Sans un mot, résigné, je commençais à m'allonger sur le lit.
- Attends, pas sur le dos, il faut te mettre à quatre pattes sur tu veux que l'on puisse te sortir le tampon des fesses.
Pétrifié par cette nouvelle humiliation, en un éclair de seconde l'envie de partir en courant me traversa l'esprit, mais la raison l'emporta et j'obéis à la demande qui ressemblait plus à un
ordre.
Je me retournais, pour me mettre en position les pieds presque en dehors du lit, afin d'anticiper sur le travail qui allait être fait pour sortir le tampon.
- Écarte un peu plus les jambes, et pose tes épaules sur le lit, ce sera plus confortable car ça risque d'être un peu long.
Une fois mes jambes écartées suffisamment, la raie des fesses largement ouverte, j'exposais impudiquement à la vue de tous mon anus rasé. Impossible également de dissimuler mon sexe qui pendait
lamentablement et mes testicules qui compte tenu de cette position devaient avoir l'aspect de figues biens mures, rattatinées de peur entres mes cuisses. Le spectacle devait être dés plus
indécent.
Je n'avais pas remarqué que Christine était sortie de la pièce depuis un moment. Alexandra, m'aidait à trouver la meilleure position. Tête contre le lit et obligé de la maintenir de coté pour
pouvoir respire. Pourvu que je n'ai pas à rester dans cette position trop longtemps,car à coup sur un torticolis de première classe allait venir.
Alexandra venait de s'asseoir se mettre à genoux au bout du lit la tête à quelques centimètres seulement de mes fesses qui lui offraient une vue imprenable sur ma rosette bien dégagée. Elle
donnait de petits coups sur la ficelle du tampon comme pour en tester la résistance.
Puis elle changea de tactique. Son index s'aventura entre mes sphincters et elle poussa lentement mais sûrement pour que son doigt me pénètre intégralement. Une fois complètement entré en moi, je
sentis qu'elle tournais pour essayer d'attraper le tampon pour le retirer. Mais apparemment sa tentative ne donnait aucun résultat, à chaque fois mon anus se contractais empêchant Alexandra de
sortir de moi ce tampon bien récalcitrant..
C'est au moment même ou Alexandra retira son doigt que la porte de la chambre s'ouvrit.
La tête calée sur lit, je vis la sublime Christine dans l'encadrement de la porte un large sourire aux lèvres. Mais vilaine surprise, elle n'était pas seule. Suivie de près par une petite femme
au visage masculin de boxeur, les cheveux aussi court qu'un légionnaire et aussi ronde qu'un tonneau de vin. Elle arrivait à peine à la poitrine de Christine. Quel contraste entre les deux
femmes: Je pouvais constater que la nature était véritablement quelques fois injuste.
Elle portait une grande sacoche à la main, le genre de sacoche qui ne laisse aucun doute sur la profession du porteur.
D'une voix de camionneur elle interrogeât immédiatement Alexandra.
- C'est lui le vilain garçon qui maltraite les filles ?
Christine avait donc tout raconté à cette infirmière qui a n'en pas douter n'avait que moyennement apprécié ma façon de faire avec les filles.
- Bon passons aux choses sérieuses, je n'ai pas beaucoup de temps, d'autres patients m'attendent.
Elle continuait son monologue:
- Il va falloir bien le tenir en position d'écartement maximal, pour que je puisses travailler sans risque. Avez vous un moyen de le maintenir dans cette position qui me semble être idéale ?
Alexandra répondit immédiatement.
- Nous allons mettre sous son ventre les gros coussins du salon pour lui tenir les fesses en l'air et pour parer à tout geste brusque de sa part, on peut comme tout à l'heure lui attacher les
jambes bien écartées.
- Bonne idée répondit-elle, voila qui devrait me permettre de travailler librement.
Elle devait se réjouir de cette initiative bien inattendue et qui lui laisserais un souvenir impérissable et une histoire bien amusante à raconter à ses amis.Ce n'était pas tous les jours que
l'on pouvais voir un garçon dans la force de l'âge, attaché nu sur un lit les fesses et le sexe rasé, avec au fond du rectum un tampon de femme.
N'ayant pas d'autre solution que de me laisser faire, je préférais faire l'autruche et m'enfoncer un peu plus la tête dans le dessus de lit.
Christine avait déjà ramené trois gros coussins qu'elle me passât sous le ventre pour bien me caler sur le lit. Pendant ce temps, Alexandra
s'affairait avec sa corde. Pour maintenir mes jambes écartées au maximum, elle attachait cette fois la corde au niveau de genoux en la passant sous le lit pour obtenir une tension parfaite
qui m'empêchait le moindre mouvement pour resserrer les jambes. Le ligotage était parfait, mais pas certaine que je reste en place, elle prit l'initiative de me lier aussi les mains dans le dos,
annihilant par la même occasion toute velléité de résistance.
-Comme ça, il ne risque pas de bouger et de nous causer soucis.
- Alors là, félicitations madame, renchérit l'infirmière. C'est parfait pour moi.
- A tous point de vue, concluant avec un éclat de rire aussi féminin que celui d'un Docker de Marseille. On va pouvoir commencer.
Ne pouvant voir ce qui se passait, j'en été réduit à écouter et interpréter les bruits et les paroles. Heureusement les coussins de Christine me permettaient de rester dans une position
relativement confortable.
L'infirmière devait fouiller dans sa trousse, car j'entendais des bruits métalliques d'ustensiles qui s'entrechoquent.
- A le voila dit l'infirmière. Cela fait un bout de temps que je ne me suis pas servi d'un spéculum, surtout pour inspecter se coté là et pour ce qui est d'un derrière masculin, c'est une grande
première que je vais pouvoir immortaliser tout à l'heure si vous me le permettez.
Que voulait-elle dire par là ?
J'enfile des gants de caoutchouc et je commence, mais d'abord il faut faciliter le passage. Avez vous un corps gras pour lui préparer l'anus ?
- Oui bien sur répondit Alexandra joignant le geste à la parole. Je savais que vous alliez m'en demander.
Je sentis le doigt ganté de l'infirmière qui passait sur mon anus une crème ou un lait corporel.
Pour bien le faire pénétrer, elle faisait pénétrer son doigt de quelques centimètres à chaque passage.
Puis soudain,sans aucun avertissement de sa part, la pression du métal froid sur mon anus, me fit tressauter.
Le spéculum commençait à me pénétrer lentement, sans forcer mais de façon certaine, il entrait inéluctablement au plus profond de moi. Mes sphincters se distendaient comme jamais et les premiers
moments de plaisirs anal étaient en train de se transformer en véritable viol de mon anus qui n'avait jamais été soumis à pareil traitement. Cet engin inconnu devait bien mesurer au moins cinq
centimètres de diamètre, car j'avais l'impression d'avoir entre les fesses l'équivalent d'une courgette ou d'une belle carotte.
Une fois bien enfoncé au fond de moi, je pensais que le plus dur était passé. Grosse erreur de ma part.
- Bon maintenant, il va falloir régler l'écartement pour espérer récupérer le tampon.
Horreur......... ce n'était en fait que le début du supplice. j'avais déjà l'impression d'avoir l'anus prêt à exploser et il allait falloir encore le dilater un peu plus. Je ne savais pas si
j'allais pouvoir le supporter.
Je sentais l'instrument écarter un peu plus mon anus, et ne pouvant me retenir, je sentis partir un énorme gaz de mon ventre qui surprit tout le monde.
- Espèce de cochon, tu ne peux pas te retenir ? Tiens ça t'apprendra à rester en place. Immédiatement, une série de cinq claques sur les fesses me fut donnée avec une puissance incroyable
par Alexandra.
-Fantastique, quel spectacle, reprenait l'infirmière. Si je m'attendais à ça en montant chez vous, vous m'avez gâté, moi qui rêve de fesser mon mari, j'avoue que j'aurais bien aimé être à votre
place.
- Mais ne vous gênez pas Madame Hernandez, lui répondit Alexandra, vous êtes ici chez vous et si le coeur vous en dit, fessez le vous aussi pour lui apprendre les bonnes manières.
Ne pouvant refuser cette invitation, l'infirmière se mit à me frapper les fesses avec les paumes de sa main. Chaque claque sur mes fesses raisonnaient d'un bruit sec et mat. Les claques
s'enchaînaient, de plus en plus rapides et de plus en plus fortes, je ne pus retenir un cri de douleur.
- Stop Madame Hernandez, vous allez lui brûler le derrière si vous continuez à ce rythme, allez moins vite. Je vous laisse le fesser encore pendant une minute, et après on reprend le travail, Ok.
N'attendant aucune réponse,la fameuse madame Hernandez venait de reprendre sa fessée, dont elle semblait être une adepte inconditionnelle. J'avais les fesses en feu, ce qui avait au moins
l'avantage de ne plus me faire sentir la douleur de mes sphincters dilatés.
Lorsque la fessée stoppa, j'avais les yeux remplis de larmes, tant de douleur que de honte.
Mais ce n'était pas fini.
L'écartèlement de mon anus venait de reprendre de plus belle. J'avais l'impression que mes fesses allaient se déchirer d'un seul coup. Chaque tour de vis écartait un peu plus le métal et au bout
de trop longues minutes de souffrances, l'infirmière poussa un soupir en ajoutant:
- C'est bon il est écarté au maximum, je vais pouvoir introduire des pinces.
En grande professionnelle, Madam Hernandez, s'appliquait pour introduire au fond de mon ventre, un grandes pince de chirurgien, capable d'attraper ce foutu tampon. Il ne lui fallut que quelques
secondes pour le récupérer.
- Le voila le coquin, dit-elle. C'est presque finit. Mais avant il va falloir tout nettoyer pour être sur qu'il ne reste rien à l'intérieur et éviter tout risque d'infection.
En y réfléchissant bien, j'avais l'impression qu'elle était en train de raconter n'importe quoi. Il me suffisait d'aller aux toilettes pour évacuer d'éventuels "restes". Mais j'en été presque
certain maintenant, elle devait avoir envie de réaliser sur moi le reste de ses phantasmes refoulés avec son mari.
- On va lui faire un bon lavement au gros sel, comme ça, il pourra rentrer chez lui bien vidangé.
- Au fait vous devriez aller voir si ses amis sont rentrés.
Cette phrase venait de me glacer le sang. Cette salope n'allait tout de même pas suggérer aux deux femmes d'aller voir mes amis. J'avais tout à redouter d'une pareille démarche de leur part. Mais
aussi bien ficelé qu'une momie, je n'avais pas la moindre chance de pouvoir intervenir sur le cour des choses.
- Pitié pas ça, me mis je à crier, avant qu'Alexandra me mit la main sur la bouche pour me faire taire.
- Magnifique, je n'avais pas pensé à ça, mais tu as raison, on va en profiter pour donner un avertissement à tes amis. S'ils te voient dans cette position, je suis certain qu'à l'avenir ils
réfléchirons à deux fois avant d'embêter des filles. Christine va voir si ses amis sont rentrés chez eux.
Au claquement de porte, je fut prit de véritables sueurs froides, incapable de maîtriser cette transpiration abondante qui m'inondait maintenant le corps tout entier. Les rires de madame
Hernandez et d' Alexandra accompagnaient mon désarroi et mon angoisse.
Madame Hernandez était entrain de préparer avec l'aide d'Alexandra, mon dernier supplice, le clou de cette journée de cauchemar, et le pire restait certainement à venir.
- Entrez les garçons, venez voir votre amis, on est entrain de le soigner à la suite de ses déboires avec la gente féminine. Je suppose que vous voyez de quoi je parle. Pétrifié de honte, je
n'osais ni n'arrivais à prononcer le moindre mot.
A la seule pensée que mes deux amis me voyaient ainsi exposé, les fesses entre ouvertes et rougies par la fessée, l'anus pénétré et écartelé par un engin prévu pour les femmes, attachés à ce lit
de torture, je ne put retenir mes larmes. Je sanglotait maintenant à chaudes larmes, ce qui eux pour effet d'adoucir le discours d'Alexandra.
- On va lui donner un dernier lavement pour son bien et vous allez le récupérer pour bien vous occuper de lui, il aura besoin de tout votre réconfort après ce qu'il vient d'endurer.
Les garçons ne répondaient même pas, complètement tétanisés par la surprise et par la vision de cauchemar qu'ils avaient sous les yeux.
- Je retire le spéculum et on lui rempli le ventre avant de le rendre à ses copains. Il se videra chez lui, ça sera mieux pour tout le monde, dit-elle en ponctuant sa phrase du même rire de
Docker que tout à l'heure.
Elle commençât à dévisser le spéculum. Je sentis immédiatement mon anus revenir à une tension supportable. Puis elle tira en arrière sans ménagement l'engin qui sortit d'un seul coup de mes
fesses. Immédiatement et toujours par réflexe naturel, mes sphincters venaient de se contracter en signe de défense naturelle.
Mais la trêve ne fut que de courte durée.
-Passez moi la canule et que l'une de vous tienne le boc, s'il vous plaît.
Alexandra ou Christine devaient aider l'infirmière.
- Regardez bien les garçons et que cela vous serve de leçon !!!
Je sentis la canule s'introduire et violer une fois de plus, dans cette journée de cauchemar, mon intimité. Presque aussitôt, un liquide chaud se mit à couler en moi et me remplir le ventre. je
dus attendre de bonnes minutes que toute l'eau salée se soit vidée du boc dont j'ignorais la contenance. Les premières convulsions au niveau du ventre venaient de commencer.
Pendant que Christine me détachait les mains, Alexandra faisait de même avec mes jambes. Madame Hernandez de son coté rangeait tranquillement son matériel, ravi de son incroyable visite chez les
deux lesbiennes.
Mes copains toujours aussi pétrifiés attendaient sagement le feu vert du départ.
Toujours aussi nu, ridiculement rasé, les fesses d'un rouge écarlate et les yeux remplis de larmes, je dus faire face à mes deux amis qui me détaillaient maintenant de la tête au pied constatant
de visu ce à quoi ils venaient d'échapper.
- C'est fini les garçons, rentrez dans votre appartement et oubliez cette journée, mais qu'elle vous serve de leçon pour l'avenir.
Une main devant mon sexe rabougri par tant de "maltraitance", une autre derrière pour cacher ma nudité, je passais maintenant la porte de la chambre puis de l'entrée pour me retrouver sur le
palier de l'étage encadré par mes deux amis. Au même moment, comme pour ponctuer cette journée de galère, un couple et leurs trois enfants sortaient de leur appartement me faisant face, le temps
que Laurent essayait péniblement d'ouvrir en quatrième vitesse les trois verrous de la porte de notre appartement.
- Tu as vu maman, il est tout nu le monsieur. Un éclat de rire collectif venait de s'emparer de toute la famille qui me faisait face. Et cet imbécile de Laurent qui mettait un temps fou à ouvrir
la porte. Je baissais une fois de plus la tête attendant que la porte s'ouvre sur ma délivrance.
C'est au moment ou la mère de famille passait à ma hauteur avec un regard dédaigneux, que l'irréparable se produisit.
Je ne pus retenir plus longtemps l'eau salée qui me remplissait le rectum.
Un long jet puissant força le passage. Mes sphincters tellement sollicités, avaient depuis longtemps abandonné toute velléité défensive. Journée maudite, au moment ou je pensais que mes
humiliations successives allaient prendre fin, je subissais l'affront public de me vider devant une famille de vacanciers bien loin d'avoir imaginé une seule seconde le spectacle qu'ils avaient
maintenant sous les yeux.
- Dépêchez vous les enfants, et tournez la tête, ce jeune cochon doit être ivre !!!!
Rouge de honte devant la situation que je ne maitrisais plus, je me précipitais dans la salle de bain, dés que la porte de notre appartement m'ouvrit son salut..........
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