Souvenirs d'étudiants:
Quand on dit que plus on est de fous, plus on rit. Je peux témoigner que le pari que nous avions fait entre nous un été à Cannet Plage, en a été un parfait exemple.
Notre pari récurent consistait à cette époque à baisser les culottes ou le maillot des filles, soit dans la rue, soit sur la plage ou même dans l'eau. Nos premiers résultats étaient encourageant, il faut dire que faire tomber à terre quelques centimètres carrés de tissu n'était en soi pas très difficile.
Max en profitait pour réaliser, lorsqu'il le pouvait,avec son téléphone portable des vidéos tout à fait honorables qui allaient nous assurer des soirées de rigolades entre copains, à défaut de pouvoir les exposer sur le net.
Pour corser un peu le jeu, nous avions décidé de ne pas nous attaquer à des filles seules, mais seulement à des groupes de filles. C'était l'un d'entre nous qui devait désigner la cible à atteindre, sous peine de payer le soir la tournée en boite.
Pas très farouches et souvent plutôt amusés de voir l'une d'entre elle se retrouver tout d'un coup les fesses à l'air, les filles, à notre grand étonnement, ne manifestaient que peu d'agressivité, ni envie d'aller nous dénoncer à la police. Depuis maintenant une semaine, nous avions accumulés des vidéos vraiment croustillantes ou l'on voyait la plus part du temps les filles essayer de se cacher maladroitement le derrière, et se rhabiller en vitesse sous les rires moqueurs de leurs copines.
Cet après midi, c'était à mon tour d'officier, et de faire en sorte que Max puisse faire une bonne vidéo. J'arpentais de long en large le bord de plage, à la recherche d'une proie facile. Au bout de quelques minutes, je jetais mon dévolu sur quatre filles en maillot deux pièces, sac en toile sous le bras et qui se dirigeaient vers la plage. La technique était simple, mais efficace, il me fallait me rapprocher le plus rapidement possible d'elles et à deux mains saisir prestement le maillot de ma victime, pour le tirer vers le bas. Je savais que pendant ce temps, Max était prêt à filmer.
Les quatre filles devaient avoir entre 17 et 19 ans, bien faites et d'apparence sportive. Laurent avait choisi pour moi la plus grande qui se tenais sur le coté de la petite bande. Je me rapprochais de ma future victime en essayant de marcher le plus naturellement possible. Il me fallait me dépêcher car elles arrivaient maintenant dans une allée, entre les villas du bord de plage. Nous marchions maintenant sur le sable.
Au moment ou j'arrivais à la hauteur de la fille, je passais mes mains de chaque coté de sa taille afin de tirer sur les deux noeuds qui retenait son maillot. En tirant d'un coup sec, j'étais certain de le dénouer et même de pouvoir partir avec. L'idée de remporter un tel trophée et de devenir la star la journée m'excitait encore plus.
C'est au moment ou je tenais les bouts de tissus entre mes doigts et commençait à tirer pour les défaire, que l'affaire se compliqua. En fait les noeuds sur son maillot étaient des faux, ils étaient tout simplement cousus sur le tissu pour donner l'illusion de pouvoir se défaire. j'avais beau essayer de tirer dessus, rien ne bougeait, le lycra très résistant ne voulait pas céder. Ce que je n'avais pas imaginé le moins du monde c'est que la fille n'était pas décidé à se laisser faire. Victime d'une prise de judo digne d'une ceinture noire, je me retrouvais au sol en un dixième de seconde, plaqué au sol et le bras replié dans le dos par une clé de bocage qui ne laissait aucun doute sur le niveau de cette judoka.
Pire, les trois autres copines étaient immédiatement venues lui prêter mains fortes. Je me retrouvais le nez dans le sable avec sur moi quatre furies qui me tordaient les bras à m'en faire claquer les articulations. J'étais maintenant tiré par les pieds, les filles voulaient m'entraîner à l'écart des passants. Elles me tiraient de toutes leur force entre deux voitures garées dans une des allées qui mènent au bord de mer.
- Alors pauvre connard, tu voulais me foutre à poil en pleine ville ? Tu es mal tombé avec nous, nous sommes toutes "ceintures marron" de judo. Je te jure que tu vas le regretter. L'une d'elle me plaquait avec force sa main sur ma bouche pour m'empêcher de crier ou d'appeler de l'aide.
Du coté des passants, je ne pouvais espérer aucun salut, car les filles m'avaient entraîné rapidement assez loin du passage des piétons. Allongé entre deux voitures on ne pouvais nous apercevoir qu'au moment ou l'on passait devant nous. Mais j'étais certain que mes deux pots allaient venir à ma rescousse. Il me fallait simplement gagner du temps.
Mais du temps je n'en n'eut point. Je sentais maintenant des doigts et des mains s'attaquer à la boucle de ceinture de mon short, puis au boutons de ma braguette. J'avais beau essayer de résister en serrant les jambes et gesticuler pour me libérer de leur emprise, les filles tiraient mon short vers le bas pendant que d'autres mains en faisait de même avec mon maillot de bain. Une autre s'attaquait à ma chemise tahitienne. En quelques secondes, mon short et mon maillot glissaient jusqu'à mes chevilles.J'avais beau bouger dans tous les sens, il m'était impossible d'empêcher ma mise à l'air.
Pire encore, short et maillot quittaient entièrement mes jambes, et les boutons de ma chemise volaient eux aussi en lambeaux. Sans même imaginer une seule seconde le prix de cette chemise, une des filles se mit à tirer sur les manches pour les faire craquer, la transformant en véritable lambeau. Je me retrouvais maintenant aussi nu qu'un vers de terre, à moitié étouffé par les quatre filles qui pesaient de tous leur poids pour me maintenir à terre.Mes supplications restaient étouffées dans la main qui ne relâchait pas sa pression.
Voyant leur détermination, Max et Laurent avaient certainement choisi de ne pas intervenir. Mais comble d'horreur, j'étais certain que Max me filmait et préparais une vidéo dont j'allais être le héros involontaire.
- J'ai une idée, dit l'une d'elles. J'ai mon rasoir jetable dans mon sac, on vas lui tondre les couilles à ce puceau.
Dans la seconde qui suivait je me retrouvais retourné sur le dos, avec deux filles agenouillées sur moi qui riaient à la vue de mon sexe recroquevillé comme un petit escargot au fond de mes cuisses, attendant la punition. Pour m'humilier encore un peu plus, l'une d'elle avait choisi de s'asseoir sur mon visage, serrant ses cuisses et ses mollets musclés de chaque coté de mon visage. Je ne pouvais plus bouger la tête. Mais ce ne fut pas tout: Cette petite vicieuse venait de bien écarter ses fesses, afin que mon nez et ma bouche soit en contact direct avec son entre jambes.Elle pesait de tout son poids sur mon visage, son maillot servant maintenant de bâillon.
Dans l'incapacité de faire le moindre geste pour me libérer, le rasoir commençait son oeuvre destructrice, sous les rires et les moqueries d'usage. Sans mousse ni savon, chaque passage des lames me tirait les poils et me faisait un mal de chien. C'était interminable et à la limite du supportable!!! Une des filles me tirait la verge vers le haut pour faciliter le passage des lames. Le rasoir passait et repassait maintenant sous mes testicules, lentement comme s' il voulait les mettre à vif. Puis, comble de déshonneur, entre mes fesses et sur mon anus.On me rasait entièrement tout "l'entre jambe" , dévoilant à leur vue mon anus "dépoilé" que je contractais sans même m'en rendre compte.
Au moment même ou je pensais que mon supplice allait prendre fin, celle qui était assise sur moi, écarta avec ses doigts son maillot de bain entre ses cuisses. Une fois son sexe libéré du fin tissu, elle serra un peu plus ses cuisses autour de ma tête et plaqua encore plus fort son sexe sur moi, autant sur ma bouche que sur mon nez. Dans la seconde qui suivit, je sentis couler sur moi un liquide chaud et collant. Cette salope me pissait dessus et je ne pouvais même pas esquisser le moindre geste de défense.
- Çà t'apprendra à nous respecter connard, et c'est pas fini !!!!
Elle continuait de se vider sur moi. J'avais réussi à fermer la bouche, mais étant bien obligé de respirer par le nez, chaque respiration m'obligeait à aspirer un peu de son urine qui commençait à s'introduire dans le creux de mes narines. J'avais envie de vomir, obligé d'ingurgiter les déjections de cette inconnue qui continuait de se vider sur moi. Et toujours aucune aide de la part de mes deux copains. Ou étaient-ils passés ?
- Fourre lui un tampon dans le cul, dit l'une d'elles. Horreur, il allait me falloir affronter le comble de l'humiliation devant ces inconnues. J'essayais péniblement de gesticuler dans tous les sens pour me dégager de leur emprise. Aucun résultat !!!J'allais devoir subir la pire humiliation que peux subir un garçon devant des filles.
Sans ménagement, mes jambes et mes genoux furent repliées sur ma poitrine afin de bien libérer le passage entre mes fesses. Fatigué d'avoir pendant de longues minutes lutté pour essayer de me libérer, je n'avais plus de force pour lutter, ni même pour essayer d'appeler de l'aide. Résigné à subir ce suprême outrage, je m'abandonnais, vaincu par ces quatre forces de la nature.
Un doigt mouillé qui avait du être enduit de salive, puis un deuxième forçait maintenant l'étroit passage de mon anus vierge. Cette salope n'avait même pas prit la peine d'infliger ce dépucelage anal en utilisant un lubrifiant ou une crème qu'elle devait bien avoir dans son sac. Je payais au prix fort ma tentative avortée.
Les doigts continuaient à m'écarter l'anus et au bout de minutes trop longues je sentis pénétrer en moi un objet totalement inconnu qui forçait irrémédiablement le passage. Ce devait être l'applicateur du tampon. Affreux, mon anus était dépucelé par une fille qui m'enfonçait au plus profond de moi un objet purement féminin. Les rires résonnaient dans mes oreilles.
En même temps, je sentis sur mon sexe un contact bizarre et indéfinissable. Une chose inconnue, fine et dure allait et venait dans tous les sens sur ma peau,sur ma verge, sur mon pubis maintenant imberbe, sur et sous mes testicules et maintenant, passait et repassait sur mes fesses. Je n'arrivais pas identifier ce qu'elles faisaient et comme les quatre filles étaient parties d'un fou rire collectif, je ne comprenais toujours pas ce qu'elles étaient entrain de faire subir.
Mon supplice prit fin lorsque je reçu dans le ventre un coup de poing qui me coupa la respiration. Je roulais sur le coté, sans même me rendre compte que les quatre filles venaient de partir en courant, me laissant là, le souffle coupé, entièrement nu entre deux voitures. Ayant du mal à reprendre mon souffle, je cherchais du regard mes copains. Personne à l'horizon....... incompréhensible !!!!
Je me tournais pour chercher mes vêtement, mais ne trouvais rien !!! Ces garces avaient du les emporter avec elles ou les abandonner un peu plus loin. Assis, les jambes repliés pour cacher aux passants ma nudité, j'essayais de rassembler mes esprits pour analyser la situation qui n'était pas du tout simple à gérer.
Je commençais par m'essuyer le visage en me frottant avec du sable pour essayer d'enlever cette urine qui me collait maintenant à la peau et dont l'odeur devenait plus forte et plus difficile à supporter.
En regardant mon pubis et mon sexe, je constatais avec horreur que ces salopes m'avaient littéralement peint le bas ventre, le sexe et les fesses avec du rouge à lèvres. Impossible d' enlever de ma peau cette "pellicule" rouge et grasse, qui recouvrait mon pubis, ma verge, mes testicules et pire mes deux fesses. Elles avaient du y passer tout un bâton !!
Il allait falloir que je me décide à me lever pour rejoindre notre location à l'autre bout du village. Au moins un bon kilomètre à faire pour rentrer à l'appartement, et en espérant que les copains y seraient car je n'avais bien évidement pas les clefs. J'en avais presque oublié le tampon qui me remplissait les fesses.
En essayant de me cacher du mieux possible du regard inévitable de certains passants, je tirais lentement sur la ficelle du tampon. J'avais peur de casser la ficelle car lorsque je tirais dessus, rien ne venait !!! A l'idée qu'elle puisse me rester dans les mains, je décidais de remettre à plus tard cette opération.
Il me fallait maintenant prendre mon courage à deux mains et me mettre à courir sans m'arrêter jusqu'à notre appartement. C'était pour moi le seul refuge envisageable. Les larmes dans les yeux devant cette nouvelle humiliation qu'il allait me falloir affronter seul, je me mis à courir, essayant maladroitement de cacher ma nudité. J'essayais d'éviter le regard interloqué des passants. Pourvu que je ne croise pas la police !!!!
Il me fallut plus d'un quart d'heure de sprint et de slalom entre les touristes, pour rejoindre la cage d'escalier de l'appartement. Je grimpais quatre à quatre les escaliers jusqu'au pallier du quatrième étage ou je situais notre appartement. Je m'affalais sur la poignée, certain qu'elle allait mettre fin à mon calvaire.
Catastrophe !!!!! C'était fermé à clef !!! Je tapais à la porte, mais personne n'ouvrait. De rage je tapais de nouveau contre la porte, lorsque celle de l'appartement d'à coté s'ouvrit, à seulement quelques centimètres de moi. Dans l'encadrement de la porte, une jeune femme d'une trentaine d'année me faisait face, un large sourire aux lèvres à la vue d'un jeune garçon aussi nu qu'un nouveau né, le sexe rasé et recouvert de rouge à lèvres.
- Tu as des ennuis me semble t-il ? Rentre, je vais m'occuper de toi !!!!
Suite à venir .................
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