Mardi 24 mars 2 24 /03 /Mars 16:05
Une fois remis debout, je dus à nouveau me pencher en avant, car le tas de baguettes qui me garnissait les fesses m'empêchait de me tenir droit. Pour trouver un bon équilibre, j'écartais légèrement les jambes et les pieds.
Apparemment l'inconnue n'était pas pressée de s'occuper de moi, et malgré les bouchons dans les oreilles, j'entendis la porte claquer. je devais être maintenant seul dans la pièce.

Ne pouvant me diriger à cause du bandeau sur mes yeux, je décidais de prendre un peu de repos et de m'allonger sur le sol en attendant la suite des évènements. Il me fallait me coucher sur le côté pour ne pas me blesser avec les baguettes qui distendaient à chaque mouvement, un peu plus mes sphincters. J'adoptais la position en chien de fusil qui me semblait être la plus confortable.

Je ne sais plus combien de temps dura mon attente, mais lorsque je sentis un léger courant d'air sur mon corps, suivi d'un claquement sec de porte, je fus certain que les punitions et les humiliations allaient recommencer.

Des doigts inconnus se mirent à "fouiller" mes oreilles pour m'ôter les bouchons auditifs. Quelques secondes plus tard, le léger bourdonnement cessa enfin.
Une main ferme me prit sous le bras pour m'aider à me remettre debout.

- Nous allons aller à la salle de bain, car j'ai comme dans l'idée qu'une bonne toilette va être nécessaire lorsque je vais enlever les baguettes de ton derrière.

Toujours dans le noir je suivis docilement la main qui me poussait hors de la pièce.

Une fois dans la salle de bain, on me fit enjamber la baignoire, puis je dus appuyer mon ventre sur le rebord et me pencher le torse et la tête vers l'extérieur.

Les mains toujours liées dans le dos, on m'aida pour appuyer ma tête sur le sol. J'avais maintenant la tête en bas et les fesses en l'air à l'intérieur de la baignoire.
Je venais de comprendre que dans cette position, l'inconnue allait pouvoir, en toute tranquillité, enlever les baguettes et me laver avec la douche au cas ou je n'arriver pas à retenir mes sphincters malmenés depuis pas mal de temps.t

Une à une les fines baguettes commencèrent à quitter leur nid douillet et je sentais, au fur et à mesure que la tension se relâchait, mon anus reprendre sa place et se resserrer naturellement. Des gargouillis dans le ventre me firent paniquer car je n'osais penser à ce qui se passerais si je me vidais dans la baignoire. Heureusement pour moi lorsque la dernière baguette libéra mes fesses, je pus serrer au maximum mes sphincters pour lutter contre ce besoin naturel qu'il me fallait encore conserver en moi.

On me guida devant la porte des wc et mon bâillon fut enlevé lorsqu'une main ferme me poussa à l'intérieur des toilettes.

Une fois assis, j'entendis derrière la porte la voix qui m'était maintenant familière.
- Quand tu auras fini, retourne prendre une douche, puis retourne dans la pièce que tu connais. Tu lira les instructions.

Je profitais de ces instants de répits pour masser mon corps tout entier meurtri qu'il était par cette dure journée.
L'eau chaude sur ma peau me fit l'effet d'un bain de jouvence, et lorsque propre comme un sou neuf, je pénétrais à nouveau dans la pièce, ce fut pour y découvrir une nouvelle enveloppe.

Le contenu était on ne peut plus explicite:
- habille toi et rentre chez toi !!!!

Je m'exécutais sans demander mon reste, et comme à l'habitude je quittais l'appartement sans avoir pu voir le visage de N...y.

Par gigipanpan
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Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 14:58
Au bout de quelques minutes, elle m'intima l'ordre de venir m'allonger sur ses genoux, et de croiser mes bras dans mon dos.

Je me relevais, et sans opposer de résistance, je plaçais mon corps endolori et mon ventre sur les plis de sa jupe.
Elle me fit avancer, afin que mes fesses soient à la hauteur de sa main gauche.
Pour conserver l'équilibre, je dus écarter légèrement mes pied, qui reposaient tout juste sur le sol.

Une fois bien calé sur ses jambes, l'inconnue passa autour de mes poignets, une fine cordelette qu'elle finie par nouer avec précision, non sans avoir effectué plusieurs passages autour de mes poignets. Mes bras bien immobilisés au milieu du dos, ne pouvaient plus bouger et je compris qu'il me serait impossible de me protéger.

Alors que j'envisageais déjà recevoir les premières claques sur le postérieur,je sentis une main, puis une deuxième, s'insinuer entre mes jambes. Ses doigts, écartèrent sans ménagement la raie de mes fesses, et je sentis des ongles racler comme un rasoir, ma tendre peau.

- Je vérifie qu'il ne reste plus aucun poil, me dit-elle d'une voix ferme mais incroyablement calme.

Une fois cette vérification effectuée, elle écarta encore un peu plus mon sillon et m'aspergea l'anus de son parfum préféré. La brûlure me fit tressauter, mais d'une main ferme, elle me plaqua sur ses genoux, pour bien me faire comprendre que je devais rester dans cette position et ne plus bouger.

Pour m'humilier un peu plus, son pouce pressa l'étroit bouton et força le passage jusqu'à la première phalange. Une fois en moi, le pouce se mit à tourner comme si elle voulait distendre mes sphincters. Je n'arrivais plus à me contracter naturellement et bien vite ce massage rectal m'obligea à me relâcher complètement.

Après plusieurs minutes de va et vient, elle ressortit son pouce et entreprit d'introduire cette fois en moi son index et son majeur. Le passage fut plus difficile et je dus serrer les dents pour ne pas crier sous l'effet de cette distension que je ne pouvais empêcher. Elle reprit son lent mouvement circulaire et je sentis soudain, le passage des deuxièmes phalanges, qui écartèrent un peu plus mon anus. J'avais honte, mais surtout j'avais très peur de ne pouvoir retenir une envie de me soulager qui finirait par arriver naturellement, si elle continuait à me travailler le rectum.

Je vis soudain sa main droite prendre le petit sac à main qui était posé au pieds du fauteuil.
Que pouvait-il contenir ?

Elle l'ouvrit d'une main et plongeant à l'intérieur.
Je la vit en ressortir une énorme poignée de baguettes chinoises en plastic, identiques à celles que l'on trouve sur les tables des restaurants asiatiques.
Elle déposa les baguettes sur mon dos, comme un mikado pour adultes. Ne pouvant voir ce qu'elle préparait, j'en été réduit à écouter les bruits de batons de plastics entrechoqués, qui me parvenaient aux oreilles.

Je compris soudain ce qu'elle préparait, lorsque je sentis ses doigts s'écarter un peu plus pour faciliter le passage des baguettes dans mon anus. Elle retira ses doigts et lorsque mes sphincters essayèrent de reprendre leur place,je sentis que plusieurs baguettes avaient pris leurs places.

Comme si elle avait devinée mes pensées et mes craintes, l'inconnue s'adressa à moi avec calme, sans élever la voix, comme pour me rassurer.

- Tu vas voir, c'est une version intéressante du supplice du pal. Il s'agit d'introduire au fur et à mesure et une à une dans tes fesses, des baguettes qui vont petit à petit te distendre les sphincters. Comme cela tu pourras plus facilement recevoir bientôt, des plugs de bons calibres.

Elle continuait à commenter son travail.

- Tu as déjà presque dix baguettes dans le derrière et maintenant,  je vais introduire en introduire d'autres par le centre du cercle formé, et elles vont écarter les autres pour  te distendre sans que tu t'en rende vraiment compte.
On va voir jusqu'à combien de baguettes je vais pouvoir t'enfiler dans le cul pour cette première fois.

Toutes les trente secondes environ je sentais la poussée d'une nouvelle baguette, et même si la douleur n'était pas encore importante (car chaque nouvelle baguette pénétrait au centre des autres) je sus bien vite que mes sphincters étaient déjà distendus comme jamais ils ne l'avaient été auparavant

Au bout de plusieurs minutes, elle me dit en riant:

- C'est bien, tu as pour le moment quinze baguettes dans les fesses. Pour que tu puisses te faire une idée plus précise de l'élasticité de ton anus, cela correspond au diamètre de ton petit sexe en érection. Il va donc falloir continuer....

Chaque nouvelle introduction me faisait maintenant sentir les premières brûlures au niveau de mes sphincters.
L'inconnue se mit à compter au fur et à mesure que mon anus faisait place à une nouvelle baguette.

A vingt cinq, j'eus l'impression que mes fesses allaient exploser et je ne pus retenir un timide:

- Stop, arrêtez, je vais exploser.

- Encore cinq et cela suffira pour le premier exercice. des larmes commençaient à couler le long de mes joues.
Comme pour me calmer et me faire accepter les derniers passages, elle passa sa main droite sous mon ventre et commençât à me caresser la verge, puis bien vite à me masturber de sa main chaude et souple.

L'excitation m'avait fait provisoirement disparaître la douleur au niveau de l'anus et je priais le ciel de ne pas éjaculer trop vite, tant cette sensation de plaisir et de douleur mélangée était agréable.

Elle se mit à accélérer son mouvement, et je réalisais soudain qu'elle en profitais de l'autre main pour continuer à me distendre l'anus.

Au moment ou je ne pu retenir mon éjaculation dans ses mains, elle me dit:

Et de trente !!!  Tu as le cul bien distendu maintenant. Il va te falloir rester en place un bon moment pour que le supplice soit complet.

Sa main droite finissait de recueillir les dernières gouttes de sperme et lorsque je fus complètement vidé, elle remonta sa main sur ma bouche et essuya la paume de sa main sur mes lèvres.

- Lèche et avale, me dit-elle, tu n'imagines pas que tu as me souiller de ta semence ?

Par petits coups de langue, je dus vaincre mon appréhension  pour nettoyer sa main et avaler mon propre sperme.
Lorsqu'elle jugea sa main complètement propre, elle replongea celle-ci dans son sac pour en sortir quelque chose.
J'aperçus en une fraction de seconde, un très gros rouleau de Scotch qui venait de passer sous mon nez.

- Ne bouge pas me dit-elle, nous allons consolider mon travail.

Elle déplaçât sa jambe gauche pour dégager le passage. Elle commençât par passer le rouleau autour de ma taille, puis elle "scotcha" ensemble les trente baguettes en faisant passer le rouleau entre mes jambes et autour de mes cuisses.
Petit à petit, elle réalisait sur moi,une véritable culotte en adhésif. Elle en profitât même pour emprisonner dans les rubans de colles ma verge et mes testicules.
Le rouleau n'en finissait pas de passer et repasser entre mes fesses, entre mes jambes et autour de mes hanches. Je devais maintenant avoir plusieurs centaines de mètres d'adhésif sur la peau.
La raie de mes fesses et mon sexe était maintenant complètement emprisonnés dans cette gangue collante. Seule mes fesses avaient été laissée découvertes. Je portais un drôle de string autocollant, et je devais être vraiment ridicule à voir.

Une fois son travail fini, elle me tira lentement les cheveux en arrière pour me faire comprendre qu'il me fallait me remettre debout.

Ne pouvant me servir de mes mains attachées derrière le dos, elle m'aida à me redresser et je dus immédiatement écarter les jambes à cause du paquet de baguettes qui me remplissait les fesses.
Rempli par cet énorme "pal asiatique", je ne pouvais me redresser complètement et je dus rester debout le buste en avant, incapable de me mettre droit à cause de la douleur que je ressentais dés que je voulais me tenir au "garde à vous".

Je la vis disparaître quelques secondes, et lorsque je sentis à nouveau ses mains sur moi, ce fut pour voir une dernière fois la lumière de la pièce. En une seconde, elle venait de me passer un bandeau en tissu sur les yeux, bandeau qu'elle serra avec vigueur derrière mon cou.

J'étais dans le noir absolu et pour clore le tout, elle me fit tournoyer sur place pour m"enlever définitivement tout repère. Les mains dans le dos, je ne pouvais me protéger et j'étais incapable de me situer dans l'espace de la pièce.

Au bout de quelques secondes, je sentis ses doigts enfoncer avec précision dans mes oreilles, des bouchons auditifs, afin de me priver de tout sens auditif.
Dans le noir et incapable de me diriger, dans un silence forcé qui me faisait bourdonner les oreilles, les mains liées dans le dos pour me priver de tout contact tactile, et pire encore: l'entre jambe écartelé par une trentaine de petits "supplices chinois" qui me forçait à me tenir dans une position grotesque, j'allais devoir subir l'inconnu.....

Ne sachant ou aller et surtout ayant peur de trébucher sur un obstacle, je décidais de rester sur place en attendant je ne sais quoi.

La réponse à mes questions intérieures ne tarda pas à arriver sous la forme une terrible claque sur la fesse droite.
Le claquement mat du bois sur la peau me fit reconnaître l'usage d'une raquette de ping pong ou d'une planchette  à découper. La brûlure sur la tendre peau de mon fessier fut immédiate. La seconde claque me brûla la fesse gauche. Puis les coups se firent réguliers, un coup à gauche , un coup à droite. Puis deux coups à gauche, deux coups à droite.

J'essayais de tourner sur moi même pour me protéger, mais la "fesseuse", se replaçait certainement très vite derrière moi pour continuer à me rougir la peau. En quelques minutes, je venais de recevoir une bonne quarantaine de coups et mes fesses me brûlaient à la limite du supportable.

Lorsque la fessée s'arrêta, je dus me mettre à genoux, tiré en avant par une main inconnue qui me tenait par les cheveux. Une fois à genoux, il me fallut écarter les jambes afin de supporter le paquet de baguettes qui continuaient à me distendre l'anus et que je ne pouvait expulser.

Ma tête fut prise à deux mains par l'inconnu et l'odeur si particulière de la peau féminine me parvint aux narines lorsque projeté vers l'avant ma bouche entra en contact avec un sexe féminin.

- Lèche et donne moi du plaisir si tu veux gagner ta liberté.

L'inconnue devait être assise sur un tabouret car je devinais ses jambes écartées au maximum et mon menton entra en contact avec ce qui devait être le siège du tabouret.
Les mains, qui n'avaient pas lâché ma tête, me guidaient vers le sexe humide. Les poils pubiens étaient nombreux et mon nez pouvait sentir leur odeur forte, odeur d'une femme d'âge mur. J'enfonçais ma langue dans cette humidité aux goûts salés et sucrés et les premiers signes du plaisir se collèrent sur ma bouche. La liqueur vaginale de l'inconnue m'emplissait la bouche, et persuadé d'être sur la bonne voie pour obtenir une récompense ou un sursit, je continuais à la fouiller avec ma langue.
Malgré les crampes qui commençaient à menacer de s'installer sur mes mâchoires, je continuais à planter ma langue dans cet univers chaux et humide.

L'odeur caractéristique de l'orgasme féminin m'emplit les narines et je reçus pour toute récompense un flot de liqueur chaude et salée sur le visage et dans la bouche. je n'avais jamais connu une telle abondance de liqueur vaginale lors d'un orgasme féminin et j'avais la bouche aussi pleine que si j'avais bu un verre de 25 centilitres. Pour ne pas risquer des représailles, je me hâtais d'avaler le liquide pour continuer à la satisfaire.
Les ongles plantés dans mes cheveux, m'intimaient l'ordre de continuer à lui donner du plaisir.

Elle changea de position et me dirigea la bouche vers sa rosette, que je reconnu à cause de l'odeur aigre et acide qui s'en dégageait. Le nez enfoncé maintenant dans son sexe, je devais lui lécher l'anus sous peine de voir tout mon travail être anéanti. Je surmontais ma nausée et mon dégoût et commençait à enfoncer ma langue dans son anus. Les mains appuyèrent bien fort sur ma tête pour bien me faire comprendre qu'il me fallait continuer dans cette voie. Les jambes se serraient autour de mon visage comme pour mieux faire venir le plaisir et la jouissance. Ma langue continuait son travail et je me forçais à ne plus penser à mon anus et à mes fesses qui me brûlaient terriblement.
Lorsque les tremblements de jouissances secouèrent ma tête, je compris que j'avais gagné et avait réussi à lui donné ce plaisir qu'elle m'avait forcé à lui donner.

Son orgasme venu, elle me repoussa en arrière, sans pour autant enlever ses ongles plantés dans mon crane.
Pris d'un spasme incontrôlable, elle me plaqua à nouveau le visage sur son sexe et secoua ma tête dans tous les sens, plantant mon nez au beau milieu de son vagin, et serrant de toutes ses forces ses cuisses autour de mon visage. Je dus rester de longues minutes dans cette position ou j'arrivais à peine à respirer tant son étreinte était forte. Lorsqu'elle fut déinitivement satisfaite, elle écarta les cuisses pour me libérer.

Je pus péniblement me remettre debout.................

Suite à venir prochainement.


Par gigipanpan
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Jeudi 19 mars 4 19 /03 /Mars 15:58
Plus d'un mois sans nouvelle.

Un vendredi soir, un simple sms sur mon portable contenant ce texte bref et précis:

- Demain 9h chez moi dans la pièce habituelle.

Le trajet jusqu'à Marseille me permit de laisser libre cour à mes phantasmes et mes interrogations.
Que me réservait cette journée avec N...y ? A n'en pas douter plaisirs et souffrances mélangés.

Le parking, la rue et enfin l'escalier de l'immeuble me paraissaient maintenant familiers. Au coup de sonnette, la gâche automatique de la porte s'ouvrit et sans attendre je rejoignais la pièce habituelle.

Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'en plein milieu de la pièce confortablement assise dans un immense fauteuil type "club" une femme inconnue m'attendait. Elle ne devait pas avoir plus de trente ans. Son allure très distinguée mettait en valeur sa jupe longue et son chemisier blanc. Ces longs cheveux bruns étaient ramenés en chignon sur sa nuque dégagée et la fine paire de lunette en écailles soulignait encore un peu plus son look très classique.

Elle me dévisageait de la tête  aux pieds et je ne savais quelle attitude adopter. C'est elle qui rompit le silence en s'adressant à moi.

- Avancez d'un pas et placez vous face à moi. A partir de maintenant vous devrez obéir à chacune de mes demandes, sans poser de question, ni tarder à les exécuter. Si vous m'avez bien compris, faites un oui de la tête.

Je baissais simplement la tête et les yeux pour lui signifier mon obéissance.

- Mettez vous intégralement nu, allez poser vos vêtements sur la chaise puis revenez à votre place initiale.

Par habitude et par pudeur je me tournais pour me déshabiller et plier mes affaires. Mais maintenant que j'étais aussi nu qu'un nouveau né, il allait bien falloir lui faire face. Je me retournais en mettant ma main devant mon sexe et m'avançais vers elle pour me remettre comme elle me l'avait demandé, à portée de main. 

- Pourquoi tant de pudeur, alors que je vous allez me dévoiler les endroits de votre corps les plus intimes et les plus secrètes. Enlevez votre main et mettez vos bras derrière le dos.

Je m'exécutais sans attendre,sachant pertinemment que j'avais tout intérêt à obéir à ses demandes à la première injonction.

- Écartez vos jambes et placez vos pieds à un mètre de distance. Une fois en place elle se leva avec grâce et s'avança vers moi en fixant du regard mon sexe, dont les poils avaient recommencé à pousser. Un léger duvet couvrait mon pubis faisant croire à un début de pilosité d'adolescent.

Sans dire un moi, elle se mit à tourner autour de moi et je pus sentir les effluves du N°5 de Chanel.

Avant de retourner s'asseoir, elle mit la main dans la poche de sa jupe, et en sortit un rasoir mécanique qu'elle me tendit.
- Ce n'est pas acceptable de se présenter devant moi avec une telle pilosité ridicule. Vous allez enlever jusqu'au dernier poil de votre ventre, de votre sexe et de vos fesses. Et prenez gare à n'en laisser aucun, sinon il vous en cuira.

Elle reprit place dans le grand fauteuil et attendit patiemment que je commence à me raser devant elle.

D'une main hésitante, je commençais à raser mon pubis, car c'était le plus facile. Sans mousse à raser, ni talc ou savon, le passage de la lame sur ma peau était difficile. Je dus m'aider de l'autre main pour tenir et tendre la peau lors du passage des trois lames du "Gilette". Il ne me fallut pas plus de quelques minutes pour redevenir aussi "lisse" qu'il y a un mois.

-Sous les bourses maintenant me dit-elle avec calme et détermination.

 Il me fallut me pencher en avant et tirer mon sexe vers le haut pour faciliter le passage des lames. L'absence de lubrifiant me chauffait la peau.
Une fois mes bourses aussi lisse que des oeufs, il me fallu entreprendre de me raser entre les fesses et je dus encore plus écarter mes jambes et mes fesses.
En faisant bien attention de ne pas me couper, je passais et repassais le rasoir dans le sillon que je maintenais ouvert avec ma main droite. Ma position était ridicule et un sourire moqueur se dessina sur les lèvres de la belle inconnue.

Au sol, un petit tas de poils contrastait avec la clarté du sol. Lorsque je pensais avoir fini, je me redressais et remis mes mains derrière le dos en attendant le verdict.
Se levant avec distinction, la jeune femme s'approcha de moi et sa main droite commença à fouiller mon intimité.
Elle passa la paume de sa main sur mon pubis pour bien vérifier qu'aucun poil rebelle ne subsistait, puis elle prit dans ses deux mains mes testicules en les caressant lentement pour vérifier l'absence de poil.
J'avais du mal à contenir un début d'érection et je fus sauvé par un doigt inquisiteur qui s'aventurait maintenant juste à l'entrée de mon anus. Un deuxième doigt força le passage, puis un troisième, écartant en même temps la raie de mes fesses.

- Vous n'avez pas tout enlevé, dit-elle sans agressivité, il reste des poils entre les fesses. Mettez vous à quatre pattes et écartez bien les fesses, car il va falloir continuer si vous ne voulez pas me mettre en colère.

Je m'exécutais et lui présentant maintenant mon intimité. Mes jambes écartées laissaient pendre mes bourses et cette position disgracieuse me fit rougir de honte. Je me hâtais de reprendre le rasage de mon anus et du sillon de mes fesses. Je passais et repassais le rasoir sans même me rendre compte que dans la précipitation je me coupais presque à chaque passage.

- Continuez, je vous dirais d'arrêter quand je le jugerais utile.

Au bout d'une bonne dizaine de minutes, elle m'intima l'ordre de me mettre sur le dos et d'écarter les jambes au maximum. Sortant de son sac à main un vaporisateur elle s'agenouilla entre mes jambes et commença à m'asperger le sexe de son parfum. La brûlure de l'alcool sur la peau et sur les petites plaies m'avait arraché un cri de douleur. En guise de punition, et pour me forcer au silence, la jeune femme me pinça avec force le bout du gland et avec les ongles de sa main gauche elle me pinça avec force les replis de la peau de mon anus.
Je serrais les dents pour ne pas crier, comprenant bien que c'était là ma première punition pour avoir osé crier sans permission.

L'entre jambe en feu, je dus attendre son bon vouloir pour me relever......

Suite à venir................
Par gigipanpan
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Mardi 17 mars 2 17 /03 /Mars 18:02

J'avais environ quatorze ans et nous étions en vacances à la grande motte. Mes parents ne venant à l'appartement qu'après le travail, nous étions tous les deux en fin d'après midi dans ma chambre avec Mireille, la très mignonne voisine qui habitait l'appartement situé deux étages en dessous du notre. Nous avions fait connaissance grâce à la bande de copains qui jouait au foot le soir sur la plage devant l'immeuble.

Je fus très surpris lorsqu'après avoir embrassé pour la première fois avec la langue, Mireille me demanda de me mettre debout devant elle. Je n'osais pas refuser et le faible éclairage de la pièce me mettait en confiance. La suite allait me donner tort.

Une fois debout devant elle, Mireille me demanda de fermer les yeux et de ne pas les rouvrir tant qu'elle ne m'en aurait pas fait  la demande. Intrigué par sa demande, je m'exécutais. Elle me passa devant les yeux un tissu qu'il me sembla reconnaître et qui devait être son haut de maillot.

Elle plaqua sur mes yeux le tissu et serra fort derrière ma tête afin que je ne puisse plus rien voir. Pour le moment cela était plutôt agréable.
 
Une fois le bandeau sur les yeux, elle m'embrassa sur la bouche et me dit de ne plus bouger.
Je sentis alors ses mains s'approcher de la ceinture de mon bermuda et après l'avoir défaite elle fit tomber le bermuda sur mes pieds. J'étais donc devant elle, vêtu seulement de mon tee shirt et de mon maillot de bain.

Je sentis soudain ses deux mains prendre les bords de mon maillot, de chaque coté de mon corps et elle le fit descendre lentement  pour le laisser  baissé au niveau de mes genoux. Je devais être stupide dans cette position.

Elle eu soudain un petit éclat de rire qu'elle ne pu tout à fait garder pour elle. Je me rendais compte quelle venait de mettre sous ces yeux mon sexe, trop petit pour mon âge et surtout elle avait certainement la vision amusée de voir sous mon petit pénis recroquevillé et mes petites testicules qui ballottaient en dessous.

J'étais mort de honte et je ne savais pas quoi faire ni quelle attitude adopter. Le fait d'avoir le visage recouvert me permettait heureusement de cacher mon humiliation.
Je restais là debout alors que ( pour une raison que je ne pourrais expliquer et qui devait être plus de la curiosité que l'envie de me faire honte ) elle se mit à soulever mon sexe pour jouer avec mes bourses. Elle les soupesait et le faisait rouler dans ces mains. elle tirait doucement la peau pour tester son élasticité. Elle se mit à pincer légèrement le bout de mon sexe et attendait une réaction.
Il était certain que ce n'était pas le premier sexe de garçon quelle tenait dans ces mains. Cette idée accentuait ma gène.

Cette façon de faire et de tirer sur ma verge m'avait  provoqué une érection et cette  situation était pour moi très nouvelle et un peu gênante. J'étais nu, les yeux bandés devant une fille qui jouait avec mon sexe comme on joue avec de la pâte à modeler et qui ne manquerais pas de faire des comparaisons avec les autres garçons.

Mireille du se rendre compte de ma gène car elle se remit debout pour m'embrasser et me défaire mon bandeau. je ne pouvais dire un mot et c'est elle qui parla la première.

Quelques mots qui me firent du bien et  m'évitèrent de m'enfuir ou de me mettre à pleurer de honte.

"Ce n'est pas important pour moi le fait que tu ais un petit sexe, chacun est comme il est. Regarde mes seins, ils sont aussi très petits et je m'en contente".

C'était la phrase que j'attendais. Depuis une première "mise à l'air"  de l'an dernier devant les filles sur la plage, je n'osais plus approcher une fille.

Le souvenir de cet après midi fut pour moi un bon souvenir au final.

Après m'avoir dit cela, elle me remis mon maillot en place après avoir joué une dernière fois avec mon pénis qui était déjà tout recroquevillé, elle reprit son haut de maillot, l'ajusta sur sa poitrine et me fit comprendre qu'il était temps de rejoindre les autres copains sur la plage.

Avant de partir, je lui fis promettre de ne pas parler aux autres filles de mon anatomie. En se retournant elle me dit: On verra !!!

Cette phrase me trotta quelques jours dans la tête.

Je constatais les jours suivants que les quatre autres filles de l'immeuble me regardaient différemment et cela m'agaçait car j'avais un doute sur le silence de Mireille.

Je finis par la prendre à part sur la plage pour lui dire qu'elle était dégeulasse de ne pas avoir su tenir sa langue. De loin les copains me voyaient parler avec elle et je ne voulait pas donner l'image d'un faible. Pour une raison que je ne m'explique pas encore aujourd'hui, je giflai Mireille qui ne voulait avouer sa trahison. J'avais voulu jouer le dur pour craner devant les autres et j'allais le regretter. Mireille se retourna et partis sans répondre à ma gifle.

Le lendemain sur la plage avec les copains, pas un mot sur l'incident ni des uns ni des autres. Je pensais l'affaire classée.

En milieu d'après midi la plage de la grande motte était bondée et ne pouvant plus jouer au volley toute la bande décida d'aller se baigner. Une fois dans l'eau je réalisais le traquenard dans lequel je venais de tomber.

Les quatre filles venaient de bondir sur moi. Ayant de l'eau jusqu'à la poitrine, il m'était difficile de m'esquiver. Une d'elle me prit dans ses bras pour bloquer mes mouvements pendant que deux autres me tenaient les bras. La dernière plongea sous l'eau et m'enleva mon maillot avec une rapidité qui me laissa sans réaction. Je me retrouvais nu entouré de plein de gens.
 Après m'avoir repoussé sous l'eau pour me faire boire a tasse, les quatre filles sortirent de l'eau en riant et en me laissant  dans l'eau sans maillot avec autour de moi des dizaines et des dizaines de personnes qui ne manqueraient pas de se moquer  de moi et de rire du comique de la situation. Mireille du bord de la plage me montra mon maillot en le faisant tourner au dessus de sa tête. Elles se retournèrent en pouffant de rire et quittèrent la plage.

J'étais cloué dans l'eau, nu comme un ver, heureusement caché par  le bouillonnement des vagues.  Au bout  d'une heure, je commençais à avoir froid et mes mains étaient boursouflées par le fait de rester caché dans l'eau. Les copains étaient partis eux aussi en me laissant seul et sans aucun moyen d'avoir de l'aide. En fait  ils étaient tous cachés derrières les vitres de l'appartement de Mireille et attendaient de voir ma réaction. Les garçons avaient  obéis aux filles qui leur avaient demandé de ne pas intervenir. Je devais payer au prix fort mon geste.

Le temps passait et je ne savais pas comment sortir de l'eau. Déplus ou aller, ma sœur était justement là cet après midi et elle était partie avec des amis en voiture. Aucun doute elle avait fermé l'appartement. Impossible donc de me réfugier à la maison. J'étais piégé.

Soudain je cru défaillir, une soudaine envie me tordit le ventre, certainement le froid, l'angoisse  et le fait de rester dans l'eau depuis maintenant plus de deux heures. Je ne pouvais plus tenir, il me fallait m'éloigner des baigneurs pour ne pas me vider devant eux. Mon ventre était pris de gargouillements qui me faisait craindre le pire.

Comment faire, ma punition prenait un tournant inattendu et je ne savais pas comment faire. Je ne pouvais plus me retenir et je sentais mes sphincters se relâcher petit à petit malgré mes contractions pour lutter.

Au bout de quelques minutes , n'y tenant plus je décidait de sortir de l'eau en courant pour aller rejoindre les wc  en bois installés au bord de la jetée. C'était ma seule chance. Je me mis à courir sans regarder autour de moi, le plus vite possible pour atteindre la porte des toilettes avant de me vider pendant le trajet.
Je transpirais à grosses goutes en sentant le liquide chaud qui commençait à couler entre mes cuisses, et à chaque nouvelle foulée je commençais à me vider laissant derrière moi la trace de cette diarrhée incontrôlable. Je dus ralentir ma course car en courant je ne pouvais me contracter pour espérer garder en moi ce liquide qui ne demandait qu'à s'expulser.

Cette fois je voyais les regards des gens qui à la fois surpris et amusés me montraient du doigt. J'avais l'impression que toute la plage me regardait, encore une centaine de mètres pour atteindre les wc publics. J'essayais tant bien que mal de courir avec une main devant pour cacher mon sexe et une autre derrière pour tenter  de retenir le liquide qui me secouait les entrailles.

J'arrivais enfin aux toilettes et me ruait à l'intérieur. Par bonheur un wc était libre. Je n'ose imaginer ce qui se serait produit si les deux  wc avaient été occupés !!!

Après être resté un long moment à me soulager et  à reprendre mon souffle, je réalisais qu'il allait falloir ressortir et que le cauchemar allait recommencer. Je réfléchissais à l'attitude à adopter.
Le plus simple était d'aller me cacher dans le parking souterrain de l'immeuble en attendant le retour de ma sœur. Il y avait une autre solution qui était de rejoindre l'appartement de Mireille pour espérer récupérer mon maillot. Allait-elle accepter de m'ouvrir ? Les copains allaient ils aussi se moquer de moi ?

Pour le parking mon affolement et mon manque de calme m'avait fait oublier qu'il fallait un bip électronique pour y accéder, donc de ce coté aucune solution. Il ne me restait plus qu'à sortir en trombe des toilettes et courir sans m'arrêter jusqu'à la porte de l'appartement de Mireille.

Lorsque la porte se mit à battre, poussée par un inconnu qui souhaitait prendre ma place, j'ouvris sans même regarder qui était devant moi et je me remis à courir les deux mains devant moi pour avaler au plus vite les deux cents mètres qui me séparaient de l'immeuble et les trente cinq marches d'escaliers qu'ils me fallait monter pour arriver devant la porte de l'appartement.

Je sentais à nouveau revenir les contractions dans mon ventre et un peu de liquide chaud et collant continuait de couler lentement le long de mes jambes. J'avais envie de pleurer, de mourir tant cette épreuve ne cessait de tourner au cauchemar. Je croisais même  des amis de mes parents qui ne manqueraient pas de les informer de ma façon "originale" de marcher dans la rue.

Après un temps qui me paru une éternité j'arrivais devant la porte de Mireille. Elle était grande ouverte. Je me ruais sans chercher à comprendre dans la salle de bain et sans même réfléchir à savoir si l'on me regardait, je fit couler la douche pour me rincer, me laver et me réchauffer.

J'avais tiré le rideau pour procéder à ma toilette intime et au bout d'un moment je vis une main ouvrir le rideau.
J'étais couvert de savons et je ne savais pas comment cacher ma nudité car je tenais le savon d'une main et le douche de l'autre.

C'était Marianne qui avait assisté à tout mon calvaire et qui avait décidé de me venir en aide en m'apportant un maillot.
Les autres, garçons et filles, tous décidés à me punir jusqu'au bout  en accord avec Mireille, étaient restés tous hilares sur le balcon de l'appartement  pour suivre intégralement ma sortie de l'eau devant tout le monde, ma course tout nu sur la plage, mon sprint sur la corniche pour rejoindre les wc publics et enfin pour s'amuser à me voir courir et slalomer entre les voitures et les passants en continuant de me vider le ventre.

Marianne me fit passer un peignoir que j'enfilais immédiatement s'en me faire prier. Rouge de honte devant le spectacle que je leur avais offert à tous, je préférais partir tout de suite pour attendre devant la porte de notre appartement deux étages plus haut. Mas sœur ne tarderais pas à rentrer, il me faudrait patienter.

Bien évidement je n'ai rien dit à ma sœur de ma mésaventure lorsqu'elle est rentrée avec ses amis et qu'elle s'est étonnée de me voir attendre seul devant la porte. Je me suis bien gardé également d'en reparler le lendemain avec mes copains. Mais tous avaient un petit sourire au coin de la bouche et Mireille semblait maintenant être la "chef de bande" des filles.

Par gigipanpan
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Mardi 17 mars 2 17 /03 /Mars 17:38

Ma première relation sexuelle avec Patricia :


Je venais d'avoir dix sept ans et j'étais toujours puceau. Incapable de pousser plus avant une relation avec les filles avec qui je « flirtais » lors de nos sorties et des « boums ». Je me contentais le plus souvent de le caresser sans oser aller plus loin de peur d'avoir à me déshabiller devant elles.


Patricia fut la première fille avec qui se me sentis en confiance. Elle était très en avance pour son âge et je n'étais pas son « premier petit amis » attitré. Elle pratiquait aussi le naturisme, ce que j'ignorais au départ de notre rencontre.


Un été à la plage, après seulement quelques jours de « flirt » nous nous retrouvions dans sa chambre ( ces parents ayant un appartement dans un immeuble de la grande motte ) et je dus surmonter mon angoisse et lorsqu'elle commença à enlever ses vêtements et se mettre torse nue devant moi je fus obligé de faire pareil car elle attendait assise sur le canapé en me faisant fasse afin de ne rien manquer du spectacle de « strip tease » que j'allais lui offrir. Je sentais mes joues chauffer et je devais être rouge comme une pivoine. J'imaginais et redoutais l'instant où j'allais devoir enlever mon slip et lui montrer mon tout petit sexe. Mais je ne pouvais pas reculer et je finis par enlever en hâte tous mes vêtements et laissait tomber mon slip sur mes talons.

Patricia était devant le canapé en cuir, debout devant moi en jeans les seins à l'air qui se trouvaient sous mon nez, et moi nu comme un ver a attendre je ne sais quoi. Voir ses seins à quelques centimètres de moi me fit un effet immédiat, je commençais à voir mon pénis se redresser.


Patricia amusée par cette réaction, prit mon sexe dans sa main droite et commença à me masturber le sexe d'avant en arrière en compressant ma verge le plus possible.


Ne pouvant pas tenir bien longtemps je ne pu me retenir et je jouis dans un temps record qui devait lui faire comprendre que j'étais un vrai puceau.


"Mais tu as joui dans mes mains gros cochon, je vais devoir te punir" me dit elle.
Tourne toi et met toi à genoux. Je m'exécutais sans oser dire non.

Mon jeans encore sur les genoux, elle passa ses mains à l'intérieur pour le baisser complètement. je me mis maladroitement en position et attendit.

J'étais les fesses offertes et vraiment gêné par cette position qui ne cachait rien de mon ventre jambes. Elle me fit basculer en avant  et m'enleva mon jeans.

J'étais à quatre pattes nu, les fesses écartées dans un position ridicule.
"Je vais te traire comme une vache tu as trop de lait dans ton ventre" me dit-elle en éclatant de rire.

Elle saisi mes bourses avec une main et de l'autre commença à me caresser.
Puis elle décida de passer à la véritable "traite". Appuyant une main sur mes fesses pour me forcer à rester en place, elle se mit à me masturber à toute vitesse avec l'autre main.

C'était agréable mais la position impudique que je devais conserver m'empêchait de bander correctement, je ne pouvais détacher mon esprit de la vision qu'elle avait de mes fesses, de mon anus offert et de mes testicules maltraitées. Je ne pus retenir longtemps mon envie d'éjaculer et  je lui joui une deuxième fois dans les mains.



"A c'est bien, tu commence à te vider" 

Ce n'est rien me dit-elle, nous allons recommencer........

Elle prit à nouveau mon pénis entre ses doigts et le caressa pour me faire à nouveau bander.

Patricia compris très vite que je n'avais jamais pénétré une fille et elle prit les choses en main pour guider mon petit sexe redevenu dur comme du bois vers la toison que je devinais en regardant les yeux baissés.


Ce premier contact chaud et humide se traduit immédiatement par un effet à la fois atroce et incontrôlable. Je sentis une poussée irrésistible dans ma verge et je ne pus une fois de plus me retenir. Je jouis dans les secondes qui suivirent avant même d'avoir pu réellement la pénétrer.


Patricia eu les mots qu'il fallait pour me réconforter et sa patience força mon admiration lorsqu'elle entreprit de me caresser pour me faire rebander. Elle me fit mettre à genoux devant le canapé, le pantalon baissé pour pouvoir bien dégager mon pénis et les bras relevé au dessus de ma tête. Elle saisi à pleine main mes testicules tout en les massant et les tirant avec ses doigts experts. Elle tirait en l'air mon pénis avec vigueur.


Puis elle me fit de nouveau allonger sur le lit. Elle approcha sa tête de mon sexe et le prit délicatement dans sa bouche. Elle entreprit de me refaire bander une troisième fois en me suçant profondément avec sa bouche. Sa main gauche guidait le mouvement de va et vient.

J'étais aux anges, enfin je pouvais me retrouver nu devant une fille sans avoir envie de fuir. Le reste de l'après midi fut très agréable et je pensais pouvoir maintenant laisser derrière moi mes complexes.


Quelques jours plus tard, elle me dit que nous allions aller retrouver des amis et sa famille à la plage pour partager avec eux un pique nique. Je me retrouvais donc avec elle sur la plage de Maguelone qui était réservée aux nudistes. Je me sentais pris au piège, mais je ne pouvais faire marche arrière. Une fois arrivé sur la plage, je fus présenté à tous ses amis et parents qui étais tous nus comme des vers et bronzés comme des antillais. Moi qui étais blanc comme un linge, le contraste était frappant.


Je dus enlever tous mes vêtements et je me retrouvais dans le plus simple appareil en présence d'inconnus qui semblaient ne pas faire cas de ma particularité. J'étais gêné par la position des femmes qui me faisaient face et qui avait une vue plongeante sur mon entre jambe exposé à leurs regards. Etant assis en « tailleur » comme les autres pour partager le repas, je ne pouvais serrer les jambes et lui cacher mon intimité.

En face de moi se trouvait la fille de l'un des amis de Patricia. Elle devait avoir  une vingtaine d'années, c'était une superbe brune, ses seins étaient petits mais très jolis. Ils portaient la marque de bronzage du maillot et cela accentuait le coté érotique. Elle ne semblait absolument pas gênée de se trouver en face de moi les jambes écartée, me laissant voir son  sexe qui été parfaitement épilé. Seuls quelques poils sur le pubis montraient qu'il ne s'agissait pas une enfant.

Les mères étaient également assises les jambes écartées et me regardaient avec intérêt.
L'une d'elle eut un sourire à peine dissimulé car elle se rendit compte de mon embarras et de sa cause. Elle fixait intensément mon pénis recroquevillé et semblait s'en amuser à mes dépends.


Son mari assis à coté d'elle avait un sexe qui me paraissait énorme à coté du mien. Plus je pensais à cela et plus mon sexe semblait se rétracter et rentrer dans mon corps. Si cela continuait bientôt on ne pourrait plus le voir.


Après avoir mangé, les filles décidèrent de faire une partie de ballon  et je dus me mettre debout avec elles pour former une équipe mixte. Je regardais du coin de l'œil tous ces sexes exposés sans aucune gêne et qui ne faisaient qu'accentuer mon complexe et ma différence. J'avais l'impression d'être un nouveau né tout nu devant des adultes, mais surtout gêné de m'exposer devant les filles de mon âge.

La gêne accentuait la rétractation de mon pénis et cela ne pouvait passer inaperçue. Les filles elles jouaient tout naturellement sans se préoccuper de leur nudité.

Cette partie de ballon fut pour moi un véritable supplice car à chaque mouvement je sentais mon sexe être l'objet des regards amusés. Les filles devaient se moquer de moi dans leurs têtes car leurs regards semblaient être plus attirés par le spectacle affligeant de mon mini pénis que par le jeu en lui-même. J'étais exposé à la vue de tous grands et petits et chaque fois que je tournais la tête, c'était pour voir un garçon ou un homme avec un sexe bien plus gros que le mien. J'avais du mal à cacher ma honte.

Je retournais m'assoir au bord de l'eau, pour ne plus me montrer, mais devant moi trois filles de la famille des voisins de Patricia me faisaient face. Elles étaient allongées toute les trois sur le sable et se faisaient bronzer entièrement nues et sans aucune gène.

L'une d'elle me proposa de venir m'assoir. J'étais mort de honte de me tenir ainsi tout nu devant les filles dont le visage était à hauteur de mon pénis. Je ne pouvais pas me cacher et je mis à bredouiller.

 En face de moi une autre fille me faisait face, entièrement nue, les jambes croisées de façon très naturelle.
"Viens avec nous, on va aller se baigner" me dit-elle

"Je dois rentrer à l'appartement, j'ai très mal à la tête, sans doute le soleil" lui répondis je complètement décontenancé par son aplomb.

Je décidais de partir et j'ordonnais à Patricia de quitter la plage avec moi, car je ne pouvais plus supporter de me montrer à tous comme une bête de foire. Elle fut très vexée de ce départ précipité et me demanda de la suivre chez elle.


Une fois dans sa chambre elle me dit que ma réaction était stupide et qu'il fallait qu'elle me punisse pour l'avoir privée d'une superbe après midi de plage.

Je ne compris pas tout de suite le sens de ce mot punition. Elle me dit que si je voulais continuer à sortir avec elle, je devais lui obéir sans discuter. Elle me dit que j'allais devoir rester ici car elle comptait bien retourner sur la plage avec ses amis et parents.


Elle m'enleva mon maillot de bain et mon tee-shirt et je me retrouvais nu devant elle. Elle me dit de reste là et de m'attendre sans bouger. Elle revint avec un gros rouleau de cordes et me demanda de me retourner et de mettre mes mains dans mon dos. De peur de la sanction promise, je préférais lui obéir sans poser de questions. Nous étions seuls, abrités des regards indiscrets et apparemment je ne risquais pas grand-chose à lui obéir.

Elle se mit à me ligoter les poignets et les bras. La corde passait derrière mes coudes et je ne pouvais absolument plus faire le moindre mouvement.


 J'étais sans défense et je ne pouvais plus me protéger. Elle me poussa sur le lit et je tombais à plat ventre. Patricia me replia les jambes en arrière, les genoux écartés au maximum pour être bien en appui sur le lit afin que je ne puisse pas me retourner. Elle attacha ensembles mes chevilles avec plusieurs tours de cordes. Une fois mes genoux écartelés solidement bloqués et mes chevilles attachées entre elles, elle les tira vers mes bras et refit passer à nouveau les cordes entre mes poignets et mes chevilles afin que je ne puisse plus bouger et faire un mouvement.

C'était cela ma punition j'allais devoir rester là attaché et nu, à plat ventre dans l'appartement de ses parents et attendre que Patricia veuille bien venir me délivrer. La peur de l'entendre dire qu'elle ne voulait plus sortir avec moi me fit accepter cette punition sans un mot de réprobation.


Patricia me dit de ne plus bouger. Elle revint quelques secondes après et me banda les yeux pour une raison que je ne comprenais pas. Mais loin de moi l'idée de discuter. J'acceptais la sentence sans broncher.

J'entendis la porte claquer et je ne pus éviter un frisson de peur compte tenu de ma situation.

Il m'était impossible de me retourner, je devrais donc rester dans cette position inconfortable pour un temps que je ne pouvais évaluer, en espérant que personne d'autre ne vienne dans l'appartement avant que Patricia ne revienne.


Plaqué contre le lit, je commençais à transpirer sur le dessus de lit, quelques minutes plus tard, j'étais en nage et je commençais à glisser sur la soie du dessus de lit. Pour ne pas avoir de crampes j'étais obligé de remuer régulièrement pour éviter un engourdissement de mes muscles. Ces manœuvres me faisaient peu à peu glisser vers le bas du lit et je dus arrêter de bouger pour ne pas risquer de tomber.

Le temps passait et toujours pas de Patricia en vue. Il devait être environ Quatre heures et mon calvaire devrait donc durer jusqu'au moment ou elle déciderait de revenir me délivrer.


Après plusieurs heures d'attente, je fus obligé de gesticuler pour éviter une crampe dans mes mollets. Ces gesticulations furent fatales et je glissait soudain en arrière et me retrouvais par terre sur le carrelage de la chambre, sur le dos, trempé de sueur et sans voir ou j'étais réellement. Je devinais que la porte de la chambre n'était pas bien loin. Peut être qu'en me faisant glisser jusqu'à la cuisine je pourrais attraper quelque chose pour me délivrer.


Décidé à ne pas subir la douleur des crampes que je sentais venir petit à petit, j'essayais d'avancer sur le carrelage en poussant sur mes bras et mes mains. La transpiration me faisait glisser sur le carrelage et je pus au prix de multiples efforts me retrouver au milieu de la porte de la chambre qui était restée ouverte.


Au moment où je décidais de continuer ma glissade vers la cuisine et me retrouvais au beau milieu de l'appartement, j'entendis le bruit d'une clef dans la serrure et tout de suite la porte d'entrée de l'appartement claqua. Les yeux bandés ; je ne pouvais voir qui venait de rentrer dans l'appartement. Aucune parole, aucun bruit me permettant d'identifier le visiteur. J'entendais pourtant marcher à pas feutrés et mon angoisse devenait de plus en plus grande car j'imaginais être regardé par la grande sœur ou pire par les parents de Patricia. Je ne parvenais pas à identifier cette respiration, mais une odeur de parfum me fit penser à une présence féminine.


Pétrifié de peur et de honte ainsi exposé, les jambes écartées et mon sexe offert à la vue de tous, les bras attachés dans le dos me rendant complètement vulnérable dans cette position humiliante. Je décidais de ne plus bouger et d'attendre que l'on me libère.


Je sentis cette présence se rapprocher de moi et je compris qu'elle venait de s'agenouiller sur moi pour m'immobiliser, car je sentais un corps s'appuyer de tout son poids sur mes épaules et sur ma tête. Que faisait-elle ?


Soudain j'entendis le bruit caractéristique d'un aérosol et presque instantanément une brulure sur tout mon sexe. Un liquide coulait sur ma peau, c'était sans aucun doute du parfum en vaporisateur car je sentais son odeur. Mon bourreau continuait de m'asperger le sexe et j'étais en feu. La brulure était intense et même mon anus me chauffait et me brulait. L'alcool du parfum me donnait l'impression d'avoir trempé mon sexe dans du vinaigre.
Elle s'était maintenant assise à califourchon sur ma tête pour m'immobiliser et m'empêcher de gesticuler. Je ne  pouvais presque plus bouger.

Je ne pus retenir un cri de douleur. Un éclat de rire me fit reconnaître la voix d'Annick, la grande sœur. J'étais pétrifié de honte de savoir qu'elle abusait de moi et se régalait du spectacle que je lui offrais. En moi-même je me disais que sa présence n'était pas due au hasard et que Patricia devait y être pour quelque chose.


J'entendis un deuxième rire qui était celui de Patricia. Elle avait assisté à toute la scène et à cette seconde punition en se délectant de la situation.

 
Je sentis son corps remonter sur mon visage et pour augmenter mon humiliation Annick enleva sa culotte et posa carrément ses fesses sur mon visage. L'odeur de son intimité emplissait mes narines. Le nez collé entre ses fesses, je ne pouvais pratiquement plus respirer. Elle me maintenait la tête avec ses mains comme pour mieux guider mon visage vers ses fesses. J'étais humilié par cette position qui devait être ridicule.

Toujours allongé sur le carrelage, je sentis une main chaude passer sous mes fesses et commencer à jouer avec mon anus. Mes sphincters se contractèrent immédiatement en signe de réprobation. Loin de capituler un doigt inquisiteur força le passage et je me trouvais dans la situation de subir cette pénétration que je ne pouvais empêcher malgré mes contractions. C'était bien le doigt d'Annick qui s'introduisait ainsi au fond de mon anus.

Pour accentuer mon humiliation, elle tournait son doigt et je sentais son ongle gratter la paroi intérieure de mon colon. J'étais pétrifié de honte, mais le comble c'était que je sentais mon pénis se redresser sous l'effet à la fois de la brulure du parfum, mais surtout maintenant du fait de ce doigt qui fouillait au plus profond de moi.

Pour accentuer mon humiliation, elle tournait son doigt et je sentais son ongle gratter la paroi intérieure de mon colon. J'étais pétrifié de honte, mais le comble c'était que je sentais mon pénis se redresser sous l'effet à la fois de la brulure du parfum, mais surtout maintenant du fait de ce doigt qui fouillait au plus profond de moi.


Annick riait de plus belle, encouragée par Patricia qui lui dit de « me finir » selon ses propres termes. Elle me saisi immédiatement la verge à deux mains et commença à me branler à toute vitesse pour me faire jouir. Au bout de quelques secondes, je devais capituler et je sentis mon sperme couler dans ses mains.


Pour aller au bout de mon humiliation, elle mit ses deux mains sur ma bouche et s'essuya sur mes lèvres en me forçant à lécher ce liquide qui souillait ses paumes de mains.

Quelques instants plus tard, je compris qu'elle venait de partir car je fus retourné sur le ventre par des mains que je reconnaissais et le claquement sec d'une paire de ciseaux me délivra de mes liens.


Patricia me dit qu'elle me pardonnait de mon attitude et que je devais considérer cette expérience comme un simple jeu érotique, sans plus. Pour elle, ce n'était qu'amusements, découvertes et réalisations de ses propres fantasmes. Elle m'accompagna sous la douche et entrepris de me laver elle-même comme on le ferait avec un enfant.


Cette fin de journée agréable me fit en partie oublier l'humiliation subie en présence de la sœur de Patricia. Elle me promit de ne plus recommencer.

Par gigipanpan
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