Jeudi 14 octobre 4 14 /10 /Oct 17:07

Souvenirs d'étudiants:

 

Quand on dit que plus on est de fous, plus on rit. Je peux témoigner que le pari que nous avions fait entre nous un été à Cannet Plage, en a été un parfait exemple.

 

Notre pari récurent consistait à cette époque à baisser les culottes ou le maillot des filles, soit dans la rue, soit sur la plage ou même dans l'eau. Nos premiers résultats étaient encourageant, il faut dire que faire tomber à terre quelques centimètres carrés de tissu n'était en soi pas très difficile.

 

Max en profitait pour réaliser, lorsqu'il le pouvait,avec son téléphone portable des vidéos  tout à fait honorables qui allaient nous assurer des soirées de rigolades entre copains, à défaut de pouvoir les exposer sur le net.

 

Pour corser un peu le jeu, nous avions décidé de ne pas nous attaquer à des filles seules, mais seulement à des groupes de filles. C'était l'un d'entre nous qui devait désigner la cible à atteindre, sous peine de payer le soir la tournée en boite.

 

Pas très farouches et souvent plutôt amusés de voir l'une d'entre elle se retrouver tout d'un coup les fesses à l'air, les filles, à notre grand étonnement, ne manifestaient que peu d'agressivité, ni envie d'aller nous dénoncer à la police. Depuis maintenant une semaine, nous avions accumulés des vidéos vraiment croustillantes ou l'on voyait la plus part du temps les filles essayer de se cacher maladroitement le derrière, et se rhabiller en vitesse sous les rires moqueurs de leurs copines.

 

Cet après midi, c'était à mon tour d'officier, et de faire en sorte que Max puisse faire une bonne vidéo. J'arpentais de long en large le bord de plage, à la recherche d'une proie facile. Au bout de quelques minutes, je jetais mon dévolu sur quatre filles en maillot deux pièces, sac en toile sous le bras et qui se dirigeaient vers la plage.                                             La technique était simple, mais efficace, il me fallait me rapprocher le plus rapidement possible d'elles et à deux mains saisir prestement le maillot de ma victime, pour le tirer vers le bas. Je savais que pendant ce temps, Max était prêt à filmer.

 

Les quatre filles devaient avoir entre 17 et 19 ans, bien faites et d'apparence sportive. Laurent avait choisi pour moi la plus grande qui se tenais sur le coté de la petite bande. Je me rapprochais de ma future victime en essayant de marcher le plus naturellement possible. Il me fallait me dépêcher car elles arrivaient maintenant dans une allée, entre les villas du bord de plage. Nous marchions maintenant sur le sable.

 

Au moment ou j'arrivais à la hauteur de la fille, je passais mes mains de chaque coté de sa taille afin de tirer sur les deux noeuds qui retenait son maillot. En tirant d'un coup sec, j'étais certain de le dénouer et même de pouvoir partir avec. L'idée de remporter un tel trophée et de devenir la star la journée m'excitait encore plus.

 

C'est au moment ou je tenais les bouts de tissus entre mes doigts et commençait à tirer pour les défaire, que l'affaire se compliqua. En fait les noeuds sur son maillot étaient des faux, ils étaient tout simplement cousus sur le tissu pour donner l'illusion de pouvoir se défaire. j'avais beau essayer de tirer dessus, rien ne bougeait, le lycra très résistant ne voulait pas céder. Ce que je n'avais pas imaginé le moins du monde c'est que la fille n'était pas décidé à se laisser faire. Victime d'une prise de judo digne d'une ceinture noire, je me retrouvais au sol en un dixième de seconde, plaqué au sol et le bras replié dans le dos par une clé de bocage qui ne laissait aucun doute sur le niveau de cette judoka.

 

Pire, les trois autres copines étaient immédiatement venues lui prêter mains fortes. Je me retrouvais le nez dans le sable avec sur moi quatre furies qui me tordaient les bras à m'en faire claquer les articulations. J'étais maintenant tiré par les pieds, les filles voulaient m'entraîner à l'écart des passants. Elles me tiraient de toutes leur force entre deux voitures garées dans une des allées qui mènent au bord de mer.

 

- Alors pauvre connard, tu voulais me foutre à poil en pleine ville ? Tu es mal tombé avec nous, nous sommes toutes "ceintures marron" de judo. Je te jure que tu vas le regretter. L'une d'elle me plaquait avec force sa main sur ma bouche pour m'empêcher de crier ou d'appeler de l'aide.

Du coté des passants, je ne pouvais espérer aucun salut, car les filles m'avaient entraîné rapidement assez loin du passage des piétons. Allongé entre deux voitures on ne pouvais nous apercevoir qu'au moment ou l'on passait devant nous. Mais j'étais certain que mes deux pots allaient venir à ma rescousse. Il me fallait simplement gagner du temps.

 

Mais du temps je n'en n'eut point. Je sentais maintenant des doigts et des mains s'attaquer à la boucle de ceinture de mon short, puis au boutons de ma braguette. J'avais beau essayer de résister en serrant les jambes et gesticuler pour me libérer de leur emprise, les filles tiraient mon short vers le bas pendant que d'autres mains en faisait de même avec mon maillot de bain. Une autre s'attaquait à ma chemise tahitienne. En quelques secondes, mon short et mon maillot glissaient jusqu'à mes chevilles.J'avais beau bouger dans tous les sens, il m'était impossible d'empêcher ma mise à l'air.

Pire encore, short et maillot quittaient entièrement mes jambes, et les  boutons de ma chemise volaient eux aussi en lambeaux. Sans même imaginer une seule seconde le prix de cette chemise, une des filles se mit à tirer sur les manches pour les faire craquer, la transformant en véritable lambeau. Je me retrouvais maintenant aussi nu qu'un vers de terre, à moitié étouffé par les quatre filles qui pesaient de tous leur poids pour me maintenir à terre.Mes supplications restaient étouffées dans la main qui ne relâchait pas sa pression.

 

Voyant leur détermination, Max et Laurent avaient certainement choisi de ne pas intervenir. Mais comble d'horreur, j'étais certain que Max me filmait et préparais une vidéo dont j'allais être le héros involontaire.

 

- J'ai une idée, dit l'une d'elles. J'ai mon rasoir jetable dans mon sac, on vas lui tondre les couilles à ce puceau. 

Dans la seconde qui suivait je me retrouvais retourné sur le dos, avec deux filles agenouillées sur moi qui riaient à la vue de mon sexe recroquevillé comme un petit escargot au fond de mes cuisses, attendant la punition. Pour m'humilier encore un peu plus, l'une d'elle avait choisi de s'asseoir sur mon visage, serrant ses cuisses et ses mollets musclés de chaque coté de mon visage. Je ne pouvais plus bouger la tête. Mais ce ne fut pas tout: Cette petite vicieuse venait de bien écarter ses fesses, afin que mon nez et ma bouche soit en contact direct avec son entre jambes.Elle pesait de tout son poids sur mon visage, son maillot servant maintenant de bâillon.

 

Dans l'incapacité de faire le moindre geste pour me libérer, le rasoir commençait son oeuvre destructrice, sous les rires et les moqueries d'usage. Sans mousse ni savon, chaque passage des lames me tirait les poils et me faisait un mal de chien. C'était interminable et à la limite du supportable!!! Une des filles me tirait la verge vers le haut pour faciliter le passage des lames. Le rasoir passait et repassait maintenant sous mes testicules, lentement comme s' il voulait les mettre à vif.  Puis, comble de déshonneur, entre mes fesses et sur mon anus.On me rasait entièrement tout "l'entre jambe" , dévoilant à leur vue mon anus "dépoilé" que je contractais sans même m'en rendre compte.

 

Au moment même ou je pensais que mon supplice allait prendre fin, celle qui était assise sur moi, écarta avec ses doigts son maillot de bain entre ses cuisses. Une fois son sexe libéré du fin tissu, elle serra un peu plus ses cuisses autour de ma tête et plaqua encore plus fort son sexe sur moi, autant sur ma bouche que sur mon nez.                       Dans la seconde qui suivit, je sentis couler sur moi un liquide chaud et collant. Cette salope me pissait dessus et je ne pouvais même pas esquisser le moindre geste de défense.

 

- Çà t'apprendra à nous respecter connard, et c'est pas fini !!!!

 

Elle continuait de se vider sur moi. J'avais réussi à fermer la bouche, mais étant bien obligé de respirer par le nez, chaque respiration m'obligeait à aspirer un peu de son urine qui commençait à s'introduire dans le creux de mes narines. J'avais envie de vomir, obligé d'ingurgiter les déjections de cette inconnue qui continuait de se vider sur moi.   Et toujours aucune aide de la part de mes deux copains. Ou étaient-ils passés ?

 

- Fourre lui un tampon dans le cul, dit l'une d'elles. Horreur, il allait me falloir affronter le comble de l'humiliation devant ces inconnues. J'essayais péniblement de gesticuler dans tous les sens pour me dégager de leur emprise. Aucun résultat !!!J'allais devoir subir la pire humiliation que peux subir un garçon devant des filles.

Sans ménagement, mes jambes et mes genoux furent repliées sur ma poitrine afin de bien libérer le passage entre mes fesses. Fatigué d'avoir pendant de longues minutes lutté pour essayer de me libérer, je n'avais plus de force pour lutter, ni même pour essayer d'appeler de l'aide. Résigné à subir ce suprême outrage, je m'abandonnais, vaincu par ces quatre forces de la nature.

 

Un doigt mouillé qui avait du être enduit de salive, puis un deuxième forçait maintenant l'étroit passage de mon anus vierge. Cette salope n'avait même pas prit la peine d'infliger ce dépucelage anal en utilisant un lubrifiant ou une crème qu'elle devait bien avoir dans son sac. Je payais au prix fort ma tentative avortée.

 

Les doigts continuaient à m'écarter l'anus et au bout de minutes trop longues je sentis pénétrer en moi un objet totalement inconnu qui forçait irrémédiablement le passage. Ce devait être l'applicateur du tampon. Affreux, mon anus était dépucelé par une fille qui m'enfonçait au plus profond de moi un objet purement féminin. Les rires résonnaient dans mes oreilles.

En même temps, je sentis sur mon sexe un contact bizarre et indéfinissable. Une chose inconnue, fine et dure allait et venait dans tous les sens sur ma peau,sur ma verge, sur mon pubis maintenant imberbe, sur et sous mes testicules et maintenant, passait et repassait sur mes fesses. Je n'arrivais pas identifier ce qu'elles faisaient et comme les quatre filles étaient parties d'un fou rire collectif, je ne comprenais toujours pas ce qu'elles étaient entrain de faire subir.

 

Mon supplice prit fin lorsque je reçu dans le ventre un coup de poing qui me coupa la respiration. Je roulais sur le coté, sans même me rendre compte que les quatre filles venaient de partir en courant, me laissant là, le souffle coupé, entièrement nu entre deux voitures.                                                                                                                                                     Ayant du mal à reprendre mon souffle, je cherchais du regard mes copains.                                                                       Personne à l'horizon....... incompréhensible !!!!

 

Je me tournais pour chercher mes vêtement, mais ne trouvais rien !!! Ces garces avaient du les emporter avec elles ou les abandonner un peu plus loin. Assis, les jambes repliés pour cacher aux passants ma nudité, j'essayais de rassembler mes esprits pour analyser la situation qui n'était pas du tout simple à gérer.

Je commençais par m'essuyer le visage en me frottant avec du sable pour essayer d'enlever cette urine qui me collait maintenant à la peau et dont l'odeur devenait plus forte et plus difficile à supporter.

En regardant mon pubis et mon sexe, je constatais avec horreur que ces salopes m'avaient littéralement peint le bas ventre, le sexe et les fesses avec du rouge à lèvres.  Impossible d' enlever de ma peau cette "pellicule" rouge et grasse, qui recouvrait mon pubis, ma verge, mes testicules et pire mes deux fesses. Elles avaient du y passer tout un bâton !!

 

Il allait falloir que je me décide à me lever pour rejoindre notre location à l'autre bout du village. Au moins un bon kilomètre à faire pour rentrer à l'appartement, et en espérant que les copains y seraient car je n'avais bien évidement pas les clefs. J'en avais presque oublié le tampon qui me remplissait les fesses.

 

En essayant de me cacher du mieux possible du regard inévitable de certains passants, je tirais lentement sur la ficelle du tampon. J'avais peur de casser la ficelle car lorsque je tirais dessus, rien ne venait !!! A l'idée qu'elle puisse me rester dans les mains, je décidais de remettre à plus tard cette opération.

 

Il me fallait maintenant prendre mon courage à deux mains et me mettre à courir sans m'arrêter jusqu'à notre appartement. C'était pour moi le seul refuge envisageable. Les larmes dans les yeux devant cette nouvelle humiliation qu'il allait me falloir affronter seul, je me mis à courir, essayant maladroitement de cacher ma nudité.  J'essayais d'éviter le regard interloqué des passants. Pourvu que je ne croise pas la police !!!!

 

Il me fallut plus d'un quart d'heure de sprint et de slalom entre les touristes, pour rejoindre la cage d'escalier de l'appartement. Je grimpais quatre à quatre les escaliers jusqu'au pallier du quatrième étage ou je situais notre appartement. Je m'affalais sur la poignée, certain qu'elle allait mettre fin à mon calvaire.

 

Catastrophe !!!!! C'était fermé à clef !!! Je tapais à la porte, mais personne n'ouvrait. De rage je tapais de nouveau contre la porte, lorsque celle de l'appartement d'à coté s'ouvrit, à seulement quelques centimètres de moi.                              Dans l'encadrement de la porte, une jeune femme d'une trentaine d'année me faisait face, un large sourire aux lèvres à la vue d'un jeune garçon aussi nu qu'un nouveau né, le sexe rasé et recouvert de rouge à lèvres.

 

- Tu as des ennuis me semble t-il ? Rentre, je vais m'occuper de toi !!!!

 

 

Suite à venir .................

Par PANPAN
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Lundi 4 octobre 1 04 /10 /Oct 19:13

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Par PANPAN
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Dimanche 3 octobre 7 03 /10 /Oct 18:00

Laure m'avait prévenu par email qu'elle souhaitait me recevoir dans son appartement pour me féliciter de notre dernier jeux qu'elle avait adoré suivre grâce à la web cam.

 

Ravi de ce nouveau rendez vous, j'attendais avec impatience je jour de nos retrouvailles.

Je montais quatre à quatre les marches qui mènent à son appartement  et son accueil chaleureux laisse entrevoir que nous allons passer ensemble un bon moment.

 

- Félicitations pour ton courage de l'autre jour. J'avoue que je n'aurais certainement pas pu avoir autant de volonté que toi pour lutter et aller jusqu'au bout de toi même. J'ai décidé de te récompenser à la hauteur de ton effort. Met toi entièrement nu et va t'allonger sur le lit de ma chambre. Je reviens, le temps de prendre quelques affaires.

- Au fait tu trouveras dans la chambre un petit mot. Suis les instructions, tu ne le regretteras pas.

 

Je filais sans attendre dans la chambre et tout en commençant à me déshabiller, je prenais connaissance de sa demande.

Rien de bien méchant: Il me fallait simplement me bander les yeux. M'allonger nu sur le lit, sur le dos, et attendre sa venue. Il m'était simplement demandé de mettre mes bras en croix et de joindre mes jambes.

 

Quelques minutes plus tard, le claquement de la porte  et le bruit de pas sur le sol annonçaient le début de notre nouvelle  séance.

 

Je sentais le parfum subtil de Laure et lorsque ma verge fut emprisonnée dans un fourreau chaud et humide, je compris que j'allais avoir droit à une fellation de grande classe.

Sans un mot et sans autre contact que celui de ses lèvres, Laure m'administrait la plus agréable fellation qu'il m'avait été donné de recevoir depuis fort longtemps. Sa langue remontait lentement le long de ma verge pour s'attarder autour de mon prépuce, et lorsqu'elle sentait qu'il fallait changer de rythme, elle enfonçait ma verge toute entière dans sa bouche.

Un va et vient lent et régulier faisait monter en moi un plaisir intense. De temps en temps elle emprisonnait une à une entre ses dents, mes testicules, me faisant comprendre par là même qu'il fallait mieux ne pas bouger.

 

Au moment ou elle sentit que j'allais exploser, Laure arrêta ses caresses buccales.

Je l'entendais fouiller dans ce qui devait être un sac en plastic. Soudain alors que je ne m'y attendais absolument pas je sentis en même temps mes deux bras pris en même temps dans des noeuds coulants. Laure avait du passer des cordes sous le lit et elle tirait maintenant conjointement les deux cordes, afin de m'immobiliser sur le lit. Une fois les cordes tendues, elle passa également un noeud coulant autour de mes pieds joints et en seulement quelques secondes, je me retrouvais avec les jambes tendues vers le bas du lit, complètement immobilisé, tel un supplicié sur la croix.

 

- Maintenant que tu es bien attaché, je vais pouvoir continuer et te récompenser selon ton courage.

 

Laure venait de reprendre sa lente fellation, mais cette fois ci, ses deux mains participaient activement. Elle alternait avec un art inégalé, les caresses avec sa langue et sa bouche et les phases de masturbation extrêmement rapides avec les mains. Lorsqu'elle me branlait avec les mains, elle mordillait avec insistance la pointes de mes seins, comme pour me montrer que cette partie du corps était très sensible.

Ces lèvres fraîches venaient de se poser sur mon prépuce et comme pour le faire dégonfler ou bien pour en extraire sa sève, elle se mit à aspirer par longues pression sur la chair tendre. Je n'avais jamais eu droit à un tel traitement. Incapable de résister plus longtemps, je succombais en me répandant dans sa bouche. Laure continuait à m' aspirer, bien décidais à me vider totalement de la liqueur séminale que je répandait dans sa bouche.

 

Laure se redressa et son visage se rapprocha de ma tête. Ses lèvres se posèrent délicatement sur les miennes et me faisant comprendre avec sa langue que je devais ouvrir la bouche, elle pénétra en moi avec sa langue, me rendant par la même occasion tout ce qu'elle m'avait pompé il y a quelques minutes. J'étais bien obligé de recueillir ma propre liqueur, ne voulant pas lui blesser la langue, qu'elle continuait à faire tourner sur la mienne. Le goût inhabituel de mon sperme dans ma bouche me faisait un effet bizarre.

 

Je sentis soudain que laure montait sur le lit. Elle prit l'initiative de s'asseoir à califourchon sur mon visage, son slip de coton plaqué sur ma bouche. Elle passa rapidement une main sous ma tête pour me maintenir en contact avec son "entre jambe" et de l'autre main, elle écarta le tissu de son sous vêtement afin de mettre directement en contact son sexe humide et ma bouche. Une fois l'entrée dégagée, elle resserra ses cuisses m'emprisonnant la tête qui bloquée de tous les cotés ne pouvait se soustraire à son bon plaisir.

 

-Maintenant ce la va être à toi de me faire jouir. Dépêche toi, car ma position n'est pas très confortable. Enfonce bien ta langue si tu veux obtenir un résultat rapide. Si tu traîne trop, je serais obligé de te punir et aujourd'hui je n'en ai pas envie.

Maladroitement, je commençais à faire tourner ma langue autour de son clitoris déjà bien gonflé. Puis par petits coups réguliers, j'enfonçais le plus que je pouvais ma langue au fond de cet étroit fourreau au goût de miel.Au bout de quelques minutes je commençais à avoir mal au mâchoire et toujours pas de résultat. Laure ne jouissait toujours pas.

 

- Continue avec ta langue ou je te promet une fin de journée difficile !!!

 

J'avais beau essayer de continuer, les crampes de ma mâchoire inférieur, m'interdisait de continuer au rythme souhaité par Laure.

Furieuse elle se releva, libérant ma tête et ma bouche.

 

Sans dire un mot je l'entendit descendre du lit et sortir de la pièce. J'en été réduit à imaginer le type de punition que j'allais devoir subir.

 

Lorsqu'elle revint, elle s'approcha de moi et m'enleva le foulard qui m'empêchait de voir.

 

- Pour ta punition tu va devoir t'attacher toi même.

 

Sans pour autant me libérer les chevilles du noeud coulant, elle défit la tension de la corde qui tendait mes jambes.

Elle libéra également mes bras avant de me faire retourner sur le ventre. Je n'osais pas lui opposer de résistance et lui obéit. Une fois à plat ventre,elle me fit mettre les jambes en position repliée dans le dos et posa la corde qui liait mes chevilles sur mes fesses. Elle termina la corde par une boucle.

Laure prit mes poignets et les passa ensemble dans une corde munie également d'un noeud coulant.Elle fit une boucle à quelques centimètres seulement du noeud coulant afin d'interdire out coulissement et toute libération de mes poignets.

 

- Je vais te déposer dans la main trois cadenas. Tu devras en passer deux gros dans la boucle des cordes et le dernier te servira à relier les cadenas entre eux. Il va te falloir te cambrer un peu pour y arriver, mais tu verras, rien de bien difficile.

- Je vais aller faire quelques courses, le temps que tu récupères les clefs que je pose au sol devant la porte. Bonne promenade. A tout à l'heure. Tu vois je suis gentille, je t'ai laissé la vue !!!

 

Juste avant de s'éloigner, elle écarta très rapidement la raie de mes fesses et pressa son doigt sur mon anus le rentrant légèrement en moi en une fraction de seconde. Je sentis simplement en même temps que son doigt, le contact d'un corps gras  . Son initiative ne dura même pas une seconde, et sur le moment je ne compris pas bien les raisons de cette manoeuvre. Pourquoi donc venait-elle de me "chatouiller les sphincters" ?

 

La porte se referma presque aussitôt après.

Je savais qu'il me fallait obéir, car commençant à connaître Laure, je ne doutais pas un instant qu'elle devait surveiller si je refermais bien les cadenas sur moi.

 

Prenant mon courage à deux mains, je plaçais rapidement les deux premiers cadenas dans les boucles et me cambrant un peu plus je réussit du premier coup à refermer le troisième sur les deux autres.

 

J'étais maintenant allongé sur le ventre, les chevilles à hauteur de mes fesses, les bras légèrement tirées vers elles. Si je cherchais à détendre mes jambes et à les déplier, cela avait pour effet immédiat de tirer mes bras vers le bas de mon corps. Il me fallait donc trouver un juste milieu entre la pliure de mes jambes et le positionnement de mes bras.

Je pouvais facilement me mettre sur le coté, ce que je fit au plus vite pour me permettre d'analyser la situation.

Il allait d'abord falloir descendre du lit sans me faire mal. Manoeuvre relativement facile, car maintes fois répétées lors de séances d'auto bondage.

 

Un rapide coup d'oeil vers la porte me fit voir les clefs déposées par Laure.

Elle n'avait pas mentie, les clefs étaient bien là.

Machinalement je comptais le nombre de clefs. C'est là que je découvris le "problème". Il n'y avait pas trois clefs, mais un nombre bien plus important, qui étaient posées à même le sol. J'essayais de loin de les compter, et à vue de nez, je ne comptais déjà pas moins de 6 clefs.

Laure venait de me piéger. Il allait me falloir soit avoir beaucoup de chance, soit pas mal de patience.

 

Bien décidé à ne pas perdre de temps je faisais glisser mes jambes le long du lit en plaquant mon buste sur le lit, afin de descendre en douceur. En quelques secondes simplement, je me retrouvais au sol.

Il allait me falloir maintenant ramper jusqu'à la porte et essayer toutes les clefs pour espérer me libérer rapidement.

 

Il me fallut une bonne dizaine de minutes pour arriver devant la porte de la chambre. Tête en avant, je pouvais maintenant voir le nombre de clefs exact. Catastrophe !!!!  Sous chacune des six clefs il y avait en réalité trois autres clefs. Bien empilées les unes sur les autres, je n'avais pu le voir avant. Il y avait donc au final dix huit clefs. Le nombre de combinaisons possibles venait donc de grandir de façon dramatique.

 

Il me fallait procéder avec méthode, si je ne voulais pas risquer de rester immobilisé pendant des heures. La position n'était pas trop inconfortable et dès que je sentirais venir la fatigue, il me suffirait de me mettre sur le coté pour me reposer.

 

Le plus important était de trouver au moins une bonne clef afin de pouvoir bénéficier d'une plus grande latitude de mouvement en attendant de trouver les quatre autres.

Pour espérer récupérer une clef, il me fallait tout d'abord me mettre sur le dos, me cambrer le plus possible pour dégager mon dos et en attraper une avec mes doigts, puis me remettre sur le ventre sans la lâcher et essayer tour à tour les trois cadenas. Chaque essai me demandait au minimum quatre à cinq minutes.

Au bout d'une bonne demie heure, j' avais essayé seulement 5 clefs et cela sans aucun résultat. J'étais toujours attaché solidement. Et rien n'était à espérer au niveau des cordes bien trop solides pour céder à une quelconque pression.

 

Je m'attaquais à la sixième clef lorsque les premiers mots de ventre se firent ressentir. Sur le moment je n'avais pas bien fait attention au fait que Laure avait introduit son doigt dans mon anus. N'ayant rien senti passer en dehors de son index, je n'arrivais pas à comprendre ce qui se passait.

Mais il fallait se rendre à l'évidence, les maux de ventre devenant de plus en plus réguliers, une terrible envie d'aller à la selle venait de me tordre le ventre.

Laure avait du trouver une sorte de pommade laxative, c'était la seule explication plausible. Si c'était bien ça, cela voulait dire que Laure m'intimait un horaire limite à mon auto délivrance. Il me fallait accélérer la recherche des bonnes clefs, si je ne voulais pas renouveler la dure expérience de notre dernière séance. Décidément Laure avait le chic pour me punir de la façon la plus honteuse possible.

 

Mais cette fois, il m'était totalement inimaginable d'envisager de me soulager dans son appartement dans un autre lieu que ses toilettes.

 

Suite à venir..............................

 

 

 

 

 

Par PANPAN
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Vendredi 1 octobre 5 01 /10 /Oct 23:28

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JEUX D'APRES MIDI DANS MON APPARTEMENT

 

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VARIATIONS DE LA POSITION

 

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"MOUSTETON"

 

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"PRISE AU FILET"

 

 

 

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"UN BESOIN BIEN NATUREL"

Par PANPAN
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Vendredi 1 octobre 5 01 /10 /Oct 17:11

Il me fallait faire un inventaire complet de la situation pour éviter tout problème.

J'avais récupéré dans la salle de bain un petit miroir sur pied que je disposais dans un angle de la pièce afin qu'il soit bien calé et protégé.

 

Je dégageais au maximum la pièce afin que je puisses me mouvoir facilement une fois attaché et cloué au sol. Je vérifiais que la web cam était bien dirigée sur le centre de la pièce ou j'allais devoir m'attacher. Laure me fit savoir grâce à skype que son angle de vision lui permettait de voir toute la pièce. J'étais un peu plus rassuré, sachant qu'elle veillait sur moi à distance.

 

Comme elle me l'avait ordonné, je commençais à m'attacher les jambes en repliant au maximum mes chevilles contres mes cuisses. Plusieurs tours de cordes sur chaque cuisse et je passais maintenant les cordes dans mon dos, puis sur mes épaules en croisant chacune d'elle afin de venir faire un tour de fixation au niveau de ma taille une fois les noeuds bien effectués je finissait par une boucle bien serrée pour y passer la paire de menottes.

 

Les mains encore libre, je basculais vers l'avant  pour me mettre à plat ventre. Automatiquement, mes jambes s'ouvrirent d'elles même, en formant un compas largement ouvert.

Vu d'en haut par la web cam, je devais ressembler à une grenouille avec les pattes ainsi écartées.

Une fois plaqué au sol, il me serait très certainement difficile de changer de position et de me retourner. Mais je devais obéir et éviter d'envisager le pire.

 

Dernière préparation, je refermais sur mon poignet gauche la paire de menottes afin de pouvoir avec ma main libre, mettre en place le cadenas.Je passais le cadenas dans la boucle prévue à cet effet et prenant mon courage à deux mains, je refermais le cadenas sur la chaînette de la paire de menottes. Le claquement du fermoir me laissait maintenant deux alternatives.

- Soit je décidais de ne pas aller plus loin et j'évitais toute mauvaise surprise, prenant le risque de perdre Laure

- Soit je décidais de refermer sur mon poignet droit la menotte encore entrouverte.

 

Ne voulant pas passer pour un poltron, j'optais pour la deuxième solution et lorsqu'avec main main gauche, je refermais sur moi le métal froid et insensible à mon trouble, les trois clics de sécurité signifiant mon emprisonnement définitif, j'éprouvais un sentiment très étrange fait d'excitation et d'angoisse.

 

Une salve d'applaudissement se fit entendre par les haut parleurs de mon ordinateur. Laure qui avait suivi toute la scène, me félicitais de lui avoir obéis en tous points.

- C'est super, je te félicite. Je vais faire des courses et je reviens dans peu de temps pour te donner le code du cadenas, car sans les trois chiffres, il te sera impossible de te libérer pour récupérer la clefs des menottes.

- Soit patient, je n'en ai pas pour très longtemps.

 

Première surprise, moi qui pensait que Laure allait me regarder en continue avec la web cam, je me retrouvais maintenant seul dans la pièce, sans surveillance, obligé d'attendre son retour pour espérer récupérer les précieux "sésames".

 

Ne sachant combien de temps allait durer l'absence de Laure, je décidais de commencer à me rapprocher de l'angle de la pièce ou se trouvait le miroir. Je l'avais réglé et disposé de façon à ce qu'il soit "opérationnel" une fois que je serais allongé sur le sol.

Je n'avais pas encore essayé de ramper sur le sol, mais ma première tentative me fit vite constater que j'allais avoir beaucoup de mal à traverser la pièce pour m'approcher du miroir.

 

Jambes écartées, les genoux faisant à mon grand désespoir office de "freins", les bras emprisonnés dans le dos, me rendant toute aide de ce coté là impossible, j'en étais réduit à essayer de ramper comme un reptile pour gagner petit à petit quelques centimètres. Mes efforts répétés commençaient à me faire transpirer et comble d'infortune, c'était maintenant ma propre sudation qui me jouait un vilain tour.

Agissant comme un lubrifiant, ma transpiration avait complètement recouvert mon torse, mes cuisses et ma tête.

J'avais beau essayer de continuer à gesticuler pour avancer, je ne pouvais que constater que je faisais du "sur place".

 

Catastrophe, je devenais le propre artisan de immobilisation. J'essayais de réfléchir à toute vitesse, tous se brouillait dans ma tête et je n'arrivais pas à échafauder un plan "B".

J'essayais de pivoter pour me mettre sur le dos, mais l'écartement de mes jambes empêchait toute tentative de renversement. Impossible de me retourner, impossible d'avancer tant que je continuerais à transpirer.

 

Je décidais de me calmer en espérant que cette transpiration allait bien vite s'arrêter si je faisais en sorte de ne plus bouger pendant un moment.......................

 

Les minutes passaient trop lentement à mon goût. Cela faisait maintenant une bonne trentaine de minutes que je restais immobile, évitant le moindre gestes et évitant aussi de trop "cogiter" afin d'éviter une crise d'angoisse qui pourrait faire reprendre cette traîtresse de sudation.

 

Je me décidais enfin à essayer de reprendre ma marche en avant quand un nouvel ennemi se fit connaître. Plaqué sur le sol froid depuis un moment, ma vessie était compressée par mon propre poids et je sentais venir en moi une forte envie d'uriner. Je n'avais absolument pas pensé à ce détail pourtant d'une importance capitale.

 

J'avais fait un petit déjeuner très copieux et en plus je n'avais pas lésiné sur le jus de fruit et le café. Aller aux toilettes avant de commencer notre jeux, ne m'avait pas  effleuré l'esprit une seule seconde. Je souhaitais de tout coeur ne pas avoir à le regretter, mais plus le temps passait et plus je réalisais qu'un supplice supplémentaire allait probablement se mettre de la partie pour ma plus grande crainte.

 

Je serrais les dents et les mâchoires en me contractant au maximum, espérant éliminer du même coup cette envie naissante qui me faisait à nouveau transpirer de peur.

C'était le serpent qui se mordait la queue. Plus je me contractais maintenant pour ne pas connaître l'humiliation d'avoir à me soulager dans la pièce, plus je transpirais d'angoisse et plus je transpirais, plus je faisais du "surplace".

 

Cela faisait maintenant plus d'une heure que Laure était partie. La pression sur mon ventre devenait de plus en plus violente et je fus prit soudain de violents gargouillements dans le ventre. Horreur, c'était maintenant non seulement une envie d'uriner qui me tenaillé le ventre, mais les premiers symptômes d'une envie de me soulager intégralement qui me faisait deviner que j'allais devoir non seulement contracter ma vessie, mais aussi mes sphincters, si ne voulais pas me soulager par devant et par derrière au beau milieu de la pièce.

 

Le dilemme devenait de plus en plus cruel, il me fallait impérativement me rapprocher du miroir pour avoir une chance de voir les chiffres du cadenas, mais chaque nouveau mouvement provoquait maintenant une envie de plus en plus pressante. Et pour couronner le tout, je transpirais à nouveau.

 

Ne voulant rien céder, ni lâcher, je gesticulais dans tous les sens pour enfin constater que petit à petit, j'avançais péniblement mais véritablement vers le coin de la pièce. Dopé par cette constatation, j'essayais d'accélérer le rythme de mes reptations en espérant me rapprocher au plus vite du miroir, afin d'attendre calmement le retour de Laure.

 

C'est au moment ou je m'y attendais le moins que je ne pus retenir ma vessie, incapable de me contrôler, je ne pouvais arrêter ce flot chaud et continu entre mes cuisses. Heureusement que dans ma détresse et ma honte, mon sexe était plaqué au sol, le bout dirigé vers mes non pas vers mon ventre, mais entre mes fesses. cela eu pour effet de me tremper les cuisses,mais pas le haut de mon corps. Cédant un moment à la panique, je continuais de me vider la vessie et regrettais amèrement d'avoir autant bu ce matin.  Le seul point positif de cette catastrophe était que maintenant libérée, ma vessie appuyais moins sur mon rectum qui allait très certainement me laisser tranquille le temps que Laure revienne. Au moins je n'aurais pas à devoir subir la honte suprême de devoir me soulager dans la pièce.

 

Laure ne revenait toujours pas et il me restait deux bons mètres à faire pour me rapprocher du miroir. Je continuais à progresser lentement quand soudain mon ordinateur se fit entendre.........

 

- Me revoila. Comment t'es tu débrouillé pendant mon absence ? Je vois que tu avances lentement, peut-être que je devrais repartir faire des courses !!!

 

- Non reste là je t'en prie, je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps, je dois aller aux toilettes le plus vite possible. Donne moi le code s'il te plaît.

 

- A bon, dit-elle, tu as une envie pressante !!!  Ça tombe mal car moi, figure toi, je ne suis pas pressé du tout. J'ai tout mon temps maintenant pour te voir t'agiter devant l'écran. J'ai même prit un plateau repas pour te regarder tout en me restaurant.

 

Je continuais à gesticuler pour avancer et franchir les derniers mètres qui me séparaient du miroir. Au bout d'une bonne vingtaine de minutes je me trouvais parallèle au miroir, attendant bien sagement que Laure me donne le code à trois chiffres du cadenas.

 

- Bien, bien, je vais te récompenser maintenant.

Heureusement laure n'avait pas vu que j'avais du me soulager la vessie dans la pièce. la web cam n'était pas assez précise pour qu'elle puisse voir le liquide sur le sol. J'échappais certainement à une punition qu'elle n'aurait pas manquer de m'infliger si elle s'en était rendu compte.

Je me gardais bien de l'informer de mon infortune.

 

- Le code est: 000 !!!!  Plus facile c'est difficile !!!

 

Mais qu'elle que soit la combinaison, il me fallait maintenant avoir recours au miroir pour placer correctement les bons chiffres. Plus facile à imaginer qu'à réaliser.

Je devais me contorsionner pour apercevoir furtivement les numéros. Je n'arrivais pas à rester plus de quelques secondes la tête relevée au maximum, le coup tordu et les épaules tournées. Si j'avais bien vu, le code était positionner sur 999. Il me suffisait donc de faire tourner ensemble les trois molettes pour que le chiffre libérateur apparaisse sur le cadenas.

 

Tout excité à l'idée de me libérer rapidement, 'j essayais cependant de me calmer pour ne pas commettre une erreur lourde de conséquence. Je décidais de me reposer un petit moment, de reprendre mon souffle et de me décontracter au maximum.

Laure m'observait en silence. Le temps jouait en sa faveur.

 

Ce n'est qu'au rappel d'une soudaine reprise de mes gargouillements que je compris qu'il me fallait me dépêcher si je ne voulais pas subir l'humiliation suprême en public. Méthodiquement je comptais dans ma tête les tours de chaque molette et lorsque je fus certain d'être positionné sur le bon chiffre, je tirais sur la chaîne des menottes pour libérer le cadenas.

Rien, absolument rien, le cadenas étais toujours fermé. Pourtant j'étais certain d'être sur les bons chiffres.

Il me fallait absolument le vérifier. Dans un nouvel effort digne des plus grands contorsionnistes, je parvenais à me redresser tout en incluant mon buste vers le miroir.

C'est au moment ou je me contractais le plus pour rester cambré le plus possible de façon à vérifier que les chiffres affichés sur le cadenas étaient bien 000, que l'irréparable se produisit.

 

Malmené depuis maintenant plusieurs heures, mon ventre n'y tenant plus avait décidé lui aussi de me faire les pires misères. Une violente poussée sur mes sphincters me fit transpirer en flot continue de peur , de honte , de chaleur, de frayeur et que sais je encore.

 

J'avais beau contracter mon anus au maximum je ne voyais bien que je n'allais pas réussir à tenir bien longtemps.

Je cédais à la panique.

Plus aucun doute, j'étais litéralement piègé. Attaché nu, dans l'impossibilité de me libérer, j'allais devoir faire appel à de l'aide pour me libérer. Comment cela allait-il se passer ?

Est ce les pompiers qui allient devoir venir me libérer ? Ne pouvant accéder à la porte de mon appartement, je ne pouvais ouvrir à quiconque. Il allait falloir qu'ils enfoncent la porte. Et ils allaient me découvrir ainsi attaché, nu au milieu de mes propres salissures. Je ne resisterais pas à cette humiliation. J'allais être la risée de tous car aucun doute, la découverte ne resterait pas secrète.

 

Je me mit à crier au secours.

 

- Laure, je t'en supplie, je ne peux plus tenir, mes sphincters vont lâcher. Si c'est encore possible, dit moi comment ouvrir le cadenas.

 

En même temps que je la suppliait de me venir en aide, je sentis des larmes couler le long de mes joues.

J'étais au comble de l'humiliation. Incapable de contrôler mon ventre et de retenir plus longtemps la poussée interne, j'en été réduit à accepter ma défaite et à offrir à Laure le spectacle honteux d'un "vaincu par KO".

 

Je m'affalais de tout mon poids en plaquant mon visage au sol comme pour le cacher à la vue de Laure. J'étais au comble de la honte en constatant que devant son écran elle était en train de regarder mon calvaire, jambes écartées, dans l'impossibilité la plus totale de garder en moi le fruit de mon petit déjeuner.

Par petites saccades, je continuais à me relâcher,essayant malgré tout de résister le plus possible pour espérer contenir le plus longtemps possible ces assauts répétés,  pleurant comme un enfant qui vient de faire une grosse bêtise.

 

- He bien en voila un vilain petit garçon dit Laure. Il fait son caca comme un bébé.

- Mais je suis magnanime. Pour te libérer du cadenas,en fait,  il te suffit d'appuyer sur le dessus en tournant en même temps les molettes. C'est un vieux modèle et il est un peu capricieux. Tu vas voir ça marche.En fait, il ne ferme pas très bien !!!

 

En effet, je reproduisais les conseils de Laure et comme par miracle, le cadenas s'ouvrit aussi facilement que je l'avais fermé. Mes bras étaient maintenant plus libres de mouvements. J'en profitais pour attraper les noeuds que j'avais moi même confectionné et en quelques minutes, j'arrivais à me libérer des cordes qui m'entravaient.

 

Il ne me restais plus qu'à me mettre debout pour aller récupérer les clefs de la paire de menottes.

Une fois libéré de cette dernière entrave, sans demander la permission à Laure, je filais à la salle de bain pour laver cet affront public cette fois dans la plus grande intimité.

 

Suite à venir...............................

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par PANPAN
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