Mercredi 27 octobre 3 27 /10 /Oct 12:15

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Par PANPAN
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Mercredi 27 octobre 3 27 /10 /Oct 09:47

La porte claqua de nouveau.

Tichka revenait, bien décidée à continuer l'exploration de mon coefficient de résistance.

 

- Lève toi et met toi face à moi.

Je m'exécutais. En me relevant, je passais machinalement mes mains sur mes fesses et constatais que de longues lignes boursouflées en recouvraient une bonne partie. J'espérais intérieurement que ces traces allaient vite disparaître car sinon j'aurais un mal fou à en justifier la provenance.

 

Une fois debout, nu devant elle, les mains collés maladroitement le long du corps, je baissais machinalement la tête pour voir les intentions de Tichka.

 

Une main passa sous mon sexe et dégagea dans le même geste mes testicules, les tirant légèrement vers le haut.

de l'autre main, elle venait de passer autour de ma verge une corde dont l'extrémité n'était autre qu'un noeud coulant.

Une fois la corde passée sous mes bourses, elle tira la corde vers le bas pour resserer le noeud coulant afin de m'emprisonner en même temps,la verge et les testicules.

 

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Je dois aller faire quelques courses. Pendant ce temps tu va m'attendre bien gentillement.

Prenant en main un rouleau d'adhésif, elle me scotcha en quelques tours les mais dans le dos, puis elle passa la corde entre mes jambes pour la faire ressortir dans mon dos,derrière mes fesses.

 

- Suis moi.

 

Quelques pas dans le couloir de son appartement et dans la minute qui suivit, je me retrouvais dans sa cuisine ultra moderne, plaqué contre la porte en bois massif.

Tichka,prit le bout de la corde qui traînait par terre et le fit passer au dessus de la porte entre ouverte. Passant de l'autre coté de la porte, elle tendit la corde de façon à me faire tenir sur la pointe des pieds.

Les mains attachées dans le dos, il m'était impossible de résister et si je voulais ne pas risquer de tomber en avant, il me fallait surtout ne pas bouger.

 

- Tu vas rester ans cette position le temps que je revienne avec de quoi nous restaurer. Fais bien attention de ne pas partir en avant et si tu vois quelqu'un n'oublie pas de le saluer.

Je ne compris pas ce à quoi elle faisait allusion.

Elle referma la porte, m'obligeant à reculer en même temps pour suivre le mouvement. Une fois la porte refermée sur la corde, j'essayais doucement de tirer la corde vers le bas en me baissant lentement. Aucun résultat, la corde était bien bloquée dans l'encadrement, je constatais avec horreur qu'il m'était impossible de la détendre et donc de poser les talons au sol.

J'allais devoir attendre son retour sur la pointe des pieds en faisant bien attention de ne pas perdre l'équilibre.

 

J'en profitais pour observer la pièce que je n'avais absolument pas regardé pendant que tichka s'occupait de moi.

La pièce était immense. Une véritable cuisine de professionnels avec tout son "nécessaire".

Je faisais face à une grande baie vitrée qui illuminait naturellement la pièce. Un peu ébloui par le soleil, par bonheur, j'étais chauffé par les rayons du soleil. Je décidais de fermer les yeux pour me concentrer sur ma position qu'il allait me falloir conserver.

 

Au bout de quelques minutes je fus surpris par des conversations dont le volume sonore se rapprochait. Mais d'où cela pouvait il bien venir ?

Je réalisais soudain que la baie vitrée donnait sur une coursive. Une porte entièrement vitrée permettait d'y accéder.

Presque immédiatement, je vis passer deux femmes qui marchaient cote à cote dans la coursive. Par bonheur, elle ne tournèrent pas la tête et j'en fus quitte pour une belle frayeur.

Mais mon répit fut de courte durée.

Cette coursive prenait des allures du champ de Mars. c'était maintenant une grand mère qui passait sans me voir, puis deux autres femmes d'un âge mur.

Allez donc savoir pourquoi l'une d'elle décida de s'arrêter devant la porte vitrée pour fouiller dans son sac.

 

Je priais le ciel qu'elle n'aient pas la mauvaise idée de jeter un coup d'oeil ans ma direction.

Je les entendais parler. Incroyable, elles avaient le même accent que ma belle blonde.

 

- Je vais demander à Tichka si elle n'a pas besoin de quelque chose dit celle qui fouillait dans son sac.

 

A la fin de sa phrase, elle posa la main sur la poignée de la porte et comble d'horreur et d'humiliation, les deux femmes entrèrent dans la pièce l'une après l'autre en découvrant, plaqué nu contre la porte un jeune homme, les mains liées dans le dos, sur la pointe des pieds, le sexe retenu par une corde.

 

Deux grands éclats de rire ponctuèrent leur entrée dans la pièce.

 

- Ça y est. Elle recommence encore avec ses phantasmes de soumissions. Mais celui là, il est un peu mieux que les derniers.

 

Au comble de l'humiliation devant ces deux inconnues qui me détaillaient de la tête au pieds, je compris qu'elles se connaissaient intimement et qu'à n'en pas douter, elle devaient aussi partager les mêmes passions.

 

Elles continuaient à me détailler. L'une des deux s'avança vers moi et chose incroyable, elle se mit à me caresser le visage et la joue avec une douceur extrême.

 

- Désolé, on ne savait pas que tu étais là. Tichka a du sortir pour que tu sois là tout seul. repose toi bien nous reviendrons la voir plus tard.

 

En signe d'au revoir, elle dirigeât sa main vers mon sexe et le prit entre ses doigts, commençant une lente caresse destinée à provoquer une rapide érection de ma part. En quelques secondes, le résultat fut à la hauteur de ses espérances. Ma verge tendue à l'extrême pointait en direction du plafond.

 

Me laissant dans cet état d'exitation avancé, les deux femmes se retournèrent et continuant à bavarder comme si de rien n'était, elles quittèrent la pièce.

 

Suite au prochain chapitre....................

Par PANPAN
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Dimanche 24 octobre 7 24 /10 /Oct 09:04

La belle Tichka faisait partie depuis quelques temps de ma vie. Nous nous étions rencontré sur un forum d'internet consacré au Sm et nous continuions à échanger nos phantasmes par ce moyen sans savoir que nous habitions la même région.

Ce n'est qu'au bout de plusieurs mois que l'idée de nous rencontrer réellement germa dans nos esprits.

 

Quelques échanges de photos, nous permit de nous connaître physiquement et d'être dans une "pré relation" ou les choses devaient être claires, précises, sans mensonge !!!!

 

Originaire de Prague, elle avait rejoint la France depuis maintenant plusieurs années et avouait avoir beaucoup de mal à vivre seule depuis que son mari avait décidé de la quitter, ne souhaitant plus continuer à vivre ensemble une relation physique ou il devait jouer douze mois par an, le rôle du mari dominé .

Elle avait finit par m'expliquer que depuis sa plus tendre enfance elle avait une attirance irrésistible pour le Sm et la domination des hommes et que les innombrables fessées reçues par son père, l'avait certainement poussée dans cette voie dont elle était maintenant sa propre prisonnière.

Elle ne pouvait concevoir des rapports sexuels qu'après avoir dominé un homme. C'était sa façon de se libérer de son lourd passée de soumise. Une sorte de thérapie par la vengeance, sur des hommes consentants qui cependant n'étaient nullement fautifs des sévices endurés pendant sa jeunesse.

 

Tichka, avait été claire avec moi:

 

- Si nous devons nous rencontrer, sache bien qu'avant que tu puisses prendre possession de mon corps, tu devras par avance t'engager à subir mes phantasmes et à te laisser dominer jusqu'à ce que je décide de t'accorder la récompense de mon corps.

Pour fixer nos limites respectives, elle m'assurait qu'elle s'engageait à s'arrêter sur une simple demande de ma part. La contrepartie serait que si c'était moi qui lui demandait de stopper, bien évidement, il serait hors de question de faire l'amour avec elle.

 

Acceptant à l'avance de subir fessées,  bondages et domination, Tichka m'avait proposé de la rejoindre en semaine chez elle. Elle habitait au Cap d'Agde et il ne me fallut pas plus de 50 minutes pour me retrouvé devant sa villa, appuyant sur la sonnette avec un léger sentiment d'angoisse devant ce rendez vous avec une inconnue.

 

Elle louait une villa moderne dans un lotissement situé à seulement dix minutes à pied de la plage.

Lorsque la porte s'ouvrit au deuxième coup de sonnette, j'avais en face de moi une ravissante blonde au cheveux mi-longs, une grande bouche au lèvres fines qui me gratifiaient d'une superbe sourire de nature à instaurer entre nous une relation de confiance bien rassurante.

 

Je pénétrait dans le salon de la villa, en même temps que Tichka, se présentait à moi dans un français tout à fait remarquable.

 

  Pour commencer et que les choses soient biens claires entre nous, aucune relations sexuelles envisageables, tu devra baisser les yeux en permanence, ne pas m'adresser la parole et me faire signe de la tête pour oui ou non.

Au moindre mot de ta part sans mon autorisation, nous stoppons immédiatement et définitivement nos relations.

 

Si tu es d'accord fait moi un signe de la tête, sinon, fait immédiatement demi-tour. Si tu veux arrêter car tu ne supporte plus ton traitement, un simple "Stop" de ta part et nous nous en tiendrons à ce que je viens de te dire.

- Est ce d'accord ?

 

Un très court temps de réflexion et je lui fit signe "Oui" de la tête en prenant bien garde de baisser les yeux pour ne pas croiser son regard.

 

Pour tester ta résistance, je vais en premier lieu te rougir les fesses avec le martinet du chien. Si tu résiste à ce traitement sans broncher, nous pouvons envisager de continuer ensemble. Enlève chaussures, chaussettes et pantalon. Je veux te voir dans une minute à genoux sur mon lit, tête dans l'oreiller et les fesses bien exposées.

 

Je la suivait dans la chambre. Une fois devant le grand lit qui me faisait face, j'ôtais une partie de mes vêtements et comme elle me l'avait ordonné, je m'installais sur le lit, en caleçon et tee-shirt, à genoux  jambes serrées en ayant bien prit soin d'enfoncer ma tête au plus profond du confortable oreiller en plume d'oies.

Je n'avais plus qu'à attendre la suite des évènements.

 

Tichka m'avait laissé m'installer en silence, sans prononcer le moindre mot. Comme m'a position semblait lui convenir, elle se rapprocha de moi et, prenant dans chaque main l'élastique de mon caleçon, elle le fit descendre sur mes cuisses pour que je puisse lui présenter sans entrave, les deux globes musclés de mon fessier encore non meurtri.

 

Se premier contact de ses doigts entrain de me mettre les fesses à l'air, provoqua en moi une érection inattendue que je pus heureusement lui dissimuler facilement.

Comme pour me tester, elle se mit à faire tournoyer dans le vide les lanières du martinet. le sifflement de la rotation du cuir sifflait à mes oreilles, annonciateur d'un départ imminent des hostilités.

 

Les premières séries de cinq coups ne me firent pas mal. Les lanières semblaient larges ce qui atténuait sensiblement la morsure sur ma peau fragile.

 

Mais Tichka, ne semblait pas pressée de me rougir l'arrière train, elle me testait, j'en étais certain.

 

Dans ma tête je me mis à compter les séries de cinq, afin moi aussi d'appréhender ma résistance que jusqu'à présent je n'avais jamais pu réellement tester. A la dixième série, la chaleur commença à envahir tout mon arrière train.

Après un bref intermède,Tichka s'était positionnée sur le coté du lit et reprit de plus belle une nouvelle série. les lanières frappaient en travers les deux fesses en même temps et je commençais à avoir du mal à rester silencieux.

 

Je serrais les dents pour bien lui montrer que j'allais pas lui laisser le plaisir de capituler dés la première fessée.

 

A partir de 90, Tichka se mit à compter à haute voie, le sifflement des lanières rythmait sa voix aux accents slaves.

Au centième coup de martinet, elle stoppa sa punition.

 

- Félicitations, je pense que nous allons bien nous amuser tous les deux, car tu me semble capable d'en supporter un peu plus. Pendant que je prépare le matériel, tu vas rester dans cette position, ça te reposera un peu l'arrière train.

 

Le message était clair: Interdiction de bouger.

 

La tête toujours enfoncée dans le confortable coussin, les bras repliés sur le torse pour me caler, je respectais scrupuleusement sa demande.

 

- Ne bouge pas, je prends quelques photos pour mon album personnel.

 

Le bruit caractéristique de l'obturateur, se fit entendre à trois reprise, puis la porte claqua.

Il me fallait maintenant apprendre à patienter dans cette position indécente et provocante.

Mes fesses devaient être zébrées de rouges, mais comme je ne pouvais les voir, je devais me contenter de les imaginer.

 

17-04-

 

 

  Suite dans le prochain chapitre.................

 

 

Par PANPAN
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Vendredi 22 octobre 5 22 /10 /Oct 16:32

8e17

 

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Par PANPAN
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Mardi 19 octobre 2 19 /10 /Oct 15:08

 

Mon neveu André est un garçon désobéissant et velléitaire. Il a besoin que je m'occupe fermement et sévèrement de son éducation. Quand je vais le voir, il faut rattraper le temps passé et le laxisme qui s'installe dans sa conduite. Dès mon arrivée, je lui demande de se déshabiller complètement, histoire de l'humilier un peu pour sa conduite ! Mon neveu a un beau cul, relativement cambré, avec des globes fessiers bien ronds et fermes... qui appellent la fessée. Il ne faut donc pas faire attendre ce corps qui n'attend que la punition méritée.

 

D'abord, je m'applique à faire bien chauffer ses fesses à la main : quelques claques sèches et fortes, d'abord lentement, puis plus vite. Les fesses commencent à rougir. Mais mon neveu a de vrais fesses de fessé, qui ne rougissent que difficilement et qui ne marquent que très peu et qui ne demandent donc qu'à être traitées encore plus durement et sévèrement. Ses fesses savent, tout comme lui, qu'il faut qu'elles endurent encore bien davantage, pour expier quelque peu son attitude déplorable ! Et je ne voudrais surtout pas décevoir cette attente, que tout son corps réclame...

 

Je lui administre donc une série de claques rapides, en alternant les deux globes (faut pas qu'il y ait de jaloux...), en insistant par moments sur la même fesse et au même endroit... Mon neveu gémit, crie, ses jambes battent l'air... Mais je le tiens fermement... Finalement il s'abandonne à son châtiment, qu'il sait avoir mérité pleinement ! Ses fesses ont pris une belle couleur rouge... hélas très temporaire... et elles dégagent une belle chaleur ! Je constate que mon neveu apprécie le traitement : le vilain garçon bande et mouille mon pantalon !!! Je lui serre fermement son sexe bandé, j'enserre son gros sac à couilles ... et je reprends une série de claques !

 

Mais comme j'aime bien ses fesses rougies, je m'arrête pour les caresser longuement... ce cochon écarte bien ses cuisses pour me donner accès à sa rosette et à son scrotum... il aime bien les caresses, mon neveu !!! mais il mouille de plus en plus mon pantalon... c'est inadmissible ! je lui demande donc de se relever... et de se mettre debout, penché sur la table, ses deux mains en appui, jambes bien écartées... je lui attache les jambes écartées au pieds de la table et ses bras en extension sur le devant de la table : son cul est bien offert ! J'enlève mon ceinturon... la dernière fois, mon neveu avait apporté le sien... mais il n'est pas assez épais à mon goût ! Je l'informe que nous partons pour une série de 20 coups, pour les tâches sur mon pantalon... et je lui administre le premier coup, la ceinture pliée en deux... Il doit compter les coups. Les 10 premiers sont données lentement, mais avec de plus en plus de force. André compte méthodiquement, à haute voix, en bon garçon....

Mais je suis un Oncle pervers.... et les coups suivants sont donnés plus vite, à la volée, frappant l'une et l'autre fesse... de plus en plus vite... André n'arrive plus à suivre de compter, entre les cris, les plaintes et les larmes... C'est dommage pour lui... il aura donc droit à une série supplémentaire de 20 coups ! Ses fesses ont pris une belle couleur... elles sont striées... légèrement boursouflées.... c'est très beau ! Je le laisse souffler un peu, et je lui caresse longuement ses fesses meurtries.... il soupire.... se cambre... il apprécie ! Il mouille abondamment et je caresse son gland décalotté avec sa mouille... il gémit de plaisir... Mais il lui faut maintenant un traitement plus "doux" pour remettre ses globes en l'état... Et je l'informe que nous passons au martinet.... et qu'il aura droit à 200 coups ! Mais je le dispense de compter....

 

Je suis un bon Oncle ! Je sais que mon neveu affectionne les caresses du martinet.... je varie le rythme, l'intensité des coups.... et je termine par une série de moulinets très rapides... les lanières cinglent les fesses que déjà les suivantes mordent les chairs.... Bien fixé à la table, mon neveu ne peut bouger beaucoup.... Il geint doucement.... pleurniche.... mais il sait que c'est pour son bien ! Je le laisse là encore récupérer un peu.... pendant que je me grille une clope, je lui caresse largement la coupe... et je lui annonce que la suite sera plus cuisante !!!                                                             Après l'avoir détaché, je le mets debout et le fixe, bras étendus, aux poutres du cabanon.... et bien sûr jambes bien écartées... J'enfile mes gants de cuir et je lui présente le beau bouquet d'orties que je lui ai tout spécialement amené.... un cadeau pour mon neveu préféré !!! Il s'agite un peu, le vilain garçon... je prends une tige et lui caresse doucement les fesses... il gigote et geint... je passe entre ses jambes... doucement... et caresse ses couilles pendantes... il crie... la morsure est brève.... mais la chaleur irradie... je remonte sur son sexe... Mmmmmmmmmmmmm..... mon neveu gigote un peu plus... Je prends plusieurs branches et lui annonce la fessée.... il tréssaille


André était attaché, bras levés et jambes bien écartées, dans l'attente de sa punition… Les premières "caresses" que je lui avais prodiguées avec une branche d'orties fraîches commençaient à faire leur effet. Les fesses le picotaient "agréablement", ses couilles et sa verge étaient en feu.

 

En bon Oncle toujours attentif aux sensations de mon vilain neveu, je lui ai prodigué quelques caresses appuyées sur sa verge et ses couilles avec ma main gantée de cuir… Sa queue tressautait de plaisir et André geignait doucement… Avant de passer aux choses sérieuses, j'ai enlevé quelques feuilles d'orties et les lui ai frottées délicatement sur ses petits tétons, histoire de déplacer quelque peu les sensations ressenties et les zones "sensibilisées"… Mon neveu se tordait doucement sur ses liens, laissant sortir quelques plaintes de sa bouche. J'ai alors saisi la botte d'orties (quelques 5 ou 6 belles branches bien touffues et fournies) et lui ai administré un premier coup sur ses fesses… Il a sursauté et poussé un grand cri…

 

En Oncle sévère, je n'ai pas tenu compte de ses plaintes et ai continué à lui administrer régulièrement des coups, en ayant bien soin de n'épargner aucune zone de ses globes fessiers. Maintenant André se tordait violemment, essayant de fuir le contact des branches urticantes et d'éviter leur fulgurante morsure. Il pleurnichait en promettant dorénavant d'être un bon garçon et de ne plus désobéir à son Oncle. Je me voyais contraint de lui expliquer qu'il était un peu tard pour ce genre de remords et que pour son bien je devais continuer le traitement, afin de lui faire passer toute envie de recommencer. En lui expliquant tout cela, je passais et repassais le bouquet de branches sur ses belles fesses, qui prenaient maintenant une merveilleuse couleur rougeâtre et qui se constellaient de petites éruptions….

 

Pour finir, je lui ai passé le bouquet entre les jambes écartées, en insistant sur ses belles couilles pendantes et sur son sexe dressé…

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Voilà, je te laisse maintenant du temps pour réfléchir à ta conduite passée … et pour bien évaluer les conséquences d'une mauvaise conduite future…. Les picotements que tu ressens maintenant te le permettront ! Au bout d'une dizaine de minutes, en bon Oncle aimant, je lui ai longuement caressé toutes les parties de son corps qui avaient été traitées, m'attardant sur ses fesses endolories… et sur sa verge qui en pleurait de joie d'être ainsi à la fête… le gland rougi fièrement dressé ! Je connais un excellent moyen pour faire passer les picotements, dis-je à mon cher neveu ! Une bonne séance de martinet fera disparaître toutes ces sensations…. André allait encore être gâté

Par PANPAN
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