Mardi 19 octobre 2 19 /10 /Oct 15:03

Le week end etait passé bien vite pour Alex, ses fésses etaient a peine remise de la correction douloureuse du vendredi soir; mais comme fait expres ce matin là il y avait sur les boulevards des embouteillages monstrueux; Alex sentit ses fesses lui picotter et son estomac se nouer, il savait qu'il devrait s'excuser de son retard et que celon la forme de ses excuses il serait plus ou moins puni par Cédric, alors il commencait dans sa tête a pencer les excuses possible qu'il pourrait dire...


A son arrivée au burreau il avait plus d'une demi heure de retard, il se allat donc dans le burreau de Cédric entreint par une peur comprehenssible vu les circonstences. Ce dernier etait là assis dans son fauteuille a coté de lui tronait une brosse a cheuveux, LA brosse a cheuveux que le pauvre Alex craignait tant depuis le vendredi soir; ravalant sa salive il n'eut pas le temps de commencer que Cédric d'un ton autoritaire lui dit :
- Tu es en retard, qu'a tu as dire pour ta deffence ?
- Je vous pris de m'excuser monsieur... J'ai été pris dans des embouteillages... J'etait a l'heure mais... Je vous pris de me croire ca ne se reproduira pas... Je vous en pris ne me tennez pas rigeur de cela...
- tes excuses sot vraiment pitoyable Alex, on pourrait s'attendre a mieu venant d'un avocat, la prochaine fois tache si tu arrive en retard de savoir au moins expliquer tes excuses sans bafouiller ton travail c'est justement ça non ?
Il fit oui en secouant la tête , il etait au bord de l'evanouissement tant il avait peur de ce qui l'attendait.
- Bon je tien compte que c'etait la premiére fois que tu fait tes excuses... disons... hum, une féssée légére à la main, vien par là toi !
En un tour de main maintenant de plus en plus assuré avec le temps il baissa le pantalon et le caleçon d'Alex et le pencha sur ses genoux, les claques ne tardairent pas à tomber mais assez doucement comparé aux dernieres trempes qu'il avait prises depuis quelques jours; et bien evidement cela n'était pas pour lui déplaire...
La féssée ne durra pas bien longtemps, 5 ou 6 minutes tout au plus; apres ce léger avertissement, Cédric le releva et lui dit,
- Bon ca ira pour le moment je suis sur que tu me donera d'autres de te fésser, va tu as du boulot et n'oubli pas de venir te changer ici et de me demander dés que tu doit t'absenter la permition.
- D'accord merci beaucoup.


La matinée ce passa relativement bien puis vers 11h00 Alex entra dans le burreau de Cédric pour lui dire qu'il devait s'absenter pour voir un client; cette fois il avait bien apris son texte et le recita sans hésitation fesant preuve d'une force qu'il n'avait plus celle de ne pas bafouiller ou trembler de peur.
- Bonjour, je vien vous prévenir que je doit m'absenter pour voir monsieurs ****, je vous pris de me laisser quitter le burreau pour y aller.
- Bien tu vois quand tu veux dit il en s'aprochant de lui et en lui donnant une petite claque sur les fésses, tu en as pour combien de temps ?
- Euh... je ne sait pas trop il habite pas loins de la 1h et demi tout au plus.
- Donc tu sera surement pas rentré à 12h00 ?
- Je ne pence pas non pourquoi?
- Pasqu'il est hors de question que je te laisse filler comme ca jusqua 14h00 alors je vais te donner une punition préventive
- Quoi mais c'est injuste !!!!! J'ai rien fait de mal je ne merite pas d'etre puni !!!
- Tait toi lui dit il en lui colant une baffe, ou alors on fait un marcher, tu passe au resto à l'autre bout de la rue apres et on déjeune tout les deux mais que se soit clair tu sera soumi au risque d'une féssée publique...
- Qu... quoi ? tu me donnerais la féssée sur la terasse d'une brasserie ?
- C'est toi qui choisi soit c'est une punition maintenant et je tient a te dire que vu ton comportement à l'instant elle sera punitive et pas preventive ou on déjeune tout les deux et tu aura le risque d'etre féssé devant tout le monde
L'humilliation que pouvait ressentir Alex etait de plus en plus forte mais il était préssé il n'avait pas le choix il devrais affronter le risque d'une féssée publique en plein centre ville...

Le rendez vous d'Alex passa vite il était 12h15 quand il sortit de chez son client, il ne mit pas plus de 10 min à rejoindre la brasserie malgrés la pointe au ventre qui lui était devenu quasi-familliére maintenant.
- Ah te voila donc, je t'en pris prend une chaise comme tu vois j'ai deja commencer a manger
En effet il mangait la fin d'un oeuf mayonaise et allait attaquer un steak fritte, Alex était surpris du naturel du garçon on aurait dit que rien ne s'etait passé...
Il mangérent donc tout les deux, Alex lui parla de son rendez vous comme si de rien était mais vers la fin du repas, Alex comis une maladresse qui allait lui couter cher: il fit tomber un verre qui se brisa en milles éclats au sol.
Cédric esquissa un léger sourir et la douleur d'Alex repris il savait ce qui allait se passer et la perspective de cet afrontement du regard rieur des clients et des passants lui fesait tres peur...
En effet en moins de 5 seconde Cédric atrappa Alex lui baissa le pantalon et le caleçon d'un geste à present des plus assurés et des plus professionels et le pencha sur ces genoux; ainsi c'etait fait il était la devant une foule étonée cul nu en train de recevoir ce qui allait étré l'une des plus majistrale corrections de sa vie, sa soumission etait totale iletait trop détruit pour essayer de riposter...


Les claques fuserent sur le cul d’Alex, avec une grande force et sans qu’il ne puisse rien dire sinon des « aie » ou des « ouille » plaintifs ; les larmes coulaient le long de ces joues, larmes de honte et de douleur, au rythme fou de la fessée son cul se transforma en quelques instant en une boule de feu et de douleur, il pleurait a présent, il supliait mais rien n’y fesait.
Les minutes etaient longues et dur pour Alex, Cédric quand a lui se délectait de cette situation pour la moins cocasse.


La féssée dura plus de 20 minutes, la surprise des gens était devenue amusement pour le moins pervert, certains riaient, d’autres parlaient entre eux et tous regardaient et ecoutaient les pleures et la douleur de ce pauvre homme cruellement féssée à la terrasse d’un restaurant…

Par PANPAN
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Mardi 19 octobre 2 19 /10 /Oct 14:56

La revanche de Jeremy


Le « nouveau » est un élève de fraîche date. C'est un joli garçon d'une dizaine d'années et ses yeux restent emplis d'un étonnement craintif comme tout enfant vivant au fond de la campagne et que l'on précipite dans une grande ville inconnue sans l'y préparer. Trop brutal, le dépaysement le déroute. Comme il est malheureux dans son nouveau collège !

A quelques semaines de son arrivée, Jeremy se sent toujours perdu. Et, comme chaque matin, son petit déjeuner lui reste sur l'estomac. C'est qu'il paraît tellement rébarbatif ce collège de la région parisienne à comparer de sa tranquille petite école de village ! Et, comme chaque jour, c'est pour lui une nouvelle course d'obstacles qui s'annonce au travers des méandres de rites et de règles incompréhensibles avec lesquels tous les anciens semblent néanmoins jongler avec aisance.

 

Tout le surprend, l'accable, l'inquiète dans cette institution privée pour garçons alors que tout devrait le rassurer et atténuer le choc du changement. D'abord, le bâtiment, par exemple. C'est un ancien et superbe château de style mansard flanqué de vastes et majestueux perrons sur trois de ses façades. Il a été partiellement réaménagé en salles de classes, et, chance unique, au lieu d'une cour exiguë, une partie du parc boisé qui l'entoure est allouée aux espaces de jeux et aux récréations…

 

Alors ? Malgré tout, l'adaptation reste douloureuse : il y a cet uniforme de drap bleu marine et culotte courte réglementaire, il y a la foule de ces élèves avec ces impressionnants garçons des grandes classes. Il y a surtout le petit cercle austère des dames et demoiselles qui font la classe, si différentes des manières toutes maternelles de ses anciennes maîtresses d'école. Toutes, aussi bien les plus jeunes, semblent si semblablement revêches avec leurs airs figés de glaciale sévérité. Mais par-dessus tout, quelque chose d'impalpable l'obsède, une appréhension sourde qui lui ronge le cœur. C'est la discipline stricte et tatillonne qui régente par le menu la vie interne de l'école et pèse sur les têtes comme un couvercle. L'atmosphère est à ce point oppressante qu'il tremble de mal faire à en devenir parfois maladroit.

 

Cependant, un cadeau de son oncle lui procure une petite consolation. C'est une lampe de poche pas comme les autres. On est à quelques années à peine de la fin de la Seconde Guerre mondiale et elle provient sans doute des surplus de l'armée américaine. Elle est dotée de filtres bicolores et d'un bouton de signal morse. Du jamais vu en France. Comme elle est belle, cette lampe ! Et comme il est fier de la montrer sans méfiance à ses camarades de classe. Elle le rassure aussi. C'est qu'il est long et semé d'embûches, la nuit tombée en ces soirées d'automne, le chemin tortueux qui le ramène à sa maison. De loin en loin, de rares réverbères à gaz nimbés de halos percent de trouées blafardes l'épaisseur de la nuit, rejetant à leur périphérie d'inquiétantes ombres fantomatiques. De son faisceau magique, la lampe dissout les recoins obscurs, les chausse-trapes des ornières ou des pavés défoncés.

Sait-il, notre jeune candide, que sa belle lampe fait des envieux, attisant d'ignobles convoitises ? Un après-midi dans la cour de récréation, de sombres et vastes pèlerines l'entourent, volée de vautours tournoyant autour de leur proie. Ce sont trois grands gaillards de 11 ou 12 ans, peut-être même 13 ans, élèves des grandes classes. Il y a beau temps qu'ils la lorgnent, cette lampe ! Leur rapacité les rend nerveux, méchants. Ils le pressent, le harcèlent. « A la sortie, tu nous donnes ta lampe, sinon… »

 

Perfidie du chantage... Leurs cuisses robustes sous les culottes courtes, leurs gros poings serrés sur les bretelles croisées des pèlerines sur leurs torses musclés de presque d'adolescents ont raison de la résistance de Jeremy. Le jeune garçon prend peur et cède à regret. Que faire seul contre trois méchants loups ?

Ce soir-là, Jeremy rentre chez lui sans sa précieuse lampe, l'âme en peine, affrontant la pénombre du chemin. Mais il se tait par peur des représailles. Chez lui, il prétend l'avoir perdue. Le lendemain et les quelques jours suivants, il souffre en silence de voir les trois brutes exhiber impunément leur prestigieux butin sous des regards ébaubis des copains. Il les évite, se tient prudemment à l'écart. Quelques jours plus tard, forts de leur impunité, les voilà qui reviennent à la charge. Cette fois-ci, ils jettent leur dévolu sur le sac de billes que Jeremy tient suspendu à la ceinture ; un joli petit sac de velours bleu roi et fermé par un cordonnet que sa mère lui a confectionné. C'en est trop pour lui ! Le désespoir le mine. Sa professeur finit par s'apercevoir de son air triste et abattu. Elle le questionne, mène son enquête. Il se tait, rougit puis parle, livrant enfin le secret qui l'étouffe.

 

Le lendemain à la récréation, Jeremy aperçoit les trois compères. Ils n'arborent plus du tout leur habituelle fière allure. Têtes basses, visages renfrognés, la démarche un peu raide, le trio tourne en rond, l'un derrière l'autre, dans un recoin de la cour. On les croirait frigorifiés. A chaque pas, leurs semelles creusent un peu plus dans le sol le sillon concentrique du coin réservé aux punis de récréation. Ils ont eu beau tirer sur leurs socquettes et rabaisser le bas de leurs culottes courtes, rien à faire pour dissimuler leurs jambes nues ! On ne voyait plus qu'elles, presque palpables tant elles était rouges et enflées. Elles portaient indiscutablement les marques infamantes de coups de martinet.

Des chevilles à la lisière des culottes, les lanières ont griffé de dizaines de zébrures le pourtour dénudé des mollets et des cuisses. Sur la peau blanche, des stries rouges, fines et gonflées s'entrelacent le long des jambes, remontant en rangs serrés pour aller se perdre plus haut sous le drap sombre et tendu des culottes courtes.

Le jeune garçon regarde, atterré. L'évidence est là, sous ses yeux. Pourtant, ce que ses yeux lui donnent à voir et ses oreilles à entendre, son esprit se refuse encore à l'admettre. A travers la petite institution, on s'est déjà passé le mot. Et les mots ont volé de bouche en bouche. Chuchotis pleins d'énigmes, de tressaillements, d'entendus. Mots légers comme un froissement d'ailes de papillon qui lui ont mis du baume au cœur. Pour autant, se sent-il soulagé ? Comblé de joie ? Pas vraiment. Si le sort misérable des punis lui rend justice, il ne manque pas non plus de raviver ses inquiétudes.

 

Ce jour-là, Mme la directrice a convoqué les trois garçons pour leur administrer un sévère châtiment corporel. Car il en est toujours ainsi avec Mme la directrice. C'est automatiquement la fessée magistrale. Au mieux, une fessée déculottée à la main, au pire, le martinet ou le fessoir de cuir. C'est la règle.

 

De prime abord, on avait peine à croire que cette belle femme élégante et parée d'une distinction toute féminine celait une nature d'une sévérité sans égale. D'un maintien froid et distant, la directrice savait imposer naturellement son autorité à tous les élèves, exigeant d'eux obéissance et respect. Fervente adepte d'une discipline stricte et des châtiments corporels dans l'éducation des garçons, elle ne leur pardonnait rien. Jamais. Une fois entre ses mains, inutile d'espérer autre chose que de tenir jusqu'au bout.

 

Jeremy avait appris à la craindre à ses dépens dès la première entrevue le jour de son inscription. Ne l'avait-elle pas superbement ignoré en le laissant debout alors que ses parents confortablement assis s'entretenaient avec elle ? Elle s'était contentée de le toiser du haut de son regard pénétrant en lui ordonnant sèchement de retirer les mains de ses poches et de rester respectueusement au garde à vous. Combien mortifiante avait été cette leçon de politesse !

Dans le fourmillement d'images et de pensées brûlantes qui lui taraudent l'esprit, les questions sans réponses aggravent son trouble. A la campagne, les jeunes garçons se plaisent à comparer leurs armes. Ainsi, lors de ces jeux audacieux et quelque peu excitants, il avait pu fréquemment vérifier par lui-même de quels instruments parfois prodigieux étaient dotés des garçons de l'âge de ses agresseurs.

 

De sa main, il avait fait se dresser de longues hampes et, de ses doigts, pressé les lourdes grappes de bourses enveloppées de peau tiède et soyeuse.

Certes, ses parents lui administraient parfois des fessées à nu, et même encore à son grand frère de plus de deux ans son aîné, mais c'était dans le giron familial. Mais ici, était-il possible que ?...  La crudité de l'événement heurte sa pudeur naturelle. Et eux, comment avaient-ils pu se laisser déculotter et exhiber leur nudité sans protester face à cette inconnue ? Elle avait donc pu les voir, fesses toutes nues, ventres et pénis à l'air ? Et comment avait-elle pu s'y prendre avec d'aussi grands garçons de la corpulence de quasi adolescents ? Lui, si pudique, même dans l'intimité, il en frissonne d'horreur, ressentant pleinement la honte que l'on devait ressentir en subissant ce genre de châtiment.

 

Glanées ici et là auprès d'anciens, des bribes d'information ouvrent peu à peu dans son cœur un gouffre béant de stupeur et d'effroi.

- Une correction magistrale, mais c'est quoi ? 

- La pire de toutes, tu peux nous croire ! Ça se passe quelquefois dans son bureau quand elle n'a pas le temps. Même là, c'est culotte baissée, sur les fesses nues… Elle nous couche à califourchon sur son genou, le derrière en l'air, comme avec les plus petits.

 

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Le plus affreux, c'est qu'elle donne souvent ces fessées en présence de sa secrétaire, exprès, pour nous faire plus honte ! Mais d'habitude, elle nous emmène à la salle de corrections. Tu ne l'as pas encore vue, au fond du couloir au premier étage ?… C'est une petite pièce carrelée de faïence blanche, terriblement sonore. Et une fessée à cet endroit, ça s'entend partout dans l'école !... Elle nous tient courbés sous son bras pour la fessée à la main. Mais pour la fessée au martinet, ça dépend… Pour fouetter les fesses, elle nous fait mettre à genoux ou à plat ventre sur un petit tabouret.

- Elle baisse vraiment la culotte?... Complètement ?

- Ouais, tout. Culotte et slip, ou caleçon. Et on passe un sale moment, quand elle te déculotte elle-même. T'as l'impression qu'elle t'épluche comme une patate. Et de sa main, une simple fessée culotte baissée sur les fesses nues ça fait vraiment très mal. On pense qu'elle ne va jamais s'arrêter. Oui, on les sent ses claques, et ça cuit longtemps comme tu n'en as pas idée !

- Une fessée ? Mais eux, ils avaient les jambes toutes pleines de marques ?

- C'est parce qu'ils ont reçu la double fessée magistrale. La fessée à la main et en plus, la fessée au martinet. Pour les grands, elle se sert de son gros martinet, celui de dix lanières plates et bien épaisses. Il cingle fort et fait réellement très mal… c'est pour ça que nos copains gardent des marques sur les cuisses et les mollets. Et ils vont les garder longtemps... Mais si tu voyais leurs fesses après cette correction ! Ils en ont pour quelques jours avant de pouvoir s'asseoir sans faire de grimaces, c'est sûr... Ouais, avec eux on peut dire qu'elle n'y est pas allée de main morte !...

 

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Ceux qui ont goûté du martinet semblent s'en vanter comme d'un rare exploit qui les fait en rajouter dans des détails de plus en plus alarmants.

- Pour fouetter les jambes, elle nous laisse debout, jambes écartées, culotte aux chevilles, mains croisées sur la nuque. Elle commence d'abord par fouetter les mollets et remonte le long des cuisses, devant et derrière. C'est impressionnant parce que, quand elle te fouette par devant, tu vois arriver les coups de martinet et que t'as peur qu'elle t'attrape ton engin. Et là, tu dégustes ! Tu sens le cuir des lanières te mordre, surtout au-dedans des cuisses.

- Et vous, ça vous a fait mal ?

- Un mal de chien, ouais ! Si tu n'pleures pas, c'est que t'es un sacré dur à cuire !

A quelques semaines de son arrivée Jeremy avait déjà eu l'occasion de voir la sévérité de cette femme à l'œuvre certains matins lors du cérémonial de rassemblement de toutes les classes au pied du perron principal. Les punis de la veille étaient convoqués en haut du perron pour une correction en public… leur démarche vacillante, les dos voûtés, les mines défaites… Puis tout là-haut, le spectacle affolant de son implacable détermination … Séances toujours effrayantes qui faisaient frissonner les rangs… les mains docilement tendues à plat, paumes retournées… les claquements secs de sa férule de cuir sur les chairs tendres brisant le silence… les hoquets ou les cris de douleur des punis, parfois des sanglots… Plus tard, il avait vu la directrice traverser l'école d'un pas décidé, son martinet suspendu au bout de son bras, le bouquet de lanières se balançant ou émergeant de la poche de son manteau. Elle allait à la recherche de quelque coupable de désobéissance.

 

A l'étude du soir, le professeur veut annoncer la nouvelle. L'impatience lui mange les lèvres. Les yeux brillants, la bouche humide, elle distille son contentement en mots choisis, jouissant de ses effets sur ces têtes frémissantes d'inquiétude. « Des voyous… sévèrement punis… bonne correction… Une fessée magistrale… déculottée… la Directrice les a fouettés tous les trois…sur leurs fesses nues, leurs culottes baissées… au martinet... leur faire honte… Voilà ce qui arrive aux voleurs. Une bonne leçon dont ils se souviendront à jamais … Avis à ceux qui seraient tentés… »

 

Jeremy n'attendra pas longtemps pour sentir l'ambiance oppressante de la discipline qu'impose la directrice dans son école. Un jour, dans sa propre classe, sa professeur s'irritera contre un élève paresseux. « Maurice, c'est votre quatrième retard en moins quinze jours. Je vous ai suffisamment averti. Allez immédiatement sous l'horloge ! ». La menace eut un effet instantané tandis qu'un long et bruyant chuintement de dizaines de bouches aspirant goulûment l'air en même temps se faisait entendre. L'interpellé voulut protester « Non, je vous en supplie, mademoiselle ! Je vous promets… ». Puis il était sorti, pâle et abattu, muni d'un bulletin rose, le bulletin de punition.

 

L'horloge ! Maudite horloge dont les tics tacs comptaient les angoissantes minutes avant la rencontre fatale avec madame la directrice ! Attendre en pénitence à genoux sur le paillasson à poils durs et piquants devant la porte de son bureau. Si ce n'était dans l'immédiat, c'était dans l'heure qui suivait. De toute façon, aucun puni d'horloge ne pouvait espérer échapper à la cuisante fessée magistrale.

 

Peu de temps après, son retour en classe avait choqué Jeremy. Le puni était revenu, la démarche mécanique d'un automate, les yeux rougis, l'air éperdu et comme pétrifié dans une grimace de stupéfaction. Des hoquets spasmodiques secouaient sa poitrine par intermittence. Le poids de tous les regards sur ses épaules, il s'était assis à sa place au fond de la classe avec d'infinies précautions, plongeant aussitôt le nez dans ses affaires de classe.

 

Tandis qu'il s'éloignait, le regard de Jeremy avait obliqué involontairement du côté du bas des reins de leur malheureux camarade. Sa culotte courte d'uniforme était si étroitement ajustée que l'étoffe en comprimait hermétiquement la croupe juvénile. Entre le repli de la couture médiane qui en marquait nettement la fente, ses joues fessières se découpaient en deux superbes arrondis qu'animait une légère oscillation des hanches. Et cette fois, Jeremy ne put retenir un frisson. Aucun doute : la culotte de leur camarade devait enfermer une paire de fesses rouges et brûlantes comme des braises !

 

Ce soir-là, de retour chez lui, la lampe de poche qu'on lui a restituée lui semble être une nouvelle étrenne. Devant lui, le faisceau lumineux repousse les ombres fantomatiques comme par enchantement. Certes, Jeremy tient sa revanche. Cependant, tapie au fond de sa tête, comme une bête hideuse, le doute est là, qui le hante et gâche sa joie. Des craintes l'assaillent, lui martelant la tête des mots honnis. « Fessée déculottée, martinet… » Ces mots qui n'étaient encore hier que de simples et pures abstractions, ont désormais pris formes et couleurs sur la peau laiteuse des garçons punis. Dans la candeur de ses 10 ans, Jeremy l'ignore encore. Un jour viendra son tour. A commencer par la redoutable Mademoiselle Elisa…

Par PANPAN
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Lundi 18 octobre 1 18 /10 /Oct 11:05

Sans un mot, résigné, je commençais à m'allonger sur le lit.

 

- Attends, pas sur le dos, il faut te mettre à quatre pattes sur tu veux que l'on puisse te sortir le tampon des fesses.

 

Pétrifié par cette nouvelle humiliation, en un éclair de seconde l'envie de partir en courant me traversa l'esprit, mais la raison l'emporta et j'obéis à la demande qui ressemblait plus à un ordre.

 

Je me retournais, pour me mettre en position les pieds presque en dehors du lit, afin d'anticiper sur le travail qui allait être fait pour sortir le tampon.

 

- Écarte un peu plus les jambes, et pose tes épaules sur le lit, ce sera plus confortable car ça risque d'être un peu long.

Une fois mes jambes écartées suffisamment, la raie des fesses largement ouverte, j'exposais impudiquement à la vue de tous mon anus rasé. Impossible également de dissimuler mon sexe qui pendait lamentablement et mes testicules qui compte tenu de cette position devaient avoir l'aspect de figues biens mures, rattatinées de peur entres mes cuisses. Le spectacle devait être dés plus indécent.

 

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Je n'avais pas remarqué que Christine était sortie de la pièce depuis un moment. Alexandra, m'aidait à trouver la meilleure position. Tête contre le lit et obligé de la maintenir de coté pour pouvoir respire. Pourvu que je n'ai pas à rester dans cette position trop longtemps,car à coup sur un torticolis de première classe allait venir.

Alexandra venait de s'asseoir se mettre à genoux au bout du lit la tête à quelques centimètres seulement de mes fesses qui lui offraient une vue imprenable sur ma rosette bien dégagée. Elle donnait de petits coups sur la ficelle du tampon comme pour en tester la résistance.

Puis elle changea de tactique. Son index s'aventura entre mes sphincters et elle poussa lentement mais sûrement pour que son doigt me pénètre intégralement. Une fois complètement entré en moi, je sentis qu'elle tournais pour essayer d'attraper le tampon pour le retirer. Mais apparemment sa tentative ne donnait aucun résultat, à chaque fois mon anus se contractais empêchant Alexandra de sortir de moi ce tampon bien récalcitrant..

 

C'est au moment même ou Alexandra retira son doigt que la porte de la chambre s'ouvrit.

 

La tête calée sur lit, je vis la sublime Christine dans l'encadrement de la porte un large sourire aux lèvres. Mais vilaine surprise, elle n'était pas seule. Suivie de près par une petite femme au visage masculin de boxeur, les cheveux aussi court qu'un légionnaire et aussi ronde qu'un tonneau de vin. Elle arrivait à peine à la poitrine de Christine. Quel contraste entre les deux femmes: Je pouvais constater que la nature était véritablement quelques fois injuste.

 

Elle portait une grande sacoche à la main, le genre de sacoche qui ne laisse aucun doute sur la profession du porteur.

D'une voix de camionneur elle interrogeât immédiatement Alexandra.

- C'est lui le vilain garçon qui maltraite les filles ?

Christine avait donc tout raconté à cette infirmière qui a n'en pas douter n'avait que moyennement apprécié ma façon de faire avec les filles.

- Bon passons aux choses sérieuses, je n'ai pas beaucoup de temps, d'autres patients m'attendent.

Elle continuait son monologue:

- Il va falloir bien le tenir en position d'écartement maximal, pour que je puisses travailler sans risque. Avez vous un moyen de le maintenir dans cette position qui me semble être idéale ?

Alexandra répondit immédiatement.

- Nous allons mettre sous son ventre les gros coussins du salon pour lui tenir les fesses en l'air et pour parer à tout geste brusque de sa part, on peut comme tout à l'heure lui attacher les jambes bien écartées.

- Bonne idée répondit-elle, voila qui devrait me permettre de travailler librement.

Elle devait se réjouir de cette initiative bien inattendue et qui lui laisserais un souvenir impérissable et une histoire bien amusante à raconter à ses amis.Ce n'était pas tous les jours que l'on pouvais voir un garçon dans la force de l'âge, attaché nu sur un lit les fesses et le sexe rasé, avec au fond du rectum un tampon de femme.

N'ayant pas d'autre solution que de me laisser faire, je préférais faire l'autruche et m'enfoncer un peu plus la tête dans le dessus de lit.

 

Christine avait déjà ramené trois gros coussins qu'elle me passât sous le ventre pour bien me caler sur le lit.         Pendant ce temps, Alexandra s'affairait avec sa corde. Pour maintenir mes jambes écartées au maximum, elle attachait cette fois la corde au niveau de genoux en  la passant sous le lit pour obtenir une tension parfaite qui m'empêchait le moindre mouvement pour resserrer les jambes. Le ligotage était parfait, mais pas certaine que je reste en place, elle prit l'initiative de me lier aussi les mains dans le dos, annihilant par la même occasion toute velléité de résistance.

-Comme ça, il ne risque pas de bouger et de nous causer soucis.

- Alors là, félicitations madame, renchérit l'infirmière. C'est parfait pour moi. 

- A tous point de vue, concluant  avec un éclat de rire aussi féminin que celui d'un Docker de Marseille. On va pouvoir commencer.

 

Ne pouvant voir ce qui se passait, j'en été réduit à écouter et interpréter les bruits et les paroles. Heureusement les coussins de Christine me permettaient de rester dans une position relativement confortable.

 

L'infirmière devait fouiller dans sa trousse, car j'entendais des bruits métalliques d'ustensiles qui s'entrechoquent.

- A le voila dit l'infirmière. Cela fait un bout de temps que je ne me suis pas servi d'un spéculum, surtout pour inspecter se coté là et pour ce qui est d'un derrière masculin, c'est une grande première que je vais pouvoir immortaliser tout à l'heure si vous me le permettez.

Que voulait-elle dire par là ?

 

J'enfile des gants de caoutchouc et je commence, mais d'abord il faut faciliter le passage. Avez vous un corps gras pour lui préparer l'anus ?

- Oui bien sur répondit Alexandra joignant le geste à la parole. Je savais que vous alliez m'en demander.

Je sentis le doigt ganté de l'infirmière qui passait sur mon anus une crème ou un lait corporel.

Pour bien le faire pénétrer, elle faisait pénétrer son doigt de quelques centimètres à chaque passage.

Puis soudain,sans aucun avertissement de sa part, la pression du métal froid sur mon anus, me fit tressauter.

 

Le spéculum commençait à me pénétrer lentement, sans forcer mais de façon certaine, il entrait inéluctablement au plus profond de moi. Mes sphincters se distendaient comme jamais et les premiers moments de plaisirs anal étaient en train de se transformer en véritable viol de mon anus qui n'avait jamais été soumis à pareil traitement. Cet engin inconnu devait bien mesurer au moins cinq centimètres de diamètre, car j'avais l'impression d'avoir entre les fesses l'équivalent d'une courgette ou d'une belle carotte.

 

Une fois bien enfoncé au fond de moi, je pensais que le plus dur était passé. Grosse erreur de ma part.

 

- Bon maintenant, il va falloir régler l'écartement pour espérer récupérer le tampon.

Horreur......... ce n'était en fait que le début du supplice. j'avais déjà l'impression d'avoir l'anus prêt à exploser et il allait falloir encore le dilater un peu plus. Je ne savais pas si j'allais pouvoir le supporter.

Je sentais l'instrument écarter un peu plus mon anus, et ne pouvant me retenir, je sentis partir un énorme gaz de mon ventre qui surprit tout le monde.

- Espèce de cochon, tu ne peux pas te retenir ? Tiens ça t'apprendra à rester en place. Immédiatement,  une série de cinq claques sur les fesses me fut donnée avec une puissance incroyable par Alexandra.

-Fantastique, quel spectacle, reprenait l'infirmière. Si je m'attendais à ça en montant chez vous, vous m'avez gâté, moi qui rêve de fesser mon mari, j'avoue que j'aurais bien aimé être à votre place.

- Mais ne vous gênez pas Madame Hernandez, lui répondit Alexandra, vous êtes ici chez vous et si le coeur vous en dit, fessez le vous aussi pour lui apprendre les bonnes manières.

Ne pouvant refuser cette invitation, l'infirmière se mit à me frapper les fesses avec les paumes de sa main. Chaque claque sur mes fesses raisonnaient d'un bruit sec et mat. Les claques s'enchaînaient, de plus en plus rapides et de plus en plus fortes, je ne pus retenir un cri de douleur.

- Stop Madame Hernandez, vous allez lui brûler le derrière si vous continuez à ce rythme, allez moins vite. Je vous laisse le fesser encore pendant une minute, et après on reprend le travail, Ok.

N'attendant aucune réponse,la fameuse madame Hernandez venait de reprendre sa fessée, dont elle semblait être une adepte inconditionnelle. J'avais les fesses en feu, ce qui avait au moins l'avantage de ne plus me faire sentir la douleur de mes sphincters dilatés.

Lorsque la fessée stoppa, j'avais les yeux remplis de larmes, tant de douleur que de honte.

 

Mais ce n'était pas fini.

L'écartèlement de mon anus venait de reprendre de plus belle. J'avais l'impression que mes fesses allaient se déchirer d'un seul coup. Chaque tour de vis écartait un peu plus le métal et au bout de trop longues minutes de souffrances, l'infirmière poussa un soupir en ajoutant:

- C'est bon il est écarté au maximum, je vais pouvoir introduire des pinces.

 

En grande professionnelle, Madam Hernandez, s'appliquait pour introduire au fond de mon ventre, un grandes pince de chirurgien, capable d'attraper ce foutu tampon. Il ne lui fallut que quelques secondes pour le récupérer.

 

- Le voila le coquin, dit-elle. C'est presque finit. Mais avant il va falloir tout nettoyer pour être sur qu'il ne reste rien à l'intérieur et éviter tout risque d'infection.

 

En y réfléchissant bien, j'avais l'impression qu'elle était en train de raconter n'importe quoi. Il me suffisait d'aller aux toilettes pour évacuer d'éventuels "restes". Mais j'en été presque certain maintenant, elle devait avoir envie de réaliser sur moi le reste de ses phantasmes refoulés avec son mari.

 

- On va lui faire un bon lavement au gros sel, comme ça, il pourra rentrer chez lui bien vidangé.

- Au fait vous devriez aller voir si ses amis sont rentrés.

 

Cette phrase venait de me glacer le sang. Cette salope n'allait tout de même pas suggérer aux deux femmes d'aller voir mes amis. J'avais tout à redouter d'une pareille démarche de leur part. Mais aussi bien ficelé qu'une momie, je n'avais pas la moindre chance de pouvoir intervenir sur le cour des choses.

- Pitié pas ça, me mis je à crier, avant qu'Alexandra me mit la main sur la bouche pour me faire taire.

 

- Magnifique, je n'avais pas pensé à ça, mais tu as raison, on va en profiter pour donner un avertissement à tes amis. S'ils te voient dans cette position, je suis certain qu'à l'avenir ils réfléchirons à deux fois avant d'embêter des filles. Christine va voir si ses amis sont rentrés chez eux.

 

Au claquement de porte, je fut prit de véritables sueurs froides, incapable de maîtriser cette transpiration abondante qui m'inondait maintenant le corps tout entier. Les rires de madame Hernandez et d' Alexandra accompagnaient mon désarroi et mon angoisse.

 

Madame Hernandez était entrain de préparer avec l'aide d'Alexandra, mon dernier supplice, le clou de cette journée de cauchemar, et le pire restait certainement à venir.

 

- Entrez les garçons, venez voir votre amis, on est entrain de le soigner à la suite de ses déboires avec la gente féminine. Je suppose que vous voyez de quoi je parle. Pétrifié de honte, je n'osais ni n'arrivais à prononcer le moindre mot.

A la seule pensée que mes deux amis me voyaient ainsi exposé, les fesses entre ouvertes et rougies par la fessée, l'anus pénétré et écartelé par un engin prévu pour les femmes, attachés à ce lit de torture, je ne put retenir mes larmes. Je sanglotait maintenant à chaudes larmes, ce qui eux pour effet d'adoucir le discours d'Alexandra.

 

- On va lui donner un dernier lavement pour son bien et vous allez le récupérer pour bien vous occuper de lui, il aura besoin de tout votre réconfort après ce qu'il vient d'endurer.

Les garçons ne répondaient même pas, complètement tétanisés par la surprise et par la vision de cauchemar qu'ils avaient sous les yeux.

 

- Je retire le spéculum et on lui rempli le ventre avant de le rendre à ses copains. Il se videra chez lui, ça sera mieux pour tout le monde, dit-elle en ponctuant sa phrase du même rire de Docker que tout à l'heure.

 

Elle commençât à dévisser le spéculum. Je sentis immédiatement mon anus revenir à une tension supportable. Puis elle tira en arrière sans ménagement l'engin qui sortit d'un seul coup de mes fesses. Immédiatement et toujours par réflexe naturel, mes sphincters venaient de se contracter en signe de défense naturelle.

Mais la trêve ne fut que de courte durée.

 

-Passez moi la canule et que l'une de vous tienne le boc, s'il vous plaît.

Alexandra ou Christine devaient aider l'infirmière.

- Regardez bien les garçons et que cela vous serve de leçon !!!

 

Je sentis la canule s'introduire et violer une fois de plus, dans cette journée de cauchemar, mon intimité. Presque aussitôt, un liquide chaud se mit à couler en moi et me remplir le ventre. je dus attendre de bonnes minutes que toute l'eau salée se soit vidée du boc dont j'ignorais la contenance. Les premières convulsions au niveau du ventre venaient de commencer.

 

Pendant que Christine me détachait les mains, Alexandra faisait de même avec mes jambes. Madame Hernandez de son coté rangeait tranquillement son matériel, ravi de son incroyable visite chez les deux lesbiennes.

 

Mes copains toujours aussi pétrifiés attendaient sagement le feu vert du départ.

 

Toujours aussi nu, ridiculement rasé, les fesses d'un rouge écarlate et les yeux remplis de larmes, je dus faire face à mes deux amis qui me détaillaient maintenant de la tête au pied constatant de visu ce à quoi ils venaient d'échapper.

 

- C'est fini les garçons, rentrez dans votre appartement et oubliez cette journée, mais qu'elle vous serve de leçon pour l'avenir.

Une main devant mon sexe rabougri par tant de "maltraitance", une autre derrière pour cacher ma nudité, je passais maintenant la porte de la chambre puis de l'entrée pour me retrouver sur le palier de l'étage encadré par mes deux amis. Au même moment, comme pour ponctuer cette journée de galère, un couple et leurs trois enfants sortaient de leur appartement me faisant face, le temps que Laurent essayait péniblement d'ouvrir en quatrième vitesse les trois verrous de la porte de notre appartement.

 

- Tu as vu maman, il est tout nu le monsieur. Un éclat de rire collectif venait de s'emparer de toute la famille qui me faisait face. Et cet imbécile de Laurent qui mettait un temps fou à ouvrir la porte. Je baissais une fois de plus la tête attendant que la porte s'ouvre sur ma délivrance.

 

C'est au moment ou la mère de famille passait à ma hauteur avec un regard dédaigneux, que l'irréparable se produisit.

Je ne pus retenir plus longtemps l'eau salée qui me remplissait le rectum.

 

Un long jet puissant força le passage. Mes sphincters tellement sollicités, avaient depuis longtemps abandonné toute velléité défensive. Journée maudite, au moment ou je pensais que mes humiliations successives allaient prendre fin, je subissais l'affront public de me vider devant une famille de vacanciers bien loin d'avoir imaginé une seule seconde le spectacle qu'ils avaient maintenant sous les yeux.

 

- Dépêchez vous les enfants, et tournez la tête, ce jeune cochon doit être ivre !!!!

 

Rouge de honte devant la situation que je ne maitrisais plus, je me précipitais dans la salle de bain, dés que la porte de notre appartement m'ouvrit son salut..........

 

 

Par PANPAN
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Samedi 16 octobre 6 16 /10 /Oct 08:08

La main gantée de crin forçait maintenant le passage pour s'immiscer entre mes fesses. Terrorisé à l'idéeque Christine y découvre la ficelle du tampon hygiénique, je me contractais, en essayant de lui faire comprendre que lui refusait le passage.

 

Elle releva la tête et sourit en me disant d'une voix douce et amicale:

- Tu sais si tu veux vraiment que tout disparaisse, il va te falloir coopérer et te laisser faire. Tu ne craint rien avec nous, les garçons ne nous intéressent pas.

 

Christine faisait preuve d'une application d'infirmière pour essayer d'enlever ce rouge à lèvre qui me collait à la peau. Mais constatant bien vite que le savon n'y suffirait pas elle s'arrêta de me frotter.

 

- Alexandra, ça ne part pas, c'est trop gras, il faut nettoyer ça avec nos produits démaquillants. Allongeons le sur le lit, ce sera plus facile pour le nettoyer.

Rapidement séché par quatre mains expertes, je fus conduit jusqu'à leur chambre, aux murs d'un blanc "clinical". Alexandra venait de déposer sur le grand lit un immense drap de bain, afin de ne pas risquer de tacher les magnifiques draps brodés qui habillaient le lit.

 

- Installe toi bien au milieu sur la serviette, pendant que Christine va chercher de quoi te récurer correctement.

 

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Pendant que Cristine quittait la pièce pour aller les produits nécessaires, Alexandra s'approcha de moi. Debout contre le lit à hauteur de mes épaules, elle se penchât légèrement sur moi. Avec son pouce et son index, elle prit le bout du sexe qui, sous l'effet de la douche, s'était rétracté comme pour se protéger. Je baissais la tête pour me rendre compte qu'en effet,il avait maintenant la taille de celui d'un enfant de dix ans.

Comme pour lui redonner vie, Alexandra se mit à presser par petits coups avec ses deux doigts, un peu comme l'on fait pour réamorcer une pompe en caoutchouc.....

 

Les trois autres doigts venaient de se refermer maintenant sur mon érection inévitable.

Ravi de constater qu'elle avait réussit en un temps record à rétablir une virilité conforme à mon âge, elle continuait sans un mot à faire coulisser ses doigts le long de ma verge maintenant gonflée à exploser. En moi même, je m'étonnais qu'une lesbienne puisse aussi bien connaître l'anatomie masculine et sache comment pratiquer sur ma verge masculine une masturbation digne d'une professionnelle "cinq étoiles luxe".

La main coulissait maintenant à un rythme régulier, semblable à celui du piston d'un moteur tournant au ralenti. Visiblement pas pressée du tout de me faire jouir, elle fixait d'un regard complice mon sexe qui se dressait fièrement au dessus de mon ventre.

 

Christine venait de pénétrer à nouveau dans la chambre, déposant sur la table de nuit tout un tas de flacons dont j'ignorais le contenu. Nullement gênée par Alexandra qui continuait à me masturber lentement, elle s'assit sur le lit, entre mes jambes. Elle était entrain de m'enduire toute la zone couverte de rouge à lèvres d'une lotion que je ne connaissait pas.

- C'est du démaquillant pour les cils, me dit-elle comme pour me rassurer alors qu'elle commençait à me frotter avec des lingettes de coton.

Le contact conjugué sur ma peau du liquide et de sa main nettoyant délicatement mes testicules pendant qu'Alexandra poursuivait patiemment sa lente masturbation, provoqua ce que je redoutais et souhaitais à la fois: Une longue et puissante éjaculation.Surprise, Alexandra dirigeât immédiatement ma verge en direction de ma tête et j'en fut quitte pour recevoir sur la poitrine et sur le visage quelques gouttes de mes propres sécrétions.

Ne pouvant plus me retenir, je m'abandonnais en fermant les yeux. Alexandra, se mit à accélérer ses allers venus dans le but évident de me vider les bourses que Christine continuait de nettoyer avec application. Ma première éjaculation semblait se terminer. Je sentais les dernières gouttes de liquide chaud couler sur mon ventre.

Alors que je pensais naïvement qu'Alexandra allait me laisser reprendre mes esprits, je constatais bien vite, qu'elle n'était absolument pas décidé à s'arrêter en si bon chemin.

Changeant de main pour reprendre des forces, elle entreprit de récidiver mon érection qui commençait à battre en retraite en me secouant la verge dans tous les sens, de haut en bas de droite à gauche, faisant même taper par petits coups, le bout de mon gland sur mon ventre. En quelques minutes elle obtenait avec succès ce qu'elle souhaitait: Une érection conforme à que doit être celle d'un jeune dans la force de l'âge.

 

Nullement troublé par l'activité de sa compagne, Christine continuait le nettoyage du "sous sol". C'est au moment ou elle entreprit de me replier les jambes pour nettoyer entre mes fesses que la catastrophe se produisit.

 

- Mais c'est quoi cette ficelle ? me demandat-elle avec un ton différent qui attendait manifestement une réponse précise.

 

Perdant dans la même seconde, mon érection et mon statut de mâle, je bredouillais la première justification qui me passait par la tête.

 

-Heu, c'est les copains, ça fait partie du bizutage.

 

- Mais c'est un tampon hygiénique que tu as dans le derrière. Tu es entrain de nous dire que ce sont tes copains qui t'ont enfoncé ça dans l'anus ? Alexandra me fixait d'un regard inquisiteur, attendant manifestement une explication plus détaillée.

J'avais le sentiment au fond de moi que si je continuais à leur mentir j'allais compliquer la situation. Aussi peut à l'aise que devant un inspecteur de police, je finis par leur dire la vérité.

 

- En fait ces pas mes copains les fautifs, ce sont des filles qui m'ont mis dans cet état. Au point ou j'en étais, je continuais à leur raconter les circonstances exactes qui m'avaient au final conduit chez elles.

 

- Le salopard, s'écria Alexandra, en prenant sa copine à témoin, il fait souffrir les filles et maintenant il voudrait qu'on le soigne et le console.

- Christine, vas chercher dans le sellier de quoi attaché ce mal élevé solidement. En même temps qu'elle donnait son ordre, elle prit dans sa main gauche mes testicules, les emprisonnant complètement et serrant fermement avec ses doigts.

- Si tu bouges d'un seul millimètre, je te presse les couilles comme un citron à t'en faire hurler de douleur.

Persuadé qu'elle ne plaisantais pas du tout, je restais pétrifié sur le lit, les bras le long du corps, tournant l tête  pour éviter de croiser le regard d'Alexandra.

 

Revenu avec le nécessaire, Christine ne mit pas bien longtemps à m'attacher les bras en croix au dessus de la tête, fixant les cordes qui m'enserraient les poignets, aux piètement du lit. Pour mieux me maintenir en place, je la vit passer sous le lit une longue sangle qu'elle repassa sur mon ventre pour la tendre au maximum et me plaquer le corps sur le lit.

-eh bien maintenant que tu es correctement immobilisé, il va falloir que l'on retire ce tampon et croie moi sur parole, ça ne vas pas être facile. Christine s'il te reste une corde à linge attache lui donc les jambes en l'air, ça sera plus facile pour travailler.

Obéissante à souhait,Christine revenait quelques instants plus tard avec la corde nécessaire à cette immobilisation.Elle passait la corde sous me genoux, puis elle tendit le fin cordage  en l'attachant à mes poignets, m'obligeant immédiatement à replier les jambes. J'étais moi même obligé de tenir mes genoux repliés vers le haut  pour ne pas être cisaillé.Le système était simple mais efficace.

J'étais maintenant exposé à leur vue, les jambes écartées, exposant mon anus imberbe mais rempli à ces deux lesbiennes.

- Je vous en supplie, laissez moi partir, je commençais à paniquer et bêtement, je me mis à crier au secours. Un gifle cinglante fut la réponse à mon appel de détresse. Dans la seconde qui suivait, Alexandra prit sa propre culotte et me la mit dans la bouche.

- Si tu la recrache, je m'occupe à nouveau de tes couilles, tu as compris ? je fis "Oui "de la tête pour éviter une telle sentence.

 

Christine s'était assise à nouveau sur le lit et entreprit de tirer sur la ficelle du tampon. Serré comme il l'était mon anus n'était pas décidé à libérer si facilement le tampon qui avait eu largement le temps de se dilater.

- Il faudrait essayer de lui écarter le trou du cul, dit naïvement Christine. Joignant l'acte à la parole, elle essayait pudiquement d'introduire un doigt dans mon anus, mais par réflexe naturel mes sphincters se contractaient, indiquant à l'intrus qu'ils n'étaient pas décidés à laisser le passage libre.

- Alexandra, il est serré comme une jeune vierge, on ne vas par y arriver comme ça, je crois que la ficelle va casser dès que je vais tirer un peu fort. Tu as une autre idée ?

 

-On pourrait essayer soit un laxatif soit avec un spéculum, dans ce cas il faut que tu ailles à la pharmacie ou appeler une infirmière.

 

Effrayé à l'idée d'avoir à me montrer à une autre personne dans cet état, je secouais la tête pour montrer ma désapprobation. Mais manifestement les deux filles n'en avaient rien à faire.

 

- Fait moi voir, pousse toi un peu, on va essayer de lui écarter le trou du cul avec de baguettes, vas donc en chercher à la cuisine, je sais qu'il y a au moins deux paires de baguettes chinoises dans le placard du haut.

 

Christine revenait, tenant dans sa main deux paires de baguettes en plastic. Je ne comprenais pas très bien ou elle voulait en venir, mais au point ou j'en étais, je n'avais qu'à me laisser faire pour que mon supplice dure le moins longtemps possible.

 

- Je vais  faire comme un spéculum. Alexandra appuyait maintenant ses doigts autour de mon anus essayant en tirant la peau vers l'extérieur d'écarter un peu le passage.De l'autre main elle poussa lentement une première baguette qui compte tenu de sa finesse se faufila facilement entre mes sphincters. Une deuxième, puis une troisième prit place dans mon rectum.

- Aide moi Christine, prend une baguette dans chaque main et ensemble essayons d'écarter ce derrière de puceau.

Je sentis soudain la pression des trois baguettes qui prenaient appui sur mes sphincters pour écarter mon orifice.

Mais après plusieurs tentatives, les deux femmes durent se rendre à l'évidence que cela ne fonctionnait pas et que le tampon n'avait maintenant aucune chance de sortir en employant cette technique.

 

- Ça ne marche pas, il va falloir essayer un lavement, descend à la pharmacie chercher des suppositoires laxatifs pour notre jeune ami. On va lui vider le ventre, ça devrait entraîner le tampon vers la sortie.

 

Aussi tôt dit aussi tôt fait. Christine en bonne compagne s'exécutait. Au bout d'un quart d'heure d'attente inconfortable, elle revenait tenant dans sa main une boite de laxatifs.

 

C'est Christine qui se chargea de m'enfoncer délicatement dans les fesses non pas un, mais deux suppositoires.

- Tu vas voir dit-elle, d'après la pharmacienne, cela devrait faire effet dans les cinq minutes.

 

- Il faut l'installer sur la cuvette des wc, sinon il va nous bousiller les draps. Alexandra commençait à me détacher, puis m'aidant à me lever, elle me conduisit au toilettes juste à temps pour que je puisse m'asseoir sur la lunette au son des premières flatulences qui annonçaient le début du lavement.

Alexandra avait laissé volontairement la porte ouverte et je fus obligé d'affronter le regard curieux et amusé des deux filles qui semblaient prendre un plaisir certain à jouer avec moi et à se venger de mon attitude envers le sexe dit faible.

 

Soudain, je sentis dans mon ventre un flot de gargouillements, suivis immédiatement des premières envies de me soulager sous la pression qui s'exerçait maintenant sur mes sphincters. Loin de moi l'idée de vouloir me retenir, je me laissait aller en baissant la tête afin de ne pas voir le regard des deux femmes entrain de me regarder me soulager devant elles. J'étais mort de honte, mais je préférais continuer à pousser intérieurement pour faciliter l'évacuation du tampon. Au bout de dix bonnes minutes assis sur les wc, je n'avais plus rien à évacuer, mais le plus dramatique c'était que le tampon était toujours bien en place dans mes fesses.

 

- Flûte, ça ne marche pas non plus dit Alexandra, il va falloir employer les grands moyens. Retournons dans la chambre, mais avant essuie toi correctement et va te laver les fesses à la salle de bain.

 

Je ne demandais pas mon reste et une fois seul dans la salle de bain, j'en profitais pour me laver tout en réfléchissant à toute vitesse sur ce que je devais maintenant faire. J'avais la possibilité de partir en courant pour aller rejoindre l'appartement ou mes deux copains devaient certainement m'attendre, mais s'ils n'étaient pas là, jouer un tel tour au deux filles qui m'avaient recueilli, et c'était l'assurance de me retrouver sur le pallier, nu avec toujours au fond de moi ce maudit tampon, avec la quasi certitude de rencontrer d'autres personnes.

Plutôt que de risquer cette option avec trop d'inconnues, je rejoignais la chambre ou les deux femmes m'attendaient.

 

- Bien me dit Alexandra, je vois que tu as prit la bonne décision, nous étions entrain de nous demander si tu allais essayer de filer à l'anglaise. Monte sur le lit, on va procéder autrement.

 

Suite à venir..........

Par PANPAN
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Vendredi 15 octobre 5 15 /10 /Oct 15:46

Rouge de confusion et honte d'être obligé de m'exposer ainsi devant une femme inconnue, j'essayais tant bien que mal de lui cacher ma nudité, tout en espérant qu'elle allait me venir en aide. Nullement pressée de me faire rentrer, elle restait dans l'encadrement de la porte, les bras écartés pour bien marquer l'interdiction de passage, me détaillant de bas en haut avec application pour mieux apprécier le comique de la situation.

 

Elle me fixât longuement avec un sourire malicieux, me faisant bien comprendre que c'était elle et elle seule qui déciderait de la suite et du timing des opérations. Message bien reçu.... N'ayant d'autre solution, ni issue de secours,sans un mot pétrifié par l'humiliation,je baissais légèrement la tête pour lui signifier mon obéissance et ma soumission.

Tel un prêtre qui vous donne l'absolution, sa main droite se posa sur mon front et avec une douceur incroyable, elle commença à  faire tomber au sol le sable qui recouvrait encore mon visage. Du bout des doigts, elle frottait délicatement ceux qui restaient collés sur ma peau.Je fermais les yeux pour faciliter son travail.

 

Au rez de chaussée, la porte d'entrée venait de claquer, synonyme d'une rencontre éminente avec un occupant de l'immeuble. Affolé à l'idée d'avoir à me montrer nu et totalement ridicule, je levais les yeux pour implorer cette belle inconnue de me faire rentrer dans son appartement avant que la personne atteigne l'étage. Comme si de rien n'était, elle continuait calmement à me nettoyer le visage. Dans l'escalier, les pas se rapprochaient à un rythme régulier.Dans quelques secondes, j'allais devoir subir un nouvel affront et une nouvelle humiliation. Je n'osais me retourner pour voir qui venait maintenant d'arriver sur le pallier de l'étage.

 

- Christine, tu as déjà fini les courses ? Regarde nous avons un invité; Il va falloir s'en occuper car il a quelques soucis.

Rentrons, nous discuterons de tout cela à l'intérieur.

 

Sans attendre une quelconque réponse, elle me prit par le bras et me fit pénétrer dans l'appartement. Avec mon autre bras j'essayais tant bien que mal de m'en servir comme cache sexe, mais au point ou j'en était, cela n'avait plus grande importance.

 

- Je m'appelle Alexandra et je te présente ma concubine la belle Christine. Elle me tira par l'épaule m'obligeant à me retourner pour faire face à Christine. Je plaquais ma main sur mon sexe dans un geste d'adolescent timide et pubère. C'était une véritable beauté. Grande, mince, brune au cheveux longs, un visage fin, des grands yeux d'un vert profond. Elle sourit, découvrant des dents d'un blancheur parfaite. C'était sans conteste possible, la plus belle femme que j'avais eu l'occasion de voir. Un véritable mannequin de magasines à faire craquer un saint.

 

Elle s'approcha de moi et prit mon bras qui cachait ma nudité. Elle le tira avec douceur vers le haut, pour dégager ma main et prendre connaissance de l'ampleur des dégâts. Continuant à me tenir le bras, elle s'agenouilla devant moi et avec son autre main,souleva ma verge puis mes testicules pour faire un état des lieu le plus complet possible.

 

- Et bien dit donc, pour un bizutage, c'est un bizutage !!!!   Comme je n'avais pas encore eu l'occasion de leur avouer les circonstances de ce qu'elle pensait être un bizutage entre ados, je compris qu'il valait mieux ne rien dévoiler de la réalité des faits.

 

Persuadés qu'ils s'agissait de jeux pseudo érotiques de jeunes puceaux pervers, elle continua d'une voix compréhensive et rassurante:

- Ils t'ont rasé complètement tes copains, tu sais tu vas souffrir pendant plusieurs semaines lorsque les poils vont repousser. Nous les filles ont sait ce que c'est, mais toi tu vas découvrir ce que nous endurons régulièrement au nom de la mode actuelle.

 

Devoir subir une véritable visite médicale et me faire caresser le sexe par une sublime lesbienne avait quelque chose d'incroyablement érotique et plus la caresse se faisait insistante, plus j'avais du mal à contrôler une érection naissante, malgré le ridicule de ma situation.

 

Alexandra interrompit mon début d'érection en décrétant qu'il me fallait avant tout me laver le visage. Elle avait du sentir cette odeur d'urine si particulière et ne souhait certainement pas en embaumer son appartement. Elle me prit par le bras, me guidant d'autorité vers la salle de bain. Une grande douche à l'italienne avec de superbes parois de verre me faisait face.

- Commence par te laver la tête et le visage, dit-elle. Nous te rejoindrons après pour nous occuper du reste.

 

Bien loin de moi l'idée de la contredire et sans demander mon reste, je pénétrais dans la grande douche. je réalisais soudain que j'avais toujours au fond des fesses le tampon que les filles m'avaient enfoncé au plus profond de moi. Qu'allait-il se passer si les deux femmes le découvrait ? Discrètement je passais ma main entre mes fesses pour essayer de cacher la ficelle du mieux possible.

 

Tout en essayant de réfléchir à une possible solution pour l'enlever sans que les filles l'aperçoive, je me débarrassais de toute trace d'urine sur mon visage et mes cheveux . L'eau chaude et la mousse du shampoing sur mon corps me procurait un moment de détente bien agréable.

Pendant que je continuais à me laver le haut du corps, les deux filles me faisaient face et commençaient à se déshabiller entièrement, sans aucune gène, comme si je n'existait pas. Bronzées toutes deux, je constatais qu'elles ne portaient pas de trace de maillot, indiquant en cela qu'elles étaient adeptes du naturisme.

Mon regard se portait sur Alexandra. Elle avait des épaules larges, un peu comme un garçon manqué, des petits seins en pomme haut placés sur le corps avec de minuscules tétons presque invisibles, des hanches fines, comme celles des nageuses et des jambes d'une longueur incroyable. Intérieurement je me fit la réflexion quelle devait être "l'homme" dans ce couple "hors normes".

 

Christine, elle se déshabillait avec beaucoup de pudeur dans les gestes. Elle rangeait au fur et à mesure ses vêtements avec une lenteur presque religieuse. Elle était d'une beauté majestueuse. Parfaite, presque irréelle. Une Madone tombée du ciel. Des seins fermes bien écartés les uns des autres, en forme de poire mais qui pointaient avec arrogance vers le ciel. Son ventre était aussi plat et lisse qu'une statue de Rodin. Son sexe rasé dévoilait deux grandes lèvres légèrement bombées, d'un rose parfait.

 

Les deux filles pénétrèrent en même temps dans la douche. Tandis qu' Alexandra me massait les épaules avec fermeté, Christine c'était mise à genoux dans la douche et tenant un gant de toilette dans une main et un gant de crin dans l'autre, elle commença à me laver le bas du corps espérant enlever rapidement toute trace de rouge à lèvres.

Le gant de crin commençait son travail de ponçage sur mes fesses, tandis que l'autre bien plus doux, allait et venait avec un rythme régulier sur mon sexe et mon pubis.

 

 

Suite au prochain Chapitre..............

 

Par PANPAN
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