Lundi 8 novembre 1 08 /11 /Nov 13:21

Le Bizutage de nuit

d'un "première année"

 

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Et le plus dur reste à venir !!

Par PANPAN
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Vendredi 5 novembre 5 05 /11 /Nov 16:43

Il était 17h et des poussières quand la sonnerie du téléphone me tira de mes révisions, le nom affiché sur le cadran était celui de mon ami Alex

— Salut ma poule ça va ? lui demandais je en décrochant
- Oué oué comme toujours et toi ? me répondit il
- Super qu'est ce que tu voulais ?
- Ben, ça te dirait qu'on se voit si t'es pas trop occupé ?
- Bien sur que non, ben écoute tu veux qu'on se voie en ville ?
- Non je suis chez mes parents la, tu connais le petit bois à coté du centre ?
- Bien sur j'ai grandis ici je te rappelle
 – Ben on se retrouve à l'entrée dans une demi-heure ça te vas ?
- Ok à tout a l'heure

Je raccrochais et partis me préparer, pendant ce temps je me dis qu'il y avait quelque chose d'étrange, Alex est rarement aussi pressant d'ordinaire, il devait avoir très envie de discuter avec quelqu'un de « neutre »

Je vous explique, Alex est un garçon que j'ai connu en fac, d'une grande intelligence mais avec quelques problèmes de dépression et de drogue qui l'ont conduit plus jeune dans hôpital psychiatrique, et maintenant encore dans un foyer pour jeunes adultes
Il à 24ans mais on lui en donnerait tout juste 19, il est étudiant en sociologie actuellement et est bisexuel, on c'est tout de suite bien entendus et j'avoue qu'en apprenant à le connaître j'ai commencé à avoir le béguin pour lui
Le coup de l'invitation dans un bois c'est une grande première, jusqu'à présent nous nous sommes vus dans des bars, des boites, des bibliothèques etc.

Une fois paré de ma chemise et d'un jeans je me mis en route vers le centre ville, le petit bois était quelques mètres derrière l'église, c'est un endroit surprenant, un lieu très isolé et pourtant en plein cœur de la ville, bien que nous soyons en octobre, cette journée faisait penser à l'été, seuls les feuilles mortes et les marrons sur le sol trahissaient le saison réelle

J'arrivais enfin à l'entrée du petit bois, Alex était en retard, je m'assis sur un petit rebord et allumais une cigarette en l'attendant ; Alex arriva quelques minutes plus tard chargé d'un gros sac à dos si pleins qu'il aurait pu exploser, je fus surpris de sa tenue, lui que j'avais toujours connu en petite chemise style premier de la classe, portait aujourd'hui un jeans bien trop large et un sweat à capuche

— Et ben dis moi tu t'es métamorphosé ? lui demandais je ironiquement
- On dirait bien oui, c'est plus confortable comme ça, me répondit il
- Je vois... et le sac ? tu veux qu'on campe sur place ce soir ?
- T'es bête c'est les bières voyons
- Évidemment...

On se mit en chemin à travers le bois pour trouver un « endroit tranquille », la nuit commençait déjà à tomber un peu, sur le chemin Alex me dit qu'il avait pris une trentaines de bières dans son sac, ce qui me sembla un peu démesuré pour une seule soirée

Son comportement lui aussi semblait différent, quelque chose d'étrange dans sa voix m'intriguait mais la soirée ne faisait que commencer et je savais qu'il me dirait bien ce qui lui arrive tôt ou tard

On traversa un petit chemin plein de fourres pour arriver finalement sous un chêne sous lequel on pouvait s'installer, je n'avais jamais été aussi profondément dans cette forêt mais le coin était tranquille car très éloigné du chemin

On commença alors à discuter de tout et de rien comme d'habitude en sirotant des bières, je ne pu m'empêcher de constater qu'il avait une sacré descente et que sa première bière fut terminé en quelques gorgées

Le temps passa et les bières aussi et notre conversation devint plus intimes

— Bon faut que je te l'avoue maintenant, me dit il en baissant les yeux
- Qu'est ce qu'il se passe ma poule, lui demandais je alors
- Ben j'ai un peu fait des conneries ces derniers temps...
- Ah oui ? et de quel genre ?
- Ben du genre que tu sais la semaine dernière quand t'as essayé de m'appeler et que je ne répondais pas
- Oui et alors ?
- Ben en fait je n'étais pas en cours, je venais de me faire un mauvais trip
- Pardon ? lui demandais je outré
- Oué, j'ai acheté de la cocaïne à un mec en ville, et j'en ai un peu trop pris, du coup j'étais pas super bien
- Mais t'es malade ou quoi ? qu'est ce qu'il t'a pris ? connaissant ton passé pourquoi t'as retouché a cette merde ?
- Ben justement je sais pas trop, j'avais envie de m'amuser un peu...
- Et ben c'est du joli ça...
- Oué ben c'est pas tout, reprit il alors
- C'est-à-dire ?
- J'ai abandonné les cours aussi
- Mais t'as un pète au casque toi ou tu te fous de moi ?
- Non pas du tout, j'arrivais plus vraiment à suivre et je me suis dis qu'il valait mieux que j'abandonne pour trouver un emploi stable
- Intéressant, et quel genre d'emploi stable tu penses avoir sans diplôme ni formation ?
- Ben je sais pas mais tu sais y'a des gens qui s'en sortes très bien avec juste le BAC, ou même parfois même sans, je trouverais bien, et puis c'est trop tard je me suis déjà dés inscrit

Sa réponse me choqua tellement que je ne su même pas quoi dire, ma seule réponse à cette idiotie fut un grand coup de ma main sur sa joue qui résonna dans le bois et le fis tomber sur le coté

— Merci, me répondit il contre toute attente, je crois que je l'ai mérité...
- Oh ça c'est sur que tu l'as mérité, lui dis je en colère, tu mérites même bien pire, mais t'es idiot ou quoi ? la drogue t'as grillé le cerveau c'est pas possible mais comment toi t'as pu faire des trucs aussi débile ?
- Je me doutais un peu que tu te mettrais en colère... c'est pour ça que j'ai eut autant de mal à te le dire... mais j'ai besoin de ton aide... je sais pas comment m'en sortir... me dit il avec cet air de gamin que l'on prend en train de faire une bêtise
- Bien deviné alors, bon la solution est simple, primo tu me donne ce qu'il te reste de drogue pour que je m'en débarrasse, repris je
- Ben en fait, j'en ai plus j'ai tout pris l'autre fois
- Bon tant mieux, mais t'as pas intérêt à en reprendre sinon je te jure que je te massacre c'est compris ?
- Oui, tout à fait, me dit il
 – Bien, secundo, demain à la première heure j'appellerais la fac pour les convaincre de ne pas tenir compte de ton désistement, une chance j'ai une amie qui y travaille et qui pourra me rendre ce service, et des demain matin tu retournes en cours
 – Ok, c'est d'accord, merci beaucoup
- Et tertio, continuais je sur ma lancée, ce que tu as fais est vraiment puéril et idiot, et tu mérites d'être puni pour ça et c'est pas une simple gifle qui va suffire
 – Hein ? dit il alors, qu'est ce que tu veux dire ?
- Une fessée dis je simplement
- Une... quoi ? me répondit il en bafouillant
- Je vais te donner une fessée, ici et maintenant pour ton comportement, et pas du genre fessée de gamin où tu donne deux claques et c'est fini, ça va faire mal pour que tu t'en souvienne
 – Merde, tu déconnes là ?
- Pas du tout
- J'ai le choix ? me demandat' il alors
 – Pas vraiment non

Un long silence commença alors, je lui laissai réfléchir un peu à la situation sans rien dire, le « pas vraiment » venait du fait que je fais facilement le double de son poids, il ne me serait donc pas très difficile de le contraindre et il le savait bien

Le silence continua un peu, quand d'un coup je l'entendis dire d'une voix faible et un peu résignée « ok vas y »

La nuit n'allait pas tarder à tomber, il me fallait faire vite.

Alex sur mes ordres se releva. Déshabille toi entièrement et pose tes affaires par terre. Il commença par déboutonner sa ceinture et enleva son jeans. Baissant la tête, il baissa son boxer jusqu'à ses chevilles, avant de tout mettre par terre et se retrouver intégralement nu devant moi. Il n'avait conservé sur lui que ses chaussettes.

 

La vue d'Alex nu devant moi, résigné à recevoir de mes mains une punition bien méritée, m'excitait au plus haut point. Cette  fessée s'annonçait mémorable........

 

- Va te mettre là entre les deux arbres, ordonnais je.

- Écarte tes bras et pose tes mains sur chaque tronc. Si jamais tu baisse les bras ou si tu tente de te protéger les fesses ou de fuir, je te dénonce aux autorités.

Tournant la tête vers moi il répondit:

- C'est juré, j'accepte la sentence. Mais vas y commence, si quelqu'un arrive.........

 

Je le laissais là un moment, le temps de trouver sur un arbre un branche fine et souple qui servirait de badine.

J'en trouvais une qui ferait parfaitement l'affaire.

Longue d'environ soixante centimètres, souple à souhait et encore verte. Pour effrayer un peu plus Alex, je me mis à la faire siffler en fouettant l'air à plusieurs reprises.

Je surpris son regard effrayé à l'idée du prochain contact de fesses avec cette verge menaçante.

 

 

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Avant de commencer je regardait un peu ses fesses que je voyais nues pour la première fois, elles étaient bien rebondies et imberbe, en posant ma main dessus je sentis un frisson parcourir le corps de mon ami et je pus remarquer qu'elles étaient très douces

Je n'avais pas encore commencé la fessée, que je sentis qu'il sanglotait déjà, probablement par l'humiliation de se retrouver cul nu en pleine forêt, à attendre une fessée.

 

Ma main se souleva enfin et dans un sifflement strident la verge mordit une première fois ses fesses, lui faisant pousser un petit cri étranglé de surprise et de douleur. Il fallait être dur avec lui pour qu'il apprenne la leçon ; après seulement quelques coups bien senties, Alex commençait déjà à gigoter le derrière, comme pour essayer de se protéger.Plus je le fessait et plus je sentais monter en moi ce sentiment de pouvoir du fesseur monter en moi ; les morsures de la verge résonnaient dans la foret, rythmées par les soubresauts et les gémissements d'Alex, il y avait quelque chose de "musica"l dans tout cela

J'oubliais qu'il s'agissait de mon ami, j'oubliais qu'il était la, je frappais juste mécaniquement sur ses fesses

Je fut réveillé de ma frénésie quand j'entendis Alex pleurer à grosses larmes, je compris à cet instant que la fessée devait prendre fin ; je stoppa net les coups et commença a caresser ses cheveux et ses fesses qui étaient brûlantes et striées de rouge.

-Tu peux abandonner ta position et te rhabiller, je crois que la leçon portera ses fruits.

Alex se déplaçait avec peine, les fesses en feu pour un long moment.Il eu beaucoup de mal à mettre son caleçon et à remonter son pantalon. Ne pouvant s'asseoir pour le moment, il restait là, debout devant moi des larmes encore plein les yeux.
Je pris deux bières et en tendit une à Alex, il se blottit alors dans mes bras.
Nous sommes restés là, un long moment, à boire sans dire un mot.

Nous ne nous somme plus rien dit de la nuit, les mots étaient inutiles mais même sans cela notre conversation continuait par nos yeux, les choses entre nous étaient à présent bien claire

Le soleil se levait déjà, un nouveau jour commençait, je n'avais pas vu le temps passer. Il était 7h00 du matin et les tons ocre du levant éblouissaient nos deux visages, la nuit était bien finie et la soirée avait été riche en émotion.

Par PANPAN
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Vendredi 5 novembre 5 05 /11 /Nov 13:06

Mes parents ont décidé de m'inscrire cette année dans un nouveau collège. Mais cette fois, je devrais être interne du Lundi au Vendredi.

 

J'ai eu beau essayé d'en dissuader mes parents, rien n'y a fait et me voila obligé de vivre une année scolaire avec des élèves inconnus. Rien qu'à l'idée d'avoir à me déshabiller devant d'autres garçons, je suis terrorisé. Je ne me suis jamais mis nu devant d'autres garçons, évitant depuis mon plus jeune âge d'avoir à montrer mon sexe. Depuis l'âge de 12 ans, j'ai pu voir dans les dictionnaires que je n'étais pas fait comme les autres garçons. Et avec un nom pareil à porter, c'était pour moi un véritable cauchemar que d'imaginer avoir à me montrer nu.

 

Ma première journée de classe m'a bien vite fait comprendre qu'ici, il y a des règles établies par les anciens.

Lorsque nous rejoignons le dortoir vers 21 heures, le plus ancien qui se fait appeler "Le Boss" par sa petite cour d'anciens, se met au milieu du dortoir et demande aux nouveaux élèves de lever la main et de se présenter.

 

Je me retourne pour voir s'il y a d'autres élèves dans mon cas, mais hélas, personne à part moi, lève timidement la main.

- Comment tu t'appelle, trou duc ?

- Sebastien, Sebastien Delépine, répondis je à voix basse et tremblotante.

- De la pine, dit-il au milieu d'un éclat de rire général. je sens que l'on va bien s'amuser avec toi. Tu apprendra vite nos règles. Ici les anciens ont tous les droits.

 

Visiblement ravi de sa prestation,Il se retourne me laissant planté au beau milieu du dortoir.

Chacun regagne son lit, mais moi ne sachant ou poser mes affaires, je reste là à attendre un conseil, un ordre, une invitation à choisir un lit parmi ceux qui semblent inoccupés.

 

Au bout d'un moment je me décide à poser mes affaires sur un lit proche de la fenêtre.

Lorsque je me retourne, les garçons sont tous intégralement nus et serviettes à la main se dirigent, vers les douches.

 

Terrorisé, et ne voulant absolument pas me rendre aux douches dans la même tenue, je reste assis sur mon lit et commence à me dévêtir pour enfiler mon pyjama.

Pendant ce temps j'entends les anciens rires aux éclats dans la salle de bain.

 

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Lorsqu'ils reviennent au bout d'un moment, toujours aussi nus et sans aucune pudeur, ni gène apparente, ils me regardent d'un drôle d'air qui ne laisse rien présager de bon.

 

- Dit donc le nouveau on t'a pas vu aux douches. Elle doit être sale ta zigounette.

Espérant qu'il retourne vers son lit en me laissant tranquille, je ne réponds pas et baisse la tête.

- Et en plus il est malpoli. Les gars, si on lui faisait son premier bizutage ?

 

- Oui c'est ça, à poil s'écrie un autre pensionnaire.

 

Ils sont quatre à se ruer sur moi et j'ai beau me débattre de toutes mes forces, l'une deux se couche sur moi en me mettant la main devant la bouche pour m'empêcher de crier.

Pendant ce temps les autres en profitent pour attraper mon pantalon de pyjama en essayant de le tirer vers le bas. Mais comme j'ai fait un double noeud pour l'empêcher de tomber, ils s'énervent et finissent par le tirer violemment dans un bruit de déchirement de tissu qui ne me laisse aucune illusion sur leurs intentions.

 

Mon pyjama vole en lambeaux et je l'air frais qui me touche la peau me fait comprendre que je suis maintenant tout nu devant eux. Celui qui me tiens la tête s'assoit en tailleur derrière moi et me maintient la main sur la bouche. Deux autres me tiennent les jambes, alors que "le boss" commence son inspection.

 

- Vite venez voir tous, on a un truc incroyable à vous montrer.

Ceux qui n'ont pas participer à ma mise à nu se rapprochent et font un demi cercle devant moi, en me détaillant de la tête au pieds.

Je ne peux détacher mon regard de leurs rires, à la vue de mon sexe presque imberbe.

Je suis mort de honte, il vont découvrir mon terrible secret et  voir ce que je m'évertue à cacher à tous les garçons et les filles depuis toujours.

 

- Putain, s'écrie le boss, il n'a qu'une seule couille !!!

- Regardez, approchez vous, c'est pour ça qu'il voulait pas se doucher ce couillon.

Pour m'humilier un peu plus ou pour renforcer son rôle de chef, il attrape mon testicule dans sa main et commence à tirer dessus en la faisant rouler dans ses doigts.

- On va l'appeler "qunecouille" qu'est ce que vous en pensez les gars ?

- Un oui général ponctue la question.

 

Un des plus jeunes s'approche de moi et prends dans sa main mon sexe tout rabougri.

- Dit donc, Boss, tu crois qu'il peut éjaculer avec une seule couille ?

- Etonné par la question, le boss lui répond: On va voir, y qu'à essayer.

 

- Branle toi, me dit il en me fixant dans les yeux. Je te préviens si tu ne le fait pas, on te fout à poil attaché dans le dortoir des filles, c'est toi qui choisi !!!

 

Des larmes me montent aux yeux, mais je sais bien que je dois lui obéir pour éviter une autre humiliation bien pire encore.

J'essaye maladroitement de faire monter une érection en prenant dans le bout de mes doigts mon gland encore tout engourdit. Je commence à me masturber lentement sous les rires et les quolibets de tous les internes.

Ils me regardent hilares de voir un jeune bizut, se branler devant eux avec un sexe si différent du leur.

- Ca y est, il bande. Eh bien tu vois Jean Yves, il va peut-être arriver à éjaculer notre ami "qunecouille"

 

- Accélère, on ne va pas y passer la nuit. Si dans une minute tu n'a pas fait sortir quelque chose de ta queue, tu iras finir la nuit avec les filles.

Horrifié à cette idée, je me branle maintenant de toutes es forces et à toute vitesse.

Les rires ont repris, mais je n'y fait plus attention, trop concentré à me faire jouir pour éviter de me retrouver au beau milieu du dortoir de filles.

 

 

 

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Un des garçons, me donne une tape avec la main sur mon testicule, comme pour le stimuler un peu plus.

Je sens monter en moi un flot de sperme qui me part d'un seul coup sur le haut de mon pyjama rayé et sur ma figure.

 

- Bravo "qunecouille" on peut dire que tu es un rapide toi !!!

- Regardez les gars, on a un phénoméne cette année avec nous. Je sens qu'on va bien se marrer.

- Vas te laver aux douches, je crois que l'on t'a suffisamment vu pour ce soir. demain, une rude journée t'attends.

 

Celui qui me retenais la tête me lacha et sans demander mon reste, je filais vers les douches, le cul à l'air, la main devant le sexe pour cacher ce que tous avaient eu sous les yeux pendant de longues minutes.

Heureusement, personne ne me suivait.

Larmes aux yeux, je passais sous la douche pour me laver et nettoyer le haut de mon pyjama.

 

Lorsque je quittais la salle de bain, les garçons étaient tous dans leurs lits, sourires aux lèvres, me détaillant encore pour un peu plus m'humilier.

 

- Vas éteindre, "qunecouille", m'ordonnât le boss.

Je m'exécutais, vaincu, dominé et humilié dès le premier jour.

Le pire restait certaiement à venir.

 

Suite à venir..............

Par PANPAN
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Vendredi 5 novembre 5 05 /11 /Nov 12:37

Fayçal est élève dans mon lycée, il viens d'avoir 18 ans, il est agité, voire perturbateur, dans la plupart des cours il bavarde et travaille mal. Un jour, je venais de terminer un cours, et en passant à côté des vestiaires de la salle de sport,  j'entends des petits cis étouffés, comme des halètements. Je tends l'oreille, et entends des bruits qui me semblent bizarres.

 

J'ouvre la porte et  trouve l'élève nu, assi sur la banquette située à la sortie des douches, en train de se branler, tenant dans sa main un collant de fille qu'il a du chaparder dans le dortoir des filles..

En me voyant, il se fige la queue à a main, trop tard ! Deux gros jets de spermes lui dégoulinent le long du poignet. Il me regarde en baissant la tête. « Je, ...heu,

 

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Alors, Fayçal, tu aurais pu faire ça ailleurs, et en plus tu ne ferme même pas la porte des vestiaires.

 – pardon, monsieur, ... ne dites rien, s'il vous plait

 – Désolé, tu va venir avec moi voir le proviseur, même si tu as 18 ans, tu n'est pas autorisé à te comporter comme ça dans l'établissement 

– Non, s'il vous plait, punissez moi mais ne dites rien à personne, je suis perdu, mon père va me tuer s'il l'apprend.

 

Rhabille toi, et tu as 5 minutes pour aller te laver avant le cours. Tu me retrouves après. 

– Pitié, monsieur, je ferai tout ce que vous voulez, mais ... 

– Tais toi. Dépêches toi et viens me trouver avant de partir que je décide ce que je ferai de toi. N'oublie pas, si tu ne viens pas, je fais un rapport et tu es exclu pour 3 jours pour comportement indécent et tu t'expliquera ... 

– Non, je serai là, je viendrai vous trouver dès la fin des cours.

 

A la fin des cours, je vois arriver Fayçal « Monsieur, je suis prêt à être puni par vous, mais ne dites rien à personne. 

– Je vais voir, j'ai une idée de punition, mais, tu dois être d'accord, tu as le choix d'accepter ma punition ou de te retrouver devant le proviseur, avec tes parents.

 – Non, s'il vous plait, j'accepterai tout si vous ne dites rien, 

– Bien, viens avec moi, »

 

Je le prends à part, et l'entraine dans la chambre de l'infirmerie, où personne ne peut nous déranger, elle est située à l'écart et très discrète.

« Bien, tu dois être puni. Je vais te donner une fessée. 

– Pardon ? Pas çà, non ! 

– Alors tant pis pour toi, je vais devoir appeler tes parents, et faire mon rapport au proviseur. 

– Non, non, attendez, je ..., j'a..., je suis d'accord si vous ne dites rien. 

– C'est toi qui vois. Ce n'est pas une petite fessée de gamin, Tu vas recevoir une fessée à la mesure de ce que tu as fait, tu as 18 ans, donc ce sera une fessée qui va te faire comprendre que tu ne dois pas faire n'importe quoi, n'importe où. 

– Mais je ne faisais rien de mal, je l'ai déjà fait plusieurs fois sans problèmes, avant que vous me tombiez dessus. 

– De mieux en mieux, allez, déshabilles toi. Et plus vite que çà, sinon c'est moi qui le fait. »

 

Il hésite un peu, et doucement enlève son pantalon, son pull . Il reste en shorty blanc et chemise de la même couleur. Je l'attrape, et le bascule vivement en avant pour quil s'allonge sur le lit de soin. Je lui fait remonter sa chemise au dessus de ses reins afin de bien dégager la zone de frappe.

Je commence à claquer ses fesses avec la ceinture de mon jeans, il se mord la lèvre pour ne rien dire, il fait le dur, mais c'est une mise en place, je chauffe ses fesses, en rythme, il commence à laisser échapper des petits cris, je continue, encore une vingtaine de claques. Il commence à renifler.

 

« Maintenant la punition va commencer, Fayçal » Je lui baisse le shorty, dégage ses fesses rougie que plus rien ne protège, il gigote, il renifle, il commence à demander pardon, dit qu'il a compris, qu'il ne le fera plus.

En rythme, les claques continuent, je vois ses fesses devenir écarlates et toutes striées de rouge, il fait son dur, essaye de se retenir mais n'y arrive pas, il se met à pleurer, clap, clap, clap, clap, clap, je veux le punir et qu'il se laisse aller, qu'il abandonne sa fierté d'adolescent, il sanglote, il ne dit plus rien, juste les pleurs, le visage plein de larmes, il ne bouge plus, je le sens se donner à la punition, les coups de ceintures ont transformé ses fesses en quadrillage violacé, le jeune morveux fais place à un jeune soumis, qui se laisse aller et pleure sans plus de retenue.

 

15-07-

 

J'arrête, le relève, le fais mettre à genoux, je lui fais enlever son shorty et sa chemise, pour qu'il soit entièrement nu.

Il obéi sans un mot en essuyant les larmes qui lui coulent sur les joues.

« Alors ? J'espère que tu as compris la leçon ! Tu en recevras encore si tu ne te tiens pas comme il faut. Avec tout le monde ! Si j'entends le moindre petit problème, je t'en colle une autre. 

– Snif, non, monsieur, je vous promets que je serai sage, toujours, 

– Tu as intérêt, sinon, tu sais ce qui va t'arriver ! 

– Oui monsieur.

 

Reste au piquet un quart d'heure,la tête dans l'angle du mur, je passerais te redonner tes affaires.

Si l'infirmière rentre dans la pièce,  tant pis pour toi, il te faudra lui expliquer pourquoi tu es au piquet, nu et fessé comme un vilain garçon.

 – Ne dites rien à personne, monsieur, je vous en prie, je promet de me tenir tranquille. »

 

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Un quart d'heure plus tard, je rentre dans la chambre, il n'a pas bougé d'un centimètre. je le laisse se rhabiller.,

De tout le reste de l'année, il a été exemplaire, et ne m'a plus jamais ennuyé.

 

A la fin de l'année, il est venu me trouver, « Monsieur, merci pour la fessée, çà m'a permis de bien travailler. »

Par PANPAN
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Jeudi 4 novembre 4 04 /11 /Nov 14:18

 

POSITION CHOISIE

 

1

 

 

 

POSITION NON CHOISIE

 

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UN MOMENT DE DETENTE

 

2

 

 

 

IDEM !!!!!

 

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LUCKE LE CHANCEUX

 

4

 

 

 

 

LUCIE LA MALCHANCEUSE !!!

 

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CA FUME  !!!

 

3

 

 

 

 

LA AUSSI  !!!!

 

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LE CUIR, C'EST LE PIED !!!

 

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MAIS POUR SES FESSES............C'EST PAS LE PIED !!!

 

 

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A suivre.............

 

Par PANPAN
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