QUELQUES PHOTOS DE LA FESSEEAU SIECLE DERNIER
TELLE QU'ON LA PRATIQUAITCHEZ NOS PARENTS ET GRANDS PARENTS
QUELQUES PHOTOS DE LA FESSEEAU SIECLE DERNIER
TELLE QU'ON LA PRATIQUAITCHEZ NOS PARENTS ET GRANDS PARENTS
Ma mère m'a toujours trouvé trop timide et en classe c'est vrai, je ne faisais pas partie des enfants dont leurs condisciples recherchent la présence. Je ne peux pas dire que j'étais la tête de turc de la classe mais je me faisais parfois charrier parce que j'étais un peu bourrin, un peu dadais. Et sous l'impulsion de mon oncle ma mère m'a inscrit chez les scouts à mes 12 ans. « Tu aurais déjà dû l'inscrire chez les louveteaux à ses 7 ou 8 ans... il serait maintenant plus débrouillard, plus indépendant et surtout plus serviable. Et quand il m'a montré son rapport mensuel, je dois dire que je ne peux pas être fier de mon neveux» avait dit mon oncle.
Mes deux premières années en secondaire entre mes 12 et mes 13 ans je parvenais à suivre mais pour m'obliger à travailler ma mère devait souvent me menacer de ne pas pouvoir aller chez les scouts. Le scoutisme, je n'ai pas directement aimé : comme je suis assez timide, au début j'avais l'impression d'être écrasé par les autres mais bien vite j'ai trouvé ma place dans mon groupe des éclaireurs. Et maintenant à la veille de mes 14 ans je vais même être totémisé. Mais avant cela, la semaine prochaine nous partons en week-end prolongé pour obtenir nos brevets.
A la fin de la réunion de dimanche, mon chef de groupe, un gars qui est en dernière année dans mon collège, Eric m'a dit, avec son petit accent canadien, que j'avais fait des progrès énormes ces derniers mois et qu'il était à la fois content et fier que je sois dans son groupe. Et en rentrant j'annonçais la bonne nouvelle à ma mère. Elle était contente pour moi et aussi un peu fière je crois mais elle ajouta. « Tu pourras aller mon poussin pour autant que tes charges soient faites et que tes résultats scolaires soient bons ». En moi-même je fulminais : la conne avait y mettait à nouveau des conditions.
Je suis monté dans ma chambre, je me suis foutu à poil et, avant de prendre ma douche je me suis fait plaisir en pensant en partie à Max, un scout qui habite la même rue que moi et avec qui je « joue » parfois mais surtout à Eric, mon chef de groupe sur qui je fantasme pas mal.
Et puis, comme chaque dimanche soir, après le souper, ma mère m'a remis sa petite liste avec les corvées que je dois faire durant la semaine. La liste me paraissait anormalement longue : nettoyer ma chambre, tondre l'herbe, ranger le garage, aller chercher la boisson, sortir les poubelles et je suis monté dans ma chambre en claquant les portes. Et je ne suis redescendu que pour dire bonne nuit. En fait je boudais.
Cette semaine est courte : jeudi c'est Ascension et donc il n'y a que 3 jours de classe. Et dès le lundi matin, ma mère de me prévenir « Alain, n'oublie pas tes corvées... Tu veux quand même partir en week-end avec tes copains ». Mais comme je suis plutôt du genre flâneur et parfois désœuvré ni le lundi, ni le mardi ne je suis rentré directement à la maison après les cours. Et quand le mercredi midi j'ai reçu mes résultats du mois j'avais déjà un fort pressentiment. J'ai essayé de rattraper tout mon retard pour mes corvées mais quand ma mère est rentrée du boulot j'étais encore occupé à ranger le garage et je devais encore nettoyer ma chambre et quand elle m'a demandé de voir mon rapport, ma mère s'est effondré dans le sofa en me disant calmement « ne te presse pas pour tes corvées, tu auras tout le temps ce week-end ! ». Alors là j'ai crié, « tu ne vas quand même pas me priver de mon week-end ; et mes résultats ne sont pas si catastrophiques si on fait la moyenne.... ». Alain, je dois être ferme avec toi et je ne reviendrai pas sur ma décision : vendredi tu ne pars pas pour ton week-end scout : un point c'est tout. » Alors là je l'ai traité de connasse, que j'étais un enfant martyr, etc., etc. et je suis monté dans ma chambre.
A table pour le souper, l'atmosphère était tendue, moi, assez têtu je ne me suis pas excusé et elle, ma mère, n'a fait aucun compromis. Elle m'a simplement dit « : je veux que tu préviennes ton chef que tu ne pourras pas participer au week-end et n'oublie pas de lui dire clairement le pourquoi. Tu as demain jusqu'à 13 heures, parce que je suis de service demain mais quand je rentre, je veux que tu aies tout régler. Et en outre ce week-end je vais à la recherche d'un répétiteur pour tes cours sinon je sens que tu vas doubler en math et en physique ». La dessus, elle m'a envoyé dans ma chambre comme première punition avec interdiction de regarder la télé on de jouer sur l'ordinateur. Et pour une fois j'ai respecté l'interdiction...
Puis, au petit déjeuner, elle m'a rappelé que je devais prendre contact avec mon chef scout et d'une manière assez irritée j'ai répondu « oui, oui, oui, oui ». J'ai attendu qu'il soit près de 10 heures pour téléphoner à Eric.
« Salut Eric, je ne te dérange pas ? » « Non pas du tout » me répond-il avec son petit accent canadien si typique.
« Eric, je ne pourrai pas participer au prochain week-end ». « Es-tu malade ? » « Non, pas du tout, mais je ne peux pas de ma mère, bordel de merde ».
« Et soi un tant soi peu poli, s'il te plaît et quelle est la raison, Alain ? ». « Mes résultats scolaires ! » « Bon, ta mère est là ? » « Non, Eric,
elle est de garde jusqu'à midi et sera ici vers 13 heures ». « Bon, je passerai pour t'aider à convaincre ta mère ». Et je raccroche.Et au lieu de terminer mes corvées pour
essayer de plaire à ma mère, je me vautre sur mon lit et je passe mon temps à jouer sur l'ordi. Et puis, vers midi, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je suis étonné de voir Eric. « Ma
mère ne rentre qu'à une heure tu sais » lui dis-je. « Je veux d'abord avoir une bonne conversation avec toi car, c'est toi qui devra demander à ta mère de pouvoir accompagner ce
week-end, moi, je ne serai là que pour argumenter. Tu me laisses rentrer, Alain ? ». Et j'ouvre grandement la porte. Eric, en vrai scout dans l'âme, est en culotte courte et porte au pied
des chaussures de marche.
La première chose qu'il fait en rentrant, c'est d'ôter ses godasses. Et quand il voit que moi, le fils de la maison porte des baskets, il me dit « tu ne portes pas de pantoufles à la maison ou tu ne cours pas pieds nus ? » je lui réponds que ma mère me scie les côtes pour que je porte des pantoufles mais que je trouve ça très commun. Il me réplique que pieds nus c'est très cool et en outre très sain. Je lui offre un coca et on s'assoit à la cuisine. « Alors Alain, raconte-moi tout honnêtement ». « Ma mère ne veut pas que j'aille en week-end car je n'ai pas fait toutes mes corvées et qu'en outre mes résultats scolaires ne sont pas bon ». « Montre-moi ton rapport, s'il te plaît ». Et comme je me lève pour aller le chercher dans ma chambre, il me dit encore « vis-à-vis de ta mère se serait chouette que tu cours pieds nus si tu n'aimes pas les charentaises».
Je reviens donc pieds nus, mon rapport à la main. Après lecture son commentaire n'est pas très positif : « apparemment math et physique ne sont pas tes points forts ; avec un répétiteur tu pourrais t'en sortir mais ce qui me choque ce sont les commentaires des profs en général : manque d'attention, pas d'assiduité, jouette... et j'en passe. Si j'avais dû présenter un rapport pareil à mon père, j'aurais passé une mauvaise soirée et une mauvaise nuit mais il ne m'aurait jamais interdit d'aller chez les scouts ! ». Je suis assez surpris et cela doit se voir à ma tête. Et Eric me donne quelques explications : « Mon père est d'origine irlandaise et il nous a mon frère et moi élevés à la dure, à la cravache dirais-je mais cela se limitait à des fessées à la main ou à la ceinture.
On était puni sur le moment même, on souffrait jusqu'à ce que nos fesses ne soient plus douloureuses mais les autres activités de détente ou autres n'étaient jamais supprimées ». Moi, j'étais sidéré ; je n'avais jamais reçu la fessée mais je dois dire que j'ai assez souvent entendu mon oncle dire à ma mère « une bonne fessée cela lui remettrait les idées en place ». Je ne voyais toujours pas où Eric voulait en venir. Je connais ma mère, c'est une non violente et je ne la vois pas me donner la fessée.
Et puis, Eric prend le temps de résumer : « si j'ai bien compris : ta mère te reproche avec raison tes mauvais résultats scolaires et le fait que tu n'as pas fait toutes tes corvées. Est-ce exact et complet, Alain ? » « Oui, Eric ». Si j'étais toi, voici ce que je proposerais à ta mère : Côté pratique, pour les corvées, tu as encore le temps de les faire cet après midi et ce soir. Côté sanction pour les corvées non faites et pour ton désastreux rapport je demanderais une punition alternative : une bonne fessée. » « Mais même si j'étais prêt à recevoir la fessée, ma mère ne voudra jamais me la donner. » « Et si je lui montrais le chemin en lui expliquant mon vécu ?
Ce sera peut être en vain mais nous aurons tout essayé. Ici, je ne demande pas ton avis : c'est un ordre de ton chef de groupe. Va te mettre en tenue scout et reviens ici dans 5 minutes, Alain.» Mais comme je fais mine de vouloir protester... Eric me dit « tu fais ce que je te demande si tu veux mon aide ; si tu n'en veux pas, je pars directement ». « Non, non, Eric, je vais aller me mettre en tenue. Dois-je mettre mes chaussures ? » Il me fait non de la tête. Je grimpe quatre à quatre dans ma chambre et en moins de 5 minutes je suis devant lui avec ma chemise verte, mon foulard, ma culotte courte brune avec ma ceinture et mes longues chaussettes vertes. Et je me mets au garde-à-vous devant lui.
« Ta mère renvient vers quelle heure, Alain ? » « Vers 13 heures. ». « Alain, si je suis assez poli pour ajouter ton prénom après ma question, tu pourrais répondre de la même façon civilisée ». Et moi de me reprendre directos « vers 13 heures, Eric ». «Cela nous laisse une bonne demi heure. Bon pour commencer, tu vas te mettre là dans le coin avec tes mains derrière le dos, sans bouger et tu vas réfléchir à une solution pour que tes résultats scolaires soient meilleurs. » Et me prenant par le cou, il m'amène dans un coin du séjour, me fourre le nez contre le mur et il répète : je veux que tu me fasses une proposition correctes que nous transmettrons à ta mère. Et au bout de quinze bonnes minutes il me fait revenir devant lui. « Et bien j'écoute, Alain. » « Eric, je pense que je dois être plus attentif en classe et m'intéresser à c que le prof dit et pour mes deux échecs je devrais suivre des cours complémentaires. » « Pour tes corvées non faites et ton mauvais rapport, es-tu prêt à subir de ma part la fessée ? » Mon chef de groupe me prend un peu de court mais je n'ai franchement pas envie de rater ce week-end. Alors après quelques hésitations je lui fais signe oui de la tête. « Non, Alain, je veux une réponse claire à haute voix ». J'hésite encore et puis je ma lance « Oui Eric, je suis prêt à subir la fessée ».
Eric, n'ajoute rien et moi je suis au garde à vous devant lui. Puis, il se lève va s'asseoir sur une chaise et puis il m'appelle près de lui. Alors sans rien dire, il défait ma ceinture, déboutonne ma culotte courte qui aussitôt me tombe sur les chevilles, puis il me prend par le bras et m'oblige à m'allonger sur ses cuisses. Je sens que je bande légèrement. Il me bloque avec son bras gauche et il m'oblige à me mettre les mains sur la tête. Et je reçois ma première claque. Je suis surtout surpris mais je n'ai pas mal. Puis j'en encaisse une dizaine je pense mais la douleur ne s'accentue pas. Je me dis que si c'est ça une fessée, Eric devait être une vraie mauviette quand il avait mon âge. Mais je n'ai pas dû attendre longtemps pour changer définitivement d'avis. « Ceci, Alain, n'était qu'un petit échauffement. Je vais te donner maintenant 30 claques et surtout, garde la position. »
Et là, dès la première claque, je saute, je crie, et avant la 15ème, je pleure, je renifle et je lui supplie d'arrêter et quand la dernière tombe je me rends compte qu'il n'a frappé que ma fesse gauche. Il m'oblige à me redresser et me reconduit dans le coin, nez contre le mur et mains sur la tête et je dois rester là jusqu'à ce que je cesse de pleurer comme un gamin me dit-il. Dès que je suis calmé je dois reprendre place sur ses genoux et une fois que je suis installé, il baisse mon caleçon que j'essaye de remettre en place mais il m'oblige de me remettre les mains sur la tête et j'encaisse une bonne dizaine de claques cul nu.
Cela fait très mal maintenant surtout que comme les précédentes il concentre tout sur ma fesse gauche. Heureusement qu'il réparti les fessées sur le haute, le milieu, le bas de la fesse et le haut des cuisses. Et malgré la douleur, mon zizi n'est pas resté calme lui non plus.
Puis il redresse et comme je pleure à nouveau il me ramène dans le coin où je reste avec mon caleçon découvrant mes fesses, ma culotte sur les chevilles, mon nez au mur et les mains sur la tête.
Puis, quand je reconnais le bruit du moteur de la voiture de ma mère, je panique un peu mais sans bouger je lui signale « Eric, c'est ma mère qui arrive ». Alors calmement, il me dit de me rhabiller tout en restant dans le coin et ce n'est que lorsque ma mère ouvre la porte qu'il me permet de venir me mettre près de lui. Ouf j'ai eu chaud.
Ma mère est bien sûre étonnée de voir Eric chez elle. Mais avant que j'ai eu le temps d'ouvrir la bouche, Eric lui explique que je l'ai appelé pour lui annoncer que j'étais puni et que je ne pouvais aller au week-end de formation qu'il s'était proposé pour venir me soutenir et d'essayer de trouver une punition alternative. Ma mère est très surprise et même un assez choquée qu'un jeune homme de 19 ans même s'il est chef de groupe chez les scouts vienne se mêler, sinon critiquer son système éducatif.
Puis j'essaye à mon tour. « Maman, tu sais que depuis que je vais chez les scouts je ne suis plus aussi timide, que je peux tenir ma place dans un groupe, que je suis devenu plus sociable. Et maintenant que je vais recevoir mes brevets, tu me prives de ce week-end. » « Ca mon cher Alain, tu aurais dû y penser plus tôt. Et je ne reviendrai pas sur ma décision même si tu venais ici avec le cardinal ou le premier ministre. » Et là je craque et en m'encourant vers ma chambre, je crie, pauvre conne, tu m'emmerderas donc toujours. Une fois dans ma chambre, je m'effondre sur mon lit, je pleure de rage. C'est foutu ; Complètement foutu.
Et puis, je ne sais pas après combien de temps, Eric fait irruption dans ma chambre alors que j'avais ma main dans ma culotte et que j'étais occupé à me caresser. Je retire bien vite ma main en espérant qu'il n'a rien vu puis il s'assoit sur le lit.
« J'ai eu une longue conversation avec ta mère. Pas seulement au sujet du week-end à venir mais aussi au sujet de tes études, de tes manquements, de tes points faibles, de ton attitude en général, de ton attitude en classe mais aussi à la maison, de ton manque d'enthousiasme pour faire tes corvées et aussi au sujet de tes mensonges. » J'ai l'air surpris. «Tu ne m'as rien dit au sujet de ton attitude vis-à-vis de ta mère. N'as-tu pas insulté ta mère hier soir ? » « Oui, Eric » « Et pourquoi tu ne m'as rien dit quand je t'ai demandé tout à l'heure. Tu n'as pas été honnête et tu m'as menti. Maintenant veux-tu bien descendre ; ta mère t'attend ». Et nous descendons tous deux. Ma mère est assise dans la cuisine.
Elle nous invite à nous asseoir.
« Alain, chéri, j'ai eu une longue conversation avec Eric qui comme moi est assez préoccupé parce que tu lui as raconté et parce que moi je lui ai raconté et comme je me sens un peu dépassé par les évènements j'accepte la proposition qu'il m'a faite. »
Je suis effaré, j'ai envie de gueuler. Ma mère accepte des propositions à mon sujet sans demander mon avis. Même s'il s'agit d'Eric que j'apprécie et que j'aurais bien aimé avoir comme grand frère ce n'est pas une raison de ne pas m'en parler. Je ne suis plus un bébé : je vais avoir 14 ans dans moins d'un mois.
Et c'est Eric qui enchaîne. « A partir de maintenant, c'est moi qui veillerai, qui surveillerai tes travaux scolaires, tes résultats scolaires mais aussi si tu as fait tes corvées, si tu
es poli avec tout le monde et en particulier avec ta mère et aussi, cela je viens de l'apprendre de ta mère que tu as une hygiène impeccable. Avec l'accord de ta mère, tout manquement donnera
lieu à des sanctions physiques mais plus à la suppression d'activités formatives. Les autres activités pourront bien sûr encore être supprimées. »
Et ma mère d'enchaîner « Pour commencer, tu courras pieds nus ou en pantoufles à la maison et quand tu rentreras de l'école tu te mettras en courte culotte et en t-shirt. Eric passera régulièrement semaine et le samedi tu passeras la journée avec lui pour améliorer tes résultats en math et en physique. Alain, nous espérons tous deux que tu resteras sur le droit chemin et sois en certain toutes ces mesures sont pour ton bien. Viens ici que je t'embrasse.»
Elle me donne un bisou en me caressant les cheveux mais bien vite Eric intervient et m'emmène vers ma chambre en disant « on a encore un petit compte à régler nous deux avant que je ne retourne à la maison ».
Nous montons tous deux vers ma chambre. Là sans dire un mot, il s'assoit sur la chaise de mon bureau. Et d'un signe de tête je comprends que je dois venir me mettre devant lui et le sermon commence. « Pour ne pas avoir terminé tes corvées à heure et à temps, pour avoir ramené un si mauvais rapport je vais te fesser à la main nue. Je dois ajouter une punition à la demande de ta mère parce que tu as été vulgaire et méchant avec elle et enfin tu m'as menti. Va chercher une brique de savon dans la salle de bain. »
Et je reviens muni d'un petit savon et il m'explique. Dans les pays anglo-saxons quand les enfants mentent on leur frotte la bouche, la langue, les dents avec un bout de savon puis on laisse la brique de savon 'un certain temps' en bouche pour 'nettoyer' leur bouche des mensonges prononcés. Et pendant qu'il m'explique, je me retrouve la bouche pleine de savon en la brique en bouche. Puis, il m'oblige de me mettre les mains sur la tête et puis, il défait ma ceinture et la retire de ma culotte puis il défait ma culotte qui tombe au sol puis, d'un coup sec il baisse mon caleçon. Puis il me demande d'ôter mes chaussettes et mon t-shirt vert.
Je suis à poil devant lui – je ne bande pas heureusement – et la bouche pleine de savon. Il m'oblige à me mettre à genoux au milieu de la pièce mains sur la tête. Il se lève et commence à regarder d'abord dans mes oreilles, derrières les oreilles, dans mon cou puis il fait signe de me lever, regarde l'état de mes pieds, de mes orteils, puis il regarde mes mains et mes ongles et pour finir je dois me redresser, il prend ma bite en main, me décalotte et regarde l'état de mon gland et j'entends son verdict : « ta mère a raison : ongles sales, pas lavé entre les orteils, cou sale, oreilles sales et zizi pas trop propre. Cela ne te vaudra pas de punition cette fois mais bien une douche sous contrôle tout à l'heure. Bon crache ton morceau de savon et va rincer ta bouche, en vitesse ».
Quelle chance que cette punition n'existe pas chez nous, me dis-je bêtement car je pense que je devrai encore subir cela souvent si je continue à mentir. Quand je rentre dans la chambre Eric...
« Bon finissons-en. »
Il s'assoit, m'attrape le bras, je me couche sur ses genoux et j'encaisse – cette fois réparti sur les deux fesses – 40 claques à main nue. Je transpire, je gigote, je bouge, j'essaye
de me protéger (ce qui ne vaut 10 claques supplémentaires), je renifle, je pleure, je supplie, je demande pardon mais rien n'arrête Eric.
Quand j'ai eu encaissé ma dernière claque, il me traîne dans un coin et je me retrouve à nouveau le nez contre le mur, les mains sur la tête, le cul nu et brûlant et je sens que je bande mais pas très fort : ma bite est gonflée mais pas en érection. Dès que mes pleurs se sont arrêtés, Eric m'appelle près de lui. Il s'est muni de ma ceinture en cuir et cette fois je dois me mettre à l'arrière de la chaise me pencher vers l'avant et prendre appui sur l'assise avec mes mains. Il me fait écarter les jambes, puis vient se placer devant moi et me demande pourquoi je vais recevoir 'de la ceinture' « Par ce que j'ai été impoli, vulgaire et désagréable avec ma mère, Eric » lui dis-je. Il me caresse les cheveux et me dit « cela va faire très mal, Alain, mais c'est pour ton bien car s'il y a une chose que je n'apprécie pas c'est le manque de respect pour ses parents. » Puis il se place derrière moi et j'encaisse mon premier coup de ceinture.
La douleur est immense par rapport aux claques. Il se concentre sur mes fesses mais la ceinture donne l'impression que la morsure brûle. Je n'ai pas compté les coups mais je sais que je me suis redressé à moitié pour 'avaler' la douleur, que je pleurais à grosses larmes, que je transpirais et que je me suis mis à bander ferme. Puis, il s'est arrêté un moment et m'a dit que j'arrivais dans la dernière ligne droite et que je devais compter à haute voix les derniers coups. Il a frappé très fort, je me cabrais à chaque coup et j'ai encore pu compter jusqu'à 20. Puis, je me suis effondré par terre. Eric ma laissé ainsi un court instant. Je sentais ma bite bandante contre mon ventre et secrètement j'espérais que je débande très vite pour qu'Eric ne voit pas cela mais en vain car il me traînait déjà vers le coin et quand j'au dû me mettre à genoux, les mains sur ma tête ce n'est pas uniquement mon nez qui touchait le mur ; ma bite aussi. A ce moment là il n'a fait aucune réflexion... heureusement.
Après un bon quart d'heure, il m'a appelé auprès de lui. Il était occupé à me préparer des exercices de math et de physique. On s'est assis côte à côte sur mon lit, il m'a pris dans ses bras et m'a dit « je sais que tu seras un chouette gars, laisse-moi te guider, te former et parfois te punir si c'est nécessaire ». Moi, j'étais aux anges d'être si près de lui et j'ai recommencé à bander. Et quand il m'a vu ainsi, il m'a tenu longtemps contre sa poitrine en me demandant : « est-ce que ce sont les claques qui te font cet effet ou est-ce parce que tu es tout, trop près de moi ». Bien sûr je n'ai pas répondu et on s'est directement dirigé vers la salle de bain pour ma première douche sous contrôle.
Une fois que j'étais bien mouillé, il m'a tendu un gant de toilette et je me suis enduit de savon. Il me donnait ses instructions, passe bien sur ton cou, n'oublie l'arrière de tes oreilles, tes aisselles maintenant, tes genoux, passe bien entre tes orteils, et nave tes talons, passe bien entre tes jambes et entre tes cuisses, et tes fesses et puis, il m'a dit de m'approcher. Il avait un autre gant de toilette en main, puis délicatement il a savonné ma bite et mes couilles, ensuite il a décalotté mon gland et l'a longuement nettoyé et après un premier rinçage il a regardé s'il n'y avait plus de dépôts blancs. Moi je sentais très bien que ma bite durcissait et que je bandais et quand il a lâché ma queue, elle se retrouvait toute droite contre mon ventre. Je voyais bien que lui bandait aussi mais il a simplement dit de me rincer et de m'essuyer. Et quand je suis revenu dans la chambre tout nu, les fesses rouges, Eric était prêt à partir. Il m'a dit « A très bientôt. Ta mère m'a donné une clef. Maintenant tu vas terminer tes corvées et ensuite tu vas faire les quelques petits exercices que j'ai préparé pour toi. Et retiens bien deux choses : plus d'insultes à ta mère et plus de mensonges. Tu peux remettre tes vêtements si tu le veux. A très bientôt » Et nous nous sommes quittés en faisant le salut scout.
Quand j'ai entendu qu'il refermait la porte, je me suis remis à genoux dans ma chambre et je me suis caressé en pensant à cette première raclée dont je sentais encore tous les effets mais aussi
et surtout en pensant à Eric qui m'avait vu bander par envie de lui.
J'avais un peu plus de 14 ans.
C'était l'été, j'étais en vacances à la campagne. Je me baladais en forêt avec mes cinq copains.
Dans une clairière très reculée, Patrice sort de son sac une paire de menottes qu'il avait récupérer dans une panoplie de policier et, pour s amuser, il demande à ce que chacun les essaye.
Je suis le dernier et lorsque je leur demande de me détacher, je me heurte à un refus catégorique.
-Allez, faites pas les cons, ouvrez ça !
-Non tu es bien comme ça, tu es notre prisonnier.
-Non, mais ça va pas !
-Attends, j'ai une idée. On va l'attacher à un arbre. Aidez-moi.
Plusieurs mains me ceinturent et m'entraînent contre l'arbre. Patrice enlève sa ceinture et avec, il attache mes menottes au tronc, en serrant la ceinture pour l'empécher de glisser.
Je me retrouve debout, bras levés au-dessus de ma tête, attaché à une branche.
Comme je rue et lance des coups de pied, Patrice et deux autres me maintiennent les jambes et baissent mon short jusque sur mes chevilles. Rusé comme un renard, Alain enlève lui aussi rapidement la ceinture de son jeans et me la passe autour des jambes. Deux tours suffisent pour me bloquer les jambes les unes contre les autres.
Comme ça, tu as les chevilles entravées. Tu restes tranquille.
- Espèces de salauds, conards, détachez-moi.
- Mais c'est qu'il nous insulte ! On va lui montrer.
Ils remontent mon tee-shirt au-dessus de ma tête. Je n'y vois plus rien. Je suis en slip, à leur merci.
Je sens des mains me caresser le dos, le ventre, les cuisses. Je ressens, malgré la situation embarrassante, l'excitation monter.
Mais c'est qu'il bande le vicieux !
- A poil, hurle Marc, on le fout à poil, oui c'est ça à poil.
Deux mains s'emparent de mon slip et le baissent.
Nooon ! Pas ça ! Non....
- Ta gueule ! Tu es notre prisonnier, on a tout les droits.
Le slip baissé jusqu'aux chevilles je me retrouve complètement nu, avec simplement mon tee-shirt autour de la tête qui m'aveugle, et ma bite de onze petit centimètres qui pointe fièrement devant moi. Je suis mort de honte.
- Non ! Pitié ! Laissez-moi.
- Mais non, tu vois que tu aimes ça.
Une main se ferme sur ma verge et commence lentement à me branler. Une autre me tripote les couilles, en les pressant et les faisant rouler sous les doigts. Une troisième me caresse les fesses. Un doigt s'insinue dans la fente à la recherche de mon trou.
- On va te faire découvrir de nouvelles sensations.
- Salauds, fumiers, bande de lâches....
- Mais il nous insulte encore, ce petit voyou.On va lui faire payer ça. On va lui donner une fessée comme lui fait son père.
Ainsi, chacun leur tour, ils m'ont fait rougir le cul. J'avais les fesses en feu mais je bandais encore plus.
Va couper une badine, demande Patrice, tout en continuent à me claquer le cul.
Au bout d'un moment, les claques se sont arrêtées quelques instants puis, je ressens brutalement une douleur fulgurante, suivie dune douzaine d'autres. C'est comme sils me fouettaient avec un fer rouge.
Voilà, tu as eu ton compte ?
- Détachez-moi.
- Non, tu es très bien comme ça. Démerde-toi.
Et ils sont partis sans dire un mot, me laissant nu, attaché, les fesses brûlantes que j aurai bien voulu pouvoir frotter pour atténuer la douleur et ce qui était très étonnant, la queue étrangement bandée au maximum.
J'étais mort de honte, je me suis mis à pleurer.Mais au fond de moi, j'étais persuadés qu'ils allaient vite revenir me détacher.
Au bout de dix minutes, j'entendis des bruits de pas qui se rapprochaient. On parlait à voix haute, je reconnus des voix féminines et rires aigus. Plus aucun doute, ce n'étais pas eux, c'était bien un groupe de plusieurs filles qui s'approchaient de moi. Par la faute de ces salauds, je risquais d'être découvert et subir une terrible humiliation devant des filles inconnues, si elles me découvraient ainsi.
Les pas stoppèrent presque en même temps, un silence inquiétant, puis, à l'unisson, de grands éclats de rires fusèrent tout autour de moi, elle devaient être au moins cinq ou six.
- Magnifique les filles, regardez ce que le hasard nous a mis sur notre route. Un véritable cadeau. Nous allons passer un moment que ne ne serons pas prêt d'oublier.
- Profitons en s'écriât une autre fille, c'est pas tous les jours que l'on a un garçon à disposition pour nous amuser.
- Regarde son petit zizi, il est encore tout dur s'esclaffa l'une d'elle.
- Jeanne toi qui est encore pucelle, entraîne toi sur ce couillon et fait nous voir comment tu fais jouir devant nous ton premier garçon.
Presque aussi tôt, une main s'empara de mon pénis qui commençait à mollir sérieusement.
- Dépêche toi, il est entrain de débander. Cria une de filles visiblement plus excitée que la pucelle qui s'affairait maintenant sur mon sexe qui, malgré l'humiliation de se retrouvé ainsi exposé à un groupe de filles ravies d'une telle aubaine, tait entrain de reprendre de la vigueur.
La main fraîche et ferme serraient ma verge et commençaient à entreprendre des allers- venues en me branlant maladroitement. Ayant tirée mon prépuce le plus en arrière possible avec ses doigts elle pressait de temps en temps sur le bout de mon gland pour accélérer l'afflux sanguin.
- Regardez les filles,dit- l'une d'entre elle, il a reçu une fessée. Ces fesses sont striées comme celles d'un jeune zèbre.
- Il a du être très vilain ce grand garçon, renchérit une autre.
Une main venait de s'aventurer sur les fesses et,comme pour en tester la résistance, pinçait avec force ma peau déjà meurtrie.Puis soudain en même temps que la fille qui se prénommait Jeanne continuait de s'évertuer à me faire jouir, ma main qui me pinçait depuis un moment, écarta avec ses doigts, la raie de mes fesses. Tenant bien écartés les deux globes, une main s'introduisit dans mon sillon.
Sans même prendre le temps de tester mon anus, un doigt d'une longueur impressionnante s'introduisit en moi en une seule poussée. je ne pus retenir un cri de douleur tant la poussée avait soudaine et violente. Aucun doute, la fille voulait me faire mal.
- Tu vois la première fois la fait comme ça. Un connard de ton espèce m'a déchiré mes fesses et je me suis juré de faire la même chose à un garçon. Me voila vengée.
Le doigt continuait à me fouiller en tournant lentement comme pour essayer de me dilater un peu plus. Une soudaine envie de me soulager, m'obligeât à serrer les fesses au maximum, et la fille s'en rendit compte.
- Il contracte son anus cet imbécile, il pense sans tirer comme ça. Tu vas te soulager devant nous pauvre con. Et elle se remit à faire tourner son doigt en m'écartant le plus possible les sphincters. Un deuxième doigt s'introduisit pour aider le premier à me dilater encore plus.
- On va le vider des deux cotés, qu'est ce que vous en pensez les filles ?
- Super, ok, bravo, bonne idée, pas une fille ne se prononçait pour me libérer. je n'aurais imaginé qu'une fois ensemble, des filles puissent avoir des idées aussi vicieuses envers un garçon.
Encouragée par les autres, Jeanne me masturbait de plus belle et voyant que je n'allais pas pouvoir me retenir bien longtemps, les deux doigts qui me violait l'anus continuaient leur va et vient.
- Pitié, assez , arrêtez s'il vous plaît, je ne vais pas pouvoir me retenir. Pas ça devant vous, je vous en prie. Mes supplications demeurèrent sans réponse.
Des larmes coulaient le long de mes joues mais cela n'avait pas l'air de décider les filles à me libérer.
Je me mis à hurler en même temps qu'une violente poussée à l'intérieur de mon rectum, sonnait le début de mon cauchemar. Sentant cela, la fille qui m'écartait l'anus retira d'un coup sec ses deux doigts. Dans la seconde qui suivit, ne pouvant refermer mes sphincters dilatés pour arrêter ce flot qui cherchait une issue, je me vidais d'un seul coup, en public, devant des inconnues, attaché les jambes serrées, dans l'impossibilité d'écarter les jambes pour ne pas me couvrir un peu plus de honte.
- Regardez le ce cochon il en met partout. Il a fait un gros caca ce vilain garçon.
Les rires et les remarques moqueuses fusaient de toute part.
Une violente éjaculation m'extirpa un râle de plaisir, en même temps que les filles applaudissait Jeanne et la félicitait pour sa grande première avec un garçon.
- Continue, ne t'arrête pas, vide lui ses petites testicules à ce puceau, tu vas voir comme c'est insupportable si tu continue à le branler après qu'il ai éjaculé.,Il va vite nous demander pitié.
Jeanne continuait à me branler d'une main, pressant mes bourses de l'autre voulant obtenir de ma part une deuxième et immédiate éjaculation.Elle avait du mal à maintenir mon érection.
Mais l'épreuve était trop douloureuse à supporter, la honte, l'odeur de mes propres déjections et ma verge trop sollicitée, eurent raison de moi. Je débandais malgré les efforts de la fille.
- Oh le con, on dirait qu'il a son compte.
- C'est comme ça que tu nous remercie ? Une gifle cinglante donnée par je ne sait laquelle des filles, clôtura la séance.
- On s'en va les filles, ça sent trop mauvais ici.
J'entendis quelques "clic clac" de téléphones portables. On me prenait en photos.
Me laissant attaché à l'arbre, les fesses couvertes de mes propres excréments, le sexe pendant et vaincu, les filles s'éloignèrent en riant et en commentant leurs exploits.
Ce n'est qu'une bonne vingtaine de minutes plus tard que mes copains décidèrent de mettre fin à mon calvaire.
Ravis de m'avoir joué un vilain tour,ils revinrent tous ensemble pour voir dans quel état les filles m'avaient laissé et pour me libérer.J'appris par la suite que les filles avaient été prévenus à l'avance de
Trente ans plus tard je me souviens comme si c'était hier de cette terrible journée..................
La photo de la semaine
Punition en forêt (Juin 2007)
Fouettée aux orties,
Anne Marie va en conserver des traçes sur les fesses et les cuisses pendant 8 jours
Je me retrouvais à nouveau seul dans la cuisine priant de toutes mes forces que plus personne ne passe ans cette coursive tant que Tichka ne serait pas revenue.
Le temps me paraissait interminable, et j'avais de plus en plus de mal à rester sur la pointe des pieds. Pour me soulager un peu, je levais une jambe après l'autre pour éviter la venue de crampes ou de fourmis.
Autant vous avouer tout de suite que mon érection n'était pas restée très longtemps vivace.
Au moment ou je m'y attendais le moins, la porte me poussa en avant et je dus sautiller d'un pied à l'autre pour laisser le passage à Tichka.
- Bien, tu as été sage pendant mon absence ? Je vais te détacher pour que tu puisses te dégourdir un peu. Après nous rejoindrons le donjon que tu ne connais pas encore. La journée ne fait que commencer. mais avant de rejoindre le donjon, nous allons passer un petit moment sur la terrasse pour te préparer convenablement.Il faut que tu sois propre de fond en comble pour la visite de mes amies. Seul un véritable lavage en profondeur est envisageable.
Ne comprenant pas bien à quoi elle faisait allusion. Me tirant par la corde toujours attachée à mon sexe, je la suivis à travers les couloirs qui se succédaient, pour finir au pied d'un escalier en colimaçon. Son appartement qui était en fait un immense duplex. Je n'aurais jamais imaginé qu'elle habite seule dans un appartement aussi grand. Le loyer devait lui coûter une petite fortune !!!
Elle passat devant moi, continuant à tendre la corde pour m'inviter à la suivre. Les bras toujours attaché dans le dos, je faisais attention de ne pas trébucher en montant une à une les marches en bois qui craquaient par endroits sous le poids de nos deux corps.
Une fois arrivée en haut, un grand salon moderne s'ouvrait sur une magnifique baie vitrée. Je découvris une superbe terrasse qui surplombait presque tous les toits des maisons voisines. Sur ma gauche la terrasse d'un autre appartement. Une petite palissade en bois séparait les deux terrasses, mais il était plus que certain qu'une personne se tenant debout pouvait voir ce qui se passait de l'autre coté.
Avant de me faire mettre à genoux, elle me détacha les bras et ôta le noeud coulant qui m'enserrait la vege et les bourses depuis trop longtemps à mon goût.
- Met toi à quatre pattes bien au milieu de la terrasse, il va falloir que je te prépare. Laisse toi faire sinon il t'en cuira ou comme je te l'ai déjà dit, on s'arrêtera là.
Une fois à quatre pattes, je sentis Tichaka se rapprocher de moi. Elle se positionna entre mes cuisses et commença à introduire son index dans mon anus.
- Il faut que je prépare le passage, ne bouge pas.
Incapable de me rebeller, je me laissais faire de peur qu'elle mette à exécution ses menaces.
Son doigt fouillait et écartait maintenant mon anus à un rythme soutenu.
Pendant plusieurs minutes elle fit en sorte de distendre le plus possible mes sphincters.
J'avais beau serrer les fesses le plus possible, son doigt continuait sans faiblir à me "travailler" l'anus. Au bout d'un long intermède, elle me dit:
- Te voila prêt à recevoir un bon petit lavement. Reste sagement en place je vais préparer le matériel.
Frissonnant de peur et aussi parce que j'étais totalement nu, en plein air sur cette terrasse ou par bonheur le soleil réchauffait le carrelage du sol, j'allais devoir subir un véritable outrage à ma virginité anale.
Tichka, s'agenouilla entre mes jambes qu'elle me demanda d'écarter un peu plus. J'obéissais, lui laissant voir les parties les plus intimes de mon anatomie. Ma verge et mes testicules lui pendait maintenant sous le nez.
Je sentis soudain le contact dur et rèche d'un corps étranger qui forçait le passage de mes fesses. Tichka m'introduisait dans le derrière, le tuyau d'arrosage de sa terrasse. Par pur réflexe, mes sphincters se contractèrent, mais sans pouvoir arrêter la marche en avant du petit serpent de caoutchouc. Elle poussait en moi le tuyau souple et lorsqu'elle jugea qu'il était suffisamment entré en moi elle me dit:
- C'est maintenant le moment de serrer les fesses, car il va falloir que tu le garde en toi tant que je le dirais. Je vais aller ouvrir l'eau.
Elle se leva et se dirigeât vers le robinet d'arrivée d'eau. Pour éviter que le tuyau ne ressorte d'un coup sous la pression elle l'avait coincé sous mon genoux gauche.D'un geste rapide et précis elle venait simplement d'entre ouvrir le débit d'eau.
Je sentis de l'air pénétrer en moi, puis presque tout de suite un filet d'eau froide couler au fond de mon ventre A ce rythme te cette pression, le tuyau ne risquait pas de sortir de mes fesses. Le remplissage continuait lentement sous la surveillance de Tichka qui faisait en sorte de régler à sa guise le débit de l'eau.
Je commençais à avoir du mal à ne pas relâcher se liquide qui remplissait maintenant intégralement mon rectum.
C'est en fait ce que Tichka avait en tête. L'eau commençait à couler entre mes cuisses, accomplissant son travail de lavage interne. Par chance, j'avais été plusieurs fois au wc avant de venir rejoindre Tichka.
Tichka venait d'augmenter la pression d'eau et ce qui était depuis le début un léger filet d'eau fraîche entre mes cuisses, se transformait maintenant en un flot important et régulier. Mon ventre étant rempli à l'extrême, toute la quantité d' eau qui m'arrivait dans le rectum ressortait au même rythme.
Obligé de subir ce lavement qui n'en finissait pas de me nettoyer le ventre, je gardais la position demandée. Des bruits provenant de la terrasse d'à coté attirèrent mon attention. Je relevais la tête discrètement pour voir ce qui se passait.
Face à moi, accoudées à la séparation en bois, les deux femmes qui m'avaient découvert dans la cuisine me regardaient tout en discutant le plus naturellement du monde. Je ne pus continuer à les regarder dans les yeux, tout honteux de me montrer à elle dans cette position des plus humiliante.
Au bout d'un bon quart d'heure de discussion entre les trois filles, Tichka arrêta le débit de l'eau. Elle s'approcha de moi tout en disant aux deux filles.
- Venez me rejoindre au donjon, je le sèche et on arrive, vous pouvez préparer le matériel.
Je venais de réaliser que les trois filles se connaissaient et visiblement partageaient les mêmes plaisirs sexuels.
Tirant en arrière avec délicatesse le tuyau de mes fesses,elle me libéra de ce pal souple. les dernières gouttes s'échappaient de mes fesses avec des bruits que j'avais du mal à contenir devant elle.
- Tiens. Sèche toi avec cette serviette. Quand tu auras finit, rejoint moi dans le salon.
Même s'il ne faisait pas froid, je claquais des dents et il me fallait me réchauffer rapidement avec la serviette, si je ne voulais pas attraper froid.
Une fois bien séché et passablement réchauffais, je rejoignis Tichka qui m'attendait assise dans un club en cuir blanc, un magasine "SM" bien en vue sur ses genoux.
Elle se releva, ne me laissant pas le temps de m'arrêter devant elle.
- Suis moi, on rejoins les filles ans le donjon.
Me prenant immédiatement par la main, je dus la suivre toujours nu, dans le long couloir blanc et couvert de photos et dessins érotiques. La porte qui marquait la fin du couloir était capitonnée de cuir vert foncé.
Tichka, poussa la porte d'une main et tout en la suivant je découvris ce qu'elle appelait "le donjon".
Une immense pièce de plus de cinquante mètres carrés ou l'on trouvait sur la gauche accrochée au mur, toute la panoplie des ustensiles indispensables pour une séance de SM, de l'autre une véritable salle de bain ouverte et en plein milieu de la pièce un lit au dessus duquel toute une série de palans, carcans, cordes,colliers, bracelets de cuirs attendaient patiemment l'infortuné esclave.
Debout au milieu de la pièce ne sachant comment cacher ma nudité, je restais planté comme un idiot les bras ballants, attendant la suite des évènements.
L'une des femmes s'approcha de moi et me passa à chaque main des bracelets de cuir, puis un large collier autour du coup et pour couronner le tout, elle me fit ouvrir la bouche en grand en pressant sur mes mâchoires avec ses doigts. ne pouvant résister à la douleur de ses doigts contre mes gencives, j'ouvrais la bouche et elle en profitais rapidement pour m'introduire entre les dents un bâillon boule qu'elle s'empressa de m'attacher derrière la tête.
- Allonge toi sur le dos et met les mains bien au dessus de ta tête.
J'obéis me positionnant bien au milieu du lit dont le dessus était recouvert de latex.
Mes bras tirés en arrière furent attachés au bas du lit. Une fois mes bras immobilisés, je ne pouvais plus me protéger.
Tichka était entrain de m'attacher les pieds à l'autre extrémité du lit. Bras tendus et jambes tendus comme pour subir le supplice de l'écartèlement, j'en étais réduit à espérer que mon supplice soit le plus court possible.
Les deux femmes étaient partis chercher je ne sais quoi du coté des ustensiles. Cela ne présageait rien de bon.
L'une d'elle semblait avoir trouvé ce qu'elle cherchait, elle revenait un large sourire au lèvres.
- On va pouvoir tester sa résistance dit-elle sur un ton dur et sec.
Je tentais un regard de coté pour apercevoir ce qu'elle tenait à la main. Elle tenait dans sa main une espèce de petite sacoche reliée à trois petites chaînes. Elle s'approchât et se penchât vers moi.D'une main adroite, elle prit mes testicules et les tira vers le haut et de son autre main, elle glissa, cette sacoche de cuir sous mes bourses. La sacoche était en fait ouverte et il lui suffisait maintenant de la fermer sur moi à l'aide des boutons pressions. Une fois refermé, mes testicules se trouvaient emprisonnés dans ce carcan de cuir dur.
Je vis l'autre femme se saisir d'une petite télécommande qui reposait au sol et lorsqu'elle se mit à appuyer sur l'un des boutons, un bruit métallique se fit entendre au plafond. lentement mais sûrement, un crochet relié à une chaîne de bon calibre, descendait vers mon ventre. je commençais à comprendre se qui m'attendait maintenant.
Une fois le crochet posé sur mon ventre, Tichka prit l'initiative de passer les anneaux des trois chaînettes dans le palan qui ne demandait plus qu'à rejoindre le plafond.
En même temps l'autre femme fit fonctionner le mécanisme dans l'autre sens. Petit à petit la le crochet remontait entraînant avec lui le carcan de cuir.
Ralentissant le rythme de montée pour ne pas m'arracher les testicules, Il lui fallait maintenant régler la tension avec précaution.Par petites saccades, elle tendit la chaîne jusqu'à ce que mes bourses soient plaquées au maximum par la gaine de cuir noir. Ma verge quand à elle, restait libre
- Encore un petit effort Kirta, il faut lui tirer les couilles le plus possible pour tester réellement sa résistance. S'il passe avec brio cette épreuve, il aura une récompense.
Un dernier grincement et je me retrouvais presque obligé de soulever mes fesses pour soulager un pe la tension qui me pressait les testicules dans la poche de cuir.
- Tu vas rester comme cela pendant trente minutes. Nous viendrons te délivrer et si tu reste bien sage sans bouger ni appeler pour que l'on te délivre, je te promet une belle récompense. A tout à l'heure.
Les trois filles quittèrent la pièce me laissant seul attaché sur ce lit dans une position que je ne savais s'il me serait possible de la supporter aussi longtemps. Je décidais de ne rien lacher pour leur montrer à toute les trois que j'étais capable de souffrir en silence
Suite au prochain chapitre............
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