudation.

 

Une main puis un doigt inquisiteur s'insinua entre mes fesses et força lentement mais surement un passage entre mes sphincters qui s'étaient contractés naturellement. Manifestement Laure avait l'intention de me préparer à sa façon.

Dés qu'elle sentit que mon anus se distendait, elle propulsa en moi un plug qui me fit sursauter de surprise. Elle poussait en avant avec ses mains et commencait un va et vient régulier du plug entre mes fesses. Ce petit jeu dura plusieurs minutes.

 

"Bien, je pense que tu es bien préparé. On va pouvoir commencer la séance......."

 

Suite à venir..........

 

 

 

 

 

Par panpan
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Samedi 21 août 6 21 /08 /Août 00:53

Mon corps n'était plus qu'une boule de feu. Aussi imberbe qu'un enfant qui vient de naître, je devais donner à mes tortionnaires une drôle d'image.

 

Je fus remis debout et l'on me reconduisit jusqu'à la voiture, toujours aussi nu et tiré par une corde qui me serrait le coup.

Je dus monter cette fois dans le coffre.

Le véhicule après avoir roulé pendant de longue minute s'immobilisa, puis lentement pénétra dans un garage. Je reconnaissais le bruit particulier d'un portail électrique qui se baisse.

 

On me sorti de la voiture et je dus à nouveau marcher pied nu sur un carrelage froid. On me fit enjamber ce que je reconnu être un bac à douche. Dans la seconde qui suivi un jet puissant et glacé me trempa jusqu'au os. Pendant de longue minutes je fus récuré par plusieurs gants de crins. A nouveau cette sensation incroyable de chaud et froid.

Une fois poncé de haut en bas, je fus détaché entièrement et à ma grande surprise on m'ôta le foulard qui m'empêchait de voir. Malgré le "gommage" subi, je constatais que mon sexe était encore couvert de traces de feutre noir.

 

Je faisais fasse à quatre superbes femmes d'une trentaine d'années qui de part leur look m'incitait à penser que ce devait être des féministes convaincus ou des lesbiennes. Cheveux courts, look masculin, tout y était.

 

L'une d'entre qui devait être la "chef" me dit d'une voix grave.

 

Il te reste une épreuve à subir avant de retrouver tes affaires et rentrer chez toi.

 

" Tu vas sortir dans le jardin et tu vas t'asseoir sur la chaise qui est au milieu de la pelouse. On viendra te rechercher quand il sera temps de rentrer. Prends ces deux paires de menottes avec toi. Tu devra attacher tes chevilles aux montants et passer tes mains derrière les barreaux de la chaises pour y  attacher tes poignets. Si tu n'obéi pas tu restera dehors toute la journée et toute la nuit.

 

La  femme avait à peine fini de parler que les trois autres me prirent par les bras et me poussèrent dehors en prenant bien soin de refermer la porte à clef. je me retrouvais à l'extérieur, nu avec dans la main deux paires de menottes ouvertes dont bien évidement les clefs avaient été enlevées. L'une d'elle avait une longue chaîne afin que je puisse très certainement faire le tour de la chaise pour attacher mes chevilles.

 

Je ne savais absolument pas à quoi ressemblait la maison. La porte d'entrée était située en haut d'un double escalier qui surplombait le jardin. De là, j'apercevais les passants dans la rue et je compris vite qu'il valait mieux que je descende au plus vite avant de me faire repérer.

 

 Je commençait à comprendre ce que j'allais devoir faire. Les filles avaient bien combiné leur coup et j'étais certain qu'entre les arbres des passants pourraient sans grandes difficultés me voir sur cette chaise haut perchée. Heureusement que les arbres et la haie devant les grilles cachaient en partie la vue. Je m'approchais de la chaise métallique et montait m'y installer de peur des représailles qui m'attendaient si je n'obéissait pas.

 

Une fois assis sur le siège, je prenais la paire avec la grande chaîne et fixait mes chevilles de chaque coté, aux montants en tube. Une fois mes chevilles immobilisé en position de jambes écartées, je passais mes mains derrière les barreaux du dossier et refermait les menottes après les avoir fait passer entre les barreaux. Le double cliquetis de fermeture sonna le départ de ma punition.

 

La position était confortable et je souriais intérieurement en pensant que les quatre femmes avaient imaginés pour moi un supplice bien plus doux que ce que je venais d'endurer.

 

Je n'avais pas remarqué en montant sur la chaise d'arbitre, que celle-ci était pourvue de roulettes afin de pouvoir facilement la déplacer d'un endroit à un autre. C'est lorsque je vis ressortir les quatre filles que je réalisait que mon optimisme allait certainement être de courte durée.

 

La chaise fut en quelques secondes poussée bien au milieu du jardin et de là je surplombait toute la rue. Les arbres étaient beaucoup moins nombreux et la haie plus basse. Si un passant tournait la tête pour regarder vers la propriété, nul doute que je serrait dans son champ de vision.

 

Une fois en place, les filles s'éclipsèrent sauf une qui s'arrêta au pied des escaliers pour ouvrir un petit placard. Quelques secondes suffirent pour que se mette en place l'arrosage automatique du jardin. De puissants jets d'eaux commençaient à m'inonder tout le corps. Je comprenais maintenant pourquoi les filles avaient voulu que je m'attache.

 

La violence des jets d'eaux m'obligeait à tourner la tête à chaque passage; L'un deux m'arrivait de face et je devait me contorsionner sur la chaise pour ne pas recevoir le puissant jet sur mes testicules. A chaque passage, je devait soulever mes fesses du siège pour que le jet passe sous moi. Chaque mouvement me tendait les poignets et les chevilles. Si ce petit jeux durait longtemps j'allais finir par avoir des crampes aux jambes et aux bras.

 

Heureusement pour le moment personne ne passait devant la maison. Je pouvais donc continuer à gesticuler sans que l'on puisse m'observer.

Au bout d'un bon quart d'heure, je commençais à ne plus pouvoir me lever complètement, tellement mes muscles déjà sollicités me faisaient souffrir. Le jet d'eau qui visait montre entre jambes semblait devenir de plus en plus précis. En fait c'est surtout moi qui avait de plus en plus de difficulté à me déplacer pour éviter le choc de l'eau sur mes parties intimes.

 

Mes gesticulations allaient forcément finir par attirer l'attention. Par bonheur le passage fréquent de nuages assombrissait un peu la luminosité ambiante et avec un peu de chance, j'allais pouvoir attendre la fin de mon supplice sans avoir à endurer l'humiliation d'être découvert par des passants, nu attaché de façon grotesque en plein milieu d'un jardin et entrain de recevoir la plus humiliante des douches froides.

 

Soudain les jets d'eaux stoppèrent leur va et vient, me laissant maintenant en position "séchage" imposé.

Il ne faisait pas très froid et ma nudité était supportable.

C'est au moment ou je m'y attendait le moins qu'un groupe de six jeunes décida de stopper presque devant l'entrée de la propriété pour s'échanger des livres. Les trois filles vu leur physique devaient être en terminale. L'une d'elle en se retournant pour ranger un livre dans son sac me fit dans son champ de vision.

 

Plus aucun doute maintenant, la fille me fixait avec des yeux incrédules à la vue d'un tel spectacle pour le moins insolite. je lisait sur son visage son étonnement dans les premiers instants. Pour se persuader qu'elle n'avait pas de vision, elle s'approcha de la grille en écartant avec ses mains les branches des petits cyprès.  Un grand éclat de rire ponctua ses quelques moments d'étonnement.

 

En même temps les autres jeunes s'étaient retournés et s'approchaient eux aussi pour profiter du spectacle. Après les premiers rires et moqueries que j'avais du mal à entendre, j'eus droit à une séance photo avec les téléphones portables. Je faisais en sorte de tourner la tête pour cacher mon visage, quand, comme pour éviter un attroupement, les quatre femmes arrivèrent en marchant calmement pour déplacer la chaise roulante sous les yeux encore étonnés des six voyeurs involontaires. Je priais que les clichés pris à la sauvette ne soient pas exploitable ou au moins que l'on ne puisse pas me reconnaître ou voir mon visage.

 

la chaise fut rapidement poussé dans un coin du jardin hors de la vue des passants. Au moins sur ce point mon humiliation allait s'arrêter.

 

Eh bien me dit l'une d'elle. On est arrivé à temps pour t'éviter d'être vu par tout le village !!!

 

L'une des filles était en train démonter sur la chaise avec à la main, les clefs des menottes. Une fois mes chevilles détachées, elle fit en sorte de libérer l'espace d'un instant mes poignets et une fois la paire de menottes repassée devant la chaise métallique, d'un geste rapide et précis, elle referma à nouveau les menottes sur mes poignets. Je dus avoir recours à son aide pour descendre de la chaise. Les barreaux en fer mouillés étaient glissant et mes pieds nus risquaient à tout moment de déraper.

 

Une fois en bas, je fus reconduit dans la maison et sans dire un mot les filles me poussèrent dans la salle de bain.

L'une d'elle s'adressa à moi:

"On va t'appeler un taxi pour qu'il te ramène jusqu'à ta voiture. Tu l'a bien mérité.

J'entrevoyais la fin de mon calvaire !!!

 

Pendant que la femme sortait pour aller téléphoner, les trois autres avaient entrepris de me rincer sous la douche. Je dus enjamber la grande baignoire qui trônait au milieu de la salle de bain intégralement recouverte de marbre.

 

Le jet chaud de la douche me faisait un bien énorme et je commençais à me réchauffer après la douche glacée subie dans le jardin.  Pendant qu'une tenait le jet d'eau dans ma direction, les deux autres me savonnaient de fond en comble, et l'une d'elle prenait un malin plaisir à s'attarder sur mon anus avec un doigt inquisiteur qui allait et venait lentement pour forcer le passage.

"Il est prêt "lança la femme au doigt indiscret.

celle qui tenait le pommeau de la douche tourna la molette et le jet se transforma immédiatement en un jet puissant et très concentré.

Tiré en avant par les cheveux, et ne pouvant me protéger avec mes mains attachées dans le dos, je me pliais en deux et je sentis en même temps que des doigts écartaient mes fesses afin de pouvoir plaquer sur mes fesses, le pommeau de la douche.

Je sentis le liquide chaud forcer mes sphincters et je frayer un passage. J'étais en train de recevoir un lavement de cheval et ce n'est que grâce à un hurlement de douleur que les filles décidèrent d'interrompre le traitement.

 

Mes poignets furent déliés, et l'une d'entre elle posa mes vêtements sur une chaise.

 

"Tu peux te rhabiller, et partir, le taxi t'attends devant la porte".

"Dépêche toi car il ne vas pas t'attendre longtemps.

 

Le temps de vêtir en hâte et je fonçais à l'extérieur de cette superbe bâtisse. Sans même me rendre compte que j'avais dans le ventre au moins deux litres d'eau, je me laissais tomber sur la banquette arrière de la voiture.

 

Le taxi avait du être prévenu de l'adresse ou me déposer, car il démarra sans me demander quoi que ce soit.

 

Dans le rétroviseur intérieur, je croisait de temps en temps le regard du chauffeur qui devinait à n'en pas douter que quelque chose de bizarre allait se passer. A chaque  secousse ou redémarrage de la voiture mon ventre menaçait d'exploser et de libérer tout ce liquide qui emplissait mon rectum.

 

D'énormes gargouillis faisaient un bruit énorme et attiré l'attention du chauffeur. J'avais de plus en plus de mal à me retenir. De grosses gouttes de transpiration coulaient le long de mon front et de mes joues. Je serrais les dents autant que mes fesses. Le véhicule roulait maintenant en dehors du village.

 

Ne pouvant plus me retenir, et paniqué à l'idée de me vider dans le taxi, je fus obligé de demander au chauffeur de s'arrêter en urgence. Il stoppa le véhicule au bord de la route et mis immédiatement le warning. Le temps pour moi de plonger dans le fossé et de baisser à toute vitesse mon pantalon et mon slip, je sentis dans la même seconde les premières gouttes chaudes couler le long de mes fesses en un jet saccadé.

 

Le fossé n'était pas très profond. Le chauffeur m'observait du coin de l'oeil avec le rétroviseur de droite, son regard en disait long sur son amusement. Un flot régulier de véhicules ralentissaient à la vue du warning. Ne pouvant me cacher, j'offrais à tous les conducteurs et passagers le spectacle comique d'une paire de fesses bariolées au feutre, en train de vider par jets puissants tout le liquide qui m'avait été introduit de force.

 

Pendant de longues minutes je dus rester dans cette position indécente car l'eau continuait à sortir de mes fesses. Les dernières gouttes furent les plus humiliantes,car à l'eau se mêlait maintenant des matières fécales. Je venait de prendre conscience que je n'avais pas de papier toilette. Du regard je cherchait une solution impossible qui ne pourrait venir que d'un tiers.

 

Comme s'il avait deviné mon embarras, le chauffeur de taxi venait de descendre de son véhicule et s'approchait de moi. J'essayais tant bien que mal de lui cacher ma nudité.

 

"Vous aurez certainement besoin de cela" me dit-il en me tendant un paquet de mouchoirs jetables.

Je lui répondis un simple merci bredouillant de honte, ainsi exposé à la vue d'un inconnu, qui découvrait en même temps un sexe rasé et colorié, des fesses rougies par le traitement subi durant toute la journée et elles aussi décorées au marqueur indélébile. Bref il avait devant lui un spectacle qu'il allait pouvoir raconter à tous les copains et amis pendant de nombreuses années.

 

Une fois remonté dans la voiture je fis en sorte d'éviter son regard dans le rétroviseur.

 

Une bonne demi heure plus tard, son taxi s'arrêta juste devant mon véhicule.

 

"La course est gratuite, ne vous en faites pas, vous pouvez partir".

 

Sans demander mon reste, je m'engouffrait dans mon véhicule qui me semblait être à ce moment là, l'endroit le plus agréable de la planète.

 

 

 

 

 

Par panpan
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