Vendredi 21 mai 5 21 /05 /Mai 12:25

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Par gigipanpan
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Vendredi 21 mai 5 21 /05 /Mai 11:18

Plaqué et maintenu au sol, je devais subir un nouvel assaut des mains inconnus. Une nouvelle éjaculation mis définitivement fin à mon érection et en un temps record mon sexe se repliât rapidement entre mes cuisses.

 

"Tu es sale comme un cochon"  dit une jolie voix féminine.

"Il va falloir te nettoyer de fond en comble avant de te renvoyer chez toi".

 

Je fus mis debout  puis plaqué contre le tronc d'un grand arbre qui se trouvait à proximité. Le ventre plaqué contre l'écorce rêche, une corde fut passé autour de ma taille pour me maintenir en place. Mes jambes furent écartées à la limite du supportable, puis attachées à l'arbre.

Bloqué contre ce pilori naturel, je devais attendre la suite des évènements. Je sentis une main s'introduire entre mes jambes pour écarter mes fesses et dégager le passage. Pendant que  deux maintenaient les globes de mes fesses écartés, un doigt venait de s'aventurer sur mon orifice rectal et commençait un va et vient afin d'en faciliter le passage. Un lubrifiant avait du être mis sur le doigt inquisiteur car le va et vient ne me provoquait aucune souffrance.

 

Quelques instant plus tard, un tuyau força mes sphincters et s'introduit profondément dans mon rectum. Je sentais dans mon ventre le long tuyau qui prenait place.

 

J'entendais maintenant quatre voix bien distinctes et j'avais beau chercher dans ma mémoire, aucune d'elles ne m'était connue. Les réflexions, moqueries et rires devenaient de plus en plus fréquents et vexatoires.

 

"Opération lavage de l'intérieur" dit l'une d'entre elle.

 

presque en même temps je sentis couler en moi un liquide chaud qui peu à peu me remplissait le ventre.

 

"Si tu en relâche une seule goutte avant mon autorisation, je te brule les fesses à t'en faire hurler de douleur" le ton employé était sans ambiguïté sur la détermination de cette femme inconnue.

 

La peur me faisait transpirer et je décidais de serrer au maximum mes sphincters. Le liquide continuer à m'envahir le ventre. Je le sentais gonfler pour absorber la quantité ingurgitée. J'avais bien du recevoir plus d'un litre quand je sentis le tuyau se retirer de mes fesses. Il me fallut faire en effort supplémentaire lorsque le bout du tuyau libéra mon anus. Je savais être observé et je ne voulais pas prendre le risque de libérer la moindre goutte de liquide.

 

Mon ventre se mit à gargouiller par saccades. Je transpirait de plus en plus en me contractant le plus possible pour ne pas me vider devant ces inconnues.

 

"Un quart d'heure, tu vas te retenir un quart d'heure, sinon il tu le regretteras" La voix venait de donner une limite de temps à mon supplice. je devais maintenant tenter de me calmer pour ne pas céder à la panique et aux assauts répétés du liquide qui ne demandait qu'à sortir de mon ventre.

 

Les quatre filles devait attendre assises devant moi, le moment ou j'allais capituler car je les entendais commenter mes lentes contorsions. Je serrais les dents, contracté tous mes muscles pour lutter contre la poussée intérieure de l'envahisseur.

 

"Plus que cinq minutes" m'annonça une autre voix.

 

Je me mis à trembler de tous mes membres, je n'allait pas pouvoir tenir aussi longtemps. Le liquide commençait à écarter inexorablement mes sphincters. je tentais un dernier effort  et tout en hurlant dans mon bâillon de Scotch pour me donnait du courage, je me gesticulait dans tous les sens pour contracter mes muscles le plus fort possible.

J'étais en nage. La transpiration ruisselait tout le long de mon visage, de mon dos, de mon ventre et de mes jambes. J'avais l'impression d'être passé sous la douche tellement j'étais trempé.

 

Mais la lutte était trop inégale. Une dernière charge du liquide me fit capituler. Telle une vanne que l'on ouvre d'un coup, un jet d'une puissance incroyable sorti de mes fesses. Le bruit honteux du liquide qui s'écoule avec violence sur le sol, me fit pleurer de rage de n'avoir pu lutter plus longtemps.

 

Je me vidais en un long jet chaud qui s'échappait de mes fesses que je n'arrivais plus à contrôler.

En plus de l'eau,  je sentais passer avec horreur quelques matières fécales qui se mêlaient au liquide. Je voulais mourir de honte tellement m'était insupportable de devoir me vider devant ces quatre femmes qui dans quelques minutes allaient de toute évidence se défouler sur moi.

Pendant de longues minutes les gargouillis se mélangeaient aux dernières saccades de mon ventre qui se vidait intégralement. Une odeur désagréable  monta jusque dans mes narines, preuve que je me vidait complètement.

 

J'en pleurait un peu plus de rage, sachant que dans quelques instant j'allais devoir endurer une punition encore inconnue pour n'avoir pas su me retenir. Les dernières gouttes de liquide coulaient maintenant le long de mes cuisses, comme les dernières larmes de ma détresse.

 

Je dus rester ainsi encore quelques minutes, et lorsque les inconnues entreprirent de me détacher de l'arbre se fut pour me plaquer à nouveau par terre, sur le dos.

Je sentis mes jambes s'écarter au maximum. Des cordes furent passées autour de mes chevilles et une fois tendues à la limite de ce qu'un prisonnier peut supporter, les femmes me lâchèrent dans cette position pas du tout confortable. Mes mains croisées dans le dos m'obligeaient à me cambrer et à soulever légèrement mes fesses.

 

Je n'allait pas tarder à découvrir ma punition. le craquement d'une allumette n'annonçait rien de bon.Rapidement suivi d'un deuxième puis d'un troisième et enfin d'un quatrième. Le silence du lieu et le fait que les femmes ne parlaient plus entre elles me faisait craindre le pire. J'essayais sans succès de gesticuler pour libérer mes chevilles et pour tenter de refermer mes jambes pour me protéger de cette punition inconnue.

 

Presque en même temps quatre piqûres de feu enflammèrent mon sexe. Puis ce fut un flot presque continu de ce que je venais d'identifier comme de la cire chaude. Mes tortionnaires avaient manifestement l'intention de me recouvrir de cire chaude.  J'essayais à nouveau de gesticuler pour éviter ces terribles gouttes de cire chaude qui brûlaient ma peau à chaque contact. Ce supplice dura pour moi une éternité.

 

Une fois mon sexe recouvert de cire les filles décidèrent de s'attaquer à mon entre jambe. Ce fut au tour de mes testicules de recevoir ce feu liquide qui m'arrachait presque à chaque instant des gémissements de douleur. Puis ce fut au tour de mon ventre, de mon torse et mes seins. je perdais toute notion de temps mais j'imaginais facilement que les bougies devaient être énormes car le flot ininterrompu de cire prouvait bien que les filles souhaitaient me recouvrir entièrement le corps.

 

La cadence finit par ralentir et lorsque je sentis les cordes emprisonnant mes chevilles se distendre légèrement, je me mis à imaginer stupidement que ma punition était maintenant terminée.

Les paires de mains commençaient maintenant à arracher par petits paquets la cire qui me recouvrait le corps. Je devais maintenant subir une véritable séance d'épilation tel que les femmes en ont elles pris l'habitude. C'était encore plus difficile à supporter que les gouttes de cire. Ma pilosité naturelle étant importante, mon torse, mon pubis et mon entre jambe leur procuraient un terrain de jeu extrêmement favorable et fourni. J'allais me retrouver à la fin dans la peau d'un nouveau né sans le moindre poil sur le corps si l'on excepte la tête.

 

Suite à venir..............

 

 

Par gigipanpan
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Jeudi 20 mai 4 20 /05 /Mai 18:18

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Par gigipanpan
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Jeudi 20 mai 4 20 /05 /Mai 16:45

J'avais pris rendez vous une fois de plus avec Nelly, persuadé que j'allais vivre à nouveau une journée torride.

 

Lorsque je pus la joindre au téléphone, elle me dit simplement de me rendre à une adresse inconnue, de pénétrer dans le jardin et de me rendre devant la voiture qui y était garée, d'ouvrir la porte arrière, de récupérer un paire de menottes et un bandeau avant de me déshabiller entièrement et de mettre tous mes vêtements dans le coffre.

 

Une fois nu je devais mettre le bandeau sur mes yeux et passer les menottes dans mon dos. Il me suffisait ensuite de m'allonger en travers de la banquette arrière et d'attendre le bon vouloir de Nelly.

 

Il faisait une belle journée lorsque je pénétrais dans le jardin de cette maison inconnue. Sachant qu'il me valait mieux obéir, je ne tardais pas à me retrouver allongé nu, attaché et privé de vue sur la banquette de l'audi A4.

 

Quelques minutes plus tard, le six cylindres me fit comprendre que le début de cette nouvelle aventure venait de commencer. De mémoire, il ne me semblait pas que les vitres de la voiture étaient fumés !!!! Si par malheur on devait traverser la ville et s'arrêter à des feux rouges, on allait me voir dans cette position ridicule et qui sait quelqu'un pourrait même me reconnaître. Rien qu'à cette idée, je décidais de me mettre sur le ventre pour cacher mon visage.

 

La voiture ne démarrait toujours pas et je compris vite pourquoi. La porte arrière du véhicule s'ouvrit et un main me tira par les cheveux pour me faire asseoir au milieu de la voiture.

Une main ferme saisie ma cheville droite et je sentis qu'une corde passait autour d'elle puis se fixait très certainement à l'accoudoir de la porte. L'inconnue fit le tour de la voiture, fit de même avec mon autre cheville et la porte claqua. Quelques secondes plus tard, je sentis la corde se tendre pour écarter mes jambes. La corde avait été également passée dans l'accoudoir et on tirait ferme dessus pour la tendre et me distendre.

Quelques secondes plus tard je me retrouvais les jambes écartés au maximum, les bars attachés dans le dos, dans l'impossibilité de bouger et de cacher mon intimité.

 

La voiture se mit en route, décuplant mon angoisse. Ce que je craignais par dessus tout, se produit bien. Les bruits environnants me confirmaient que l'on était bien entrain de traverser la ville. Ne pouvant rien y faire je décidais de faire le maximum pour baisser la tête et tenter de dissimuler au maximum mon visage.

 

Après plusieurs minutes de trajet, et lorsque le véhicule ralenti, je compris qu'il allait se passer quelque chose qui e présageait rien de bon. Les cris et les rires me faisaient comprendre que l'on était arrêté devant un lycée ou une fac.

 

Une fois le véhicule stoppé, les rires féminins me firent comprendre que l'on se trouvait devant un établissement ou les filles étaient en majorité. Soudain un air frais pénétra dans le véhicule. Les deux vitres arrières de la voiture devait de s'abaisser !!!

Une voie féminine inconnue, à l'accent espagnol, se mit à appeler:  Ohé les filles, venez donc voir mon petit esclave !!

Les rires et les commentaires sur le ridicule de ma situation me faisait monter le rouge au joues. J'étais mort de honte et dans l'incapacité de cacher ma nudité, mon sexe exposé à la vue de ses gamines. Je sentis soudain une main attraper ma verge et je sentis presque en même temps le contact et l'odeur d'un feutre passer et repasser sur mon sexe. Ce contact provoqua une timide érection. Je venais de réaliser que l'un des filles avait décidé de donner une autre couleur à mon pénis. L'odeur caractéristique des gros feutres indélébiles me fit craindre le pire.

 

La pointe large du feutre se concentrait maintenant sur mes testicules et j'avais beau essayer de me soustraire à ce coloriage, rien ne semblait vouloir arrêter cette inconnue qui m'humiliait devant d'autres filles. les rires fusaient et je compris qu'un véritable attroupement s'était formé autour du véhicule.

 

La voix de la conductrice mit fin à mon supplice: C'est bon les filles, vous l'avez suffisamment colorié. A bientôt.

Les vitres remontèrent et le véhicule démarra lentement. L'odeur du stylo feutre avait rempli la voiture. Il m'était impossible de voir le résultat, mais j'imaginais que la fille avait parfaitement accompli sa tache vue le temps ou elle avait passé et repassé le feutre sur ma peau. Pourvu que je puisses me nettoyer avant de regagner le domicile.

 

Il fallu une bonne demie-heure pour que le véhicule stoppe à nouveau. Une odeur campagnarde m'emplie les narines.

Mes chevilles furent distendues et lorsque la porte s'ouvrit, la main inconnue me tira vers l'extérieur.

je me retrouvais nu en plein air, les mains attachées dans le dos, les yeux bandés et dans l'incapacité totale de savoir ou nous nous trouvions.

 

L'une des deux cordes fut passée autour de mon coup et je dus suivre mon bourreau qui d'un pas rapide m'éloignait du véhicule. Le sol était heureusement souple et le plus souvent recouvert d'herbe. Mais de temps en temps je sentais les cailloux et autres branchages me martyriser la plante des pieds.

 

Lorsque le périple prit fin, il me fallut me tenir à nouveau debout ne sachant quelle attitude adopter, ne sachant pas ce qui se trouvait devant, sur les cotés et derrière moi. Il me fallait attendre. L'inconnue passa derrière moi et me remonta les mains dans le dos. A l'aide d'une des cordes elle fit plusieurs passages autour de mes épaules afin que mes poignets se retrouvent fixés le plus haut possible dans mon dos.

J'étais certain que le fait de me mettre dans cette position signifiait que l'on voulait m"empêcher de protéger mes fesses.Je dus rester debout plusieurs minutes après avoir entendu l'inconnue s'éloigner sans un mot.

 

Après un temps qui parut une éternité, les pas s'approchèrent de moi et l'inconnue me fit lever une à une mes jambes. je sentis passer une culotte entre mes jambes. Les deux mains de mon inconnue remontaient maintenant la culotte sur mes fesses. Je sentis au passage que la culotte n'était pas vide. le passage sur mes cuisses me fit comprendre que des herbes y avaient été déposées.

 

Lorsque les deux mains remontèrent sur mon ventre la culotte je compris immédiatement que l'inconnue l'avait rempli d'orties fraîches. Le bruit d'un rouleau de Scotch que l'on dévide me parvint aux oreilles. Elle avait décidé de bien fixer cette culotte sur mon ventre afin que je ne puisses la faire glisser et tomber.

Presque immédiatement  une boule de feu m'emplie les fesses, le sexe, les testicules. Les orties avaient commencé leur supplice. La douleur était insupportable et je ne pu que laisser échapper de ma bouche des cris de douleurs.

 

Pour me faire taire, ma tortionnaire me fit passer le Scotch autour de mon coup et de ma bouche.

Aprés une dizaine de tours, je ne pouvais qu'émettre un gémissement tout à fait inaudible. Je me tortillais sur place pour essayer de lutter contre ce feu qui envahissait mon corps.

 

"A tout à l'heure"  me lança la voix inconnue en s'éloignant.

Je me retrouvais maintenant en pleine nature dans un lieu inconnu, dans une tenue honteuse, dans l'incapacité de marcher, de voir, de parler et d'appeler au secours. Mes bras liés dans le dos m'empêchaient de me protéger en cas de chute en avant et je me mis à pleurer de honte, de douleur et de stupidité d'avoir accepté de me mettre tout seul dans une telle situation. Qu'allait -il se passer maintenant, j'étais à cent lieux de men douter......

 

La douleur devenait réellement insupportable, pour éviter une chute dangereuse je décidait de m'asseoir et de réfléchir au moyen de sortir de ce terrible piège.

 

Ayant par bonheur les jambes libres, je posais un genoux à terre puis un deuxième et une fois dans cette position je fis une rotation rapide pour me poser sur les fesses sans chuter sur le coté. Les orties maintenant écrasées par mon propre poids me rentraient dans la raie des fesses et entre mes cuisses, ravivant au passage une douleur violente sous mes testicules.

 

Cette position de repos partiel était en fait le meilleur moyen de faire souffrir un peu plus mes fesses et mon sexe.

Je décidais d'écarter maintenant les jambes pour donner un peu d'air à mes cuisses en feu. Un peu plus tard je m'accordais le droit de m'allonger sur le dos puis sur le coté pour essayer de rendre un peu moins pénible ma situation.

 

Je n'étais pas allongé depuis quelques minutes que j'entendis venir des pas dans ma direction. A n'en pas douter c'était plusieurs personnes qui marchaient d'un pas rapide et décidé dans ma direction. Je ne savais pas quoi faire.

 

Si je ne bougeais pas j'allais être découvert dans cette position et ce serait atroce. Si j'essayais de bouger pour me cacher je risquais de me blesser en heurtant je ne sais quel obstacle. Je décidais finalement d'affronter la honte et le déshonneur d'être découvert attaché, bâillonné et le slip remplis d'orties. Je m'allongeais de tout mon long en attendant d'être découvert.

 

Lorsque les pas s'approchèrent de moi en silence, je compris très vite que les personnes qui me regardaient n'étaient pas là par hasard. Leur silence trahissait le fait qu'elle savait parfaitement que je me trouvais là. Aucune parole ne trahissait leur identité.

 

Soudain je sentis eux paires de mains me maintenir au sol en m'appuyant avec fermeté sur les épaules et le ventre. 

Le contact métallique froid de ce qui devait être un couteau ou une paire de ciseau, s'insinua entre le slip et ma cuisse. Un claquement sec puis un deuxième libéra le slip qui m'emprisonnait. Une main qui devait être gantée m'ota en un tour de main le tissu et surtout les orties qui fouillaient mon corps. S'insinuant entre mes cuisses et mes fesses les doigts enlevaient une à une les orties mouillées qui restaient collées à ma peau. Au fur et à mesure que cette main nettoyait mon corps je sentais la douleur diminuer en même temps que ma honte atteignait la côte d'alerte. Mais je décidais de me laisser faire. Une fois débarrassé des orties je sentis une odeur de lait de beauté m'emplir les narines.

 

Les mains amies me versaient maintenant un lait ou une crème sur le bas ventre et entreprenais de me nettoyer de fond en comble. Un long et complet nettoyage de mon intimité me procura même une érection inattendue et encore plus gênante. Un petit rire féminin fusa et je devinais alors qu'il y avait au moins une femme parmi ces paires de mains. Une main s'empara de ma verge et commença à me masturber tout en versant sur le haut de ma verge le lait bienfaiteur. le rythme s'accélérait et au bout de quelques minutes je ne pus retenir une longue et puissante éjaculation. Mais la main avait décidé de continuer à coulisser autour de mon sexe.

 

Constant que ma verge commençait à se ramollir, une deuxième main entrepris de m'écarter les fesses pour plonger un puis deux doigts dans mon anus déjà fortement sollicité. Les deux doigts écartaient mes sphincters pour forcer le passage et me violer un peu plus. Pendant ce temps l'autre main avait décidé de prolonger mon érection et d'obtenir une nouvelle éjaculation. Un mélange de plaisir et de souffrance me maintenait dans un état étrange.

 

 

Suite à venir !!!!!

 

Par gigipanpan
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Lundi 6 avril 1 06 /04 /Avr 18:12

LA GROSSE HONTE LORS DE MON PREMIER BIZUTAGE

Ma première grosse honte a été vécu lors d'un camp de vacances. J'avais alors 13 ans et je n'osais pas prendre de douche en présence des autres garcons ne voulant pas leur dévoiler mon anatomie.

 Un soir les plus grands ont décidé de bizuter les plus jeunes et bien sur le bizutage est tombé sur moi.

Je dormais profondément enfermé dans mon duvet lorsque je me suis senti "porté en l'air" sans comprendre se qui m'arrivait.
Pour ne pas être reconnu  et de peur d'être dénoncés par la suite , je me suis retrouvé allongé dans la salle des douches avec un bonnet enfoncé jusqu'au coup et pour qu'il tienne en place l'un des "bizuteurs" a fait plusieurs tours de scotch autour des yeux.
Je ne pouvait voir ce qui se passait et  j'étais mort de peur et de honte. Je voulais crier mais là également les grands avaient bien préparer leur affaire et je me suis retrouvé avec un morceau de tissu dans la bouche le tout bien maintenu par le sctoch qui me tiraillait les cheveux et maintenait en place le baillon qui m'empéchait de parler. Enfermé dans mon duvet avec seulement la tête qui dépassait et qui était déjà 'hors d'état de nuire", je ne pouvais que subir.

Lorsqu'ils ont décidé de me faire une véritable "mise a l'air" , j'ai entendu les rires des garcons mais aussi des filles. J'avais envie de pleurer et de crier mais je ne pouvais pas. J'ai soudain senti mon tee shirt passer au dessus de mes épaules et dans les secondes qui ont suivi , mon slip a lui aussi été enlevé sans ménagement. Lorsque je l'ai senti glisser à mes chevilles, j'ai réalisé que cette soirée allait être terrible pour moi car je ne pouvais m'opposer à cette mise à nu.

Je me suis retrouve nu étendu sur le carrelage des douches, les bras et les jambes maintenus écartés par plusieurs mains solides. Une main vigoureuse tirait en l'air mon sexe pour je ne savais encore quelle raison.

 J'essayais de me débattre mais l'un d'eux s'est trés vite assis sur mon torse afin de me bloquer solidement au sol. Pour mieux m'immobiliser, l'un de mes bourreaux m'avait maintenant attaché les mains derrière le dos à l'aide du rouleau de scotch.

Je sentis soudain une main se refermer sur ma verge et commencer à me masturber devant tout le monde. "On va le faire bander comme un fou" s'écriat la voie féminine qui me secouait la verge dans tous les sens. Cela faisait mal, mais bizarrement je ne pouvais stopper le début d'un timide érection.


J'entendais une voix qui annoncait le supplice à venir: "Il faut lui faire la bite au cirage"
 

Les rires fusaient, les reflexions sur la petite taille de mon sexe et les commentaires allaient bon train. Je devais être rouge de honte, mais cela ne pouvait se voir.

"Le cirage, le cirage réclamaient les filles".

L'une des filles qui riait de plus en plus fort prés de mon oreille avait décidé de me carresser le sexe afin de faciliter le passage  du cirage. N'ayant plus de force pour me débattre, je ne bougeais presque plus et je comprenais que c'est justement cela qu'attendait mes bourreaux pour pouvoir agir plus facilement. J' étais en nage à force de gesticuler et de me contortionner pour essayer de cacher en vain ma nudité.

Je sentis soudain le contact d'une brosse sur mon sexe , ce qui créait un effet assez bizarre de honte et de plaisir à  la fois. Quelques rires de filles amusés par la scéne me donnait envie de mourrir et j'entendais des voix connues qui commentaient mon début d'érection. Le cirage devait faire son effet car la brosse avait de plus en plus de mal à passer sur mon sexe et entre mes jambes et je sentais le cirage coller aux polis de mon ventre et sur mes cuisses.

"La fessée, la fessée, demandaient maintenant des voies ennemies".


Tout d'un coup je fus retourné sur le ventre et je senti presque aussitot les premier claquements sur mes fesses nues. Un "grand" ou une fille devait me fesser avec la paume de  car le contact était souple et le bruit était trés sec. Je sentais peu à peu mes fesses me bruler sous les claques.

Heureusement cette punition s'arréta aprés une vingtaine de claques qui avaient du "rougir" mes fesses car malgré le baillon j'essayais de crier  tant et plus.Je pense que c'est cela qui m'a sauvé d'une trés longue fessée et la peur que mes cris étouffés soient entendus a fait cesser cette terrible humiliation.

Le bizutage allait prendre fin aprés que mes fesses aussi eurent été également passées aussi au cirage. Le devant ne leur suffisait pas, il leur fallait aussi "colorier" le côté face pour rendre complète cette humiliation.

Je sentais la brosse passer et repasser sur mes fesses et même dans la raie des fesses. L'un des bizuteurs écarta avec ses mains mes fesses pour mieux pouvoir passer la brosse et le cirage. Les filles étaient  "mortes de rires" de voir mon intimitée ainsi dévoilée et barbouillée.

J'entendais des reflexions et des commentaires plus humiliants les uns que les autres.
Avant de me libérer l'un des garcons a ordonner que l'on me passe le bout du gland au cirage. Je me suis donc retrouvé immédiatement retourné à nouveau avec sur mon visage les fesses d'un des plus lourd de la bande.J'avais du mal a respirer,c'était terrible à vivre.

Je sentais à nouveau la brosse passer sur le bout de mon sexe et je ne pouvais retenir une trés faible  érection qui me faisait honte devant tous ces témoins. Puis ce fut la fin de mon supplice. Je fus maintenu les jambes serrées le temps pour mes bourreaux de me remettre dans mon duvet pour faciliter leur fuite.

Pour pouvoir s'enfuir en toute impunité et ne pas être reconnus, l'un d'eux avait fait plusieurs tours de rouleau adhésif autour de mon duvet,mes bras avaient été eux aussi scotché dans mon dos, heureusement pas suffisament fort pour les ligoter définitivement.
J'entendais des rires s'éloigner en courrant, mais je ne pouvais les identifier.

Quelques minutes plus tard j'arrivais à me redresser en m'appuyant sur l'un des murs de la salle de douches et je pu  libérer mes bras à force de gesticulations. J'enlevais immédiatement mon baillon et le bonnet qui m'empéchait de voir le résultat de ce bizutage.

Une fois devant le miroir des lavabos je voyais devant moi un corps couvert de cirage , mon sexe mais aussi mes cuisses et mes fesses étaient enduites de cirage noir. Le cirage collait  à mes poils et lorque je mis ma main sur ma peau je compris tout de suite que faire partir le cirage serait trés difficile car il avait eu le temps de sécher.
Le seul moyen de le faire partir était de passer sous la douche et de me savonner jusqu'à ce que toute trace de cirage soit partie.

Je ne sais pas combien de temps j'ai passé dans la salle de bain pour fair partir ce foutu cirage, mais cela m'a parru une éternité.J'avais les mais pleines de cirage et le savon ne nettoyais pas trés bien. Cette nouvelle épreuve m' a parru durer des heures. Le gras du cirage était extrèment difficile à nettoyer completement et il en restait encore sur ma peau aprés plusieurs nettoyages au savon.

Pendant ce temps j'imaginais les conversations des témoins de ce bizutage. J'ai fini par regagner le dortoir et en me recouchant j'ai entendus les chuchotements et les gloussements des autres pensionnaires qui essayaient de deviner ce qui m'était arrivé.

Je n'arrivais pas à m'endormir car j'imaginais la honte qui allait être la mienne le lendemain au petit déjeuner lorsqu'il faudrait affronter le regard des filles et des garcons qui m'avaient vu nu et couvert de cirage.
Qui m'avait bizuté ? qui m'avait fessé ? Qui avait vu mon intimité et aussi mon infirmité ?

Le pire c'était de ne pas savoir qui avait participé et qui m'avait  vu dans cette position honteuse.
Le lendemain je n'osais pas me lever et rejoindre les autres pensionnaires. Il a fallu que le pion me force à me lever et à me rendre au réfectoire. J'aurais voulu m'enfuir de cet enfer que je devais à nouveau endurer.
Je crois que cette journée fut pire que le bizutage en lui même car je sentais bien les rires et les commentaires dans mon dos. Personnes ne me parlait directement et c'était un cauchemar éveillé que je vivais.
Les jours qui suivirent furent pour moi un véritable calvaire car je n'osais pas aller voir le directeur ou le suveillant général pour raconter mon malheur. J'étais bel et bien pris au propre piège de ma timidité maladive.

Par gigipanpan
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